mardi 1er décembre 2020 - par republicain

Les Labos avouent les limites de leurs vaccins : Faut-il envisager sérieusement la préférence à donner à des traitements ?

LES LABOS AVOUENT LES LIMITES DE LEURS VACCINS : LE TRAITEMENT SEULE ALTERNATIVE ?

 

  • Le Dr Sandra Fryhofer a déclaré que les vaccins Covid-19 de Pfizer et Moderna nécessitent deux doses et elle se demande si ses patients reviendront pour une deuxième dose en raison d’effets secondaires potentiellement désagréables après le premier coup.
  • Les deux sociétés ont reconnu que leurs vaccins pouvaient induire des effets secondaires similaires aux symptômes associés au Covid-19 (en dehors des cas necessitant une hospitalisation) , tels que des douleurs musculaires, des frissons ,des maux de tête et une forte fièvre.
  • ASTRA ZENECA avoue que son vaccin n’a été efficace que pour les moins de 55 ans.

PFIZER : des congélateurs spécifiques nécessaires, vaccination à la Bachelot dans des gymnases ; Moderna : possible en officine avec des frigos

Et c’est sur ce dernier point que Moderna se démarque de Pfizer. Ce dernier nécessite -70°C, une température bien plus basse que les congélateurs standards, et qui a forcé le groupe à développer des containers spécifiques, remplis de glace sèche, pour expédier les doses. 

Alors que celui de Moderna est conservé à -20°C, ce qui nécessitera le maintien de la chaîne du froid de l’usine jusqu’aux pharmacies. Ensuite, ce vaccin, qui se fait en deux injections séparées de quatre semaines, pourra être stocké décongelé dans un réfrigérateur (2 à 8°C) pendant 30 jours. On ignore encore la durée de la protection conférée par le vaccin, ce que seul le temps révélera.

POUR LES DEUX/ DES EFFETS SECONDAIRES COLOSSAUX

Alors que les États-Unis se préparent à distribuer les vaccins contre le coronavirus à partir de décembre, des médecins alertent sur les « effets secondaires difficiles ». Ils réclament que les responsables de la santé publique et les fabricants de médicaments avertissent le public afin qu’il sache à quoi s’attendre et ne craigne pas la deuxième dose.

Lors d’une réunion avec les conseillers des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies américains, le docteure Sandra Fryhofer s’est interrogée : ses patients reviendront-ils pour la deuxième dose du vaccin s’ils observent des effets secondaires difficiles ? Dans tous les cas, « nous devons vraiment sensibiliser au fait qu’il ne s’agira pas d’une promenade au parc », a-t-elle déclaré. Ses propos ont été rapportés par la chaîne américaine CNBS.

Des participants aux essais des vaccins de Moderna et Pfizer avaient témoigné de leur expérience en septembre dernier. Après avoir reçu l’injection, ils ont ressenti une fièvre élevée, des courbatures, des maux de tête, de l’épuisement et d’autres symptômes désagréables.

ASTRA ZENECA/ FACILE DE VACCINER MAIS PAS EFFICACE POUR LES PLUS DE 50 ANS

Le vaccin élaboré par le groupe pharmaceutique AstraZeneca et l’université d’Oxford fait maintenant l’objet de nombreux questionnements de la part des experts. Il s’est avéré qu’il n’a bien fonctionné qu’auprès des groupes de participants les moins âgés, a rapporté le Mirror le 26 novembre.

Suite aux premiers essais cliniques, les fabricants ont reconnu une erreur majeure dans le dosage du vaccin reçu par certains participants à l’étude, ce qui a engendré une efficacité de 70% seulement. En fait, le produit a affiché de meilleurs résultats à faible dose (90%) qu’avec deux doses complètes (62%).Or, le Mirror a révélé de nouveaux détails : les participants du groupe le plus restreint (moins de 3.000 personnes sur 24.000), qui a reçu une petite dose et a enregistré un taux d’efficacité de 90%, avaient tous moins de 55 ans.

