vendredi 7 mai 2021 - par rosemar

Le patriarcat tue encore, même en France...

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Un fait divers terrifiant : un mari récidiviste a tué sa femme près de Bordeaux en la brûlant vive.

Encore un féminicide : une jeune femme de 31 ans, mère de trois enfants, est morte mardi 4 mai à Mérignac, près de Bordeaux, après avoir été brûlée vive par son mari violent récidiviste dont elle s’était séparée.

 

Une mort atroce et barbare : le tueur a tiré plusieurs coups de feu dans les jambes de sa femme jusqu’à ce qu’elle s’effondre. Il l’a ensuite aspergée d’un liquide inflammable alors qu’elle était encore en vie et l’a immolée par le feu.

C'est monstrueux ! On perçoit là une volonté de torturer, d'avilir, d'anéantir un être humain, une femme.

La femme considérée comme un objet, une chose appartenant à l'homme... L'homme dépossédé n'a qu'une envie : se venger et supprimer la femme assimilée à un objet qu'il désire être tout à lui. 

 

En France, une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son conjoint.

C'est un véritable fait de société : certains de ces meurtres sont prémédités, et c'est encore le cas dans cette affaire.

 

Le meurtre se double ici d'un acte de cruauté, c'est abominable.

Le mari ose même prétendre qu'il ne voulait pas tuer sa femme, seulement la punir ! Et il se trouve aussi des excuses : il croyait qu'elle avait un amant.

Le meurtrier avait déjà été condamné pour violences.

Le 25 juin 2020, il avait été condamné à dix-huit mois de prison, dont neuf mois avec sursis, et mandat de dépôt à l'audience pour "violences volontaires". Il avait obtenu à compter du 5 octobre une mesure de placement extérieur spécifique pour les auteurs de violences conjugales. Libéré le 9 décembre 2020, "il était suivi par le service pénitentiaire d'insertion et de probation de la Gironde." Cette mesure "comprenait notamment une obligation de soins, l'interdiction d'entrer en contact avec la victime et l'interdiction de paraître à son domicile", selon le parquet.

 

Mais à quoi servent de telles mesures si elles ne sont pas appliquées ?

 
Il serait temps de mener des campagnes de prévention et d'aider réellement les femmes en difficulté qui sont menacées par leur conjoint, de les prendre en charge, de leur offrir des protections, il serait temps d'aider celles qui vivent seules avec des enfants à charge, et qui, fragilisées, peuvent subir toutes sortes d'agressions.
 
On ne peut pas laisser perdurer de telles situations : la violence des hommes est inadmissible.

Droits des femmes bafoués, souffrances, cris de douleur, femmes insultées, humiliées, meurtries, blessées parfois à mort est-ce en France que cela se produit ?? Est-ce dans ce pays moderne, où les gens ont accès à l'instruction, à la connaissance, au savoir, que ces faits se déroulent ?
 

Malheureusement, la pandémie a tendance à accentuer ce problème : toujours plus de violences.

 Les femmes de milieu modeste subissent aussi plus fréquemment des violences sexuelles, des agressions verbales ou physiques à l'intérieur de leur ménage.

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2021/05/le-patriarcat-tue-encore-meme-en-france.html

 

https://www.lepoint.fr/societe/violences-conjugales-quand-le-depot-de-plainte-devient-parcours-du-combattant-15-02-2021-2414023_23.php

 

Vidéo :

 



135 réactions


  • Avec le Covid, la violence est à son comble. Les enfants aussi souffrent de maltraitance. Il faut bien trouver un « bouc émissaire ». Les plus faibles sont sous la main. Mais je verrais les chose autrement. C’est plutôt l’absence de père qui est la cause de la violence. Pères et repères. Plus personne pour faire LA LOI, en conséquence de quoi on revient à la barbarie...


  • Clocel Clocel 7 mai 2021 17:50

    Qu’est-ce qui se passe Rosemar ?

    On n’aime plus l’exotisme ?

    Don’t worry, y’a Moussa à l’Intérieur...


  • Étirév 7 mai 2021 18:07

    Du Matriarcat au patriarcat
    La forme de l’antique matriarcat était logiquement basée sur cette considération, que la femme est l’élément économique tant psychique que moral du mond« Chez les Hindous, on trouve actuellement des groupes familiaux, la « joint family », qui rappellent l’organisation matriarcale des premiers temps. »
    Et la femme qui avait pris l’initiative du progrès, qui participa à la peine du développement de l’humanité dans son enfance, qui y apporta son génie, son courage, son dévouement, écartée, asservie par l’égoïsme de l’homme, en dépit des témoignages de l’humanité et de l’histoire, ne projeta plus les rayons de son intelligence qu’à de rares intervalles.
    La clef de voûte du gouvernement masculin fut le patriarcat. Aucune calamité plus grande ne pouvait survenir pour la femme.
    Nul affront, nulle honte, nul préjudice ne lui furent marchandés dans cet état de choses basé impunément sur l’arbitraire de l’homme et n’ayant pour but que sa satisfaction. La femme fut privée par l’homme de ses qualités d’être humain, alors que l’homme fondait sa supériorité sur la prépondérance qu’il se donnait.
    Le principe de servitude, admis dans la famille, se transmettant de génération en génération, par voie d’hérédité, date de l’origine du patriarcat, qui représente à tous les degrés le « privilège ». La vie patriarcale, la famille du moyen âge, qu’est-ce donc ? La tyrannie du mari, le despotisme du père, la haine entre les enfants, le bonheur en souffrance pour toute la société se reflétant sur chaque génération par une récolte d’immoralité, d’injustice, de guerre. La famille devrait être le prototype de l’ordre, de l’harmonie sociale. Mais, nous le répétons, pour que cela soit, il faut que la constitution de la famille soit normale, qu’elle soit basée sur la réalité même de la loi morale.
    Le degré d’élévation ou d’abaissement des races en dépendra. Que les relations sociales ou familiales s’établissent, mais sur leur raison d’êtres pensants, qui est divine. Alors, mais seulement alors, l’amour vrai sera ressenti et compris, la famille deviendra la glorification de l’amour, sa personnification sous toutes ses manifestations.
    Le droit a donné à l’homme la liberté de mal faire et lui a conféré la direction du foyer, la gestion des intérêts généraux, c’est-à-dire a basé la famille sur le vice radical du mensonge. De là, la hiérarchie arbitraire dans l’éducation des fils et des filles.
    Avant d’arriver à l’âge de la connaissance, les enfants sont témoins d’une organisation établie sur l’injustice. L’arbitraire existe pour eux et ne choque pas leur conscience.
    Les lois ont synthétisé la subordination de la femme dans l’humanité, et ont décrété, pour ainsi dire, la supériorité du principe mâle. Qu’est-ce que la supériorité du principe mâle ? Le rôle de générateur attribué à l’homme. Seulement, ni l’anatomie, ni la physiologie ne lui octroient ce principe qui lui est si cher. L’étude du mécanisme cérébral chez la femme n’a, malgré cent modes d’investigation, jamais justifié l’assertion d’infériorité.
    Pour montrer combien ce régime nouveau était impopulaire, il suffit de rappeler que du mot « ab », père en hébreu, on fit « abomination ».
    J.J. Bachofen, qui a fait une étude remarquable du primitif état social, décrit ainsi la famille primitive :
    « L’amour maternel est une force mystérieuse qui régit également tous les êtres de l’Univers. Les premiers pas dans la civilisation, l’origine de chaque vertu, de chaque sentiment est due au mystère de la maternité, c’est le principe de l’amour, de l’union, de la paix. Avec les premiers soucis pour le fruit de son corps, la Mère apprend l’altruisme ; employer ses forces pour conserver et embellir l’existence d’autrui, sera désormais son but. C’est d’elle que partent tous les symptômes de civilisation, tous les bienfaits, tous les sacrifices, l’abnégation et les soins des malades.
    « Etre du pays de la Mère, avoir été bercé sur le même sein maternel, constitue le lien le plus sacré, le plus indissoluble ; secourir la Mère, la défendre, la venger, prime tous les autres devoirs, menacer sa vie est un crime inexpiable.
    « Le principe maternel, c’est la communauté sans restriction ni limite autre que celle de la Nature. De ce principe découle celui de la fraternité générale, de l’égalité, de la liberté. C’est le fondement des Etats gynécocratiques : l’absence de querelles, de discordes, l’aversion profonde de tout ce qui peut entraver la liberté, telles sont les caractéristiques de ces communautés. »
    LIEN


