mardi 29 juin 2021 - par Gabriel

La violence de l’homme

Il y a plusieurs sortes de violence.

- La violence originelle, naturelle, animale, bestiale et assumée, dormante dans les plis de nos cerveaux reptiliens. Elle a pour but inavoué, la soumission totale de l’autre.

- La violence institutionnelle, qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, elle écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.

- La violence révolutionnaire, celle de la résistance, de la survie qui naît de la volonté d’abolir la précédente qui avilit sous l’injustice de ses décisions arbitraires.

- La violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la violence révolutionnaire, se faisant l’auxiliaire, le larbin et la complice de la violence institutionnelle.

    Le vingtième et le vingt et unième siècle ont vu l’aboutissement et le triomphe de la sauvagerie humaine à une échelle inédite. Bien sûr elle existait avant, mais n’avait jamais été célébrée et hissée à de tels niveaux. Les moyens financiers et le voyeurisme en ont fait une société du spectacle pour effrayer et satisfaire le quidam dans sa piètre condition de vie éphémère. La peur issue de l’horreur étant toujours le meilleur des gardes-chiourme sociétaux. L’homme est un animal qui se complaît à lécher les blessures qu’il inflige. Quels que soient leurs camps, leurs idéaux, les prédateurs massacrent sous des bannières différentes aux noms de grands principes pour justifier leurs crimes et maquiller leurs forfaits. Et les peuples imbéciles de suivre bêlant, moutons qui méritent le carnage qu’ils appellent de leurs vœux. Ce ne sont plus des duels chevaleresques à la con, mais de sanglantes boucheries où le pire des tarés, des malades, peut laisser libre cours à ses instincts les plus bas et à sa créativité la plus abjecte. Regardez dans l’histoire, partout et en tout temps la force apparaît avant le droit et, quand celui-ci est établi en principe, c’est pour qu’il serve brutalité et soumission à son tour. Qu’ils soient mafieux, miliciens ou politiciens, les requins nagent toujours dans les mêmes eaux. Quand ils ne se repaissent pas de la friture, ils en arrivent parfois, et pour notre plus grand plaisir, à se bouffer entre eux. Évidemment, pour les tueries de masse on habille cela d’un peu de respectabilité, des trémolos dans la voix, on les drape dans une dignité offusquée, un peu d’ONU par ci, un peu d’Amnesty Internationale par là le tout saupoudré aux droits de l’hommiste afin de faire pleurer dans les chaumières et d’élever les indignations passagères entre le dessert et la pause-café. On fait des marches blanches, la bougie bien droite, l’œil larmoyant. On envoie les ONG à la rescousse des enfants qu’on a préalablement affamés et rendus orphelins au nom de la liberté et de la démocratie de mon cul  ! C’est génialement infect et tordu à la fois, mais naturel dans un monde cynique et malsain à l’image du prêtre qui confesse pour ses péchés le petit enfant de chœur qu’il vient tout juste de sodomiser ou de l’homme qui tabasse la femme par amour afin de la soumettre ou de la prostituer. 

 La violence financière qui, grâce à quelques manipulations et délits d’initiés, fait monter le cours du blé ou du riz et affame des millions de personnes tout en enrichissant une poignée de pillards sans scrupule. Celle des voleurs d’organes bientôt officialisée et banalisée par des délires du genre GPA, PMA ou le droit à l’avortement à 9 mois. Fini l’humain ma belle, tu n’es qu’une marchandise, une matière première  ! Autre exemple d’une violence sacrificielle au nom d’intérêts privés : prenez le trafic de stupéfiants, la drogue qui rentre dans les pays, les politiques n’en ont rien à foutre ce qui les dérange c’est l’argent qui en sort pour payer cette drogue. Aux USA par exemple, la CIA se fournissait chez les cartels colombiens et revendait cette drogue dans les quartiers défavorisés, blacks de préférence et, avec les bénéfices ainsi récoltés, elle finançait les milices d’extrême droite d’Amérique centrale et du sud afin de lutter ou de renverser les gouvernements à tendance socialiste démocratiquement élus ou elle achetait les dirigeants : «  la valise ou le cercueil  ». Et puis, n’oublions pas celle de la connerie religieuse, fabrique de crétins en série, qui transcende et transforme l’idiot utile en psychopathe, tueur en série au nom d’un dieu au rabais. Et bien sûr, celle du rendement qui rase les forêts, détruit l’écosystème, pollue sources et sols et massacre les espèces…

