Mourir au champ d’horreur
Dans ces immenses plaines peuplées de croix blanches à l’infini où, des anonymes côtoient d’autres anonymes servant d’engrais aux éphémères coquelicots des étés successifs, s’affichent toute l’incompréhension et la stupidité du genre humain ainsi que son incapacité à la fraternité et à la non violence.
D’Afghanistan, de Lybie, d’Iraq, de Palestine, du Mali où quel que soit l’endroit du globe, une guerre n’est que boue faite de terre et de chair éclatée pourrissante pour les mouches et nourrissante pour les vers. Vous sentez et marchez dans la merde des corps éventrés et dont les défunts propriétaires, héros illusoires, ont déféqué de trouille dés les premiers assauts, résultat d’une révolte des entrailles commandée par la peur qui ignore les ordres d’un général. Ils pensaient se sacrifier pour de justes causes, mensonges assénés par des gourous assassins, faux prophètes, dirigeants corrompus qui les envoyaient à l’abattoir des champs de bataille pour assoir leurs pouvoirs et gonfler leurs richesses matérielles. De faire de cette manie de gagner de l’argent une obsession, ils font et alimentent la barbarie. Les soldats ne sont que des esclaves consentants, d’un parti capitaliste ou d’un parti révolutionnaire, ignorants leurs conditions d’esclave et qui, pour une médaille en fer blanc, un drapeau se hissant au son du clairon, un salut au claquement des talons ou un dieu sanguinaire, sont prêt à mourir pour une putain nommée nation ou religion ignorant que la seule et unique patrie des hommes, c’est la vie.
Certains sont fiers de cette violence et ils la revendiquent. De la minorité d’imbéciles aux testostérones en ébullition et aux neurones en perdition jusqu’aux stratèges hypocrites jouant à la guéguerre sur des cartes étalées aux murs d’un bureau bien chauffé à l’abri de l’horreur et de la mitraille. Ils se prennent pour des vedettes de cinéma sauvant le monde et leurs cerveaux congestionnés se repassent en boucle des films d’action pour attardés. Cela ne me surprend guère car en général la lâcheté est livrée avec la bêtise. Sachez le bien, des deux côtés, pas plus de vainqueurs que de vaincus mais une foule d’êtres humains parcourant, la fleur au fusil, son chemin de croix jusqu’aux chrysanthèmes.
La faucheuse se gausse, son travail est facilité par l’instinct guerrier des masses guidées et trompées par des egos assassins qu’ils ont choisis et assis sur des trônes. Sa faux tournoie et virevolte sur les troupeaux belliqueux et tranche les chairs sous des cris de douleur composant son hymne à la mort. C’est son heure de gloire, son apothéose à cette garce que lui offrent les hommes oubliant les lumières de la vie pour la noirceur des ténèbres.
Les guerres ravagent notre planète, les hommes massacrent femmes et enfants, leur folie est sans limite et le sang versé est toujours le mauvais témoin d’une cause. Ainsi s’écroule ce monde et devant la mort nous sommes tous comme ces petits enfants effrayés et fébriles attendant leur première entrée d’école. Après tout, à quoi bon s’en faire puisqu’elle rode et plane là, légère au dessus de mon épaule gauche comme un vautour posé sur un cactus isolé au milieu d’un désert mexicain. Elle m'accompagne et me surveille attendant son heure que je ferais mienne, et que bon gré malgré, vous aussi ferez votre.
Les tailleurs de pierre et les fabricants de stèle ont l’avenir radieux car les représentants de guerre travaillent d’arrache pieds pour remplir leurs carnets de commande et ils ont l’argument commercial alléchant. De la patrie à la nation, du drapeau à la religion, du courage pour la liberté aux martyrs des milles vierges, que de produits d’appel qui ont fait et font encore preuves d’une redoutable efficacité.
C’est par une froide journée d’automne qu’on ensevelira sous la terre et l’humus des feuilles en décomposition le corps mutilé des soldats inconnus et, après un prière récitée à un Dieu depuis longtemps sourd aux vociférations guerrières de ses créatures, on plantera une croix de marbre froid gravée d’une date de fin et dont l’absence de nom, sombrera dans un oubli immédiat.
Le glas des clocher couvrira le gémissement des mères, les larmes des veuves rempliront les bénitiers, leurs pleurs seront les cantiques résonnant dans la nef des églises aux odeurs de moisi et, les orphelins retourneront à l’école de la république ou l’institution leur apprendra que la guerre est le seul meurtre pour lequel on vous encourage et vous décore. Les survivants, meurtriers improvisés à jamais traumatisés auront le choix entre une vie de cauchemars et de remords, une place à l’asile ou un suicide libérateur. Les hôpitaux seront plein de gueules cassées et d’éclopés plus ou moins rafistolés. Les maisons de fous déborderont de paumés rongés par la démence. Voilà le tribut d’une guerre bien menée, la fabrique de candidat au suicide et à la folie.