  • Clocel Clocel 7 mai 2021 18:08

    Réjouissez-vous Rosemar, nos amis écologistes vont aller récupérer les prochaines cargaisons de faits divers, on ne va pas vous laisser sans grain à moudre.

    Ça se passe comme ça au pays d’Ali Juppé !


  • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 7 mai 2021 18:09

    Premièrement, je ne vois pas très bien le lien entre le patriarcat et la violence.

    On peut très bien être un père autoritaire et respecter sa femme comme on peut être un père absent et une brute.

    Deuxièmement, on ne pourra jamais supprimer la violence, « c’est dans nos gènes, ça nous démange » comme chantait Gérard De Palmas

    Troisièmement, l’homme tue et la femme rend fou comme a écrit Phillippe de Vulpillières 


    • rosemar rosemar 7 mai 2021 19:13

      @Florian LeBaroudeur

      Dans les féminicides, il y a souvent cet aspect de la femme considérée comme un objet qui appartient à l’homme.


    • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 7 mai 2021 19:29

      @rosemar

      Vous connaissez beaucoup de français qui considèrent les femmes comme des objets. Pour avoir voyager dans plusieurs pays, je peux vous dire qu’être une femme en France, c’est un cadeau.


    • rosemar rosemar 7 mai 2021 19:55

      @Florian LeBaroudeur

      C’est sûr : la femme connaît un sort meilleur en France que dans bien d’autres pays, il n’empêche : le féminicide perdure, en France.


    • troletbuse troletbuse 7 mai 2021 21:24

      @rosemar
      Et vous, vous êtes bien une spécialiste de la propagande covidiste qui est aussi une violence faite aux hommes et aux femmes et aux enfants. Regardez-vous !


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 09:09

      Bonjour, Florian LeBaroudeur

      Je suis d’accord avec vous sur ce point : ce n’est pas le « patriarcat »  une forme d’autorité morale contestable qui est en cause ici, mais la déviance d’individus violents incapables de contrôler leurs pulsions.

      7 % des crimes sur conjoint sont d’ailleurs commis par des femmes. 

      Dans tous les cas, c’est insupportable !


    • Et hop ! Et hop ! 8 mai 2021 13:08

      @rosemar

      Et quand une femme empoisonne son mari, il a été tué par le matriarcat ?


    • marmor 8 mai 2021 18:23

      @Florian LeBaroudeur
      Qui parle de français ??


    • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 9 mai 2021 08:27

      @Florian LeBaroudeur Très juste. De nombreuses études font un lien entre l’absence ou l’irresponsabilité du père à l’opposé du patriarcat

      et la violence des jeunes. La multiplication des familles monoparentales n’a en rien diminué la violence, Un maquereau n’est pas un modèle de patriarche, pourtant, il est souvent très violent avec ses prostituées. On pourrait citer plein de contre-exemples qui montrent que le but n’est pas de lutter contre la violence faite aux femmes ou aux hommes ou aux enfants mais de lutter contre le « patriarcat ».


  • Rosemar, c’est le paradoxe : Père absent, fils manqué. Les psychologues ont analysé le profil de ces hommes qui refusent leur part féminine. Soit père violent, soit père absent...Comme les pères étaient absents, ils ont un rapport fusionnel est possessif avec la femme (leur mère) qu’en même temps il détestent...parce qu’elle n’ont pas su garder le père. Et donc se venge sur la femme,....de l’absence de père...Cette violence cache surtout une peur de l’abandon....Ils veulent posséder mais ne pas relationner. Tu es ma chose.. Dernière affirmation d’une virilité chancelante...


  • Ben Schott 7 mai 2021 18:15

     

    De pire en pire...

     

    Il est temps que tu fasses un tour à l’université d’Evergreen, ça te sera peut-être aussi salutaire qu’un bon coup de pied au derche pour te réveiller.

     


  • La confrontation directe avec la mère sans le tiers, un père est toujours source de violence. La mère par sa toute-puissance sur l’enfant sera toujours crainte. Si j’accepte ma part féminine, je serai castré (horreur enfer et damnation-la méduse). Mais si le père soutient son fils dans cette quête, il reviendra vers cette source féminine à laquelle il aspire. Pour donner un exemple : quand on veut faire de la plongée sous-marine, on doit s’assurer de pouvoir remonter, Que quelqu’un est là pour vous tendre la main. 


  • Les femmes ont autant peur de la mère primitive que l’homme. Prenons le cas de Michelle Martin qui avait un rapport fusionnel avec sa mère. Elle rencontre Dutroux : LE SAUVEUR.... auquel elle s’accrocha jusqu’au pire. Elle avait hélas rencontré un homme qui souffrait du même problème, une mère incestueuse et méchante qui le mettait dans son lit. Deux pathos qui se rencontrent...


  • Clark Kent Séraphin Lampion 7 mai 2021 18:33

    Arrêtez avec le « patriarcat ».

    Ce mec est un fou furieux, un criminel, peut-être psychopathe, il faut le condamner et l’enfermer.