Il est maintenant à redouter que ce soit l’âge des participants qui ait fait paraître le vaccin plus efficace. Car les vaccins déclenchent généralement une réponse immunitaire moins puissante chez les personnes âgées, alors que ce groupe est le plus susceptible de développer des formes sévères du Covid-19 et a le plus besoin d’être vacciné, précise le quotidien britannique.

En outre, les problèmes liés au vaccin AstraZeneca pourraient retarder de plusieurs mois la vaccination de la population britannique et faire grimper les coûts de plusieurs centaines de millions de livres, calcule le Mirror.

Les fabricants du vaccin russe Spoutnik V, efficace à 95%, ont proposé au laboratoire britannique de combiner leurs deux vaccins pour en augmenter l’efficacité.

https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/coronavirus-en-quoi-les-vaccins-de-moderna-et-pfizer-sont-ils-differents-7800923641

https://www.20minutes.fr/sante/2918891-20201127-coronavirus-nouvel-essai-clinique-necessaire-effets-secondaires-faut-douter-vaccins-anti-covid

https://www.cnbc.com/2020/11/23/covid-vaccine-cdc-should-warn-people-the-side-effects-from-shots-wont-be-walk-in-the-park-.html

LES TRAITEMENTS ACTUELS/ MOINS CHERS, CONNUS, SANS DANGER ET PLUS FIABLES

Les informations suivantes proviennent de revues scientifiques, pas de Liberation ou du Monde, elles peuvent donc être vraies :

https://www.news-medical.net/news/20201201/Study-Chloroquinehydroxychloroquine-could-treat-COVID-19-infection.aspx

La plupart des travaux publiés indiquent que la CQ / HCQ est probablement efficace contre l’infection Covid19, presque 100% en prophylaxie et les cas de gravité légère à moyenne, et 60% dans les cas d’infection tardive.

Le pourcentage de travaux positifs est plus important si les travaux menés dans le cadre d’un conflit d’intérêts probable sont exclus de la liste.

Le résultat est conforme à l’analyse mise à jour fournie en ce qui suggère une efficacité élevée de CQ / HCQ dans les traitements précoces et une efficacité inférieure et des résultats controversés uniquement pour un traitement tardif.

Statistiquement, 100% des études de traitement précoce sont positives, les études de traitement tardives sont mélangées à 70% d’effets positifs, 78% des études de prophylaxie pré-exposition sont positives et 100% des études de prophylaxie post-exposition rapportent également des effets positifs.

https://pgibertie.com/2020/12/01/les-residents-dun-ehpad-de-seine-et-marne-sauves-de-la-covid-par-une-epidemie-de-gale/

L’âge, facteur principal de la COVID-19 sévère/mortelle, explique que les résidents des EHPAD, âgés et/ou comorbides, soient à risque. L’ivermectine (IVM), anti-parasitaire, a montré une activité antivirale anti-SARS-CoV-2 in vitro (étude australienne). La moxidectine (MOX) pourrait aussi être intéressante (demi-vie longue). Lors d’une épidémie de gale en EHPAD où les résidents ont reçu de l’IVM orale, nous rapportons son impact sur la Covid-19 survenue en parallèle.

https://pgibertie.com/2020/11/27/le-plus-grand-medecin-du-monde-nous-offre-la-tritherapie-qui-permet-de-guerir-a-100-du-covid-2/

Sur la base des recherches existantes et de son analyse des résultats thérapeutiques utilisant une trithérapie de médicaments, il dit que le COVID-19 pourrait être traité en 6 à 10 jours, le virus disparaissant chez les personnes infectées. Des essais cliniques sur ce traitement ont été réalisés dans plusieurs pays, dont le Bangladesh et la Chine. En Chine, la bithérapie innommable (bien qu’utilisée légalement à l’IHU azithromycine et hydroxychloroquine) serait efficace à 96,3%, et la trithérapie ajoutant l’Ivermectine (approuvée par la FDA) à 100% .

