lundi 25 avril 2016 - par Coeur de la Beauce

« Nuit dehors » à Saint-Denis : quand les citoyens passent à l’action contre les trafics

"Nuit debout" a fait des émules et on ne peut que s'en réjouir. Sur le modèle des jeunes mobilisés dans les grandes villes pour défendre leurs droits de citoyens, les habitants d'une cité populaire de Saint-Denis (93) ont décidé eux-aussi de sortir de chez eux pour agir ensemble.

Excédés par les nuisances causées par quelques voyous préoccupés davantage de l'argent facile des trafics de cannabis que de la loi El Khomri, les habitants d'une tour ont décidé d'occuper la nuit les espaces squattés. Las du boucan, du rap poussé à fort volume et des allées et venues des clients, ils sont descendus, ont tenu bon face aux insultes et aux menaces, et cela a payé. Les délinquants ont circulé, au moins provisoirement.

La mairie de Saint-Denis a soutenu l'initiative, tout en soulignant à juste titre que ce n'est pas aux habitants de régler le problème. Des journalistes présents ont été invectivés comme il se doit par les jeunes loulous, mais ont tout de même pu s'entretenir avec les gens de l'immeuble. De braves prolos, qui bossent le jour et qui veulent dormir la nuit, de toutes origines, hommes et femmes. A l'image des étudiants qui défendent leur avenir place de la République, ils défendent leur droit à la tranquilité, reconnu par la déclaration des droits de l'homme.

Ce fait divers dérange les pouvoirs publics et les moralisateurs des beaux quartiers. Il témoigne de la tiers-mondisation de nos quartiers livrés à la loi de la jungle, dans l'indifference des classes dirigeantes. Il est étonnant (à voir ?) de constater que... Ce sont les syndicats de police qui se révèlent les seuls hostiles (avec les caids) à la démarche des riverains. Tel syndicaliste rappelle qu'il ne faut pas faire justice soi-même, que les trafics rapportent de l'argent (!), qu'il faut être patient etc. De quoi faire rire jaune les milliers de français qui tentent parfois d'appeler le commissariat du coin pour signaler le tapage d'un groupe de drogués en bas de chez eux, et qui attendent en vain une intervention, quand on ne leur raccroche pas au nez... Ce qui dérange, c'est que les gens se mobilisent.

Un élu local nous apprend qu'il n'y a que trois cents policiers à Saint-Denis. En retirant ceux qui sont en stage, en arrêt de travail ou en congé maternité (féminisation oblige), il ne doit pas rester grand monde de service la nuit, sâchant que la justice n'est jamais pressée de condamner les délinquants, laxisme, blocages culturels et insuffisances à la française obligent.

Espérons toutefois que ces initiatives vont se multiplier. Les riverains noctambules ont démontré que l'union et la solidarité font la force, sans que la violence soit nécessaire. Tout est question de détermination. Les jeunes contestataires de "Nuit debout" ont cherché à mobiliser, ils ont réussi à créer des exemples. Ils ont fort justement refusé la récupération politique, ils ont encaissé les coups des policiers plus préoccupés de surveiller les citoyens que de les protéger. Surtout, ils ont recyclé un concept tombé en désuétude, celui des luttes collectives.

Les voyous qui pourrissent la vie des quartiers n'ont pas cette maturité. Ils ne s'intéressent pas au collectif, hormis celui qui rapporte du fric et fournit de la violence jubilatoire (le jihadisme par exemple). Ils méprisent les autres, ne cherchent pas à voir plus loin que le capot de leur Golf TDI. Bref, ils récoltent de l'oseille, consomment et punissent leurs concitoyens. S'ils le pouvaient, ils iraient racketter les militants de "Nuit debout", comme ils l'ont fait il y a quelques années lors des manifestations lycéennes... Une vraie logique libérale en somme

Les gens en ont marre des leçons de morale, des clivages de partis et autres sottises développées pour les empêcher de réclamer leurs droits. A ceux, éternels bien-pensants, qui hurleront au "fascisme" face aux démarches sécuritaires, nous leur recommanderons quelques bonnes lectures pour les cultiver. "La racaille est la chienlit qui pourrit la vie des prolétaires" n'est pas une citation de Marine Sarkozy, de Maurice Le Pen ou de Nicolas Hollande. C'est Karl Marx qui l'a dit, dans le capital. Même Bakounine dans Dieu et l'état ne parlait de s'en prendre qu'aux puissants tout en recommandant une éducation stricte et de qualité pour les enfants. 

Donc le peuple commence à se réveiller, à éteindre les télévisions et à sortir dans la rue. C'est un bon début de printemps qui s'annonce. Et si le joli mois de mai à Paris et ailleurs nous réservait quelques bonnes surprises ? Nos oligarchies, protégées dans leurs hôtels particuliers et les syndicats de police en frémissent à l'avance...

Source de la photo :http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/saint-denis-la-mobilisation-contre-les-dealeurs-reprend-23-04-2016-5739943.php

 



120 réactions


  • armand 25 avril 2016 18:59

    « Espérons toutefois que ces initiatives vont se multiplier. » oui, hélas cela se nomme une guerre civile, et ce n’est pas beau smiley


  • foufouille foufouille 25 avril 2016 19:47

    j’ai pas lu que c’était génial pour eux, encore moins la bonne réaction de la gentille mairie


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 25 avril 2016 20:03

    J’avais repéré cette mobilisation, merci d’en faire un article.
    Faute d’emplois, les dealers appliquent le libéralisme basique.
    Puisqu’il y a des clients, autant leur fournir ce qu’ils demandent... .
    Cela soulage Paul Lemploi, fait tourner les affaires des concessionnaires BMW, des marchands de fringues et le commerce local.


    Et là où les délinquants font la loi, l’ordre règne, n’importe quel ordre, hélas pour les habitants.

    Quand les citoyens sont obligés de faire le travail des fonctionnaires de police, c’est le signe que l’ Etat est bien mal en point...


    On nous prépare un monde qui fait de plus en plus penser au film « Soleil Vert », et ce n’est pas un avenir bien glorieux, si les citoyens ne s’en mêlent pas....

  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 21:37

    C’est un mouvement manipulé pour faire croire qu’il n’y a que des maghrébins qui trafiquent. Mais ce ne sont que des petites mains : les commanditaires, les gros bonnets, eux, ne sont jamais inquiétés ! Et qu’est-ce qu’on fait de ceux qui trafiquent dans les beaux quartiers ? On ne les arrete jamais, évidemment. Tant qu’on n’arrete que les petites mains et jamais les gros bonnets, le trafic de drogue continuera encore longtemps ! Il faut dire que ces chefs ont le bras long et ont des accointances avec les milieux financiers, politiques et du show-biz. Et au lieu d’aller se défendre contre une loi qui va les appauvrir et empirer leur situation, ces gens cherchent à se battre contre des moulins à vent en s’attaquant à des petites mains... Le pouvoir a tout intéret à les occuper de cette façon dans un combat perdu d’avance plutot que contre la loi El Khomri. Je vous mets quelques articles vérifiables pour vous montrer que les dealers de cités ne sont que des petites mains et que les commanditaires sont tranquilles...


    • Robert GIL Robert GIL 26 avril 2016 08:45

      @Milla
      oui, c’est un peu comme ceux qui s’en prennent aux Rmistes, aux fonctionnaires ou aux chomeurs plutot que s’en prendrent au vrais responsables : le Medef, les banques et les plus riches, c’est a dire les capitalistes !


    • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 10:41

      @Robert GIL

      Bien sûr ! 

    • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 11:04

      @rocla+

      Ton capital à toi est la connerie ! Morderire


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 21:50

    présumés de cocaïne avaient décidé d’investir dans la mode…

    Les policiers de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) ont déclenché, mardi matin, un important coup de filet. Quatorze personnes soupçonnées d’appartenir à un vaste réseau de trafiquants de drogue ont été interpellées dans le XVIe arrondissement à Paris, à Saint-Mandé (Val-de-Marne) et dans les Yvelines. Plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été saisis au cours des perquisitions. Les enquêteurs de l’Ocrtis, épaulés par leurs collègues de l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), ont également mis la main sur quatre voitures — dont une Mercedes SL 63 AMG d’une valeur de 150000 € —, des montres de luxe, un fusil à pompe, un pistolet automatique et un gilet pare-balles.

    La cocaïne venait du Pérou

    « Cinq trafiquants et neuf blanchisseurs présumés, gérants de boutiques de mode et d’une imprimerie implantées dans le XVIe arrondissement ont été arrêtés, explique une source proche de l’affaire. Les principaux commanditaires, qui appartiennent tous à la communauté juive, sont soupçonnés d’avoir acheminé près de 100 kg de cocaïne depuis un an, en France. » Armand A., 78 ans et son fils Franck sont présentés comme les responsables de ce réseau. Les trafiquants faisaient venir leur drogue depuis le Pérou, via des passeuses, chargées de transporter des valises, sur la ligne régulière entre Lima et Paris. « Plusieurs dizaines de kilos ont également été acheminés, par bateau, dans des conteneurs, avant d’être déchargés à Anvers en Belgique puis ramenés en France, confie un proche de l’affaire. La particularité de ces narcotrafiquants est qu’ils recyclaient eux-mêmes l’argent dégagé du trafic. D’habitude, les trafiquants sous-traitent cette phase. » La direction centrale de la police judiciaire a établi qu’une partie de la drogue importée était réexpédiée vers d’autres pays européens. « Les commerçants, chargés de blanchir le produit du trafic, surévaluaient leurs bénéfices avant d’encaisser plusieurs dizaines de milliers d’euros en argent liquide, ajoute la même source. Ils étaient largement rétribués pour leurs services. » Armand A., déjà connu des services de police et de la justice pour le même type de faits, a été arrêté dans son pavillon cossu à Saint-Mandé. « Les plus jeunes membres de ce réseau sont âgés d’une trentaine d’années, indique une source judiciaire. Ils avaient des contacts directs avec des trafiquants en Amérique du Sud. » Les suspects devraient être déférés, demain, devant un juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 21:54

    ACCUEILLES DOSSIERSLE TRAFIC DE DROGUE LE TRAFIC DE DROGUE Le chiffre d’affaire mondial annuel du trafic de drogue était selon divers organismes officiels estimé en 2003 à 400 milliards (Md) de dollars, soit l’équivalent du PIB de l’Espagne ou encore 8 % du commerce mondial. Cela représente 50 % de l’activité criminelle organisée. Drogue et mafia sont associées depuis longtemps et les bénéfices engendrés par ce trafic sont des plus avantageux pour les grands clans qui en maîtrisent parfois de la production à la vente finale.

    Consommation de coca*îne en Europe Consommation de cocaïne en Europe

    Pour la cocaïne, les 2 principales destinations de livraison sont l’Amérique du Nord et l’Europe. L’Amérique du Sud détient le monopole de la production de cocaïne, et c’est principalement en Colombie, au Pérou et en Bolivie que l’on trouve des cultures de cocaïer. Le marché était aux mains des cartels colombiens (Medellin, Cali, le Sentier lumineux, le Mouvement révolutionnaire Tupac Amaru…) durant la dernière décennie, mais les efforts du gouvernement pour éradiquer le trafic ont payé puisque la Colombie a perdu 58 % des surfaces cultivées consacrées au cocaïer entre 2000 et 2009. L’Afghanistan reste le 1er producteur d’héroïne mondial, avec près de 90 % du marché. Le marché mondial de l’héroïne représente 55 Md, et si la French Connection a longtemps régné sur les laboratoires de transformation de la morphine base, c’est aujourd’hui en Colombie qu’est transformée 60 % de l’héroïne mondiale. La production est afghane à 90 %, mais la transformation est colombienne et la distribution sur le continent américain a longtemps été le fait de Cosa Nostra, surtout sous le règne de Lucky Luciano qui a crée un réseau d’ampleur internationale. Aujourd’hui, les chinois ont une part importante dans le marché mondial d’héroïne, ainsi que les Nigérians qui ont pris le relais de la French Connection. On estimait en 2003 à 8 Md € le bénéfice que Cosa Nostra tirait du trafic de drogue et à 7,2 Md € celui de la Camorra.