Pour finir, les coupables iront fleurir les tombes de ces invisibles soldats au son d’une fanfare jouée par une poignée de rescapés d’un champ d’horreur et, à qui l’on fera croire que c’est un honneur que d’interpréter cette musique militaire glorifiant le sabre et gémissant sur le goupillon. Les chefs d’états des deux camps viendront vomir une gerbe fleurie au frais du contribuable et prononceront un texte écrit par des nègres à la gloire de leurs victimes dont ils se foutent éperdument. La posture de circonstance, le discours creux mais la voix vibrante, les larmes d’un caïman en immersion, que ne diraient ils pas, que ne feraient ils pas pour justifier la boucherie dont ils sont responsables. L’odieuse représentation terminée, ils iront s’empiffrer de mets raffinés et discuteront de la prochaine guerre à préparer autour d’une bouteille dont le nectar à la couleur du sang des innocents de leurs sales politiques.
La réflexion et la raison n’ont pas plus de place dans une caserne que sur un champ de bataille et celui qui s’en accommode ou s’en sort serait couvert de médaille, quelle ironie est ce là que de récompenser la bêtise ? Le courage du déserteur est bien supérieur à l’inconsciente ignorance d’un héroïsme guerrier et la seule mitraille que nous devrions entendre devrait concerner ceux qui planqués dans les ministères vous envoient à l’abattoir.
Alors, rescapé de l’horreur, que reste-t-il ? S’essayer au métier de mercenaire des âmes, d’éboueur chargé de vider les poubelles de l’humanité, traverser le temps en zigzaguant entre les intempéries des années qui se traînent au rythme de nos misères pour finir par se demander à quoi cette putain de vie peut bien servir. Conclure que, devant ces faits indéniables, le Nazaréen est mort pour rien et que la terre n’est plus qu’un crâne vide d’où, de ses deux orbites énucléées baignés de ténèbres s’écoule le chagrin des anges qui n’ont pu arrêter l’hécatombe.
Cette terre n'est qu'une des salles de l'immense laboratoire universel où, les êtres vivants doivent apprendre à peaufiner leurs esprits et grandir leurs âmes car, nous ne sommes que des éclats d’étoile enfermés temporairement dans des corps de matière éphémère dont nous attendons la libération pour continuer notre chemin vers l’éternité.
53 réactions
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howahkan Hotah 25 novembre 2014 09:48la naissance de la guerre est entre moi et moi avant tout.....il y a un moi illusoire et un moi factuel...ce qui nous reste de pensée analytique crée son propre monde idéal ,qui ne tiens aucun compte de ce qui est, du réel.....
il y a violence du conflit en moi avant tout...puis ceci se repends partout mais pourquoi donc ? parce que j’essaye de fuir cet état de fait or un fait ne peut pas se fuir, la mort du corps est un fait avec lequel je ne peux discuter....je peux essayer mais c’est un peu comme d’essayer de dialoguer avec le soleil c’est de la démence pure !
il en est de meme avec ma souffrance de vive, avec cette douleur, cette frustration, cette terreur etc etcje pense qu’il y a moi d’un coté et la douleur de l’autre..ceci n’est pas, c’est une illusion crée par le penseur mais cela n’est pas....a partir de là je vis dans un monde virtuel qui n’a aucune existence en lui meme et qui débouche sur l’horreur humaine....je suis malheureux est le fait de chaque humain, hormis quelques moments volés ici et là....et « moi je » va alors imaginer qu’il y a un opposé à cela, il va l’appeler bonheur et va essayer toute une vie d’atteindre cela.....là aussi tout est faux ,illusoire.......la pensée dont le champs de compétence est les domaines pratiques et rien d’autre ne peut pas vivre,elle est apte a survivre seulement......or ceci n’est pas vivre...
merci Gabriel...
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Gabriel
25 novembre 2014 13:06
Bonjour Hotah, merci pour vos commentaires qui, permettez moi en toute humilité, mériteraient toutefois d’être plus concis afin que leurs lectures en soient plus aisées et leurs compréhensions plus accessibles.Cordialement.
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howahkan Hotah 25 novembre 2014 14:23salut Gabriel...en fait je me restreins totalement, on rentre quand meme là dans le sujet de toute une vie
salutations...
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prolog
26 novembre 2014 09:11
Salut Hotah,
toujours pareil, je mets mon grain de sel dans ce que tu racontes.
Ok sur toute cette histoire de compétition. Par contre, toujours pas d’accord avec le fait qu’on a besoin d’une vision pour s’en rendre compte.C’est simple qu’on nous apprend à défendre notre bout de gras en y mettant une définition qui rentrera en conflit avec le bout de gras des autres, non ?