    Même si la testostérone a peut-être joué un rôle dans sa connerie, il ne faut pas se tromper de cible et mettre en cause un système bien plus complexe que ce que a plupart des féministes pensent.

    Le patriarcat, c’est aussi la transmission du nom, le système d’héritage et le mariage, et même si le mouvement américain LGBT a une influence sur les cjialeuses, ce n’est pas une structure qui peut être renversée d’un revers de la main : même celles qui croient en être les victimes contribuent largement à le perpétrer dans des principes d’éducation qu’elles inculquent à leurs enfant sans souvent même s’en rendre compte.


    • @Séraphin Lampion Vous avez raison. Parlons plutôt de la psychopathie en général et du passage à l’acte...


    • rosemar rosemar 7 mai 2021 19:16

      @Séraphin Lampion

      Le patriarcat est un système dans lequel le pouvoir appartient aux hommes. Et dans les féminicides, l’homme considère que la femme lui appartient, qu’il peut en faire ce qu’il veut.


    • JMTLG 7 mai 2021 22:29

      @rosemar

      Et dans le cas où une femme tue un homme, ça signifie qu’elle considère que l’homme lui appartient ?
      Que nous sommes dans une société matriarcale, et androphobe ?

      Le simple fait d’insister sur l’éventuel aspect « machiste » de ce meurtre ne fait que le desservir afin d’être récupèré au profit de votre discours.


    • Samson Samson 7 mai 2021 23:50

      @rosemar
      Bonsoir Rosemar !

      Née après la dernière glaciation et contemporaine de la naissance de l’agriculture et de l’élevage, l’ère patriarcale débute au néolithique - soit à la grosse louche il y a entre 8.000 et 10.000 ans -, de l’établissement de la relation liant l’acte sexuel à la génération, probablement du fait de la transition des chasseurs-ceuilleurs à l’élevage et de leurs observations.

      Contrairement à l’évidence de la filiation matrilinéaire, la filiation patrilinéaire est toujours putative ou présumée, et nécessite pour son affermissement et sa transmission les inventions successives de l’écriture, des lois et codex ainsi que des différentes institutions religieuses, politiques, juridiques visant autant que possible à la garantir (mariage, ...). Contrairement à l’évidence naturelle de la maternité, la « paternité » est un concept légal !

      Je vous rassure ! L’invention du test génétique déterminant indiscutablement le géniteur biologique masculin met techniquement et définitivement terme à l’ère patriarcale, et les résistances de ses institutions notamment religieuses toutes issues du patriarcat ne signent jamais que les parfois violents soubresauts de son agonie.

      S’il est clair qu’il faudra encore bien du chemin avant d’arriver à une authentique égalité en droits et en responsabilité entre les sexes, on peut déjà mesurer le chemin parcouru par l’Occcident depuis seulement le début du XXème siècle, ou encore depuis la fin de la deuxième guerre mondiale (contraception, droit de vote, droit au divorce, responsabilité légale, ...).
      Encore faudrait-il s’entendre sur une redéfinition des rôles respectifs et complémentaires qui garantissant le respect tant de nos droits mutuels que de nos inaliénables différences, car si les repères anciens se voient révolus, le malaise affecte tant les femmes que les hommes quant à s’accorder sur d’autres, comme en atteste tant la crise du mariage que les difficultés éprouvées par un nombre croissant de nos contemporains à se définir dans leur identité sexuelle ou genrée !

      Donc oui, le pouvoir est bien sûr à repartager, mais Je doute que les faciles caricatures et raccourcis sur un « patriarcat » à abolir et sur un mâle coupable de tous les maux y suffisent sans s’exposer à « jeter le bébé avec l’eau du bain », soit nier tout acquis à une ère qui a plusieurs millénaires durant et au fil de civilisations successives profondément structuré et imprimé nos identités, nos repères, nos personnalités et nos comportements, ...

      L’époque que nous vivons est certes tout à fait passionnante à cet égard, mais ne nous illusionnons pas, la transition et l’établissement d’un nouvel équilibre s’opèreront sur le temps long et demanderont probablement encore plusieurs générations pour pleinement s’opérer.

      Moyennant quoi, tant la violence exercée par un sexe sur l’autre que la soumission et l’asservissement qu’elle vise sont totalement intolérables, à très fermement condamner et éradiquer tant de la société que de nos comportements individuels.

      Je vous présente mes respectueuses salutations ! smiley


    • Samson Samson 8 mai 2021 01:06

      @rosemar

      Hi, hi, ...

      Si vous lisez le latin, je ne peux trop vous recommander ce fort savoureux petit bijou - bien trop peu connu et téléchargeable en format pdf - et qui devrait bien vous plaire !

      Sinon, vous en trouverez une traduction - également téléchargeable en format pdf - ici.

      D’autres traductions plus modernes en ont été publiées depuis, pour lesquelles je ne peux que vous renvoyer à votre libraire.

      Comme quoi, même parmi nos ancêtres, tous les hommes n’étaient pas des brutes épaisses, certains même ne manquant pas de finesse ! smiley

      Cordiales salutations à vous ! smiley


    • Clark Kent Séraphin Lampion 8 mai 2021 07:49

      @Samson

      Le passage de l’activité de chasseurs-cueilleurs à celle d’éleveurs agriculteurs au début du néolithique s’est accompagné d« un élément décisf : la possession d’une terre et celle d’un troupeau.
      Or, le troupeau, c’est le cheptel, et le nombre de têtes, c’est le capital (deux mots ayant la même étymologie : caput, la tête).
      Autrement dit, ce bouleversement sociétal baptisé parfois »révolution« néolithique coïncide avec l’apparition de la propriété et, par conséquence, de sa transmission. Et là, en effet, la notion de filiation est déterminante pour fixeer les règles de l’héritage. Mais ce qui est central, c’est (comme l’avait bien pressenti Rousseau) la notion de propriété, tout le reste en découlant. Après, ce sont des déclinaisons de symbole : polythéisme rime avec polygamie et monothéisme avec monogamie, avec toutes les variation et contradictions que ça implique. Mais en tous cas, pour légitimer cette appropriation de biens, de bétails et de procréatrices, les hommes ont construit des dogmes à leur image qui sont les religions.
      Mais, imaginer que les chasseurs cueilleurs étaient des anges et que dans ces sociétés les hommes ne tuaient pas les femmes est une pure illusion, et le recours à la notion de »patriarcat" pour faire d’un crime de psychopathe un acte de militantisme politique est un délire, moins grave que le crime lui-même, mais malhonnête.


    • nono le simplet 8 mai 2021 08:03

      @Séraphin Lampion
      Le passage de l’activité de chasseurs-cueilleurs à celle d’éleveurs agriculteurs au début du néolithique s’est accompagné d« un élément décisf

      les journaux de l’époque en témoignent largement ... époque où ils n’étaient pas à la botte des gouvernements ...