    Organigramme de la Cosa Nostra Organigramme de la Cosa Nostra

    Le recul colombien et le démantèlement des grands cartels de cocaïne de Medelin au début des années 80 ainsi que la mort de Pablo Escobar en 1993 se sont accompagnés d’un doublement des surfaces de culture de cocaïer en Bolivie et une augmentation significative (38 %) au Pérou. On estime à 88 Md de dollars US le marché mondial de la cocaïne, réparti entre l’Europe (34 Md) et les Etats-Unis (37 Md). Le renforcement des mesures de lutte anti-trafic dans certains pays a modifié le fonctionnement international et ce sont désormais les clans mexicains qui sont en charge du transport de la cocaïne, via différents pays de transit tels que la république bolivarienne du Venezuela et l’Équateur en Amérique et des pays de la côte Ouest africaine vers l’Europe. En terme de profit, les producteurs ne touchent que 1,5 % des profits bruts, les plus grandes marges étant faites sur la revente au détail, ce sont les trafiquants intermédiaires qui empochent le plus gros bénéfice, environ 24 Md en 2008 aux Etats-Unis. Et c’est là qu’intervient le partage des territoires et les lois implicites qui régissent le trafic de drogue spécialement aux Etats-Unis mais également en Europe. Les grandes familles mafieuses sont organisées comme de grandes entreprises, avec des filiales et des ramifications parfois extrêmement complexes. La hiérarchie y est très structurée, les processus de recrutement codifiés et le cloisonnement entre les différents niveaux très clair. Ainsi donc il y a de multiples intermédiaires entre ceux qui reçoivent la drogue et ceux qui la vendent, ceux qui la conditionnent, la transforment quand il y a besoin, la transportent, la répartissent entre les différents revendeurs. Dans certaines familles, les chefs de zones sont libre de s’organiser comme ils le désirent, du moment qu’ils paient leur du à la famille. C’est le cas de la Camorra napolitaine. Dans Cosa Nostra à l’inverse, la structure est immuable et la marge de manœuvre des responsables d’un territoire est très limitée. La Camorra a fait évoluer l’image du dealer classique en proposant aux petits bourgeois de son territoire de participer au trafic de drogue en devenant petits entrepreneurs. Ils investissent donc une certaine somme, en reçoivent généralement le double et s’occupent eux-mêmes de revendre la drogue dans leur réseau. Plus de petite frappe en jogging qui attend sous sa casquette au coin de la rue, ce sont désormais les ménagères qui font circuler la drogue. Et tout le monde y gagne, la Camorra solidifie son fond d’investissement et accroît sa capacité d’achat, les associés de la bourgeoisie doublent leurs économies et peuvent ainsi investir dans l’immobilier avant leur retraite.

    ‹ Diversité des sourcesaccueilUn nouveau créneau : le textile ›

    ECONOMIE CRIMINELLE Economie Criminelle Diversité des sources Le trafic de drogue Un nouveau créneau : le textile Le blanchiment d’argent Bibliographie et filmographie VIDÉOS Play Video title Crossing Lines Police sans frontières Exclusif ! La bande-annonce. Chaque lundi à 20h45. Plus de vidéos ET AUSSI Dossiers Une plante rituelle depuis les Incas Produite dans la région des Andes (Bolivie, Pérou, Colombie), la coca devient... Le trafic d’êtres humains De par sa situation géographique, la région des Pouilles est une zone privilégiée... Diversité des sources Structure d’une famille mafieusePour faire de l’argent les associations... Les principaux pays producteurs d’héroïne, l’Afghanistan et la Colombie Jusqu’au milieu des années 70, les filières d’acheminement d’héroïne... Actus


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:01

    ACCUEILLES DOSSIERSECONOMIE CRIMINELLE ECONOMIE CRIMINELLE Extorsions, détournements, fraudes, sociétés écran, contrefaçons, autant d’activités qui font partie intégrante de l’économie criminelle. Véritable monde souterrain de l’économie mondiale, le système criminel a sa propre logique, ses propres bénéfices, ses domaines d’action et ses stratégies. Trafiquants en tous genres et à toutes les échelles, cols blancs, entrepreneurs, les acteurs de l’économie criminelle ont de nombreux visages, à l’image de tout un système en constante évolution.

    Saisie d’armes Saisie d’armes et gilets pare-balles

    De part son caractère illégal, l’économie criminelle est difficile à quantifier, à décrire et à analyser. Les données qui sont en libre circulation proviennent des différents organismes de lutte contre les trafics en tous genres Interpol, Europol, ONU, GAFI, etc… Ce n’est qu’en cas d’intrusion de la légalité dans les affaires criminelles que l’on peut avoir une idée même incertaine de l’ampleur de cette économie souterraine. Le renforcement des lois au niveau national et international pour lutter contre les diverses formes de trafic à toutes les échelles a largement modifié au cours des 10 dernières années le paysage de l’économie criminelle. L’image de la mafia d’Al Capone ou de Lucky Luciano est révolue et les légendaires familles ont du se restructurer en petits groupe pour continuer leur activité. La mondialisation économique a d’une part ouvert la porte à la concurrence mais elle a également offert des possibilités d’associations et d’alliance dont l’économie criminelle a largement bénéficié. L’un des avantages que les criminels auront toujours sur les légaux, c’est qu’ils échappent au contrôle de la loi et peuvent faire évoluer leur commerce avec une vitesse inégalable. Fins analystes certains parrains sont des économistes aguerris qui n’ont rien à envier aux plus grands spécialistes de l’économie légale et l’histoire a souvent prouvé que les boss du crime avaient vu bien avant les autres les tournants économiques et les grands changements des 50 dernières années. La multiplication des contrôles, le renforcement des lois, la modification du paysage international, sont autant de moteurs pour une évolution constante, rapide et efficace. Dans le monde de l’illégalité, l’erreur n’est pas une option, la rentabilité est le seul objectif et l’adaptabilité une qualité non négociable. Il faut pouvoir se renouveler, parier sur les nouveaux créneaux économiques, bouger vite, être sur le qui vive tout le temps.

    Le marché de l’économie criminelle couvre de nombreux domaines, presque tous investis par les mafias.

    Diversité des sources ›

    ECONOMIE CRIMINELLE Economie Criminelle Diversité des sources Le trafic de drogue Un nouveau créneau : le textile Le blanchiment d’argent Bibliographie et filmographie VIDÉOS Play Video title Crossing Lines Police sans frontières Exclusif ! La bande-annonce. Chaque lundi à 20h45. Plus de vidéos ET AUSSI Blogs

    Boustane et la criminalité invisible Dans le froid de l’hiver rigoureux du Canada, Boustane, passionnée par la... Dossiers Le blanchiment d’argent Le processus de blanchiment d’argent a pour but de donner une apparence...

    Le roman noir américain Crise de 29 Genre littéraire à part entière, le roman noir est né aux Etats...

    Docteur Mabuse Docteur Mabuse Génie du crime, le Docteur Mabuse est un personnage... Actus

    Le ministère des finances victime de hackers ! Lundi 7 mars 2011 le ministère français de l’économie et des finances a déclaré...


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:07

    Trafic Mondial D’Armes : Pourquoi Tant D’Israéliens De La Mafia Juive Sioniste Sont-Ils Sous Les Verrous ? http://www.planetenonviolence.org/Trafic-Mondial-D-Armes-Pourquoi-Tant-D-Israeliens-De-La-Mafia-Juive-Sioniste-Sont-Ils-Sous-Les-Verrous_a2324.html

    Beaucoup de faits divers commis par des français israéliens sont cachés par nos médias sionistes


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:09

    Arrestation en Algérie de cinq israéliens inculpés pour trafic d’organes. – La Voix De La Libye http://lavoixdelalibye.com/2016/03/07/arrestation-de-cinqs-israeliens-en-algerie-inculpes-pour-le-trafic-dorganes


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:09

    la France inculpe le chef d’état major des armées de Défense d’Israël pour trafic de drogues - AWD News http://fr.awdnews.com/soci%C3%A9t%C3%A9/la-france-inculpe-le-chef-d-%C3%A9tat-major-des-arm%C3%A9es-de-d%C3%A9fense-d-isra%C3%ABl-pour-trafic-de-drogues


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:12

    | Israël | 4 Franco-israéliens arrêtés en Israël pour trafic de drogue - Actualité Juive http://www.actuj.com/2015-12/israel/2794-4-franco-israeliens-arretes-en-israel-pour-trafic-de-drogue


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:13

    Mafia juive : Arnaque au CO2, la vie dorée des escrocs réfugiés en Israël - Diatala - Médiatala - Information - Désinformation http://www.diatala.org/article-mafia-juive-arnaque-au-co2-la-vie-doree-des-escrocs-refugies-en-israel-96200398.htm


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:14

    Les sionistes déplacent la contestation sociale vers les banlieues

    C’est des malins !


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:17

    délinquance : le maire de saint-Mandé interdit aux ados juifs de se rassembler Comment interdire ces rassemblements sans être taxé de racisme antijuif ? un exrecice delicat pour un maire ! bon bref ! Le maire interdit les... Comment interdire ces rassemblements sans être taxé de racisme antijuif ? un exrecice delicat pour un maire ! bon bref !

    Le maire interdit les rassemblements de jeunes

    ASSURER l’ordre public tout en évitant les amalgames. C’est le défi relevé par le député-maire UMP de Saint-Mandé interpellé par des administrés mécontents des rassemblements hebdomadaires de jeunes de la communauté israélite dans le parc de la mairie. En cette période de tension entre la France et Israël, le défi est particulièrement délicat...