Pas besoin d’une vision pour comprendre que si on veut tous être le meilleur, peu de chance qu’on arrive à instaurer des conventions de Genève et qu’on puisse contraindre le perdant à les accepter de bon coeur. Du coup, tous les coups sont permis, quoiqu’on en dise, quoiqu’on écrive là dessus.
De même ca me semble vraiment à notre portée intellectuelle qu’on a une idée très bizarre de la sécurité. Notre recherche de sécurité individuelle se faisant au détriment des autres, on se retrouve dans une position où les autres sont tous des ennemis potentiels. Où est la sécurité qund on fait en sorte d’avoir peur de tout le monde ? Raisonnement par l’absurde de base. Où est l’erreur du coup ? Sans doute dans la définition de sécurité je pense. En tous cas, rien de mystique là dedans et ca semble accessible à un cerveau atrophié ;).
Yo
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prolog
28 novembre 2014 08:43
ok, erreur de termes, j’espère que je t’ai pas vexé, je parlerai plus de mysticisme. Tu évoques une « vision », terme pour lequel la plupart d’entre nous n’a pas de définition... donc ca sonne mystique/bizarre/inconnu... comme tu préfères. Je vois bien que pour toi ca a un sens, que c’est vécu. Je décrivais juste le point de vue extérieur.
Pour revenir à la guerre, la compétition, l’élimination des autres :
Pour moi on est dans cette erreur surtout parce qu’on a une définition de la sécurité qui est absurde. On appelle sécurité l’accumulation de biens ou de savoirs, quitte à le faire au détriment de ses voisins... Lesquels font pareil donc on se bat et on n’est pas en sécurité.La plupart d’entre nous s’arrête au mot « sécurité » donc continue à la chercher dans la guerre/le futur inexistant.
Mais j’ai l’impression qu’on peut remettre en question la définition du mot sans avoir un bout de cerveau qui se réveille ou une vision (quoi que ca puisse vouloir dire).
Ce sera sans doute moins direct et radical que ce que tu décris mais c’est pas évident de compter sur un truc qui ne s’est jamais produit pour moi :).
Tu dis que je me trompe, tu peux expliquer ?
bonne journée
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howahkan Hotah 28 novembre 2014 12:24Exact vision n’a pas de définition précise,...pour faire court pour moi c’est un contact involontaire avec ce qui est vrai..peu importe le moyen ,peu importe la nature de ce qui est vrai..
la quête de sécurité telle que nous la pratiquons amène à l’insécurité et à la guerre ,ma sécurité se faisant en ce qui nous concerne par accumulation au dépends des autres..de plus on cherche une sécurité absolue et non relative, or a part la mort notre vie telle qu’elle est ne contient aucun absolu..
ces « visions » montrent que la seule sécurité relative que les humains peuvent avoir c’est uniquement en coopérant volontairement...adieu business ,argent etc etc...or non seulement on n’est pas mur pour cela,mais çà semble s’empirer.....
es tu sur que cela (vision radicale)ne s’est jamais produit pour toi ??? je crois que tout le monde en a, sans souvent le savoir...dans un tel moment se dégage une sorte de paix étrange , belle, inhabituelle, etc qui vient toute seule mais qui n’est pas du tout liée avec une réussite quelconque ..mais a une compréhension profonde d’un problème alors solutionné de lui meme...
je disais que pour moi tu te trompes ? c’était à propos de cerveau atrophiés. dans le sens ou pour moi nous tous avons le cerveau atrophié et pas seulement quelques uns......pseudo génies inclus...............atrophié car une partie, une autre fonction ne marche plus....tu as compris que je parle ici par rapport à des expériences.....claires, précises, nettes mais pour moi .....pour bien en parler sur avox ou autre media internet nécessitant un clavier et de ne pas être en face d’interlocuteurs est.................très très très difficile....voila pourquoi des fois je ponds quelques lignes qui je le reconnais parlent peu,c’est aussi une façon pour moi d’essayer de mettre en mots ..et puis des fois on fait des rencontres de gens qui passe par un peu le meme chemin alors on parle , on discute, on échange un peu etc comme on fait ici..
cette autre fonction ne compare pas, ne hiérarchise pas, et bien plus...elle fonctionne de son propre chef...........
bien des humains ont vécu cela, ou le vivent, çà n’est pas une découverte du tout,sauf pour celui qui le vit un peu....c’est là pour tous ,mais mais si « je » est le leader du cerveau cette fonction reste en mode off.........« je » en tant que désirs donc peurs, « je » en tant que refus de la mort du corps , « je » en tant que diviseur binaire oui-non.....oui tu me sers je te garde, non tu ne me sers pas je te quitte...etc....sujet d’une vie..
salutations.
ps:désolé tout ceci est si décousu....
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prolog
28 novembre 2014 15:26
non,c ’est sympa d’avoir répondu.