La délégation de la force pour contrer la violence a été confiée à un corps d’état au nom du peuple pour le peuple à des fins de pacification et, une justice et ses lois ont été édifiées afin de remplacer la vengeance à l’état brut. Seulement voilà, la police est devenue milice privée avec ses débordements à la solde d’un état dictatorial car n’écoutant plus le peuple. Quant à la justice, elle passe son temps à excuser ou minimiser les actes barbares en oubliant et salissant la mémoire des victimes. Ce qui aura, à terme, pour conséquence une libanisation de la société ou la sécurité de l’individu devra être assurée par ses moyens propres. Si le citoyen ne récupère pas très vite sa fierté et son courage, il sera condamné à l’abattoir par les hordes de fous qui ne connaissent aucune limite à leurs délires. 

Essayer de comprendre les actes des démons c’est déjà glisser sur la pente des circonstances et pardonner aux loups de dévorer les agneaux. Vouloir en combattre les effets est vain et puéril si l’on n’en déracine pas les causes. L’émotion a remplacé la raison et à s’arrêter aux détails on en oublie la globalité. Qu’est ce qui a déraillé, à quel moment avons-nous basculé  ? La science est impuissante à expliquer la psychopathie et encore plus à la guérir. La nature animale et guerrière de l’homme est une évidence, mais ce qui la motive et la déclenche reste toujours cette même envie de puissance et de règne sur ses congénères. 

Pendant ce temps, le troupeau qui se dit libre n’a pas de préoccupation plus constante et plus avilissante que de trouver un maître devant lequel s’agenouiller. Les hommes aspirent tous à la domination, il n’en existe point qui ne furent pas oppresseurs, s’il le pouvait tous ou presque tous seraient prêts à sacrifier les droits d’autrui aux bénéfices de leurs intérêts. Et de quelle liberté parle-t-il d’abord le troupeau  ? Celle de se faire enfermer chez lui et de déprimer, celle de se faire vacciner contre son gré au risque de se faire empoisonner à petit feu, celle de marcher au pas de l’oie, tête baissée un bâillon sur la bouche parce qu’on l’a dit à la télé  ? Laissez-moi vous parler de ce peuple que certains admirent tant, il se couche devant l’occupation, tond les femmes à la libération puis après, après il boit pour effacer la lâcheté de sa mémoire… Heureusement, les deux plus grandes inventions de l’homme sont le lit et la bombe atomique. La première fait tout oublier et la seconde fait tout disparaître…

Les mauvaises herbes du mal ne cessent de pousser dans le marécage boueux de l’humanité. Jour après jour elles gagnent du terrain, ses ronces et orties envahissent les corps et les âmes et, si une intervention externe ne nous vient pas rapidement en aide, les bonnes volontés crèveront dans le terreau de leurs utopies. Aujourd’hui dans l’état actuel des choses, bien que j’en doute, la race humaine a peut-être, je dis bien peut-être un futur, mais certainement pas d’avenir. Bientôt, devant la sauvagerie et l’inconséquence des actes envers elle, Mère nature va s’épouiller de ces parasites, de ce cancer qui la ronge et qui s’appelle l’homme.

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34 réactions


  • JC_Lavau JC_Lavau 29 juin 2021 12:12

    Et hop ! Escamotée la violence de la femme !
    Devoir de propagande oblige !


    • chantecler chantecler 29 juin 2021 12:21

      @JC_Lavau
      Ah ouais,
      Des saloooopes !
      Et les mecs :
      Des salauuuuds !
      Qui va faire des enfants , je vous le demande ,
      L’IA ?