    Le 29 juin, Patrick Beaudouin, député-maire UMP de Saint-Mandé, a finalement pris la décision de réglementer par un arrêté l’accès aux squares, jardins et places de la ville. Ainsi, il est notamment interdit « de former des groupes ou rassemblements de nature à gêner la circulation des piétons », « de souiller de quelque manière que ce soit les installations et emplacements divers ». Lieu de rencontre d’ados juifs Se gardant bien de stigmatiser une communauté, l’arrêté vise bien le rassemblement de près de 150 garçons et filles, de confession juive pour la plupart, devant la mairie, les week-ends ensoleillés. « Certains week-ends, ils étaient plus de 180, insiste le député-maire. Pour nous, qui sommes habitués au calme et au respect mutuel dans les lieux publics, le changement a été brutal. Tout un coup, on voyait s’installer, durant tout un après-midi, des jeunes de 14 à 18 ans, venus des XIX e et XX e arrondissements de Paris mais aussi de Rosny-sous-Bois, de Villeneuve-la-Garenne, de Romainville, de Champigny... Bref, de toute l’Ile-de-France. Ces jeunes entravaient la circulation des piétons, empêchaient les gens de s’asseoir sur les bancs, ils excitaient les chiens, gênaient le trafic des voitures en effectuant des rodéos à scooter, parfois se bagarraient mais, surtout, ils attiraient une population qui revendait de la drogue et pratiquait l’économie souterraine. » Pourtant, Pierre, qui a passé quatre heures sur place le 27 juin, l’assure : « Tout est resté très très calme. » Selon la police nationale, « ce phénomène a commencé au printemps 2003. Nous pensions qu’il serait temporaire mais il s’est reproduit cette année aux beaux jours. Avant, ces jeunes se réunissaient dans le Marais, à Paris. Mais, comme à Saint-Mandé, leur présence gênait. Ils ont été délogés peu à peu par les CRS. » Depuis trois mois, les forces de l’ordre ont procédé à Saint-Mandé à une dizaine d’arrestations et la police municipale a dressé plusieurs centaines de contraventions. « Ce sont des contraventions de 1 r e catégorie, comme défaut d’assurance du scooter, non-port du casque, bruit... confie le responsable de la police municipale. Mais, le plus grave, ce sont les rixes. Sur cette place très agréable, ces jeunes ont trouvé un lieu de drague et parfois ils se bagarrent comme des jeunes coqs. » Médiation d’un rabbin Pour désamorcer le problème, Patrick Beaudouin a d’abord sollicité des médiateurs, notamment des rabbins. Une démarche qui peut sembler étonnante, s’agissant de troubles à l’ordre public. « S’il avait été question de jeunes catholiques ou musulmans, j’aurais fait appel à un prêtre ou à un imam », insiste le maire. Mais, pour le rabbin Elfassy Ban qui a joué le médiateur, « les élus craignent d’être taxés d’antisémitisme. Ils prennent leurs précautions. M. Beaudouin a toujours eu de bons rapports avec la communauté juive mais, s’il ne règle pas le problème, il risque d’avoir la ville contre lui ». Geneviève Touati, conseillère socialiste, ajoute : « Cet arrêté était nécessaire mais, dans le contexte actuel de montée du communautarisme, il faut bien expliquer les choses pour prévenir les amalgames. » Même point de vue côté police : « C’est vrai que, dans cette histoire, on marche sur des oeufs. Il faut ménager les susceptibilités. Mais, attention, la loi est la même pour tout le monde. Et la communauté juive l’a très bien compris... » Depuis l’entrée en vigueur de l’arrêté, le calme est revenu place Charles-Digeon. Peut-être à cause du mauvais temps ou des vacances... A moins que le problème ne se soit déplacé.

    Le parisien 24 juillet 2004

    24 Juillet


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:19

    France : Comment la maffia juive escroque les grandes entreprises

    C’est la nouvelle Jewish connection. Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie dont l’histoire a été portée à l’écran dans Le Grand Pardon, un film d’Alexandre Arcady, étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël ».

    Une vague d’arnaques déferle sur les plus grandes entreprises françaises et met les services secrets français sur les dents. Les aigrefins osent tout, jusqu’à contrefaire la voix des patrons pour passer des ordres de virement à l’étranger. Au siège de Media Participations à Paris, on est encore sous le choc. Ce géant de la bande dessinée (Dargaud, Dupuis...), avec 20 millions d’albums vendus chaque année, a connu des aventures qui auraient pu inspirer les auteurs de Blake et Mortimer, la célèbre BD qui fait partie de son catalogue. Fin janvier, le siège et plusieurs filiales ont été attaqués par des spécialistes de l’arnaque aux faux virements, rebaptisée par les policiers « escroquerie au président ». Première cible, la directrice financière de Dargaud Suisse reçoit un appel de Vincent Montagne, le président du groupe, exigeant de virer de toute urgence 987.000 euros sur un compte HSBC à Hong-kong, afin de financer une acquisition en Asie. Et il lui interdit d’en parler au patron de la filiale suisse. Téméraire, la directrice téléphone à ses correspondants parisiens, le montant du virement dépassant le plafond autorisé. In extremis, la révélation de l’usurpation de l’identité du patron stoppe le processus. Pourtant, dès le lendemain, Vincent Montagne (le vrai) reçoit un coup de fil du commandant Girard, de la brigade financière : « Nous savons que vous avez été attaqués. Faites le virement, cela nous permettra de prendre les escrocs la main dans le sac. »Prudent, Montagne vérifie auprès de ses contacts policiers : le commandant Girard n’existe pas... Puis c’est au tour de la Société générale, la banque de Media Participations, de recevoir un coup de fil de Vincent Montagne (le faux) affirmant appeler depuis la brigade financière et ordonnant d’effectuer le virement afin de pincer les malfaiteurs. La supercherie est à nouveau débusquée. En trois jours, l’éditeur a subi au moins 30 attaques téléphoniques ! « Les escrocs avaient bien planifié leur opération et acquis une connaissance très fine de notre organisation, témoigne Claude Saint Vincent, directeur général de Media Participations. Leur capacité à usurper la voix du président et à exercer une pression psychologique sur leurs cibles est impressionnante. » De Michelin à l’Elysée Une déferlante. En quinze mois, 180 attaques similaires à celle dont Media Participations a été victime ont été recensées par l’Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), un service d’élite de la police. Areva, Scor, Quick, Nestle, CMA CGM ont repoussé ces offensives, tout comme Michelin, qui vient tout juste de déjouer une série d’escroqueries sur ses filiales belge, suisse, italienne et allemande. « Nous avons porté plainte dans les pays concernés », nous a confirmé une porte-parole du leader mondial des pneumatiques. De grosses PME sont aussi visées, comme Valrhona, le spécialiste du chocolat, ou encore le casino de Trouville (Calvados), qui a échappé de justesse, le 13 mars, à une arnaque de 400.000 euros. Sans oublier l’Elysée, dont les services comptables ont arrêté un faux ordre de virement de 2 millions d’euros en avril 2011. Si leurs tentatives échouent souvent, les escrocs ont fait quelques prises spectaculaires : le transporteur Brittany Ferries, qui s’est fait subtiliser 1 million d’euros ; Vinci, le groupe de BTP, escroqué récemment, mais qui « ne souhaite faire aucun commentaire » ; ou encore Robertet, l’un des leaders mondiaux des parfums implanté à Grasse (Alpes-Maritimes), qui a été délesté de 900.000 euros. Au total, selon la police, plus 20 millions d’euros ont déjà été détournés. Du coup, c’est la mobilisation générale pour protéger nos fleurons du business. Les services secrets - la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) - ont lancé une alerte aux entreprises dans une note sur « la prévention des escroqueries aux virements internationaux », où ils détaillent les techniques des escrocs. « La manipulation fonctionne d’autant mieux que son auteur a la capacité d’y aller au culot, souligne la DCRI. L’air assuré et entendu ne vous incitera alors pas à remettre en cause sa qualité ou sa démarche. » Autre initiative policière : le 6 mars, le commissaire divisionnaire Jean-arc Souvira, chef de l’OCRGDF, a discrètement réuni les responsables financiers et de la sécurité d’une quarantaine de grands groupes dans la salle du conseil du Medef à Paris. « Ils étaient très intéressés, car beaucoup avaient déjà été victimes d’attaques, nous confie Souvira. Et je leur ai donné des outils pour se protéger. »

    Suite.....


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:23

    Arsène Lupin high-tech Ce sont des escrocs d’un nouveau type, des Arsène Lupin high-tech et fins connaisseurs de la finance qui sèment la terreur au sein du CAC 40. Comme des créateurs de start-up, ils sont à l’affût des nouveaux marchés pour repérer les failles dans la législation et le contrôle. On les a vus multiplier les fraudes à la carte bancaire en créant un réseau international de faussaires. Ils ont bluffé les policiers par leur capacité à utiliser la fonction de la « sécurité sociale des indépendants » (le régime RSI), piégeant des dizaines de milliers de chefs d’entreprise à qui ils ont adressé de faux appels à cotisations. Ces escrocs se sont lancés à une vitesse éclair dans les nouvelles arnaques à la TVA. Et là, ils ont trouvé le Graal : le marché du carbone, sur lequel les entreprises s’échangent des droits à polluer. De mémoire de magistrat, jamais une escroquerie aussi juteuse n’avait été montée avec autant de facilité. « Certains escrocs ont gagné plusieurs dizaines de millions d’euros en quelques semaines », confie un juge du pôle financier parisien, en charge de ces dossiers. La technique : acheter des quotas de CO2 hors taxe dans un pays européen et les revendre avec TVA en France, taxe qu’ils conservent avant de disparaître dans la nature. « En quelques clics, ils achetaient de l’air et revendaient de l’air avec un gros bénéfice », déplore Jean-Marc Souvira. « Le CO2, c’était la Lady Gaga dans les affaires », avait lancé Fabrice Sakoun, l’un des rares fraudeurs à avoir été condamnés. Une affaire qui a coûté 1,6 milliard d’euros à l’Etat, « la fraude fiscale la plus importante jamais enregistrée en France en un temps aussi bref », selon la Cour des comptes. De véritables ingénieurs. Pour arriver à leurs fins, ces aigrefins ont recours à des méthodes très pointues. Dans l’arnaque aux faux virements, ils commencent par mener une enquête fouillée sur leurs cibles. « Pendant un mois, une équipe se renseigne sur la société et ses filiales à l’étranger, témoigne Bernard Petit, sous-directeur à la lutte contre la criminalité organisée, l’un des pontes de la police. Elle collecte les PV d’assemblées générales et de conseils d’administration, et s’imprègne de la culture maison en étudiant les messages des dirigeants aux salariés ou les newsletters internes aux directeurs. » Les filous vont même jusqu’à enquêter sur la vie privée des cadres de l’entreprise. « Grâce aux réseaux sociaux, Facebook ou Twitter, ils peuvent savoir le prénom des enfants ou la date d’anniversaire de la secrétaire », relève Michèle Bruno, chef de la brigade de répression de la délinquance astucieuse. Leur technique est aussi très élaborée pour empêcher la police de les retrouver. D’abord, ils achètent leur « matériel » (par exemple, les informations d’Infogreffe sur les entreprises) avec des cartes de paiement prépayées, totalement anonymes puisqu’elles peuvent être rechargées en liquide sans être associées à un compte bancaire. « C’est un vrai problème, car la police ne peut retrouver la trace des paiements des malfaiteurs », regrette Jean-Marc Souvira. Ensuite, les larrons lancent leurs attaques téléphoniques de l’étranger - en particulier d’Israël, où opèrent beaucoup de spécialistes de cette arnaque -, tout en donnant l’illusion d’être en France. Pour cela, ils ont recours à des « plateformes de dématérialisation », qui permettent d’acquérir des numéros de téléphone ayant l’indicatif du pays visé. « Si l’entreprise cible est en France, les numéros de téléphone et de fax achetés commenceront par l’indicatif français, afin de mettre en confiance l’interlocuteur qui recevra l’appel », détaille une note de l’OCRGDF. Vient ensuite la phase d’attaque téléphonique, confiée à une autre équipe. Elle révèle un pouvoir de persuasion hors pair, comme le montrent les enregistrements de la police, que Challenges a pu écouter : « C’est votre président. [ ...] Vous devez faire partir ce virement exceptionnel dès aujourd’hui. Vous recevrez les documents demain. Je compte sur vous, c’est très important », lance l’escroc à la comptable d’une filiale d’un grand groupe. « Mais, monsieur, j’ai besoin de documents pour un tel montant », répond la salariée. « Je vous dis que c’est un virement exceptionnel, vous comprenez ou quoi ? Vous pouvez le faire », s’énerve l’escroc, qui échouera, la comptable ayant alerté sa hiérarchie. « Ils exercent une pression psychologique énorme en invoquant l’urgence de la situation, ou en menaçant souvent de virer la personne », rapporte la commissaire Michèle Bruno. Parmi ces as de la mise en scène, le champion, c’est Gilbert Chikli, qui aurait escroqué une quarantaine de banques françaises ces dernières années en se faisant passer pour un agent secret. Réfugié en Israël après avoir été mis en examen en 2008 pour « escroquerie à la lutte antiterroriste » par la juge parisienne Sylvie Gagnard, Gilbert Chikli a réalisé l’un de ses coups les plus spectaculaires avec La Poste. Se faisant passer pour Jean-Paul Bailly, le président du groupe, il a appelé la directrice d’une agence postale. « Vous allez recevoir un appel d’un agent de la DGSE [les services de renseignements] », lui a-t-il dit. Quelques minutes plus tard, l’agent secret téléphone à la directrice, l’avertit qu’un dangereux terroriste faisant partie de ses clients va bientôt retirer de l’argent. Et il ordonne à la patronne de l’agence de lui apporter tous les billets en caisse pour qu’il leur appose une puce électronique... Un (mauvais) scénario à la James Bond qui a réussi ! La directrice a remis 350.000 euros dans une mallette, qu’elle a glissée sous la porte des toilettes d’une brasserie parisienne ! Après la découverte de l’arnaque, elle a été licenciée et serait tombée en dépression. « Cet escroc ne réalise pas les dégâts humains que ses agissements ont provoqués », déplore Sylvie Noachovitch, l’avocate de la malheureuse cadre de La Poste. Car, pour Gilbert Chikli, ce n’est pas une escroquerie, c’est un jeu. « Je joue une scène qui apporte une certaine jouissance, une certaine adrénaline », déclarait-il en 2010 à France 2 qui avait retrouvé sa trace. Israël comme base arrière C’est la nouvelle Jewish connection. Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie dont l’histoire a été portée à l’écran dans Le Grand Pardon, un film d’Alexandre Arcady, étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël ». En septembre, trois Franco-Israéliens spécialisés dans les faux virements ont été arrêtés à Lyon et à Cannes, dans un palace, en pleine partie de poker. Mais ils sont nombreux à avoir échappé à la justice française en se réfugiant en Israël, entre Tel-Aviv et la station balnéaire de Netanya, très appréciée des Français. L’un d’eux, Alex K, aurait même fait venir le groupe américain Black Eyed Peas dans sa somptueuse villa pour fêter son premier milliard de « tève » (l’arnaque à la TVA), selon l’enquête de Jérôme Pierrat, auteur de Mafias, gangs et cartels. La criminalité internationale en France (Folio, 2011). Dans ce business, les Franco-Israéliens ont des alliés, en particulier les mafias chinoises. « Leurs associés chinois leur versent du cash à Paris en échange des faux virements envoyés dans des banques en Chine », explique le policier Bernard Petit. Et en matière d’escroquerie, les criminels chinois sont aussi des pros, notamment dans les fraudes aux cartes bancaires. Ils ont créé de nombreux ateliers clandestins de fabrication de fausses cartes, dont plusieurs ont été démantelés en région parisienne ces derniers mois. Surtout, ils organisent en France la venue d’équipes de « mules chinoises », selon l’expression des policiers, des acheteurs munis de ces fausses cartes qui raflent les produits de grandes marques. « Ils réalisent des raids d’achats fulgurants dans les magasins de luxe parisiens, puis ils renvoient la marchandise en Chine », avance Patrick Yvars, le chef de la brigade des fraudes aux moyens de paiement. Criminels israéliens, mafias chinoises, mais aussi caïds français. La rentabilité record de ces nouvelles escroqueries a attiré également les barons du milieu parisien. « Auparavant, il y avait une séparation entre les délinquants financiers en col blanc et le grand banditisme classique, souligne Bernard Petit. Désormais, il y a une hybridation. Les équipes sont intégrées. »