« es tu sur que cela (vision radicale)ne s’est jamais produit pour toi ??? »
A ma connaissance, rien que j’aurais appelé « radicale », un vague truc qui pourrait être du genre à propos de mon gamin (encore dans le ventre à ce moment là), mais je saurais pas dire.
Mais si ca peut arriver sans qu’on le sache alors je peux jurer de rien.Par contre, la compétition quelle qu’elle soit a toujours eu des conséquences physiques très présentes sur moi. Que je gagne ou que je perde.
Et je « lutte » contre une boule au ventre depuis que j’ai 3 ans et j’ai depuis récemment l’impression que c’est lié.merci, à plus
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prolog
30 novembre 2014 08:31
Pour moi cette boule est pas mal agressive en ce moment. Je constate que ca dépend de pas mal de trucs : alimentation, rêves, sport et compétition en tout genre (ou toute deadline).
Alors je change des truc dans ma vie et j’ai l’impression d’avoir des résultats mais en fait c’est loin d’être sur.Ne rien faire, c’est plus qu’inhabituel.
Surtout que mes pensées sont souvent persuadées de régler certains problèmes psychologiques, ...en même temps qu’elles les créent c’est vrai...
On dirait qu’elles manquent de preuves de leur inutilité dans certains cas :).
Du coup, j’ai bien entendu ton point de vue. Ne rien faire a du bon. Ca peut peut-être au moins permettre de ne pas s’acharner quand on ne trouve rien d’efficace à faire.Merci et bonne journée
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howahkan Hotah 30 novembre 2014 09:59Bien reçu et compris..un dernier mot ici sur le sujet, il n’est pas impossible que de certitudes telles que l’on souhaite il n’y ai pas......or si « je » cherche cela avec un certain absolu, (attention il y a ici une part inconsciente dont je commence a bien voir le poids, car elle se révèle dans les rêves, les « visions » et puis de + en + meme en éveil , je ne parle pas de l’inconscient façon psycho bla bla non, ) et que le fait est que c’est ce que je veux...ceci va créer une « boule » parmi tant d’autres...........car il y a un décalage jamais comblé entre ce que je désire et le réel...la « boule » dit : attention, ici il y a quelque chose de faux...laisse moi donc agir et je vais parler....car ce décalage est douleur..........tu dois voir quel est ton désir impossible ou non réalisé....
Alors ici , pont vital, au contraire de l’analyse psycho bla bla qui cherche, qui analyse, qui a un but de solutionner le problème qui n’est meme pas connu, ici il n’y a plus de but préconçu, mais une tache à accomplir : laisser la « boule » agir sans rien attendre..tu vois donc la difficulté...car ca implique en gros que « je » admets le fait ’être vaincu !!!!
je cherche un paradis qui n’existe pas par la pensée...cela ne veut pas dire que vivre est souffrance , et tout le reste.....de ce que je connais par expérience, paix profonde inimaginable pour la pensée il y a, mais elle ne se trouve pas dans la pensée mais dans justement l’absence de pensée,enfin je veux dire quand la pensée ne dirige plus le cerveau de façon totalitaire....la boule aide à indirectement aller vers cela....
ceci m’a évite de finir ma vie prématurément....et bien plus....mais de certitudes psychologiques je ne trouve pas, si je n’en cherche pas cela va très bien...mais il faut bien sur un minimum sur le plan pratique bien sur, que tout pouvoir essaye d’empêcher, car seul des gens unis , collectifs par choix intelligent et partageurs peuvent créer ensemble une telle relative certitude pratique par et pour tous....ce qui signifierais la fin de ce monde injuste et dément bien sur.....et la fin de cette pseudo élite malsaine et criminelle..
voila si ça te semble dément pas de problèmes, il vaut mieux jeter tout cela de suite ...je n’en serais pas vexé du tout,car cette route n’est pas facile..je n’ai personnellement pas eu le choix, ma propre « boule » étant trop énorme..
ciao !!
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prolog
30 novembre 2014 10:29
De plus en plus, ce qui me parait dément c’est quand on me propose une méthode, souvent en plus sans savoir quelle est son but.
J’ai souvent l’impression que ce n’est pas une histoire d’action, de pensée mais de point de vue.Là j’ai ton point de vue. S’il reste à sa place, il peut m’éclairer. Si j’en fais une méthode, tant pis pour moi :).
Il y a quand même un certain bon sens à se dire que le corps sait se débrouiller seul et qu’on n’est pas obligé d’interférer avec la pensée. Ce serait quand même galère d’avoir à penser à faire battre son coeur toute la journée. Reste à avoir ce point de vue et pas vouloir l’appliquer comme une règle...
Si je peux te suggérer un complément de point de vue : peut être que les visions dont tu parles sont une destruction d’idées et non une arrivée d’idées nouvelles.
Merci énormément et à la prochaine.