    • Gabriel Gabriel 29 juin 2021 12:22

      @JC_Lavau
      Quand je titre « La violence de l’homme » entendez par homme l’humain dans sa globalité donc aussi femme... M’accusez de propagande c’est que vous ne lisez pas ou ne comprenez pas les articles que je publie depuis des années...


    • Gabriel Gabriel 29 juin 2021 12:24

      @chantecler
      Pas vous tout de même !


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 29 juin 2021 12:31

      @Gabriel

       entendez par homme l’humain

      La convention est de mettre une majuscule à « Homme » dans ce cas.


    • Gabriel Gabriel 29 juin 2021 12:57

      @Opposition contrôlée
      Que votre perfectionnisme veuille bien accepter mes plates excuses... 


    • JC_Lavau JC_Lavau 29 juin 2021 13:09

      @Gabriel. L’appareil judiciaire est féminisé à 75% et se dirige à 80%, promotion
      après promotion. Toute victime de cette criminalité organisée, tout témoin gênant, sont immédiatement accusés de délit d’opinion, « d’extrême droite ».
      Frédéric P** a été condamné à 12 000 euros d’amendes, en représailles d’avoir osé demander à voir sa fille.


    • Gabriel Gabriel 29 juin 2021 13:13

      @JC_Lavau
      On pourrait faire un article complet sur la féminisation de la société et de ses dérives mais, là n’est pas le sujet et personne ne nie la violence féminine. Une bonne fois pour toute, nous sommes d’accord, la bêtise n’a pas de sexe...


  • Étirév 29 juin 2021 12:37

    La colère est l’expression violente de la révolte de l’homme contre tout ce qui gêne les manifestations de son instinct.
    La susceptibilité est le premier mot de la colère. L’homme susceptible se fâche quand il a tort, et quand on lui prouve qu’il a tort ; il se blesse surtout quand il s’aperçoit qu’on le prend pour ce qu’il est, c’est-à-dire quand il voit qu’on n’accepte pas le masque, dont il se couvre, comme le représentant réellement.
    L’impatience, l’emportement, l’irascibilité viennent d’une impulsion motrice non coordonnée. Ce qui équivaut à dire que ce sont des manifestations qui ne sont pas guidées par le raisonnement ; elles sont spontanées et se produisent chez les individus dont l’intellectualité n’intervient pas dans la direction des actes. On les appelle des impulsifs, ils ne savent ce qu’ils font, leur violence prouve ce qu’ils veulent nier : leur déchéance.
    La colère est donc le fait de l’homme qui a perdu presque toute sa vie intellectuelle en la dépensant dans la vie sexuelle.
    Les caractères physiques de ces hommes les rapprochent des anthropoïdes (C’est pour cette raison qu’il affirme que le singe est son ancêtre, pour justifier cette ressemblance)
    Loin d’être irresponsables de leurs actes, ils ont une immense responsabilité ; celle de leur déchéance, qui devrait, dans une société bien organisée, les priver de toutes espèces de droits, c’est-à-dire, comme dans l’antiquité, les mettre à l’interdit.
    L’impulsivité a ses degrés. Elle commence à l’impolitesse et finit au crime.
    La colère se manifeste même sans cause déterminante : l’homme mécontent de lui-même est continuellement prêt à s’en venger, et nous sommes destinés à être ses victimes, ne fût-ce que parce que nous devons supporter la vue de ses laideurs morales.
    La politesse a été instituée pour corriger l’impulsivité.
    La valeur des hommes se mesure par le degré de politesse qu’ils mettent dans leurs relations sociales.
    NB : Le degré de sensibilité que possède un individu est en raison inverse de son degré de motricité.
    Il en résulte que les individus sensitifs joignent à leurs qualités naturelles des qualités négatives engendrées par le défaut de force musculaire. A côté du calme, de la patience, de la persévérance, ils ont le manque d’action et, surtout, la timidité qui naît de l’aversion pour tout ce qui est lutte, combat, violence.
    Il en résulte que les hommes les meilleurs sont en même temps les plus modestes et presque toujours les plus ignorés, puisque, à moins de circonstances exceptionnelles, pour se faire connaître il faut l’action, l’audace qu’ils ne possèdent pas.
    En même temps les plus moteurs, c’est-à-dire les plus remuants occupent les premières places, alors qu’ils devraient occuper les dernières puisque leurs facultés intellectuelles sont moindres, leur réflexion plus lente et qu’ils possèdent, en échange, des facultés motrices qui les rapprochent des animaux et dont l’excès est un danger pour la société. Tout ce qu’on est convenu d’appeler qualités morales est le résultat des facultés sensitives, l’amour du bien, du beau, du vrai, la charité, la pitié, la fraternité, le raisonnement.
    Dans le domaine des faits c’est la justice et le droit.
    La prédominance du système moteur engendre des facultés toute contraires. C’est, d’abord, l’action, l’audace que donne la conscience de la force musculaire (« Les C.. sa ose tout... »). On ne craint rien d’un ennemi que l’on peut terrasser ; la brutalité, la cruauté, la violence, la tyrannie, l’injustice, la mobilité, le défaut de persévérance, l’égoïsme, l’orgueil, et enfin un sentiment de vengeance qui naît de ce que lorsqu’un individu a reçu une impression qui le blesse, mais dont il n’a pas pleine conscience, une impression qu’il ne peut pas apprécier à sa juste valeur parce qu’il lui manque pour délibérer des facultés sensitives qu’il n’a pas, il donne à cette impression une valeur exagérée et veut en tirer une vengeance exagérée. La jalousie naît de cette impression. C’est encore la domination, l’ambition, l’autorité arbitraire. En un mot c’est la force.
    Sensibilité et motricité