    Conséquence : les différends peuvent se régler à l’arme de poing. Quatre meurtres liés à ces escroqueries ne sont toujours pas élucidés. En janvier 2009, Serge Lepage, une figure du milieu, a été abattu devant chez lui, dans l’Essonne, après sa sortie de prison. Le 30 avril 2010, c’est au tour d’Amar Azzoug, un ancien braqueur reconverti dans les arnaques financières, d’être exécuté, à Saint-Mandé (Val-de-Marne). Le 14 septembre, Samy Souied, surnommé « le caïd des hippodromes », pour avoir trempé dans une affaire de blanchiment dans le monde des courses, a été abattu Porte Maillot, à Paris. Il était soupçonné d’être l’un des cerveaux parisiens de l’arnaque à la taxe carbone. Enfin, le 25 octobre dernier, Claude Dray, 76 ans, un homme d’affaires possédant des hôtels de luxe à Saint-Tropez, à Jérusalem et Miami, a été retrouvé mort dans son hôtel particulier de 1.000 mètres carrés, villa de Madrid à Neuilly, trois balles de 7,65 dans le cou. Sans aucune trace d’effraction ni de vol. Ce riche collectionneur avait des contacts avec des artisans de l’arnaque au CO2. Tellement lucrative que le partage des profils

    Suite...


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:23

    Conséquence : les différends peuvent se régler à l’arme de poing. Quatre meurtres liés à ces escroqueries ne sont toujours pas élucidés. En janvier 2009, Serge Lepage, une figure du milieu, a été abattu devant chez lui, dans l’Essonne, après sa sortie de prison. Le 30 avril 2010, c’est au tour d’Amar Azzoug, un ancien braqueur reconverti dans les arnaques financières, d’être exécuté, à Saint-Mandé (Val-de-Marne). Le 14 septembre, Samy Souied, surnommé « le caïd des hippodromes », pour avoir trempé dans une affaire de blanchiment dans le monde des courses, a été abattu Porte Maillot, à Paris. Il était soupçonné d’être l’un des cerveaux parisiens de l’arnaque à la taxe carbone. Enfin, le 25 octobre dernier, Claude Dray, 76 ans, un homme d’affaires possédant des hôtels de luxe à Saint-Tropez, à Jérusalem et Miami, a été retrouvé mort dans son hôtel particulier de 1.000 mètres carrés, villa de Madrid à Neuilly, trois balles de 7,65 dans le cou. Sans aucune trace d’effraction ni de vol. Ce riche collectionneur avait des contacts avec des artisans de l’arnaque au CO2. Tellement lucrative que le partage des profits a fini dans le sang.

    Publié le 25-05-2012 sur http://www.challenges.fr/entreprise/20120516.CHA6506/menace-sur-le-cac-40-les-nouveaux-escrocs-pechent-au-gros.html Par Thierry Fabre

    Rép


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:25

    La mafia en Israël investit dans les paris clandestins au travers de casinos officiels et des bookmakers. Elle est aussi impliquée dans le trafic de drogue, spécialement dans l’ecstasy et le haschich. Les organisations criminelles israéliennes n’ont pas hésité à recruter des juifs orthodoxes pour introduire de la drogue aux États-Unis. Ces organisations entretiennent des liens avec la mafia turque, interlocutrice incontournable sur le marché de l’héroïne. Elle pratique le racket sous forme de protection sur les boites de nuit et restaurants mais aussi le prêt à taux usuraire, la prostitution des filles de l’Est, les cambriolages, le marché noir et le vol de voiture au travers de gangs palestiniens et d’autres encore... Ses organisations pénètrent le marché légal notamment le recyclages des bouteilles en plastique ou le marché des fleurs[1].

    En Europe, ces organisations sont très présentes en Belgique sur le port d’Anvers, plaque tournante de tous les trafics en Europe[3].

    Membres notables


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:29

    Les flics oseront toucher aux gros mafieux de la drogue ?

    Morderire hahahahahahahahahaha

    Mafia israélienne Date de fondation années 1970 Lieu Israël, Géorgie, Pays-Bas, États-Unis, Canada, Ukraine, Allemagne, Biélorussie, Tchétchénie, Royaume-Uni, France Territoire Israël Année active années 1970 à nos jours Ethnies présentes Israélienne Nombre de membres 18 familles[1]. Activités criminelles Trafic de stupéfiants (ecstasy) Racket et extorsion de fonds auprès des boites de nuit, restaurants Usure Contrats d’assassinat Vente d’armes Proxénétisme Vols de voiture Trafic d’antiquités Casinos clandestins Corruption de fonctionnaires de police Racket sur les nouveaux émigrants Infiltration de l’économie légale (recyclage de bouteilles en plastique et marché des fleurs) Évasion fiscale Menace sur témoins Assassinats Alliés Mafia Russe Rivaux lutte entre les différentes familles du crime modifier Consultez la documentation du modèle La « mafia israélienne » désigne de façon générique le crime organisé opérant dans l’État d’Israël ou ayant pour épicentre celui-ci.

    Historique Modifier

    La mafia israélienne, aussi appelée Israeli Connection, s’est constituée depuis les années 1970 et s’est renforcée avec l’apport de milliers de Juifs originaires de l’ex-Union soviétique. Mais aussi parce que la police a longtemps délaissé le crime organisé au profit de la lutte contre le terrorisme, plus urgente. Elle possède des antennes partout dans le monde. Une de leurs grandes spécialités est le trafic de drogue synthétique de type ecstasy.

    Selon le journaliste Serge Dumont, « la mafia israélienne compte 18 familles, en majorité séfarades, descendant de Juifs venus du Maghreb. L’Ashkénaze Amir Mulner, un des chefs les plus importants et fils d’un officier de police, fait figure d’exception »[2].

    Une des premières grosses équipes criminelles date du début des années 1990. Le New-York Gang était expert dans l’import-export de stupéfiants, l’extorsion de fonds et les paris clandestins. Toutes ces activités constituent l’essentiel des activités des organisations criminelles israéliennes. Un de leurs membres, Ephraïm « Freddy » Ran, 60 ans et ancien trafiquant de drogue, qui s’était recyclé dans le marché de l’art a été abattu en janvier 2004[3].

    La police israélienne créé en 2006, "l’unité 443″, pour lutter contre le crime organisé[réf. souhaitée].

    Un des « Rois de l’ecstasy », Yoram El-AL, un israélien de 35 ans, a été arrêté en décembre 2006 sur une plage de Rio de Janeiro. Il était soupçonné d’irriguer Las Vegas avec des pilules faites aux Pays-Bas. Impliqué selon certains dans la tentative d’assassinat de Zeev Rosenstein, il était recherché depuis son évasion d’une prison uruguayenne[3].

    En janvier 2007, Zeev Rosenstein, alias « Fat man » (le Gros), 52 ans, considéré par les autorités américaines comme un des plus gros trafiquant au monde, plaidait coupable devant un tribunal fédéral américain pour l’importation de 850 000 pilules d’ecstasy. Condamné à 12 ans de prison, il purgera sa peine en Israël, son pays d’origine. Cette figure de l’Israeli Connection était présente sur quatre continents et avait recours aux petites mains de latino-américain pour distribuer sa drogue synthétique. Rosenstein a fait l’objet de sept attentats dont l’une sous la forme d’une attaque à la bombe qui tua trois personnes à Tel-Aviv en décembre 2003[3].

    À la suite de cela sont apparus Yossi Musseli et son frère Eli qui lorgnait sur le casino de Rosenstein, monté en Roumanie[4].