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howahkan Hotah 30 novembre 2014 12:18Les visions dont je parle sont une sorte de « monde » , quasiment une autre dimension que l’on a perdu, je dis bien perdu !! totalement inconnu de la pensée, la pensée n’a strictement rien à y faire, or c’est tout ce qu’il nous reste pour commencer....tu vois la difficulté....j’y ai baigné involontairement et avec tant de « force » dans cette énergie très étrange ,en paix , mais totalement indescriptible en fait, meme si je me parle a moi meme, etc plusieurs fois vers 16-17 ans que pour moi meme je sais cela, c’est totalement impossible dire aux autres...
alors pour reprendre ta dernière phrase, oui il y a destruction d’idée et pas d’arrivé d’idée nouvelle si l’on considère que une idée émane de la pensée...par contre il y a changement profond qui se passe ..tout seul !! .par la vision profonde de ce qu’elles sont...encore une fois la pensée ne peut plus rien à ce niveau car cela implique ce qui n’est pas ou plus conscient pour la pensée ..en soi il n’y a donc pas d’inconscient, c’est le fait de penser qui crée cela....car la pensée divise en oui je garde et non je ne garde pas.....or ceci étant tout à fait conceptuel et faux ,sauf uniquement dans les champs pratiques, et encore meme là on eut avoir faux bien sur ; ce qu’elle a rejeté reste vivant ,actif et est stocké hors de sa portée...et j’ai vu que ce qui est ainsi stocké est toujours très très actif et a meme plus de poids que le conscient....cela amène a ce que je fonctionne sur des désirs non atteints ,impossibles etc qui ne me sont meme plus connu.....
sujet d’une vie,donc j’arrête là pour le moment...bien sur ceci parait assez dément, voir plus...de toutes façons ceci ne peut qu’ être que un chemin personnel ou personne ne peut y aller pour un autre....je dis mon expérience,car je sens que je dois le dire...mais comme de lire un livre de cuisine ne va pas résoudre la faim dans le monde ou de manger pour un autre ne va pas le nourrir...personne ne peut rien pour personne...reste seulement alors à dire de vraies moments vécus, çà je pense qu’il faut le faire...............Salut à toi....fin de transmission
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juluch
25 novembre 2014 11:08
La guerre a toujours existé.
C’est elle qui a fait les frontières, fait la civilisation fait se que nous sommes.c’est comme ça et votre article larmoyant n’y changera rien.Honneurs aux Anciens ne les oublions pas.-
Gabriel
25 novembre 2014 12:05
Bonjour juluch,
Que la guerre est toujours existée, c’est un fait mais de là, à l’encenser et l’apprécier, c’est autre chose. Vous dites elle a fait ce que nous sommes, soit et cela vous satisfait quand vous en contemplez le résultat aujourd’hui ? Doit elle être la solution à nos problèmes ? Pour finir, cet article que vous trouvez larmoyant est bien pire que cela, c’est un article qui gerbe sur les professionnels de cette absurdité qui nous envoient tous à l’abattoir afin de préserver leurs bénéfices mais ça, vous l’aviez compris je l’espère.
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bourrico6
25 novembre 2014 12:34
c’est un article qui gerbe sur les professionnels de cette absurdité qui nous envoient tous à l’abattoir afin de préserver leurs bénéfices mais ça, vous l’aviez compris je l’espère.
A mon avis il comprendra pas, il peut pas comprendre.
Il ne peut remettre en question tout ce en quoi il croit, c’est trop, c’est trop pour n’importe qui.
En ça, c’est un bon milouf, il a l’absence de remise en question qu’il faut... quelle naïveté quelque part.Il ne réalise même pas à quel point les « valeurs » ne sont que des artifices destinés à masquer la réalité, à savoir qu’il ne sont que des pions sacrifiables, et qu’on même les sacrifier pour des broutilles, ou comme aujourd’hui, pour du Pétrole, de l’Uranium, pour se faire bien voir des USA.
L’esprit de corps, c’est celui du troupeau qui va à l’abattoir sans même savoir pourquoi.Il n’y a rien de grand à aller se faire trouer pour le CAC 40 (ou le comité des forges si vous préférez), c’est de la connerie à l’état pur !
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juluch
25 novembre 2014 12:43
@Gabriel
Merci de m’avoir répondu.Je sais que la guerre et horrible, terrible, affreuse etc.
mais elle existe et existera toujours.Que vous vous battiez pour des idées politiques, pour défendre la patrie pour le cac 40 comme dis le crétin plus haut ça change rien.C’est en nous et votre article ,bien écrit d’ailleurs, n’y changera rien.@ Bourricot le bien nomméVa faire tes leçons avec quelqu’un d’autres. Tes idées de gauchiste primaire et réactionnaire en un certains sens je m’en branle. -
Hermes
25 novembre 2014 13:18
Bonjour,
Peut-être est-il possible d’évoluer, en acceptant que les conflits d’intérêt existent et existeront toujours, mais en comprenant pa contre que la guerre est une fausse solution..... A part peut-être pour les marchands d’armes ?