    • Gollum Gollum 29 juin 2021 12:55

      @Étirév

      l’homme qui a perdu presque toute sa vie intellectuelle en la dépensant dans la vie sexuelle.

      Ah mais non... Moi je bouquine beaucoup et je baise beaucoup aussi.. smiley

      Pas vous apparemment... smiley

      Les caractères physiques de ces hommes les rapprochent des anthropoïdes

      Ah ben elles ne m’ont jamais dit ça... 


    • roby roby 30 juin 2021 08:59

      @Gollum
      Couvrez-vous le vent se lève tard en ce moment...


  • Attila Attila 29 juin 2021 14:00

    Voici ce qu’écrivait Patrick Champagne dans Faire l’opinion aux Editions de Minuit, page 267 :

    « (Aujourd’hui) Cette diminution de la violence physique se paye cependant par un renforcement de la violence symbolique, c’est-à-dire par l’imposition de nouvelles croyances, plus ou moins illusoires, qui, étant fortement installées dans les têtes, rendent précisément moins nécessaire l’usage de la violence proprement physique dans les processus de domination, mais sont peut-être plus difficiles à percevoir et donc à combattre. »
    Et quand la violence symbolique ne marche plus, la violence physique réapparaît : les Gilets Jaunes.

    .


  • Yann Esteveny 29 juin 2021 14:32

    Message à Gabriel,

    Votre article est intéressant car il dresse une somme des violences concrètes actuelles.

    Vous omettez peut-être dans la liste la violence sémantique. La destruction ou l’altération des mots et du sens désoriente l’homme. Par exemple, le mot barbarie est sacrifié sur l’autel du relativisme culturel. J’ai commenté en ce sens l’article suivant : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/qui-est-barbare-233795

    Se savoir pêcheur ne doit pas être un prétexte au désespoir pour se croire uniquement capable de faire le mal. Vous ne voyez pas les possibilités qui s’offrent à l’homme dans sa vie de tous les jours de redresser la barre en se faisant violence contre sa barbarie.

    La violence en nous, le désir de dominer ou d’être puissant est présent. Mais il faut s’efforcer de convertir cette violence en vertu de force pour le Bien et le Bien Commun d’une société. Que croyez-vous que symbolise la conversion du barbare Clovis ? Bien sûr, il est facile de s’interroger pour savoir s’il s’agissait d’une conversion politique ou une conversion sincère. Mais nous ne lisons pas dans les âmes ! En revanche, il est sûr que tourner le dos à la barbarie a permis aux Francs la construction d’un royaume exceptionnel.