    • Clark Kent Séraphin Lampion 8 mai 2021 08:54

      Et ils publiaient des courbes sur les cours du foncier et de la foire aux bestiaux totalement imaginaires pour fausser le marché..


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 09:14

      Bonjour, Séraphin Lampion

      Vous avez raison. Comme je viens de l’écrire ci-dessus à Florian LeBaroudeur, le « patriarcat » n’est pas en cause.
      Ce qui l’est, c’est la pulsion de destruction d’un individu criminel, possiblement « psychopathe » comme vous le suggérez.


    • @rosemar Vous avez aussi raison. Mais qui rêve d’un patriarcat et l’a généré : les femmes soumises.(en apparence bien sûr, comme chez les musulmans). ...Voir l’exemple du nazisme. Chez elles les femmes sont de véritables : FRAULEIN...tu seras un hommes mon fils...


    • @Samson commentaire parfait. La théorie du genre conduit à l’indistinction et la fusion. Seuls les complémentaires peuvent s’unir. Une dyade homosexuelle n’est qu’un lien en miroir...ET les couples où il y a le plus de violence : ce sont les couples de femmes.
      En France, un questionnaire réalisé sur le site Yagg en 2011 impliquant 360 personnes53 a remonté des chiffres proches des chiffres nationaux. Élodie Brun, responsable de la Lesbian and Gay Pride Montpellier arborait alors dans son bureau le slogan « La violence chez les homosexuels, plus qu’un mythe, une réalité ». Dans un témoignage elle fait part de son vécu auprès d’une conjointe qui justifiait des violences avec l’argument « Elle m’a poussée à bout »51


    • Samson Samson 8 mai 2021 11:46

      @Séraphin Lampion
      "Or, le troupeau, c’est le cheptel, et le nombre de têtes, c’est le capital (deux mots ayant la même étymologie : caput, la tête).
      Autrement dit, ce bouleversement sociétal baptisé parfois »révolution« néolithique coïncide avec l’apparition de la propriété et, par conséquence, de sa transmission. « 

      De fait, et absolument d’accord avec vous ! Je n’avais pas souligné le point de la naissance de la »propriété", émergeant de l’agriculture et de l’élevage. Nous Introduisant aux notions de capital, de propriété, de travail, de technologies et d’outils - sans même évoquer la question de la filiation patriarcale -, la révolution néolithique bouleverse radicalement notre rapport au monde et la physionomie même de ce dernier, la déforestation de la planète s’opérant en seulement deux ou trois mille ans.

      Et si nous assistons actuellement à l’agonie du patriarcat et d’une transmission exclusivement patrilinéaire, les notions même de lois, d’institutions, d’écriture, de transmission et de propriété subsisteront.


    • Amusant, j’étais justement en train d’écrire un article sur LA FIATIL. Sujet qui me passionne comme la psych-généalogie (voir autre poste où j’aborde le problème de l’autisme. La notion de transmission a presque disparu dans notre société. Les juifs sont ceux qui ont le plus le sens de la filiation. Les musulman, non. Le père n’apprend rien rien à ses fils (c’est la mère qui les éduque). Pour eux, le père c’est Allah et la bible. Raison pour laquelle il y a beaucoup de délinquance chez les musulmans. Ils n’ont aucune formation, aucun métier et s’appelle presque tous Mohamed.. Le prénom donnant aussi une identité...Mais le nom du père et sa lignée est absolument fondamental pour la construction de la personnalité de l’enfant. Si je sais d’où je viens, je peux plus facilement partir...Et l’enfant doit un jour quitter sa famille pour en assurée une nouvelle... Certains préfèrent porter le nom du père ET de la mère. Souvent quand la lignée de la mère est plus fabuleuse que celle du père..Sans racines pas de futur...


    • Lire un article sur la filiation. C’est aussi en rapport avec l’idée de Karma (exemple : quand un enfant naît autiste,...). Comme une manière inconsciente d’exprimer, je ne veux pas transmettre ce qui est trop lour.. ;


    • Samson Samson 8 mai 2021 12:37

      @Fergus
      Bonjour Fergus !

      « Vous avez raison. Comme je viens de l’écrire ci-dessus à Florian LeBaroudeur, le « patriarcat » n’est pas en cause. »

      Je serais plus nuancé ! En institutionnalisant la différence sexuelle au profit d’une transmission patrilinéaire, le « patriarcat » porte certainement une part de responsabilité, au moins dans la caution qu’y peut trouver le criminel ou le psychopathe dans l’expression de ses pulsions asservissantes ou meurtrières.
      De là à accuser tous les mâles d’être ce qu’ils sont, ...

      Mais plus largement, le bouleversement majeur que constitue la révolution néolithique et l’explosion démographique sans précédent qu’il génère jusqu’à nos jours avec la constitution successive des premières cités et de nos civilisations m’apparaît un facteur indubitable à la montée de la violence et des tensions entre groupes et individus, ainsi qu’aux institutions visant tant à la prévenir qu’à la canaliser.

      Sans prétendre en aucune manière « diaboliser » le néolithique ou le patriarcat dont nous sommes les fruits, une question pour l’heure sans réponse claire pour moi est celle de savoir si la guerre et l’asservissement se pratiquaient déjà du temps des chasseurs-ceuilleurs - et si oui, sous quelles modalités ou s’ils relèvent des bouleversements introduits par la révolution néolithique et ses organisations sociales. Si quelqu’un à quelque piste sur la question, elle est la bienvenue !

      En vous présentant mes cordiales salutations ! smiley


    • Et hop ! Et hop ! 8 mai 2021 13:16

      @Samson

      Otsy est mort d’une blessure d’arme. 

      Certains peuples primitifs allaient razzier des femmes dans une autre tribu, d’autres faisaient un traité d’échange de femmes.


    • Samson Samson 8 mai 2021 13:37

      @Séraphin Lampion
      Bonjour Séraphin Lampion !

      "Autrement dit, ce bouleversement sociétal baptisé parfois »révolution« néolithique coïncide avec l’apparition de la propriété et, par conséquence, de sa transmission. « 

      Dans »Under the Volcano« (En dessous du volcan), le chef d’œuvre absolu de Malcolm Lowry, le Consul totalement ravagé à la tequila, titubant en pleine considération délirante sur le jardin d’Eden dans son propre jardin laissé à l’abandon et retourné à la jungle le Consul explique fort doctement et dans un extraordinaire éclair de lucidité à son voisin, propriétaire terrien de son état et l’observant de derrière la clôture, que c’est en fait la propriété foncière qui constitue le péché originel et nous a précipité dans la »chute«  ! smiley

      Je n’ai malheureusement pas le livre sous la main pour vous transmettre l’extrait, mais il est aussi savoureux que profond !