Notre indien l’a bien dit quelques commentaires plus haut : pour évoluer il faut d’abord voir que la guerre est en nous, dans notre incapacité à lâcher notre représentation ilusoire, et dans notre possession. Le manque de confiance dans l’autre est une simple projection du manque de confiance en nous même que génère cette représentation illusoire car elle nous coupe du monde et de nous-même. La perception est la clé contre le piège du « réalisme » de nos idées.
L’évolution vers un monde plus paisible sera lente, car la prise de conscience de la responsabilité personnelle de chacun nécessite beaucoup de présence à soi-même, pour sortir du rêve, Il faut beaucoup de force, et de volonté, car c’est dans les détails du quotidien, dans le moindre geste et la moindre parole que se manifeste et se renforce ce sommeil avec ce manque de confiance et la violence du mental.
Mais il est important de ne pas « tomber » pathétiquement dans ce genre de considérations à nouveau très « réalistes » (chassez le faux réalisme il revient au galop) : l’assujetissement au temps ne sert qu’à différer le moment d’un nouvel acte de réveil, et par là même différer le soulagement que procure la présence, en restant dans une violence certes contenue mais réelle, et en nourissant les émotions qui scellent notre représentation du monde.
L’impatience de sortir de la prison ne permet pas de trouver les astuces pour s’en échapper et durcit encore plus les murs qui l’entourent
Passons à un réalisme qui ouvre des possibilités : si la solution est en nous-même, où sont réellement les obstacles ? Observons....
Bonne journée
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Gabriel
25 novembre 2014 13:28
Bonjour Hermes, je vois que la sagesse est une des principales qualité du messager des Dieux. Je n’en doutais point aussi, je vous encourage à fumer le calumet avec notre sage indien et avec un peu de chance, le cercle s’agrandira de plus en plus autour de son feux, qui sait...
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TSS
26 novembre 2014 10:11
Que vous vous battiez pour des idées politiques, pour défendre la patrie pour le cac 40 comme dis le crétin plus haut ça change rien.
C’est malheureusement la triste verité ,nous partons au combat sous le fallacieux pretexte
de defense de la patrie qui n’est en réalité que la defense des 1% les plus riches.... !!
« La guerre est faites par des gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui
mangent ensemble ! . » disait un ancien de 14... !!
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Gabriel
26 novembre 2014 10:36
Si tout le monde pouvait avoir votre vision, il ne trouverait plus personne pour tuer son voisin. Malheureusement, c’est très loin d’être le cas. Merci
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bourrico6
26 novembre 2014 12:07
Va faire tes leçons avec quelqu’un d’autres. Tes idées de gauchiste primaire et réactionnaire en un certains sens je m’en branle.Moi j’ai pitié pour toi.
Car comme je l’ai dit, il y aurait un babouin à l’Elysée que tu te mettrai au garde à vous et t’en prendrai au premier qui oserait critiquer le babouin.
Sous prétexte d’image de la France de sureté nationale etc.
Que vous vous battiez pour des idées politiques, pour défendre la patrie pour le cac 40 comme dis le crétin plus haut ça change rien.
Ca doit être moi le crétin.
Tu te rends compte que tu viens de reconnaitre que mes propos sont juste, donc que le crétin a raison, et que t’en es fier en plus.
J’avais bon en te surnommant l’imbécile heureux. -
juluch
26 novembre 2014 17:37
Ouais c’est bien toi le crétin....tu t’es reconnus.
J’ai des valeurs, t’en as pas.tu fais partie de ces gars qui ont rien dans le pantalon et qui se réfugient derrière des idées gauchistes histoire de prouver qu’ils existent.Pourquoi pas.
Es tu courageux ?Serait tu capable de tuer pour imposer tes valeurs ou tu fais partie de ces braillards que l’on retrouve dans les manifs, qui se battent avec les flics et qui crient au scandale quand un autre crétin comme toi y laisse sa pauvre vie ?Ton pseudo te va comme un gant, il te manque plus que la carotte ! -
bourrico6
28 novembre 2014 10:36
Si se faire baiser dans les grandes largeur constitue pour toi une valeur, si être lâche au point de laisser d’autre décider de sa propre vie constitue pour toi une valeur, je te les laisse bien volontiers.
Allez nigaud, retournes prendre la défense de ton babouin Elyséen, et vas te faire démonter pour Areva et Total comme un gros benêt que tu es, après tout qu’est ce que ça peut me foutre.
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bourrico6
25 novembre 2014 12:36
La guerre a toujours existé.
Ca, ça reste à prouver mon coco.