    En avril 2014, Charlie Aboutboul, un des patrons de la pègre israélienne dont la famille d’origine nord-africaine est Implantée à Netanya, se suicide par arme à feu[réf. souhaitée].

    Pénétration de la mafia russe en Israël

    Fonctionnement et activités criminelles

    Membres notables

    Bibliographie


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:35

    L’Arnaque du Siècle. Comparée aux diverses escroqueries venant d’Israël et affidés, comme celle du Sentier, la taxe Carbone, faux présidents ou du trading en ligne, l’arnaque identitaire est la plus terrifiante et plus ravageuse. Cependant, leur plus grand fait d’armes en la matière reste après tout l’arnaque mère, celle-là même qui est à l’origine d’Israël : à savoir le fallacieux slogan mensonger d’ « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». C’est que le tout fait partie de la même et seule entourloupe. L’arnaque du Siècle.

    Pour une revanche de l’histoire, c’en est une. Du moins aux yeux de ceux qui, sceptiques comme tout, n’ont jamais vu dans la parasynthèse républicaine qu’une escroquerie qui n’a que trop duré.

    C’est donc de sa naissance jusqu’à sa mort, annoncée proche, que la République a vécu dans la mystification et le mensonge. Au point qu’elle semble mourir aujourd’hui de ses propres armes. Et surtout de la plus redoutable de toutes, l’arnaque identitaire.

    Comparée aux autres venant d’Israël et affidés, comme celle du Sentier [1], taxe au Carbone [2], aux faux présidents [3] et du trading en ligne [4], l’arnaque identitaire est en effet plus terrifiante et plus ravageuse.

    Et pour cause, au-delà les intérêts pécuniaires qu’elle engendre, elle s’attaque en plus aux fondements de la nation et ceux de l’État de droit, et par conséquent à la paix civile. Et ses auteurs sont plutôt doués.

    Connaissant parfaitement les névroses existentialistes de plus en plus accrues en France, et confortés par une donne géopolitique explosive, ils font feu de tout bois afin de distiller au sein de la Société française les germes des dissensions et des troubles. Et pour arriver à leur fin macabre ils n’hésitent devant rien.

    Plus chrétiens que chrétiens, ils s’improvisent fallacieusement chevaliers « blancs » de la chrétienté en galop héroïque permanent envers cet Orient honni pour défendre leurs « coreligionnaires » persécutés.

    Ou, en grand bâtisseurs d’Églises, ils accourent les premiers au secours des celles de France menacées par ces Mosquées qui poussent ici ou là. Voire, nostalgiques d’un glorieux passé français, qui étant souvent immigrés de fraîche date n’ont pas connu, ils sonnent régulièrement l’alerte quant à la présence en France de ceux-là mêmes qui, eux, ont largement contribué à sa réalisation.

    Dans leur esprit comme dans leur souhait, le Christianisme est la haine envers les Musulmans. Le nationalisme, la xénophobie. Le patriotisme, du racisme. Et leur but est la guerre civile. C’est dire combien leur succès est synonyme de la perte du pays.

    Or cette escroquerie n’est devenue possible que par un affaiblissement général sans précédent du corps immunitaire français. Elle est en effet le paravent de la déliquescence et la médiocrité de la pseudo élite « intellectualiste » qui, de nos jours, fait la pluie et le beau temps en France.

    Celle-ci est en effet prompte à concevoir que ceux dont les enfants ne servent que le drapeau israélien sont plus patriotes que les Musulmans de France. Autrement dit ceux dont les morts s’entassent dignement dans les cimetières militaires de France et de Navarre et même leurs enfants représentent aujourd’hui au bas mot le quart de l’effectif total de l’armée française. Et ce avec une crédulité déconcertante. La même crédulité que celle de ces comptables naïfs à qui on demande par téléphone d’effectuer en toute urgence un virement sur un compte inconnu pour un agent secret en embuscade. Ou ces sociétés qui achètent le droit d’émettre du carbone.

    Cependant, leur plus grand fait d’armes en la matière reste après tout l’arnaque mère, celle-là même qui est à l’origine d’Israël : à savoir le fallacieux slogan mensonger d’ « une terre sans peuple, pour un peuple sans terre ». Surtout que le « non peuple » en question s’est montré depuis plutôt combatif. C’est que le tout fait partie de la même et seule entourloupe. L’arnaque du Siècle.

    [1]http://www.liberation.fr/societe/1997/11/21/l-affaire-du-sentier-un-coup-monte-de-main-de-maitre-cinquante-trois-personnes-ont-ete-deferees-deva_220370 [2]http://www.europe1.fr/faits-divers/escroquerie-du-siecle-a-la-taxe-carbone-le-principal-suspect-arrete-2685772

    [3]http://www.police-nationale.interieur.gouv.fr/Actualites/Dossiers/Cybercrime/L-arnaque-au-president-ou-escroquerie-aux-faux-ordres-de-virement-FOVI

    [4]http://www.lefigaro.fr/placement/2014/10/13/05006-20141013ARTFIG00069-le-gendarme-de-la-bourse-alerte-sur-les-arnaques-des-sites-de-trading.p


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 22:44

    Ces habitants idiots rentrent dans le jeu des sionistes .

    Les sionistes se frottent les mains !

    choc des civilisations » dont Soral, les sionistes, les médias mainstream et les sites crypto-sionistes parlent sans cesse.

    La théorie choc des civilisations" est une invention infâme d’un certain Bernard Lewis un juif sioniste ancien conseiller de Benyamin Nethanyahou

    Samuel Hungtington n’a fait que reprendre ce concept idiot pour le rendre célèbre.

    « Le choc des civilisations », c’est le rève du Juif SAMUEL Hungtington de voir les Blancs et les Arabes s’entretuer pour le plus grand profit d’Israel , qui s’en partagera les dépouilles . Les Juifs sionistes parviennent à manipuler les foules.

    Diviser pour régner.

    SORAL qui parle très souvent de « choc des civilisations » est carrément dans la droite ligne des sionistes comme Laibi, Meyssan Dieudonné Piero San giorgio, Hamed Moualek, Aldo Sterone


  • Taverne Taverne 25 avril 2016 22:45

    Bel exemple de retour de la République par les citoyens eux-mêmes. Puisque Saint-Denis, abandonnée, n’a ni police ni justice.

    Il faudrait beaucoup d’initiatives de ce genre pour pallier l’absence de la République en ces lieux dangereux, et oubliés du Pouvoir (sauf pour la coupe de foot).


    • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 23:03

      @Taverne Et l’arrestation des grands commanditaires mafieux ?

      Morderire le naif !


    • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 23:07

      @Taverne

      Les grands mafieux qui tirent les ficelles doivent bien se marrer en vous lisant votre commentaire.

      Hahahahahahahahha

      Pauvre peuple !


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 23:00

    dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.

    Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.

    Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.

    Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.

    Les Dalton parisiens

    Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.

    William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.

    Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.

    Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.

    Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens

    En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».

    Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.

    C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.

    En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.

    À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 23:05

    Les Frères Zemmour - Dailymotion http://www.dailymotion.com/video/xe1ibe_les-freres-zemmour_news

    Explication intéressante des mafieux Zemmour.

    Il n’y pas que les maghrébins qui connaissent la prison !

    Morderire


  • Milla (---.---.39.247) 25 avril 2016 23:10

    Le Zemmour qui passe dans les médias israéliens comme quelqu’un d"irréprochable et accuse souvent les maghrébins d’être des délinquants

    Qu’il balaye devant sa porte

    Hahahahahahahaha On se marre bien en France avec son peuple neuneu !


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 00:48

    Crime organisé:la mafia juive en France et le marché des drogues lourdes

    Une photo rare dans les journeaux,en France : un juif sioniste mafieux en état d’arrestation. Une photo rare dans les journeaux,en France : un juif sioniste mafieux en état d’arrestation.

    Le 27 novembre 2010, après plusieurs semaines d’enquête, la police judiciaire parisienne a mis la main sur cent-dix kilos de cocaïne en provenance de Colombie (7 millions d’euros à la revente au détail). La drogue était stockée dans un luxueux appartement de Neuilly-sur-Seine en travaux. Sa propriétaire, absente, est une princesse saoudienne, qui a rapidement été mise hors de cause. Outre la drogue, les policiers ont également saisi près de 170 000 euros en liquide lors des différentes perquisitions qui ont eu lieu, ainsi que des vêtements et des objets de luxe.

    Deux hommes et deux femmes ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux est de nationalité iranienne ; l’autre est de nationalité vénézuélienne, selon Libération. Le Figaro précise que quatre personnes ont été arrêtées : « un Vénézuélien, un Iranien et deux Français, dont une femme, compagne du chef de réseau, et un homme “bien inséré”, qui réside dans le XVIe arrondissement de Paris. Deux autres Français, mêlés à ce trafic, sont en fuite. »

    En juillet 2010, les douaniers de Roissy avaient déjà saisi, dans un bagage non accompagné, 134 kilos de cocaïne dans un avion en provenance de Bogota. En juin, les douanes avaient réalisé la saisie de cocaïne la plus importante de leur histoire en découvrant 1,39 tonne de cocaïne sur un voilier, près des côtes de la Martinique.

    Le 14 avril 2010 avait aussi eu lieu une grosse prise de drogue en Espagne : 814 kilos de cocaïne saisis dans un vrai faux camion du Paris-Dakar doté de 32 double-fonds. Le véhicule, couvert d’autocollants et de logos de grandes marques, avait été transformé pour faire croire à sa participation au Rallye Paris-Dakar comme camion ravitailleur, et avait suivi l’ensemble du parcours de la course. Il y avait même, à l’intérieur, des publicités qui étaient distribuées aux foules en liesse à chaque étape. La cocaïne avait été chargée au point de départ du Rallye, près de Buenos-Aires en Argentine, qui accueillait cet hiver le Paris-Dakar, et devait être acheminée à Ibiza, dans les Baléares, via le port de Bilbao.

    Curieusement, la presse occidentale ne livre quasiment jamais les noms des trafiquants, sauf exception. Le magazine Times du 18 novembre 2009, par exemple, nous apprenait qu’un rabbin de Manchester, Baruch Chalomish, 54 ans, passait en procès pour trafic de cocaïne. La police avait retrouvé chez lui plus de 100 grammes de coke, une balance pour la peser, des billets roulés pour la sniffer, des cartes bancaires pour la mettre en ligne et 17 000 livres de cash. Le rabbin Chalomish, membre de la communauté juive orthodoxe de Manchester, distribuait aussi la drogue à des jeunes prostituées en échange de “faveurs sexuelles”. A son procès, il apparut avec sa barbe et son chapeau de fourrure. Dans le box des accusés, un interprète lui traduisait en hébreu les propos des magistrats.

    La presse israélienne est moins vigilante, semble-t-il. Dans le Haaretz du 15 mai 2009, on apprend qu’un juif hassidique de la communauté de Satmar, en Israël, a été condamné au Japon à huit années de prison pour trafic d’ecstatsy. Il était le plus jeune de trois étudiants juifs arrêtés l’année précédente avec 90 000 pilules dans leurs valises. Les deux autres, Yoel Goldstein and Yaakov Yosef Grinwald, attendaient toujours leur procès. Tout trois avaient été arrêtés en avril 2008 à l’aéroport de Tokyo, dans un avion venant d’Amsterdam.