      A noter qu’à bien lire les premières pages de la Genèse, l’expulsion du d’Adam et Eve du Paradis terrestre exprime bien tant la transition néolithique de l’état édénique des chasseurs-ceuilleurs aux contraintes du travail lié à l’agriculture et l’élevage que la naissance du Patriarcat et la soumission subséquente de la femme à l’homme.
      A noter encore que la transmission du fruit de la connaissance du bien et du mal d’Eve à Adam exprime quant à elle on ne peut plus clairement l’antériorité féminine de l’accès à une »connaissance" qu’elle transmet pour son malheur ultérieur à l’homme.

      Je vous souhaite une bonne après-midi, en vous présentant mes cordiales salutations ! smiley


    • Samson Samson 8 mai 2021 13:40

      @Et hop !
      « Otsy est mort d’une blessure d’arme. »

      De fait ! Merci pour votre réponse ! smiley


    • chantecler chantecler 9 mai 2021 09:24

      @Séraphin Lampion
      "Mais, imaginer que les chasseurs cueilleurs étaient des anges et que dans ces sociétés les hommes ne tuaient pas les femmes est une pure illusion, et le recours à la notion de »patriarcat" pour faire d’un crime de psychopathe un acte de militantisme politique est un délire, moins grave que le crime lui-même, mais malhonnête.

      « 
      Tout juste : ce que l’on nomme féminicide n’est qu’une forme particulière de la violence extrême .
      Violence qui se développe en lien avec l’acmé de ce système destructeur et en crise profonde (voire le développement de la pauvreté et le nombre réel de chômeurs ).
      Violence qui peut se manifester de façon extrême , organique , mais parfois psychopathique .
      Car la folie qui tue existe et le pire c’est que les structures de soins sont devenues insuffisantes .
      D’où multiplication de ces »faits divers" révoltants .
      Car franchement comment associer le meurtre d’un femme brûlée vive et un système qui même s’il est imparfait remonte à des milliers d’années ?


  • Bizarre, mais le seul matriarcat connu, c’étaient des guerrières, des Amazones...


    • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 7 mai 2021 18:49

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.

      Celles qui sont grandes et musclés et qui vont toute nue, je donnerais n’importe quoi pour me retrouver face une telle femme même si c’est mon dernier souffle. 


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 09:17

      Bonjour, Mélusine ou la Robe de Saphir.4

      Désolé, mais c’est faux. il existe de nombreuses micro-sociétés matriarcales dans le monde, principalement en Afrique et en Asie.


    • @Fergus En Afrique, c’est l’oncle qui incarne l’ancêtre, la figure paternelle. Et le TOTEM.


    • LE TOTEM est TRES important. Il incarne tous les interdits qui ne peuvent être franchis sinon la tribu risque d’être vouée à la mort. Interdit de l’inceste. Obligation de choisir son mari ou une femme dans une autre tribu. Au point que le mari ne peut rencontrer la belle-mère qu’avec un voile sur la tête...


  • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 7 mai 2021 18:37

    Il y a une mesure radicale pour éviter ce genre de problème, c’est de ne plus avoir de relations avec le sexe opposé.

    J’ai choisie d’être célibataire pour avoir la paix car je sais très bien que en tant qu’homme demeurant en France, je suis un bourreau d’office même si je n’ai jamais fait de mal à une mouche. 

    Remarquez que ce genre de faits divers, on ne précise jamais l’appartenance et la situation sociale tant du bourreau que de la victime.


  • J’ai lu un livre sur la femme celte. Ce n’était pas du tout un modèle de femmes aimantes mais qui protégeaient leur tribu ou clan. de ce fait, elles étaient admirées. Vous constaterez que le plus souvent, les femmes battues, sont de femmes soumises AU PATRIARCAT...


    • troletbuse troletbuse 8 mai 2021 09:33

      @Fergus
      Je suis content que vous ne vous êtes pas noyé en piscine.
      Le vaxxin avec son marquage sous forme de nanoparticules tue également mais légalement  smiley


  • berry 7 mai 2021 19:32

    Le patriarcat a bon dos, il s’appelle Mounir en l’occurrence.

    Rosemar est mûre pour la soumission, elle n’ose même pas rappeler l’origine de l’assassin et le nommer par son nom. Nous connaissions « les jeunes » qui posaient déjà problème, à présent c’est « les hommes ». La prochaine étape sera la conversion forcée et le port du voile.

    Faudra pas compter sur moi pour m’interposer, pas question de me faire traiter de raciste ou de prendre un mauvais coup.

    « Le sentiment d’insécurité, c’est de l’ordre du fantasme ». Le yéti


    • cétacose2 7 mai 2021 19:47

      @berry
      ..SI ce gentil « compagnon » s’appelle Mounir c’est que ce doit être ...un « auvergnat. ».....


    • troletbuse troletbuse 7 mai 2021 21:30

      @berry
      Ah non dans la vidéo, il s« appelle ’mis en cause » et il a une circonstance atténuante : les enfants n’étaient pas à la maison. Donc, c’est moins grave.


    • mmbbb 7 mai 2021 21:33

      @berry selon cette femme brûlée , elle voulait vivre a l occidental ! Bon elle a payé cher sa velléité de reconversion ! 


    • rosemar rosemar 7 mai 2021 21:41

      @berry

      Mais enfin, les auteurs de féminicides ne sont pas dans leur majorité issus de l’immigration. Par exemple : l’affaire Daval.


    • mmbbb 8 mai 2021 08:18

      @rosemar Les féministes ont essentialisé la violence sociale aux seules femmes en employant ce néologisme le « féminicide » . Il serait de plus noble combat de lutter contre la violence . Elles ne parlent jamais de la violence à l encontre des enfants Il y aussi des enfants qui meurent de coups et de blessures notamment perpétrés par les femmes Quant une femme congèle ses gosses , les « féministes » ne braillent pas , Vous devriez regardez les statistiques c est éloquent ! Ces féministes modernes sont des connes et leur seul but est la guerre des sexes dont vous êtes un des vecteurs . La ficelle est assez grosse pour que nous nous en apercevions pas à moindre de nous prendre pour des cons .


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 09:28

      Bonjour, rosemar

      « les auteurs de féminicides ne sont pas dans leur majorité issus de l’immigration »

      Vous avez raison. Les « féminicides » ont d’ailleurs toujours existé et existeront toujours  hélas !  dans toutes les sociétés.

      Il est toutefois évident que les femmes sont nettement plus exposées dans les sociétés où elles ne possèdent aucun droit et dans les communautés qui sont issues de ces sociétés.