 Il peut être utilisé en combinaison avec le zinc et l’antibiotique Doxycycline pour tuer le COVID-19.

  • SIGNEZ LA PETITION

https://www.mesopinions.com/petition/sante/cessez-emmerder-francais-soignez-appliquons-tritherapie/100692

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Signez la pétition, nous sommes déjà 210 000 !



17 réactions


  • sophie 1er décembre 2020 18:25

    Pas de panique, le vaccin on a les factures mais pas encore les fractures, il faut d’abord qu’il existe ETTTTT que son efficacité soit démontrée, de plus il faut que celui ci soit stocké à -70 


    • Francis, agnotologue Francis 2 décembre 2020 10:02

      @sophie
       
       ’’Pas de panique, le vaccin on a les factures mais pas encore les fractures, il faut d’abord qu’il existe ETTTTT que son efficacité soit démontrée, de plus il faut que celui ci soit stocké à -70 ’’
      -> qu’il ne soit pas cause d’effets secondaires désastreux.
       
      En outre il existe des traitements préventifs et des parades efficaces.
       
      Je me souviens qu’un jour, suite à un accident de mobylette, on m’avait injecté une dose de « vaccin » anti-tétanos (ou nique ?) dans la peau du ventre. J’ai passé un sale quart d’heure dont je me souviens encore 60 ans après. Et je me suis souvent demandé : pourquoi vacciner tout le monde, si on peut injecter ce traitement seulement sur les personnes à risque, avant que la maladie ne fasse des ravages ?
       
      De la même façon on raconte partout que Pasteur aurait sauvé un enfant mordu par un chien enragé en lui injectant son traitement.
       
      Un vaccin de nos jours c’est associé à une piqûre sur des personnes pas malades.
       
      Pourquoi, comment a-t-on remplacé un geste médical ciblée, par une pratique industrielle aveugle ? Car avant tout, la vaccination est devenue une affaire industrielle ?
       


    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 2 décembre 2020 13:26

      @Francis

      Salut, ah Pasteur encore un faussaire non ? Tous les travaux que Pasteur s’attribua sans vergogne, furent en fait “copiés” sur d’autres scientifiques. La seule vraie découverte de Pasteur et dont personne ne parle jamais, c’est la serviette en papier jetable pour s’essuyer les mains. Pasteur était paranoïaque, il voyait des microbes partout, et il pensait, fort justement, qu’en s’essuyant deux fois les mains dans la même serviette on avait toujours les mains sales.https://www.geopolintel.fr/article2258.html


  • I.A. 1er décembre 2020 19:24

    Oui, bien sûr, et c’est ce que tout le monde dit depuis une éternité maintenant.

    Idem pour la pétition : sur le site d’Agoravox, tous les convaincus l’ont déjà signée depuis...

    Mais c’est bien de rappeler tout ça, en particulier le bricolage vaccinal à l’œuvre...


  • Adèle Coupechoux 1er décembre 2020 21:09

    Tout sera fait pour rendre le vaccin obligatoire. Son prix est bien plus élevé que le traitement proposé par Raoult.


  • ETTORE ETTORE 2 décembre 2020 00:18

    Quand je pense qu’on nous inonde de communication pour tout ce qui est bon ou pas pour notre santé, avec des nutri-scores, des appellation bio, en veux tu en voilà, des ferments lactiques qui doivent nous rendre au seuil de l’immortalité de la faune intestinale, des règles d’achat de proximité......

    Et là..... Un vaccin.....ET RIEN ! Circulez y a rien à comprendre !

    (vu comme cela, c’est vrai que cela ressemble à la dent plombée au cyanure)

    C’est qui l’agence de com de ce gouvernement ?

    Franchement c’est d’un lamentable ! Mais d’un lamentable !


  • HELIOS HELIOS 2 décembre 2020 01:14

    .... moi, pour l’instant, si je chope ce truc... si, si... j’irai a l’IHU (c’est pas loin) et je demanderai au bon docteur Raoult la recette de ses soins à la chloroquine. 