    Le 3 juin 2009, selon Haaretz, deux Israéliens avaient été arrêtés par la police anglaise avec pas moins de douze tonnes et demi (12,5 tonnes) de marijuana(environ cinquante millions de dollars). Moshe Kedar, un homme de 81 ans, et son complice Mordechai Hersch, 67 ans, avaient été appréhendés après une filature.

    En novembre 2008, un citoyen israélien d’une cinquantaine d’années était arrêté dans un appartement de Lima, au Pérou. Chez lui, les policiers avaient trouvé une demi-tonne de cocaïne. Son activité d’import-export de textile lui servait de couverture.

    Le 4 septembre 2008, le tribunal correctionnel de Papeete avait condamné l’israélien Teiva Spector à dix ans d’emprisonnement pour un trafic de stupéfiants entre les Etats-Unis et Tahiti. L’homme avait aussi des passeports français et américain. Parmi les 18 autres prévenus, beaucoup étaient ressortis menottés et avaient été emmenés en prison, des mandats de dépôt ayant été prononcés à leur encontre. Ce réseau de trafiquants de drogues (ice et cocaïne) avait été baptisé par les médiats locaux, “Vahine connexion”, parce que Teiva Spector employait des femmes (“vahine”, en tahitien) pour faire transiter la drogue entre les Etats-Unis et Tahiti. Ces dernières, recrutées par son ex-concubine, condamnée à 8 ans d’emprisonnement, cachaient la drogue enroulée dans du film étirable entre deux culottes pour passer les frontières. Elles transportaient entre 300 et 500g d’ice ou de cocaïne et étaient rémunérées 8000 euros par passage. Ce vaste trafic, à l’échelle de Tahiti, se poursuivit de 2004 à 2006. C’est le contrôle douanier d’une des prévenues à l’aéroport international de Tahiti-Faa’a, en juillet 2006, qui avait fait tomber le réseau.

    En février 2008, le rabbin hassidique Simcha Aschlag et son assistant, avaient été arrêtés à l’aéroport de Roissy. Ils transportaient dans leurs valises quelques 20 kilos de drogues. Le rabbin, petit fils de Yehuda Leiv Ha-Levi Ashlag, célèbre commentateur du Zohar, était assigné à résidence à Paris avec son complice. Mais au mois d’octobre, les représentants parisiens des avocats Yitzhak Osbicher et Moti Zivin parvinrent à obtenir du juge français leur libération provisoire afin qu’il puissent se rendre en Israël pour les fêtes, et ce, sans apporter aucune garantie de leur retour en France !

    Nous ne prétendons pas que les malfrats juifs soient les seuls à faire du trafic international de drogue, mais enfin, certains signes permettent de supposer qu’ils sont en situation dominante. Le trafic d’ecstasy, en tout cas, est bel et bien un monopole de la mafia juive. Il suffit de voir les noms et les passeports de tous ceux qui ont été arrêtés, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Belgique, en Hollande, en Afrique du Sud ou en Australie. S’ils s’étaient appelés Martin ou Pont l’Evêque, les coupables auraient eu le droit au journal de vingt heures, avec leurs tronches de blondinets en gros sur l’écran. S’ils s’étaient appelés Mohammed ou Aristide N’Goulou, la presse aurait discrètement cité leur nom avec quelques jours de retard. Mais quand les trafiquants internationaux s’appellent Shapiro, Lasry, Goldblum ou Rappaport, tous les journalistes du système la mettent en veilleuse.

    Le fait est que les gros trafiquants de drogue internationaux sont des juifs ; les grands proxénètes internationaux sont des juifs ; les grands escrocs internationaux sont des juifs ; les grands négociants de matières premières sont des juifs, etc. Il a fallu six livres de 400 pages à l’écrivain Hervé Ryssen pour tenter de faire le tour de la question. Et encore… Il s’est arrêté à mi-chemin !


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 01:01

    Des habitants vont stopper le trafic de drogue ?

    Morderire
    HahahaHahahahahaha

  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 01:22

    French connection en Israël : un trafic de drogue découvert à Tel-Aviv

    Actualités, International, Israël - le 29 décembre 2015 - par Noga Bar-Noye

    Ils ont gagné des millions de shekels en faisant passer de la cocaïne, ils vivaient dans des appartements résidentiels de luxe à Tel-Aviv, l’aventure des 3 franco-israéliens et d’un habitant de Jérusalem s’est arrêtée. Jusqu’à présent, aucune information sur l’affaire n’était disponible en raison d’une interdiction de publication afin de ne pas compromettre l’enquête des « stups ».

    Dans le cadre de l’enquête « French Connection », nous venons d’apprendre que de la drogue en provenance de France était importée en Israël. La police a arrêté quatre suspects Emanuel Amoyal, Dan Ben Tolila et Sarah Ben Abou (qui sont franco- israéliens) et Yossi Gabay, résident de Jérusalem.

    La police soupçonne les quatre d’avoir établi récemment un trafic de drogue de la France vers Israël qui leur aurait rapporté des millions. « Ces gens-là sont intelligents, pas stupides, ils ont travaillé correctement et savaient comment faire de l’argent sans se faire prendre », a déclaré un proche de l’enquête. Les suspects ont grandi en France et ont immigré en Israël et y vivent depuis plusieurs mois voire plusieurs années.

    L’enquête des stups a révélé qu’Amoyal et Ben Tolila se connaissaient et servaient de mules. Conformément à l’accord entre la passeuse et les deux suspects, ces derniers prenaient l’avion de France et effectuaient leurs livraisons en échange de 3.000 euros. D’après l’enquête, il s’est avéré que la passeuse cachait elle-aussi la cocaïne dans son vagin. Après l’atterrissage, ils se rendaient dans les appartements de luxe où les suspects vivaient à Tel-Aviv et livraient la marchandise.

    Le principal suspect, Emmanuel Amoyal, a été arrêté en novembre. Les autres suspects ont été arrêtés plus tard. L’enquête de la police a révélé qu’entre Amoyal et Tolila un désaccord financier est apparu, de plus, l’ancienne petite amie d’Amoyal Sarah ben Abu qui servait de passeuse de drogue, aurait eu une aventure avec Ben Tolila.

    Jaloux, Amoyal par vengeance aurait décidé de le tuer. La police soupçonne qu’Amoyal avait prévu de venir en Israël afin d’accomplir l’acte, mais à son arrivée en Israël, il a été arrêté à Tel-Aviv dans le cadre de l’enquête,

    Les autres suspects quant à eux nient toute implication. Affaire à suivre….

    Source : ynet.co.il


    • Deva (---.---.53.149) 21 juin 2016 00:05

      @MILLA

      Quest en til de la suite des suspect ? Prison ou liberee ?? Merci de repondre


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 01:34

    Pourquoi Tant D’Israéliens De La Mafia Juive Sioniste Sont-Ils Sous Les Verrous ?

    Actuellement on compte 7 trafiquants d’armes juifs israéliens détenus dans 4 pays : USA, Russie, France et Grande Bretagne. Israël se targue d’avoir des exportations d’armes en plein boom. L’entité sioniste survit grâce à ses ventes d’armes légales mais aussi son réseau mondial mafieux juif israélien d’ex militaires trafiquants d’armes.

    Certains de ses criminels juifs israéliens sont non seulement accusés de trafic d’armes mais aussi de corruption, falsification, blanchiment d’argent, et de violer les différents embargos du CSONU. Tous ces criminels juifs sionistes - qui font partie d’un réseau mondial qu’on peut appeler la Mafia Juive Sioniste au même titre qu’il existe une Mafia Sicilienne s’appuyant elle aussi sur un réseau mondial ou une Mafia Russe etc... présentent plusieurs points communs. 

    Tous sont des hommes de 50- 60 ans qui se sont enrichis par le passé dans le trafic mondial d’armes ou l’exportation de services de sécurité et d’équipements en provenance d’Israël. Tous ont bien sûr servi dans l’armée israélienne à des grades divers allant de celui de capitaine à celui de lieutenant colonel, et tous lors de leur arrestation ont nié les accusations portées contre eux, le mensonge étant une profession de foi très répandue dans l’armée et les milieux politiques sionistes. 

    Ces 7 criminels juifs Sionistes sont tous connus au sein de l’establishment militaire israélien, ayant arpenté des centaines de fois les couloirs des institutions militaires où ils ont reçu les permis d’exportation d’armes et la bénédiction politico militaire - active ou passive - des plus hauts responsables israéliens. 

    Autrement dit ce trafic d’armes mondial criminel est toléré voire encouragé au plus haut niveau de l’entité sioniste et constitue en fait un mode opérationnel mondial indirect de déstabilisation sioniste - dépeçage d’états * : monter les minorités les unes contre les autres en exacerbant les conflits ethniques, diviser, et faire éclater les états nations - d’états situés principalement en Afrique et en Amérique Latine mais aussi au Moyen Orient, en Europe de l’Est, Asie etc… 

    A cela bien sûr viennent s’ajouter les activités « légales » publiques elles de tous ces ex militaires juifs israéliens qui servent de conseillers, formateurs etc… pour les dictatures ou régimes autoritaires qui ont besoin du « savoir faire » sioniste en matière de répression violente de toute forme d’opposition. 

    Tous ces trafiquants d’armes juifs sionistes ont dans le cadre de leurs activités criminelles juteuses toujours cherché à « expédier les procédures » en violation des règles locales et internationales, et l’ont fait par pure avidité. A cause de cette recherche du profit à tous prix, de cette convoitise tous sont à un moment ou un autre tombés dans les filets de ceux qui essaient honnêtement de faire cesser ce trafic d’armes. Ces criminels juifs sionistes purgent ou risquent de purger de longues années de prison. 

    Shimon Naor - Hershkowitz est détenu en France et sera probablement extradé vers la Roumanie où il a été condamné à une peine de prison de 11 ans. Il a été reconnu coupable d’avoir contrefait des documents (certificats de destinataire) qu’il a utilisé pour acheter des armes roumaines en partenariat avec un Roumain qui l’a ensuite dénoncé aux autorités roumaines. Ces armes étaient supposées destinées au Togo mais en réalité ont été envoyées aux rebelles en Angola. 

    Yair Klein a été détenu plus d’un an dans une prison en Russie après avoir été arrêté à la demande de la Colombie qui a demandé son extradition l’accusant d’entraîner les gardes du corps des barons de la drogue. Klein qui va sur ses 70 ans est très certainement le type de juif israélien qu’on peut qualifier de « mercenaire » de la pire espèce. Il a auparavant été emprisonné en Sierra Léone. Malgré cela les autorités russes viennent de renoncer à l’extrader vers la Colombie et l’ont renvoyé en Israël refuge d’un grand nombre de criminels mafieux juifs de la même espèce venant du monde entier assurés que le régime sioniste n’acceptera jamais leur extradition. 

    Exemple de ces Juifs sionistes mafieux réfugiés en Israël : Arkadi Gaydamak, milliardaire Russo-Israelien jugé par contumace en France -où il a vécu pendant un certain temps - pour trafic d’armes devenu en Israël une célébrité. Il a même brigué, sans succès, la mairie de la ville de Jérusalem sous occupation. Il se déplace régulièrement entre Tel Aviv et Moscou sans que les autorités françaises n’aient à ce jour tenté de le faire extrader. 

    En Grande Bretagne, Gidon Sarig, 58 ans, qui a d’abord été condamné à plusieurs mois de prison a ensuite été condamné à 7 ans de prison pour avoir vendu des armes et d’autres équipements de combat à des partis au Venezuela, Pérou, Sénégal, Nigeria, Gabon, et surtout au Sri Lanka. 