    • Aristide Aristide 8 mai 2021 11:04

      @rosemar

      Mais enfin, les auteurs de féminicides ne sont pas dans leur majorité issus de l’immigration. Par exemple : l’affaire Daval.

      L’arithmétique peut venir à votre secours. La population immigrée représente en gros 10%, 9,9% plus exactement, il est assez simple de comprendre qu’il faut tenir compte de ce ratio pour évaluer la criminalité en fonction de l’origine.

      La majorité n’est pas la bonne mesure, il faudrait savoir si le pourcentage de féminicides perpétrés par des immigrés est supérieur à 10%. 


    • quijote 8 mai 2021 12:42

      @rosemar

      C’est parce qu’on déjà nos tarés français, et dans tous les domaines, que nous ne devons pas laisser en plus venir ceux du tiers-monde.


    • Flash 8 mai 2021 16:35

      @rosemar
      Ah ! parce que l’affaire Daval, sur laquelle les mass média qui ne sont pas des organes d’information mais des organes de propagande ont braqué les projecteurs, est emblématique des assassinats de femmes par leur conjoint ?


    • marmor 8 mai 2021 18:36

      @Aristide
      10% ? vos stats datent d’au moins 20 ans !!! Pourquoi croyez vous que les statistiques ethniques sont interdites ?
      Des fuites ayant eu lieu aux services sociaux et état civil du 13, 60% de la population marseillaise serait d’origine d’afrique du nord et sub saharienne 


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 7 mai 2021 20:05

    Le patriar-k la belle affaire et vous avez la prétention de vous dire enseignante.Juste Une beaufe .....

    Avec orgueil et démesure le dictateur Macron a conduit les festivités Napoléoniennes ....Et les Franc-macs étaient tous présents !
    Que je sache le code Napoléon que j’ai dans ma petite biblio , définit comme l’homme responsable de la famille .

    Donc vous pourrez constater que les hommes lambda n’ont rien demandé mais l’empereur a imposé ses volontés .
    Et cela ne date pas d’hier , quant au Mounir bidule-machin-truc-chose lui c’est le coran .

    Je suis stupéfait que votre article aussi idiot que cela, puisse être en lecture public .....C’est Carrément de la propagande ...



    • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 8 mai 2021 06:06

      @SPQR Sono Pazzi Questi Romani

      Le bonhomme Mounir était en prison , pour quelle raison ?

      Peut être que la femme a parlé ?
      Peut être que la femme n’a pas été très sage , pendant l’absence de Mounir ?
      Ou peut être que Mounir c’est fait manipuler par une bande ou un frère ?

      Le coran n’est pas féministe  !
      La prison est le lieu de toutes les influences venant de la police et de l’extérieure ?

      Roseyenamar ????


  • Tesseract Tesseract 7 mai 2021 20:35

    Brûler, lapider, défigurer à l’acide...

    Où est le problème ? Rien de plus normal pour un bon islamopitèque...

    Sa femme voulait vivre à l’occidentale ! Vous n’y pensez pas !

     smiley


  • phan 7 mai 2021 20:52

    Quel patriarcat a tué la fonctionnaire de police à Rambouillet  ?


  • Albert123 7 mai 2021 22:37

    un détraqué tue sa femme

    les détraqués fustigent le « patriarcat »

    « ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines »

    le grand ménage ... vite !!!


  • McGurk McGurk 8 mai 2021 07:06

    Pourquoi et toujours cette idéologie mortifère du « patriarcat » ?

    Quel rapport avec les hommes, à part vouloir nous salir encore une fois ?

    Alors parce qu’un débile profond fait n’importe quoi on condamne tout le monde ?

    Et les femmes et leur pouvoir bien connu de nuisance ? Et les délits psychiques qu’elles savent parfaitement occasionner, pourquoi les féministes acharnées à tuer les hommes comme Rosemary n’en parlent jamais ?

    ’va falloir leur rappeler à toutes que porter un enfant est certes une épreuve mais que nous sommes là aussi pour les aider et qu’ensuite aussi.

    Que nous n’assumons pas les mêmes rôles bien que nous le joyons également. La « différence des sexes » détermine souvent les tâches, bien que nous puissions aussi sortir, très souvent, des classiques.


    • berry 8 mai 2021 09:51

      @McGurk
      Le féminisme fait partie du jeu machiavélique des mondialistes, diviser pour régner en profitant des antagonismes et en les créant de toutes pièces si besoin. Le but final est d’abattre la majorité blanche et chrétienne.
      https://www.youtube.com/watch?v=-MoxjNLp5y8

      La gauche est tombée dans le panneau, elle a été détournée idéologiquement depuis longtemps par ces escrocs. Toutes ses actions ne visent plus qu’à diviser et affaiblir les sociétés occidentales (féminisme, LGBT, immigration, discrimination positive, repentance, ouverture des frontières...), au lieu de défendre l’intérêt général et le pouvoir d’achat des travailleurs.


    • McGurk McGurk 8 mai 2021 12:43

      @berry

      Oui. C’est bien pour ça que je ne suis pas près de voter pour qui que ce soit. Plutôt crever.


  • La fonction paternelle ayant disparu, les hommes sont très fragilisés et craignent avant tout d’être castrés ou dévirilisés. Les Contes de fée à la Disney ont fait beaucoup de tort aux femmes. Un jour mon Prince « charmant » viendra. Ce Prince charmant est une vision peut-être féminine, mais pas du tout masculine. Un Prince charmant... Pourquoi pas un «  »mignon« comme sous Henry III ? Le paradoxe c’est qu’en réalité les femmes en général ne sont pas du tout attirées par les hommes trop gentils et efféminés. L’absence de père va générer de plus en plus de pervers narcissiques, d’hommes agressifs, violents. La prise de pouvoir par les femmes est perçu par eux comme une atteinte à leur »identité« de mâle. Comme en plus cette société »phallico narcissique« (surtout à cause des femmes qui veulent ressembler aux hommes) valorise tout ce qui paraît un signe de force, il est à craindre que la violence ira en s’amplifiant. J’ai eu cette chance exceptionnelle d’être entourée d’hommes qui ne se sentaient pas du touché dans leur virilité par la présence d’une pensée plus féminine. Les seuls couples capables de tenir : la femme qui a intégré sont »masculin« intérieur » et l’homme son féminin. Tout en gardant à l’extérieur les caractéristiques propres à leur genre....