    Il doit me rester du Plaquemil dans un coin, c’est le genre de truc qui ne perime pas vite, 10 ans apres c’est encore bon. Il me refilera de l’Azythromycine et probablement du zinc, ... et sur celui-ci j’y poserai mon petit ballon de moscatel (muscat) blanc, en attendant que ça passe.

    Les vaccins où le protocole change en cours de route, où le double aveugle regarde par le trou de la serrure et où l’on laisse jouer un schtroumpf tout bleu au génie génétique.., tres peu pour moi.

    Allez, zou, je vous laisse pour ce soir, bonne nuit à tous.


  • zygzornifle zygzornifle 2 décembre 2020 09:42

    elle se demande si ses patients reviendront pour une deuxième dose en raison d’effets secondaires potentiellement désagréables après le premier coup.

    Paralysie des membres inférieurs, c’est con de ramper pour aller prendre sa seconde dose qui paralysera ceux du dessus ... 


  • ETTORE ETTORE 2 décembre 2020 13:24
    zygzornifle 2 décembre 09:42

    elle se demande si ses patients reviendront pour une deuxième dose en raison d’effets secondaires potentiellement désagréables après le premier coup.

    Paralysie des membres inférieurs, c’est con de ramper pour aller prendre sa seconde dose qui paralysera ceux du dessus ... 

    _______________________________________________________________

    Bah ! le massacre continue, c’est une belle feuille de route, pardi !....

    Tout d’abord défigurer les gens, les éborgner, et (option, mais pas trop) les trucider.

    Après, paralysie des membres inférieurs, puis ceux du dessus.

    Comme ça, la France cul de jatte seras bien plus agréable à regarder depuis le trône Elyséen. Plus de manifs d’agités, plus de pancartes agitées....

    Souci....Malgré les dents cassés, et les couilles au sol, les français continuent à avoir une grande gueule !

    Un appel d’offre est lancé, auprès des conseillers du Monarc, pour que ses oreilles soient rafraichies.


  • Réago 2 décembre 2020 15:20

    Christian PERRONNE : « Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. » https://laveritesansmasque.blogspot.com/2020/12/message-du-pr-christian-perronne-sur.html

    Donc je ne me ferais pas partie des cobayes. Pour la prophylaxie, il vaudrait mieux la faire avec la vitamine D comme proposé par le virologue Marc Wathelet (et je ne parlerais pas encore une fois du traitement précoce saboté par ceux qui veulent nous inoculer le vaccin) :

    https://www.lalibre.be/debats/opinions/monsieur-le-ministre-un-traitement-et-une-prevention-efficaces-sont-disponibles-contre-le-covid-19-5fb291889978e20e7059d651


    • leypanou 2 décembre 2020 15:40

      @Réago
      Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ?  : personne ne les a obligés à se faire vacciner, tant pis pour eux.
      C’est à cause de crétins pareils que n’importe quoi est imposé aux autres.


    • Ruut Ruut 2 décembre 2020 16:23

      @leypanou
      Après les asymptomatiques, les porteurs saints, nous auront les vaccinés producteurs et diffuseur du virus ...
      Ah le progrès.....


    • Francis, agnotologue Francis 3 décembre 2020 08:00

      @Ruut
       
       depuis longtemps j’évite les contacts rapprochés avec les personnes récemment vaccinées contre la grippe. Je ne sais pas si cette peur est rationnelle, mais je suis sûr qu’elle ne l’est pas moins que le recours à ces horribles morceaux de PQ qui cachent toutes les tronches qu’on croise dehors.


  • HELIOS HELIOS 6 décembre 2020 10:56

    Puisque l’article est revenu...

    Pourquoi ne développe-t-on pas simultanément un traitement ?

    A mon avis, c’est tres simple... d’abord divisons la maladie en deux... la partie virale (1) qui est exterieure et la partie interieure autoimune (2) qui est la réaction du corps.