Je ne sais pas jusqu’où tu remontes, mais tu dois bien réaliser que nous sommes la seule espèce à faire la guerre, c’est donc un truc que nous avons inventé à un moment donné, ça n’a rien de naturel contrairement à ce que tu laisses sous entendre.-
juluch
25 novembre 2014 12:45
La guerre existe depuis des milliers d’années depuis que l’homme a ramassé son premier bâton pour le foutre sur la gueule du voisin.
Même les bestioles se font la guerre pour un territoire ou pour des femelles. -
Gabriel
25 novembre 2014 13:21
Je ne pense pas que les animaux organisent des guerres. Qu’ils luttent individuellement pour un territoire ou une femelle, certes mais ils n’envoient leurs congénères la faire pour eux pendant qu’ils restent à l’abri. De plus, cela ne constitue en rien une excuse car, en tant qu’espèce évoluée et pensante nous devrions lutter contre cette idée de guerre et dépasser le stade de la violence. Ce qui me gène au plus haut point, c’est que les salopards qui déclenchent ces guerres ne l’a font pas eux mêmes et qu’ils en accumulent les richesses sur le dos des millions de cadavres que cela génère. Il est important que l’homme se souvienne qu’il n’a qu’une seule patrie, qu’une seule nation, qu’une seule motivation : « La vie ».
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Gabriel
25 novembre 2014 16:27
Ça change que si l’homme qui a un peu de neurone dans sa cervelle comprend cela, il refusera d’aller tirer sur son voisin parce qu’un politicien ou un prédicateur lui a ordonner. C’est cela l’évolution....
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Hermes
25 novembre 2014 18:04
Bonsoir,
Pour répondre à la question : la guerre a t’ele toujours existé, il est bon de réfléchir à une découverte assez étonnante (je donne le lien de l’article en anglais). Revenons 12000 ans en arrière. Au néolithique les techniques d’agriculture et d’élevage ont donné aux hommes la possibilité de vivre abondamment, puis les villages se sont groupés, et sont devenus progressivement des méga-villages dont les traces ont été retrouvées. Le phénomène aurait été global.
Puis brutalement les méga villages ont disparu (quasi désertés) vers 5700 avant JC et sont apparues les ville et les empires.
L’abondance a t’elle généré la paresse et la cupidité et l’émergence d’organisations hiérarchiques et violentes ? La facilité a toujours endormi.
En même temps la religion serait apparue lors de la période de croissance des mega villages, comme semble le montrer la decouverte de.Goblekitepe. Serait-ce le moment historique de l’institutionalisation sociale de la séparation du bien et du mal, et de l’apparition de la guerre en tant que telle (la violence étant cantonnée à une autre échelle auparvant) ?
Cdt.
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scalino
25 novembre 2014 19:38
De un : les endroits assez fertiles pour pratiquer l’élevage et l’agriculture sont limités .
De deux : cela signifie combien d’habitant un méga village et a votre avis a combien de population atteignait t’on le seuil critique ou on pouvait nourrir tous le monde car voyez vous avec les techniques de l’époque y avait pas une abondance de nourriture a l’époque . Alors a votre avis combien de temps a partir du moment ou des gens meurent de faim il y aurait des troubles .Voila une hypothèse pour la raison de vos guerres . -
Gabriel
26 novembre 2014 07:41
Hermes vous jetez là les bases d’un analyse intéressante qui mériterait d’être approfondie. Cependant je pense que le concept de bien et de mal est dévoyé et fluctuant suivant les morales imposées par les diverses religions. Ne devrait on pas chercher plutôt sa source originel à l’intérieur de soi en harmonie avec la nature ?
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Gabriel
26 novembre 2014 07:42
scalino, vous avez raison sur un point celui du seuil critique de population concernant l’accès à la nourriture dans une zone géographique définie. Cependant, je crois que la cause principale des conflits est la confiscation des biens publics à des fins privées, en fin de compte avec une juste répartition des richesses produites la majorité des guerres n’existerait pas.
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scalino
26 novembre 2014 08:57
Oui possible mais que en controlant la démographie et après nous ne sommes que des animaux il faudrait changer l’homme en lui meme car nous nous sommes soumis a nos émotions(jalousie , envie etc..) nous cherchons a dominer l’autre etc ....
Bref ce que vous nous demander pour eviter les conflits c’est soi de ne plus etre humain soit une superstructure qui encadre strictement les humains a vous de voir si y a une autre solution .
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Gabriel
26 novembre 2014 09:12
Scalino, peut-être que la solution est de se tourner un peu plus vers le spirituel et un peu moins vers le matériel. Attention lorsque je parle de spiritualité, je ne fais évidement pas référence à une religion ou une autre mais bien à une quête intérieure. Merci de vos commentaires.
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Hermes
26 novembre 2014 11:12
Bonjour Gabriel,
Bien sur la question du bien et du mal est intérieure à l’homme, et ne se résoud qu’à cet endroit et dans l’intégration de soi-même dans le présent.