    Respectueusement


  • ZenZoe ZenZoe 29 juin 2021 14:38

    La violence est innée en chacun de nous parce qu’indispensable. Pas de violence, pas de survie. La violence est légitime dans ce sens.

    Là où le problème se pose dans une société, c’est lorsque la survie n’est plus un enjeu, et qu’elle est utilisée comme arme de soumission, pour faire souffrir et exploiter l’autre à outrance.

    Les éthologues parlent de mâle alpha, celui qui attaque tous les autres, rafle toutes les femelles et toutes les proies sans rien laisser aux autres, et qui ne rencontre bizarrement aucune opposition. Les mâles alphas sont partout dans le règne animal. Chez les humains, ils sont dictateurs, adjudants-chefs, patrons de multinationales etc. J’imagine qu’il y a des femelles alphas aussi... Y’a pas de raison...


  • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 29 juin 2021 14:54

    La violence commence avec soi même , en soi même par et pour soi même et elle est un choix, le choix de celui dont le cerveau a si dégénéré que le réel n’existe plus..seul existe ce que moi je veux, or je veux pas mourir etc

    un des mots qui définit cela est schizophrénie..dans le sens d’avant les psycho bla bla pour le pognon, de :« séparés » du réel..

    ceci est souffrance constante,

    comme pour la mort je refuse et essaye de fuir..bingo j’augmente ma souffrance dont je ne sais rien et ne veut rien savoir..

    là je commence à m’en prendre aux autres, ils vont payer pour mon malheur, le reste s’enfonce dans la démence devenu totale, nous sommes devenus quasiment tous déments..point..

    le truand du sommet vous a fait gober à quasiment tous que c’était la nature de base humaine, vous l’avez cru et bien continuer il faut..

    notre élimination de la surface de la terre n’en sera que plus rapide..

    seule la souffrance peut résoudre la souffrance...comprenne qui sait écouter..


    • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 29 juin 2021 16:51

      @Géronimo howakhan

      pour faire simple, la violence naît dans la distance que la pensée humaine crée entre ce qui est le réel et ce que moi je veux..
      or comme 99% des humains sont devenus des trouillards et ne sont pas capables de vivre réellement, pas de bla bla ça ne marche pas, cet absolu que naître = mourir...alors nous optons pour la violence , c’est un choix délibéré et ce moi qui est sa propre référence donc a toujours raison mème si c’est faux, un moi qui est alors généré et est en opposition avec tout ce qui n’est pas lui, univers inclus, nous amène lentement mais sûrement vers l’élimination prématurée des humains par l’Origine car nous ne sommes plus par choix dans le mouvement de la vie, la pensée empêchant nos autres capacités qui elles sont connectés à l’univers, de marcher ..sauf si
      bref un joli suicide car plutôt crever que de voir et reconnaître que moi je suis responsable de ces désastres..
      quoi moi ?? ça va pas la tête, faut te faire soigner mon vieux..moi je suis génial bien sur multiplié par 7 milliards, tous en combat par choix ..et non pas parce que ce serait ainsi..
      ainsi le salopard avec ce genre de pirouette peut tuer à volonté, voler, détruire, il lui suffit de dire que ce n’est pas de ma faute etc..
      ça vole pas haut tout ça, si ce n’était à ce point criminel qui en parlerait, sûrement pas moi, car vivre je dois .
      Cela dit le maître issu de la masse par nos choix de compétition entre tous, , LUI coopère, il est moins con, +dément que nous du au pouvoir, mais moins con ...la masse elle se dispute sur tout, surtout se dispute, amis terriens nous sommes simplement pitoyable, mais arrogant...
      cela dit,MOI JE SUIS GÉNIAL
      RESPECT ET ROBUSTESSE..