    (1) La partie virale est difficile certes, mais il existe déjà des molecules plus ou moins efficaces. avec la règle du 80/20 acquerir une efficacité de 80 % c’est déjà fait et cela a couté 20%. il faudra dépenser 80 pour combler ces 20% d’efficacité.

    Au prix où est vendu — par exemple— la Chloroquine personne ne va travailler pour faire un substitut ou une simple amélioration.

    Gilead a bien essayé avec le Remdesivir, médicament visant le virus Ebola, mais cela a déjà couté cher et les populations concernées etant essentiellement pauvres n’ont pu le rentabiliser. L’Europe a payé en achetant pour presque 1 Milliard d’Euros sachant tres bien que cela ne servait a rien, mais a « remboursé » la recherche.

    Le coup ne se repetera surement pas.

    (2) La partie auto-imune de la maladie est plus liée a un protocole qu’a un traitement.

    Effectivement, il y a des antibiotiques-antinflamatoires, pacifiant mais les attaques globales sur le corps, notament nerveuses s’averent plus ciblées sur des populations « inutiles et couteuses » que sur des populations productives. C’est a partir de 65 ans (pourquoi 65 exactement ? c’est juste l’age de la retraite caclulée car il n’y a aucune raison medicale a ce seuil)... donc les couts de developpement et d’usage de ces solutions sont tres chères puisque les etats freinent le plus fort possible pour maitriser les coûts de la santé.

    Pourquoi toujours, parce que les coûts de santé se reportent sur l’actualisation financière d’un pays surtout lorsque il n’y a pas de rapport financier direct avec la santé (assurances privées par exemple).

    Et n’oublions pas, toujours, que ce ne sont pas les pays « pauvres » qui vont financer grace a leur population insolvable.

    Alors, tout cela se rajoute a un autre phenomène expliqué par ailleurs, que vous ne pouvez pas approuver/croire, c’est la soumission, où l’existence d’un traitement viendrait donner de l’espoir.

    L’existence d’un traitement rentre en conflit direct avec un eventuel vaccin et les entrepreneurs-financiers-etc ont fait un choix d’efficacité industrielle donnant ainsi la primauté au vaccin.

    Vous et moi, ne sommes que de la chair a canon (avant quand c’etait la guerre), maintenant la chair a médicament.

    Et apres tout cela, je ne parle pas de l’interet politico-social dont j’ai un peu de mal a analyser la situation globale (un peu, j’ai écrit, pas « rien ») !

    Bon dimanche


  • BA 6 décembre 2020 12:08

    L’INSEE écrit : « Au total, entre le 1ᵉʳ mars et le 23 novembre 2020, 478 874 décès ont eu lieu en France en 2020, soit 11 % de plus qu’en 2019 ou 2018 (+ 49 000 décès par rapport à 2019, et + 46 000 par rapport à 2018). »


    Le graphique ci-dessous montre le nombre de morts en 2003, en 2015, 2016, 2017, 2018, 2019. Pour le nombre de morts en 2020, c’est la courbe rouge. C’est un graphique sur le nombre de décès en France, quelle que soit la cause de la mort.


    « Décès quotidiens en 2020 comparés aux cinq dernières années (2015-2019) et à la canicule de 2003 » :


    https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854


  • zygzornifle zygzornifle 6 décembre 2020 12:51

    Pour éviter les effets indésirables du vaccin je veux que l’on me vaccine une fois mort ....


  • Emohtaryp Emohtaryp 6 décembre 2020 14:01

    https://2020news.de/fr/les-docteurs-wodarg-et-yeadon-demandent-larret-de-toutes-les-etudes-sur-la-vaccination-contre-la-corona-et-appellent-a-cosigner-la-petition/

    Le Dr Michael Yeadon, ancien chef du département de recherche sur les maladies respiratoires chez Pfizer, et le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue et ancien chef du département de santé publique, ont déposé le 1er décembre 2020 auprès de l’EMA, l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, une demande de suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin CoV-2 contre le SRAS, en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).


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