C’était juste une hypothèse concernant la période historique qui aurait commencé à institutionaliser le bien et le mal en les rendant justement extérieurs à l’homme. Un contexte qui va rendre « normal » pour les millénaires suivants l’absence de la prise en charge autonome des repères de son propre comportement.
Le contexte des méga villages (plusieurs milliers d’ames - voir l’article en lien) générant cette nécessité, et de façon concommitante à leur apogée et déclin subit, la religion et guerre apparaissent : deux manifestations extérieures du bien et du mal absolu se rendant la politesse.
Cela n’a pas une grande importance, d’autant plus qu’il peut exister des variations géographiques et temporelles rendant le tout très inexact, et je ne chercherai pas à établir une vérité historique ! Mais si on rapproche ce processus de notre représentation intérieure du monde on peut éventuellement y reconnaître les reflets d’un long processus historique qui a poussé l’humanité à se couper en final de sa nature profonde.
Le chemin de l’attention dans le moment présent reconstruit cette unité.
Cdt.
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bourrico6
26 novembre 2014 12:11
Ok, le moindre pain dans la gueule c’est une guerre pour Juluch
La langue Française est pourtant riche en vocabulaire.
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juluch
26 novembre 2014 17:38
Tout à fait !
Si tu viens me prendre mon pain tu récolera..............un pain ! -
bourrico6
28 novembre 2014 10:38
Je disais que la langue Française était riche, mais certains resteront pauvres malgré tout.
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Vipère
26 novembre 2014 00:28
Bonsoir Gabriel« Johnny s’en va en guerre » illustre les horreurs des guerres, merci pour votre excellent billet :-
Gabriel
26 novembre 2014 07:42
Bonjour Vipère,
Très bon film qui illustre bien le propos. On pourrait y ajouter « Apocalypse now », « Full Métal Jacket » « A l’ouest rien de nouveau », « Platoon », « Les sentiers de la gloire » et l’incontournable « La vie et rien d’autre ». Merci de votre passage.
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Vipère
26 novembre 2014 08:30
Bonjour Gabrielj’ai vu les deux premiers cités, à vrai dire ce n’est pas le genre que je préfère.Mais, le pire c’est que les guerres ne règlent rien dans les conflits entre pays, après les massacres il faut discuter à nouveau, faire la paix entre bélligérents, Nul ne peut être perpétuellement en guerre, c’est extrêmement coûteux en hommes et en matériel.Et dire que l’on nous avait assuré que grâce à l’Europe, nous n’aurions plus de guerre ?Pourtant, Sarkozy s’est offert la sienne, en Libbye et le pays se trouve actuellement dans un état pire que sous l’ancienne dictature, faisant regretter aux habitants Mouamar Kadhafi qui maintenait en interne, d’une main de fer, la paix inter-ethnique.Et notre Président actuel a eu lui aussi sa petite guerre massacrante en Irak.Etrangement de l’argent pour faire les guerres, la France en trouve toujours, mais pas pour construire des logements pour ses ressortissants qu’elle jette à la rue comme des déchets.Une politique exécable qui laisse des traces parmi la population et qui à l’heure du vote risque de faire basculer le vote des français, contre l’élite politique installée qui se déchire déjà, deux ans avant les élections. Un spectacle d’une bassesse et d’une vulgarité encore jamais atteinte.Se battent-ils comme des chiffonniers pour améliorer le sort des français ?-
Gabriel
26 novembre 2014 09:28
Vipère je crois qu’il faut comprendre maintenant que tout, absolument tout est business. La vente d’armes rapporte chaque année des centaines de milliard de $ donc, je vous laisse imaginer les convoitises que cela génère chez les industriels, les banquiers et les dirigeants. Exemple : La guerre contre l’Irak avait deux buts bien précis. Le premier, s’approprier les richesses pétrolières du pays. La seconde faire grimper les bénéfice des sociétés appartenant à Dick Cheney et à Donald Rumsfeld, voir lien ci-dessous.
http://agircontrelaguerre.free.fr/article.php3?id_article=414
http://www.alterinfo.net/Donald-Rumsfeld-L-economie-de-guerre_a24253.html
il faut que le citoyen que ces gens là envoient sur les champs de bataille se pose la question suivante : « Moi, père de famille et employé pourquoi irai-je tuer un père de famille et un ouvrier que je ne connais pas et qui ne m’a rien fait ?... » A qui profit le crime de masse ?
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JL
26 novembre 2014 10:20
Bonjour Gabriel,Pour illustrer votre article :
Oui notre Monsieur, oui notre bon Maître-
Gabriel
26 novembre 2014 10:41
Bonjour Jl,
Merci pour cet extrait de Jaurès du Grand Brel qui disait aussi dans une autre chanson (Fernand) : " Et puis les adultes sont tellement con qui nous ferons bien une guerre alors, j’irais pour de bon dormir dans ton cimetière ..."
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