  • Le retour des hommes au foyer maternant et le femme qui « assume » pour moi augurait d’une CATASTROPHE. Le rôle de l’homme n’est pas d’être dans l’amour. Comme on dit que Dieu doit être amour (vision très « catholique »).Non le rôle de l’homme est d’être celui qui représente l’« INTERDIT » de jouissance prolongée de la mère. Il est de loin préférable d’avoir un Dieu qui incarne la fonction de justice que d’amour. Qui sépare le bon grain de l’ivaie. en un mot : qui SEPARE. Malheureusement la religion chrétienne et maternante est dans le pardon... Non qu’il ne faille pardonner, mais surtout à soi-même. Celui qui est dans le mal doit être écarté. Et c’est le rôle des hommes. Ne leur reprochez pas trop de n’être pas dans l’Amour. Les femmes le sont déjà assez comme cela et leur « empathie maternelle » les fait tomber dans les bras de "méchants psychopathes qu’elles espère guérir.. ERREUR...


  • Prenons l’exemple du modèle de famille musulman. De l’extérieur cela ressemble à un patriarcat. Mais les ayant cêtoyé par mon travail, c’est exactement l’inverse. sous leur Burqua, ce sont les femmes qui dominent. Les maris sont très lâches et ne prennent jamais position par rapport à leur femme. Fondamentalement par rapoort à la mère, ils restent de petits garçon castré incapable de dire : NON. Cette violence qu’ils n’assument aps dans leur foyer, ils la retourne vers l’extérieur : délinquance, et autre.... C’est l’inverse de la perversion narcissique propre à l’Occident. Les hommes on l’air si agréables à vivre, si gentils dans leur travail, mais se venge sur la femme ou le couple. Souvent d’une manière très insidieuse (trahisons diverses, enfermement, chantage). Oh mais il avait l’air SI GENTIL,...


  • julius 1ER 8 mai 2021 08:52

    On ne peut pas laisser perdurer de telles situations : la violence des hommes est inadmissible.

    @Rosemar,

    tu es bcp trop partielle dans ton jugement ... pourquoi les hommes uniquement ???

    à Birmingham un fait divers relaté récemment, une femme a assassiné sa coloc et l’a découpé en morceaux sous prétexte qu’elle lui avait dit qu’elle l’aimait ...sic

    c’est la police qui a trouvé la femme portant 2 valises dans une carrière en dehors du couvre-feu ... totalement par hasard sinon le crime aurait pu rester impuni car l’assassine continuait à alimenter les réseaux avec le téléphone de la victime !!!

    Rosemar il y a 5% de psychopathes dans la société et c’est une constance... et le musée des horreurs ne change rien avec ce fait temporel !!!!

    il faut juste apprendre à vivre avec, n’oublies pas qu’à l’échelle du temps l’être humain est à peine sorti de sa caverne !!!!!!!!!


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 09:35

      Bonjour, julius 1ER

      Oui et comme je l’ai rappelé plus haut, 7 % des crimes conjugaux sont le fait de femmes sur leur conjoint ou leur compagnon. 

      Certes, l’homme est naturellement plus violent, et probablement moins capable de maîtriser ses pulsions, mais cela n’a rien à voir avec le « patriarcat ».

      Rosemar a raison de dénoncer les « féminicides », pas de mettre en cause un « patriarcat » d’ailleurs très largement dépassé dans la plupart des composantes de la société.


    • Albert123 8 mai 2021 10:15

      @Fergus

      « l’homme est naturellement plus violent »

      Même pas en fait, c’est juste que les femmes n’ayant pas autant de force physique elle font l’usage d’une violence bien moins reconnue mais pourtant tout aussi destructrice, 

      et une fois cette forme de violence comptabilisée, on s’aperçoit en fait que les hommes sont statistiquement bien moins agressifs que les femmes qui une fois arrivées au pouvoir s’avèrent être bien plus belliqueuses également.

      Ne pas avoir fait le lien entre féminisation de la société et accroissement de la violence au sein de celle ci est une erreur, le patriarcat à bon dos mais il s’agit encore d’une inversion accusatoire propre à la gauchisation des esprits.

      derrière bon nombre d’agressions physiques réalisées par des hommes se cache une agression psychique réalisée au préalable par une femme.

      Le jour où ceci sera pris en compte et sanctionné au même titre que la violence physique vous verrez la violence de nos sociétés diminuer.

      dans le cas contraire mesdames vous finirez toutes en mode burka grillagé, car ce n’est pas l’état de droit défiguré qui l’empéchera


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 11:11

      @ Albert123

      Je parlais évidemment de violence physique car pour ce qui est de la violence psychique, les femmes sont probablement les égales des hommes.

      « les femmes qui une fois arrivées au pouvoir s’avèrent être bien plus belliqueuses également »

      Je ne crois pas que cela soit démontré, ni en politique ni dans les milieux d’affaires. La réalité est que dans ces milieux de pouvoir, les femmes sont de facto contraintes d’être aussi dures que les hommes si elles veulent s’imposer. Ce sont en fait les mécanismes d’accession au pouvoir et de maintien aux commandes qui induisent les comportements, pas le sexe.


    • Ben Schott 8 mai 2021 11:19

      @Fergus
       
      « Oui et comme je l’ai rappelé plus haut, 7 % des crimes conjugaux sont le fait de femmes sur leur conjoint ou leur compagnon. »
       
      Un autre rappel : 70 % des meurtres d’enfants sont commis par des femmes.
       


  • Bendidon ... bienvenue au big CIRCUS Bendidon 8 mai 2021 09:58

    Ah ROSE les zommes quand maime :

    C’est un gars qui va au poste de police déclarer que sa femme a disparu :

    Le gars : Ma femme est partie faire les boutiques et elle n’est pas revenue depuis deux jours.
    Policier  : Combien mesure-t-elle ?

    Le gars : Je ne lui ai jamais demandé.

    Policier  : Maigre ou grosse ?

    Le gars : Pas maigre, elle est peut-être grosse.

    Policier  : Couleur des yeux ?

    Le gars : Je ne pourrais pas vous dire.

    Policier  : Couleur des cheveux ?

    Le gars : Je ne sais plus, elle change chaque mois.

    Policier  : Qu’est-ce qu’elle portait ?

    Le gars : Une robe ou un pantalon... me rappelle plus exactement.

    Policier  : Était-elle en voiture ?

    Le gars : Oui

    Policier  : Description de la voiture, s’il vous plaît. 

    Le gars : Une Audi RS4 V6 Bi-Turbo de 2,7 litres et 380 cv, couleur bleu Nogaro, avec une transmission Tiptronic semi-automatique à 6 rapports, rétroviseurs extérieurs brossés aluminium, phares à LED à faisceau matriciel, GPS intégré, sièges baquets en cuir signée Recaro et une légère égratignure sur la porte du conducteur.

    Et alors là, le gars se met à pleurer…

    Policier  : On se calme, on va la retrouver, votre voiture… !

     smiley


  • Loatse Loatse 8 mai 2021 09:58

    Bonjour rosemar,

    On retrouve la même problématique à la base de toute violence. Le fait est que bien que ce fait divers soit horrible, il n’en existe pas moins d’autres formes de violences (dans le couple, dans les entreprises etc...) qui sont tout aussi destructrices bien que moins spectaculaire dans leur forme d’expression.