    • Yann Esteveny 29 juin 2021 17:55

      Message à avatar Géronimo howakhan,

      Vous présentez un sujet important que je me permets de redévelopper pour qu’il soit compris du plus grand nombre. Il y a souvent une violence que l’on s’afflige à soi-même. Lorsque l’on perçoit que nous ne sommes pas à la hauteur de ce que nous aurions aimé être, il arrive que l’on emprunte la voie du déni comme vous le présentez en déclarant : « MOI JE SUIS GÉNIAL ». Mais il y a une autre voie, qui est celle qui nous conduit à nous punir violemment en silence. Cette violence sourde que l’on s’inflige peut durer des années voire toute une vie. Parfois, l’homme suit ces deux voies en même temps ce qui suscite une colère blanche en lui. Cette attitude gêne d’une part ses progrès, mais d’autre part indépendamment qu’il le croie ou non, cela gêne également son Salut.

      « La religion n’est pas une croyance établie une fois pour toutes, une croyance aux phénomènes surnaturels qui soi-disant se produisirent autrefois, ni la croyance à la nécessité de certaines prières et de certains rites. Elle n’est pas non plus, comme le pensent les savants, le reste des superstitions et de l’ignorance antiques, qu’il n’est, dans notre temps, d’aucune nécessité d’adapter dans la vie. La religion, c’est le rapport de l’Homme envers la vie éternelle, envers Dieu, rapport établi en accord avec la raison et la science contemporaine et qui seules poussent l’humanité en avant vers le but qui lui est assigné. ’L’âme humaine, c’est la lampe de Dieu’, dit une sage expression hébraïque. L’homme est un animal faible, misérable, tant que dans son âme ne brûle pas la lumière de Dieu. Et quand cette lumière s’enflamme, et elle ne s’enflamme que dans l’âme éclairée par la religion, l’homme devient l’être le plus puissant au monde. Et il n’en peut être autrement, parce qu’alors ce n’est plus sa force qui agit en lui, mais celle de Dieu. Voilà ce qu’est la religion et en quoi consiste son essence. »
      Léon Tolstoï, 1909

      Respectueusement


    • Gabriel Gabriel 29 juin 2021 19:43

      @Géronimo howakhan

      Un vieux chef Cherokee a enseigné sur la vie à son petit-fils : 

      – il y a un grand combat qui se passe à l’intérieur de nous tous, lui dit-il. Et c’est un combat entre deux loups, l’un est le mal, il est colère, l’envie, la culpabilité, la tristesse et l’ego, et l’autre est bon. Il est la joie, l’amour, l’espoir, la vérité et la foi. Le petit fils demande :   – Quel est le loup qui gagnera ?  Et le chef répondit   – Celui que tu nourris... 


    • saint louis 29 juin 2021 22:40

      @Gabriel
      Les « sauvages »ont souvent une grande sagesse que le monde « civilisé » devrait plus souvent s’inspirer.

      Pour l’histoire de la violence, faut pas exagérer non plus, nous vivons une période, malgré tout, de grande sérénité sociale.
      L’humain a toujours été violent, les forteresses autours de chaque village dans une époque heureusement révolue en atteste.


    • Gabriel Gabriel 30 juin 2021 06:42

      @saint louis
      L’humanité a évolué en technologie et philosophiquement elle se gargarise de belles paroles malheureusement, la violence de ses actes résulte de son attitude individualiste et matérialiste alimenté par un consumérisme jamais rassasié. Aujourd’hui, les forteresses ne sont plus autour des villages mais dans les têtes et les massacres de masse se répandent sur la planète... 


    • Jean Keim Jean Keim 30 juin 2021 08:21

      @Gabriel

      Je ne suis pas persuadé qu’il y ait deux loups en nous, c’est une allégorie qui trouve sa force dans le choix de l’animal qui est un symbole, d’instant en instant nous sommes, seulement si nous ignorons en nous certains aspects jugés malsains de notre personnalité, ils resurgirons tôt ou tard avec d’autant plus de force.


    • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 30 juin 2021 09:58

      i@Gabriel

      Salut, l’allégorie du loup ne me parle pas, peu importe, merci de l’avoir amené.
      je suis en accord avec ceci : L’humanité a évolué en technologie, et philosophiquement elle se gargarise de belles paroles malheureusement, la violence de ses actes résulte de son attitude individualiste et matérialiste alimenté par un consumérisme jamais rassasié. Aujourd’hui, les forteresses ne sont plus autour des villages mais dans les têtes et les massacres de masse se répandent sur la planète... 

      et je rajoute c’est un effet de nos choix et pas du tout une fatalité comme a fait croire à certains le truand du sommet pour s’ auto pardonner d’être un salaud..donc le salauds sait qu’il est un salaud.. !! choix motivés ou pas, compris ou pas ceci n’est pas du tout notre nature profonde, pour affirmer cela peut être faut il avoir vécu de manière involontaire toujours des « moments » impossibles et qui montrent ce qui est dit ici, 
      ce n’est pas notre nature profonde du tout, ni celle de L’Univers, d’être un salopard mais celle de la pensée analytique ignorante, qui ne voit que la matière, qui refuse la mort qui est absolue , ce qui bloque la psyché sur une névrose mère de toutes les autres ; je veux pas mourir..maman j’ai peur protège moi etc
      alors ce programme de la pensée trop limité pour la vie intégrale, est alors utilisé dans des domaines où il ne doit pas aller, parce que il , ce programme, empêche nos autres capacité de fonctionner et par exemple quand je rencontre mon impermanence, naître = mourir la pensée est inapte à « gérer » cela ...etc et là tout part en « coquilles »
      respects


    • Gabriel Gabriel 30 juin 2021 11:26

      @Géronimo howakhan
      Vous avez raison, tout n’est qu’une question de choix et, j’ai l’infime conviction que tous les humains sont dotés d’une conscience universelle qui leur empêche de se mentir à eux même et, de ce fait, ils savent très bien si leurs actes sont (bons ou mauvais)....


    • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 30 juin 2021 12:42

      @Gabriel

      oui je le vois , ressens comme tel aussi...


    • Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 30 juin 2021 16:42

      @Yann Esteveny

      Salut, je viens juste de voir ce post avec lequel je suis en phase...la paresse de cette après-midi m’empêche de développer plus..salutations et merci


  • LeMerou 30 juin 2021 07:45

    « La violence originelle, naturelle, animale, bestiale et assumée, dormante dans les plis de nos cerveaux reptiliens. Elle a pour but inavoué, la soumission totale de l’autre »

    Tout est dit dans cette phrase, après ce ne sont que des variations.

    J’aurais mis domination à la place de soumission.


  • zygzornifle zygzornifle 30 juin 2021 08:28

    Plus la violence religieuse et la violence politique .....


  • gnozd gnozd 30 juin 2021 09:58

    Qu’est-ce qui a déraillé ,

    C’est la question que je me pose depuis des années.

    Ca commence dans la cour de récré : pourquoi y a-t-il toujours un sale con pour faire chier les autres, et pourquoi y a-t-il toujours 3 ou 4 crétins pour le suivre...


    • gnozd gnozd 30 juin 2021 10:00

      @gnozd

      ...et ça se fait appeler « Homo Sapiens...Sapiens » !!!


    • Gabriel Gabriel 30 juin 2021 11:21

      @gnozd
      Analyse criante de vérité ! Merci


    • Jean Keim Jean Keim 30 juin 2021 13:35

      @gnozd

      Un homo sapiens sapiens ben ça pense (énormément) et ça pense qu’il pense, seulement la prise de conscience ne va généralement pas beaucoup plus loin, dans nos modes de penser, la pensée est portée aux nues.

      La pensée a inventé la prison et la rose, il y a des prisons avec des roses, l’assassin est mis en prison mais pas celui qui déclare (est responsable de) la guerre, mieux souvent l’Histoire retient son nom.


  • zygzornifle zygzornifle 30 juin 2021 10:40

    Pour complément de cet article voir avec Rantanplan, pardon Castaner et son homologue Darmanin qui en connaissent un rayon sur la question.


    • Gabriel Gabriel 30 juin 2021 11:22

      @zygzornifle
      Hélas oui mais, de gouvernement en gouvernement ils se reproduisent. Ce doit être des générations spontanées...


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