    Quand les émotions dominent (la peur de perdre, la souffrance inhérente à celle ci, le sentiment d’échec) la tentation peut être forte de faire disparaître celui ou celle que l’on pense être la source de cette souffrance, percu comme l’ennemi. La personne n’est plus alors maître d’elle même, c’est l’ego qui domine, qui prend les commandes et la conscience qui se retrouve de facto aux abonnés absents.. (exit donc l’empathie, le recul qui empêcherait le passage à l’acte)

    Il est tout aussi difficile de se libérer des shemas repétitif (une femme qui enfant a vécu dans un milieu violent, sera plus encline à être attirée inconsciemment par un partenaire qui se montrera violent..(lui même egalement conditionné par son milieu familial/culturel)

    Une sorte de cercle vicieux


    • @Loatse Merci, un commentaire réfléchi. L’origine de la violence est toujours a rechercher dans les climats incestueux et fusionnels (famille Trintignant, leur fille Marie était hyper-protégée, Elle avait clairement une relation incestuelle avec son père, son seul amour. Pour vivre ensemble, il faut au préalable apprendre à vivre seul avec soi. Pour rencontrer l’autre, il faut d’abord construire des portes et pour construire une porte, il faut un mur. Raison pour laquelle la mondialisation nous entraîne droit vers la violence. Réflexion au passage : on ne voit jamais de femmes sur des chantiers de construction.... Heureusement que leur testostérone leur permet d’affronter des métiers dangereux...


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 11:18

      Bonjour, Loatse

      Vous oubliez la jalousie. De nombreux crimes sur conjoint sont motivés par l’exacerbation de ce sentiment.


    • Aristide Aristide 8 mai 2021 12:12

      @Fergus

      Loatse a raison, c’est une vision de soi dégradée souvent complétée d’une situation économique désastreuse qui provoque cette violence.  2/3 des passages à l’acte qui entrainent la mort sont le fait de personnes en situation économique très précaire : chômage, déclassement, emprisonnement, ...

      Le conjoint est la victime expiatoire de la propre déchéance de l’auteur, à partir de là, le moindre acte de l’autre est perçu comme une agression : demande de divorce, séparation, garde enfants, tromperie, ... 

      Souvent d’ailleurs, comme le disent de nombreux avocats, les auteurs se trouvent mieux après leur crime, ils n’ont plus en face d’eux le reflet de leur propre déchéance.


    • Loatse Loatse 8 mai 2021 12:14

      Bonjour Fergus,

      oui vous faites bien de mentionner la jalousie 

      Ne peut il y avoir là bénéfices de circonstances attenuantes lorsque le crime est qualifié de passionnel ?

      et dans ce cas là, pour démontrer la preuve que l’accusé n’était pas (et c’est une hypothèse) en proie à cette émotion, ca risque d’être coton...

      m’enfin tout ceci ne ramenera pas la pauvre femme à ses enfants !

       


    • Fergus Fergus 8 mai 2021 13:37

      Bonjour, Aristide

      Je n’ai pas contesté le commentaire  très pertinent  de Loatse, je l’ai seulement complété sur un aspect fréquent des « féminicides »

      Cela dit, je trouve également votre analyse très juste pour un grand nombre de cas


  • Gaulois gaulliste Gaulois gaulliste 8 mai 2021 10:26

    Les femmes battues n’avaient qu’à mieux choisir leurs conjoints.

    Idem pour les hommes se faisant plumer...


    • Gaulois gaulliste Gaulois gaulliste 8 mai 2021 10:33

      @Gaulois gaulliste
      Et vice et versa, car oui, les hommes battus cela existe aussi et ce n’est certainement pas la faute du patriarcat ou du matriarcat ! 

      Pauvre monde de fous dirigé par la vénalité, l’apparence et l’ignorance.


  • Loatse Loatse 8 mai 2021 10:42

    « Pour vivre ensemble, il faut au préalable apprendre à vivre seul avec soi. »

    Tout à fait, conditionner son bonheur à ce que l’autre peut (ou doit, ce qui revient au même) vous apporter est toujours à plus ou moins long terme source de déception et donc de souffrance. 


    • @Loatse Ben oui, apprendre à se connaître. autrement la realtio n’est qu’un rapport de projection. Tu es méchant, non c’est oi qui est méchant,..et ainsi de suite.. pour finir cela forme une bombe..J’ai le cas dans mon entourage. Une femme avec un mari à tendance violente ou plutôt du genre : je couche avec qui me plaît. On est de gauche et autre formes dénigrements La femme française un jour à bout ne pesant plus que la peau sur les os vient vivre en Belgique où seule, elle se refait. etudie, travaille s’assume. Mais avec cinq enfants elle garde malgré tout le contact avec le « mari ». Les étés se passent à Toulon. elle de me téléphoner : tu sais ce qu’il a osé faire,..bla bla bla. Cette fois je diviorce. Longues allers et retours. Elle fint par acter la sépartion. Et depuis que M ; a OSE prendre ses marques, son mari a complètement changé d’attitude (peur de l’abandon sous-jacent) : doux et gentil comme un agneau..mais tu sais que tu as toujours été la seule. Bon c’est un milieu intello. Ils discutent..et lui va semble-t-il réellement voir un psy..


  • S.B. S.B. 8 mai 2021 11:07

    Les femmes en France sont sacrifiées sur l’autel de l’immigration.

    Cela va des injures sexuelles et du harcèlement violent dans la rue, en passant par une interdiction tacite ou explicite de vivre librement, chose profondément rejetée culturellement, jusqu’à ce fait divers. 

    C’est aussi simple, et tragique, que ça.


  • L’homme est plus violent. Pas du tout. Il est plus dans l’extériorité et la femme dans l’intériorité. Et comme on a appris au femmes d’être bien sage : Comtesse de Ségur : la violence se concentre, se prépare, se réfléchit (la vengeance est un plat qui se mange froid,...) : Les soeurs PAPINS...


  • macchia 8 mai 2021 12:01

    L’expèrience nous dit que les mesures de prévention actuelles ne sont pas efficaces.

    La seule valable est l’enfermement, comme pours les bêtes sauvages, les psy devraient pouvoir comprendre quand il faut le faire


  • popov 8 mai 2021 12:20

    @rosemar

    Cet horrible meurtre est le fait d’un individu récidiviste appelé Mounir et qui l’a tuée « parce qu’elle voulait vivre comme un Française ».

    Si vous voulez mettre ce crime sur le compte du patriarcat, il serait juste de mettre un nom sur ce patriarcat.


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