    En Janvier de cette année, Ofer Pazaf, 50 ans, président de la société Kfar Sava qui travaille comme intermédiaire et représente des consultants en sécurité et des industries militaires, a été arrêté à Las Végas. Deux autres criminels juifs israéliens ont été arrêtés en même temps que lui ces deux derniers vivant aux US depuis plusieurs années. Yohanan Cohen, 47 ans, président du conseil d’administration d’une société de San Francisco qui fabrique des équipements de sécurité et Haïm Gary, 50 ans, président de la société Miami qui agit comme intermédiaire pour le compte d’entreprises d’armement. 

    Tous les trois, de même que 20 Américains et personnes d’autres nationalités ont été arrêtés lors d’une opération coup de filet menée par le FBI. L’un des agents du FBI s’est fait passé pour un représentant du ministère de la défense d’un pays africain et a prétendu vouloir acheter des armes en échange d’un pot de vin- qu’on appelle en terme « professionnel » une « commission ». 

    Dernier - pour le moment - juif israélien trafiquant d’armes mafieux à se retrouver sous les verrous, Hanoch Miller, 53 ans, a été arrêté fin Juin aux USA. Il a été accusé avec son trafiquant de partenaire américain, le colonel à la retrait de l’ US Air Force, Joseph O’ Toole, d’avoir tenté d’obtenir et de vendre des milliers d’AK-47 (Kalashnikov) au « gouvernement » de Somaliland, région séparatiste du Nord de la Somalie. Les armes devaient être achetées aux US et envoyées par avion au Panama et en Bosnie et de là au Somaliland. Mais ce projet a échoué car un troisième partenaire dans cette affaire crapuleuse qui devait acheter les armes de Miller et O’Toole, travaillait en fait pour les autorités douanières. 

    Et ce ne sont là que quelques exemples des activités de la Mafia Juive Sioniste - rapportées comme simples faits divers dans la presse israélienne et qui ne font d’ailleurs même plus scandales là bas- qui a su tisser un réseau mondial dont le nœud central se trouve à Tel Aviv véritable plaque tournante de cette Mafia Juive Sioniste. 


  • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 11:05

    illa (---.---.---.10) 16 avril 15:00 LES FRÈRES ZEMMOUR

    Les « Z » débarquent

    Juifs pieds-noirs originaires de Sétif, en Algérie, ceux que le Milieu surnomera les « Z », ce sont cinq frères : Roland, né en 1925, Théodore, né en 1927, William en 1930, Gilbert en 1935, et Edgard, né en 1937. L’aîné, Roland, part pour Paris le premier, en 1945. Petit proxénète, il est assassiné en 1947, rue Blondel. Les quatre autres frères débarquent eux durant l’année ’55. Ensemble, ils vengent leur frère. Puis Théodore prend le large tandis que les trois autres restent à Paris.

    Suivant la voix du crime que leur frère a tracé, William, Gilbert et Edgard démarrent dans le métier par des escroqueriers aux trousseaux et au vin, puis font tapiner quelques filles pour le compte des frères Atlan, chefs de file de la communauté pieds-noirs de Paris. Une fois dans le bain, les « Z » se détachent petit à petit de la houlette des Atlan et se mettent à leur compte, faisant toujours dans le tapin et organisant aussi un trafic de femmes en partance pour les Eros Center allemands.

    Soudés, les Zemmour tirent leur force de leur complémentarité et de leur union fraternelle. William, l’aîné des trois, est le chef de la bande. Gilbert, lui, est organisé et dur en affaire. Quand à Edgard, c’est un fou furieux. Chaque jour, des rapatriés d’Algérie arrivent à Paris et grossissent la communauté pieds-noirs. Parmis eux, bon nombre de truands. Et ces nouveaux venus préfèrent se ranger du côté des Zemmour, la valeur montante du Faubourg Montmartre (haut-lieu de la prostitution), plutôt que chez les Atlan ou les Perret, dont le déclin est amorcé.

    Mais bien que les « Z » soient désormais réputés à Paris, ils n’ont pas encore véritablement percés. Trop de fratries pieds-noirs dans le IXe. Et la plus génante, c’est celle des Atlan, suivit de près par les Perret.

    Dès lors les Zemmour décident de se charger de ces personnes génantes. Le 2 octobre 1965, Sion Atlan est abattu dans un café-restaurant. Les regards se tournent vers les Perret, et les Zemmour font tout pour que la rumeur circule dans tous les coins de la capitale. Le plan marche : durant l’année 1966, les vengeurs de Sion Atlan mitraillent les deux frères Perret (sans concéquence) et tuent deux de leurs associers. Entre temps, le 2 décembre 1966, c’est le second Atlan, René, qui est tué. Appeurés et vieillissants, les Perret se retirent et vont s’installer dans l’ouest de la France. La voie est libre. Les Zemmour sont les nouveaux maîtres du Faubourg Montmartre.

    Les Dalton parisiens

    Les « Z » tranquilles, ils investissent dans le IXe, puis sortent des limites de leur arrondissement et deviennent les maîtres de toute la prostitution parisienne, contrôlants hôtels de passe, bars à putes et cabarets. Avec les bénéfices tirés du proxénétisme, ils investissent dans un Eros Center de Francfort et dans l ?immobilier à Paris.

    William, marié, mène en apparence une vie rangée mais continue de diriger le clan, avec son frère Edgard. Celui-là aime à flamber, et le monde d’argent et de violence qu’est le milieu lui plaît. Gilbert fait, lui, bande à part. Marié et père de deux enfants, il est en quête d’honnorabilité et aimerait s’extraire de sa condition de voyou. Pour cela, il se met à acheter des affaires légales. Devenu un homme d’affaire avisé, il tient un restaurant et possède des parts dans trois night-club parisiens. Puis en 1970, il part vivre au Canada, se retirant ainsi complètement du milieu, et y monte une grosse compagnie immobilière. La fortune est au rendez-vous.

    Avant cela, ne possédant qu ?un petit club de jeu à Montmartre (le Bridge Club), les Zemmour veulent se faire une place dans le jeu parisien. C ?est dans ce but qu ?ils se sont rapprochés de Marcel Francisci. En 1967, ils poussent ce dernier à relancer les hostilités contre son rival Jean-Baptiste Andréani. En plus d ?être lui aussi un roi du jeu parisien, il a eut l ?affront de refuser l ?aide que leur proposaient les frères pieds-noirs, préférant celle des deux frères Panzani. De la fin 1967 à l ?automne 1968, six corps tomberont. Et au final, les Zemmour se sépareront de Francisci.

    Par ailleurs, les ?Z ? fournissent avec leurs associés Riwen Liwer et Roger Bacry des colleurs d ?affiches et des agents électoraux aux candidats gaullistes, ce qui leur permet d ?avoir des protections jusqu ?au début des années 70. Vers ce moment, William et Edgard tentent une implantation en Israël, en association avec les frères Abitbol. Ils veulent ouvrir des boîtes à Tel-Aviv, mais cette tentative est un échec. Ils abandonnent l’idée en 1972.

    Pieds-Noirs contre Pseudo-Siciliens

    En 1970, un membre du clan Zemmour, Roger Bacry, dit Petit Roger, propose aux « Z » de faire dans la came. Ces derniers refusent. Bacry, avec ses copains de la banlieue sud, dont entre autres Jean-Claude Vella, Marcel Gauthier et Daniel le Polonais, fait sécession et monte sa propre filière en association avec André Condemine. Le trafic tourne mal et la filière est démantelée. Bacry et compagnie reviennent penauds chercher du travail chez les Zemmour, qui rejettent leur réintégration. Dès lors, ils vont trouver du soutient chez des truands lyonnais, et se font appeler le « gang des siciliens ».

    Les hostilités commencent en 1973. Le premier a tomber est Raphaël Dadoun, fidèle des « Z ». Pour cette seule année 73, on compte dix morts. En 1974, Bacry se suicide. Vella et Gauthier sont abattus respectivement en 1975 et en 1976. Le 2 février 1975, une fusillade au bar Laetitia visant les frères Panzani fait quatre blessés et un mort. Cette même année voit se dérouler un épisode des plus tragiques pour les Zemmour : le 28 février, William, Edgard et deux amis doivent s’expliquer avec des membres de la bande adverse au bar Thélème. La police, avertit, prévoit une fusillade et aperçoit les parrains parisiens. Dès lors, elle décide d’intervenir. Edgard les a vu et prévoit la riposte. Les policiers entrent dans le bar et tirent sans sommation. La fusillade fera deux morts : William et son garde du corps Joseph Elbaz. Edgard, lui, est grièvement blessé. Les combats s’étaleront jusqu’à la fin des années 70 et auront fait au total près de trente morts.

    C’est le début de la fin pour les « Z ». Gilbert perd ses établissements parisiens ainsi qu’une partie de sa fortune du Canada. Les bien immobiliers de la prostitution qui étaient géré par William ferment, font faillites, sont rachetés... En 1976, une fois rétablit et après quelques mois de préventive, Edgard part se mettre au vert à Miami. Là-bas, il ouvre un restaurant et, acculé à la faillite, y met le feu.

    En 1981 Edgard est de retour à Paris. Il veut récupérer un million de dollars que lui devrait Marcel Francisci. Ce dernier, menacé de mort, ne prend pas les menaces au sérieux. Pourtant, le 14 janvier 1981, il est abattu dans son parking. Edgard est innocenté mais préfère repartir vivre à Miami. Cela ne l’empêche pas, le 8 avril de la même année, d ?être tué dans sa villa de quatre coups de feu tirés par un tireur armé d ?un fusil à lunette caché à quatre cent mètres de là. Ce serait un ami de Francisci d ?un poids important au sein du Milieu, Paul Mondoloni, qui aurait envoyé l ?un de ses lieutenants, Gilbert le Libanais, abattre Edgard Zemmour. Le 28 juillet, c’est Gilbert qui s’écroule, abattu à Paris alors qu’il promène ses caniches.

    À lire : « Les Derniers Seigneurs de la Pègre » de Le Taillanter.


  • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 11:38

    Meyer, Nessim et Mardoché El Maleh sont en prison, depuis mercredi 10 octobre. Les trois frères sont soupçonnés d’être à la tête d’un réseau international mêlant habilement drogue et blanchiment d’argent. Chacun aurait eu un rôle spécifique qui permettait à l’ensemble du réseau de s’articuler : depuis la récolte de cannabis, dans le Rif marocain, jusqu’au blanchiment de l’argent à Genève, dans les banques les mieux introduites de la plaque financière suisse. Mardoché : Le cannabis parisien Mardoché aurait été le premier maillon de la chaîne. Il aurait organisé le trafic de drogue depuis le Maroc, en passant par l’Espagne, jusqu’à Paris. Là, le cannabis était vendu. L’enquête a permis d’établir que ce manège ne touchait pas la seule banlieue de Nanterre, mais une grande partie du marché du deal de cannabis parisien, rapporte Le Matin.ch. Mardoché aurait alors eu pour rôle de collecter tous les fonds retirés de la vente. Il aurait donné une partie de cet argent à de riches Français disposant de comptes illégaux en Suisse mais qui avaient besoin de liquidités. Meyer : La compensation financière En échange, Meyer Elmaleh, l’aîné des frères, aurait débité de leurs comptes suisses la somme équivalente à celle offerte en liquide par Mardoché. Ainsi, le transport d’argent en liquide de la Suisse vers la France n’était pas nécessaire, il ne quittait pas l’hexagone et la fraude fiscale des riches Français restait invisible. Simultanément, l’argent de la drogue ressortait blanchi par ce système de compensation. Meyer Elmaleh est un gestionnaire de fortune indépendant. Il était responsable, depuis 2010, de la société de gestion de fortune, GPF, dans le quartier de Rive, au centre de Genève. Cet établissement, créé par son beau-père il y a 35 ans, est réputé pour son sérieux sur la place financière. Nessim : HSBC GPF possède un compte chez la banque britannique HSBC de Genève, or le frère cadet Nessim Elmaleh, était employé pour cette banque. Il aurait utilisé sa position privilégiée dans l’établissement pour ouvrir des comptes et transférer les sommes d’argent retirés des comptes des évadés fiscaux. A partir de là, l’argent était réinvestit dans différentes affaires de la famille. Un quatrième membre de la famille possède un poste à la direction générale de la banque. Il n’aurait toutefois pas été inquiété par la justice. La spécificité de ce trafic de drogue réside dans son ampleur, dans la complexité du système financier qui blanchissait l’argent, mais aussi dans la faible connexion entre les deux. Meyer Elmaleh devrait jouer de cette faiblesse. Alors que lors de la perquisition de son domicile, la police genevoise a découvert 1,1 million d’euros en liquide et 160 montres de luxe, Me Stickel-Cicurel, son avocat fait savoir que son client « admet avoir fait ces opérations de compensation mais conteste avoir travaillé avec de l’argent issu d’un trafic de drogue.


  • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 11:46

    La nouvelle prend de l’ampleur : une conspiration juive internationale kidnappe des enfants pour s’emparer de leurs organes. Une nouvelle affaire choquante révèle un complot israélien visant à récolter les organes d’enfants algériens.

    L’affaire, publiée dans le quotidien algérien de langue arabe al-Khabar, rapporte qu’Interpol, l’organisation policière internationale, a révélé l’existence d’un ’gang juif’ qui était ’impliqué dans l’enlèvement d’enfants en Algérie et dans le trafic de leurs organes.’ Selon l’article, des groupes de marocains et algériens parcouraient les rues de villes algériennes, dans le but de chasser de jeunes enfants. Ils faisaient ensuite le trafic de ces enfants de l’autre côté de la frontière du Maroc voisin. Les enfants étaient ensuite vendus à des juifs israéliens et américains à Oujda, la capitale du Maroc de l’Est, afin de prendre les organes pour Israël et les Etats-Unis. L’article se base sur les déclarations de Mustafa Khayatti, directeur du Comité National Algérien pour le Développement de la Recherche sur la Santé. Khayatti soutient que l’enlèvement des enfants en Algérie est lié aux arrestations faites à New York et dans le New Jersey à la fin du mois de juillet, dans lesquelles plusieurs hommes juifs ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête sur le trafic illicite d’organes et la corruption politique. L’affaire est dans la lignée de l’article publié le mois dernier dans Aftonbladet, le quotidien suédois au plus fort tirage, qui suggérait que l’armée israélienne enlevait et tuait de jeunes palestiniens pour récoler leurs organes. L’article faisait la lumière sur le cas de Bilal Ahmed Ghanem, un jeune homme palestinien de 19 ans, qui a été abattu en 1992 par les forces israéliennes à Imatin, un village de Cisjordanie. Bostrom, qui a assisté à l’assassinat de l’homme, a dit que le corps de Ghanem a été enlevé suite à la fusillade et a été rapporté à minuit — pendant un couvre-feu imposé — quelques jours plus tard par l’armée israélienne avec une incision de l’estomac jusqu’au cou qui n’a jamais été recousue. Bostrom a soutenu qu’une autopsie était nécessaire si la cause de la mort n’était pas apparente, tandis que pour ce cas il était clair que Bilal avait été abattu. Après cet incident, au moins 20 familles palestiniennes ont dit à Bostrom qu’elles soupçonnaient l’armée israélienne d’avoir pris les organes de leurs fils après leur assassinat, et l’enlèvement de leurs corps.


  • Milla (---.---.43.251) 26 avril 2016 11:48

    Des juifs sionistes trafiquants d’ovocytes Des fanatiques menés par des extrémistes juifs vivant aux crochets de la société roumaine ont exaspéré la population roumaine lorsque ces derniers ont découvert un monstrueux trafique d’ovocytes humains. 30 juifs sionistes menés par des rabbins ont été arrêtés sous les preuves de trafiques d’ovocytes en Roumanie. Ils payaient leurs victimes pour s’enrichir du trafique d’humain. Voici comment les fanatiques juifs sionistes gagnent leur vie sur le dos de pauvres occidentaux. Ils ont d’ailleurs été arrêtés dans une clinique de fertilité de Bucarest.

    Après l’opération d’escroquerie de madoff, l’opération vidange des comptes d’association par dray selon le rapport, le monstrueux centre de cinq rabbins trafiquants d’organes, nous retrouvons donc d’autres juifs sionistes dans le trafiques d’ovocytes en Roumanie.

    Parmi ces 30 juifs sionistes, 28 ont été libérés sous caution. Le porte parole du ministère des affaires étrangères yossi levi a confirmé ces arrestations et le paiement de la caution pour les 28 trafiquants d’ovocytes sur la radio juifs sionistes « radio sionistan ». Il a d’ailleurs déclaré que l’ambassade du sionistan de Roumanie a collaboré avec les autorités locales.

    Le porte parole levi a déclaré « nous avons pleinement confiance en la Roumanie »… bien sur que tu as confiance coco, tu ne peux faire autrement. A moins que ces dires voudraient suggérer que la justice puisse être indulgente parce que ce sont des juifs sionistes.

    Selon les medias roumains, une unité spéciale a perquisitionné la clinique et a arrêté des dizaines de personnes y compris les membres de gestion important de l’institution. La clinique était suspectée par la police sur un possible traitement des cellules souches et des ovocytes. Certaines femmes juives ont vendu leurs œufs dans cette clinique.

    Selon le rapport de police, des femmes juives faisaient le trajet jusqu’en Roumanie dans cette clinique pour vendre leur ovules après un traitement de fertilité. Les femmes ont reçus des milliers de dollars pour la vente de leurs ovules, des œufs humains. Ce qui est illégale en Roumanie et d’ailleurs dans toutes l’Europe.

    Le traitement in vitro est un processus sans frais, pris en charge par la santé et ne peut donc faire l’objet de trafique international ni national. Mais les femmes stériles, qui voulaient avoir des enfants étaient obligés de verser des sommes considérables pour recevoir ces ovules. Il y a quelques années, le gynécologue et professeur expert en fécondité zion ben raphael et rabbin du centre médical ont été reconnu coupable de vol d’œufs des patientes. Il a été constaté que leurs ovaires ont été stimulés par des médicaments pour qu’ils puissent produire un excédent d’œufs murs pour l’extraction.

    La morale juive sioniste : tous est de l’argent même les êtres humains…


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 11:58

  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:10

    Lutter contre les trafics en tous genres dans les quartiers et dans la campagne, c’est aussi exposer le rôle de la haute finance.

    Nous avons eu le scandale HSBC qui a révélé le blanchiment de l’argent de la drogue à grande échelle. HSBC a ouvert des guichets spéciaux dans ses locaux à Mexico, où les narcotrafiquants pouvaient déposer des caisses emplies d’argent liquide, pour faciliter le processus de blanchie ment.

    L’auteur de Gomorrah, Roberto Saviano a pointé du doigt le rôle néfaste de la City de Londres de Wall Street de la filiale paradis fiscaux dans le blanchiment d’argent du trafic de drogue. Il souligne notamment que les banques britanniques et les services financiers ignorent délibérément la règle implicite qui prévaut dans la finance : « Connais tes clients ». Londres est devenu une véritable plaque tournante du trafic de drogue international.

    En France, c’est la stupeur quand le reportage sur France 3, à propos du crédit mutuel et de sa filiale Pash, expose le rôle de la Banque « mutualiste » française dans le blanchiment d’argent liquide provenant de la mafia.

    La sécurité, c’est une lutte acharnée contre la finance de l’ombre, le blanchiment d’argent. Les lois et les moyens doivent être mis en place pour lutter contre les criminels en col blanc.

    Seul ce travail contre la base jusqu’au sommet du crime organisé pourra mettre à mal l’insécurité quotidienne, le trafic en tous genres, ainsi que le terrorisme.


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:18

    Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio Maria Costa

    Directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC) de 2002 à 2010, Antonio Maria Costa a fait la Une des quotidiens internationaux en janvier 2009, lorsqu’il a déclaré (propos que nous avions relayé ici) que des flux massifs d’argent de la drogue sont venus sauver de la faillite les grandes banques américaines et européennes au moment où le marché interbancaire était paralysé.

    Economiste à l’Onu puis en poste à l’OCDE, M. Costa a été pendant 40 ans un observateur privilégié de l’intégration financière du crime organisé et l’un des principaux artisans de la lutte contre le blanchiment de l’argent de la drogue. Il s’est entretenu avec notre confrère du magazine EIR Andrew Spannaus le 12 avril 2012 en Italie, et nous livre quelques unes de ses conclusions


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:22

    2008 : l’argent liquide de la drogue utilisé pour sauver les banques

    Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :

    Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)

    [Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)

    Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)

    Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».

    Le narco-renflouement des banques


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:22

    2008 : l’argent liquide de la drogue utilisé pour sauver les banques

    Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), a souligné, dans une interview accordée le 27 janvier 2009 à l’hebdomadaire autrichien Profil , le rôle de l’argent de la drogue dans le renflouement du système financier. Nous en présentons ici un extrait :

    Le trafic de drogue en ce moment pourrait être la seule industrie en croissance, avec peu de chômage. L’argent qui est fait revient seulement en partie dans les activités illégales, en partie en Asie et en Amérique du Sud, où il est utilisé pour acheter des politiciens ou des élections, ou pour financer des insurgés comme les Talibans en Afghanistan, les Tigres Tamouls au Sri Lanka ou les FARC en Colombie, par exemple. (...)

    [Le reste de l’argent] est injecté dans l’économie réelle grâce au blanchiment. Nous ne savons pas combien, mais le volume est imposant. En tant que tel, du point de vue des effets macro-économiques, il s’agit seulement d’apport en capital d’investissement. Il y a des indications montrant que ces fonds ont terminé dans le secteur financier, qui s’est trouvé sous une énorme pression au cours du deuxième semestre de l’année dernière. (...)

    Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue est actuellement la seule source de liquidité disponible pour acheter de l’immobilier, par exemple. Pendant la deuxième moitié de 2008, le manque de liquidité étant le principal problème du système bancaire, ces capitaux liquides sont devenus un facteur important. (...)

    Nous devons considérer l’interdépendance entre la drogue et la criminalité ; toute autre approche serait irresponsable. (…) La légalisation provoquerait inévitablement une forte augmentation de la dépendance à la drogue. (…) [Lorsque les Britanniques donnèrent plus de 100 millions d’euros pour compenser les fermiers afghans pour leurs récoltes d’opium], cela eut l’effet opposé. En un an, la culture avait doublé car les fermiers savaient que si les trafiquants n’achetaient pas leur opium, alors ils se disaient « j’obtiendrai mon argent des Britanniques ».

    Le narco-renflouement des banques, n


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:26

    Les principaux centres financiers offshore sont britanniques

    Selon le Global Financial Centres Index 2011, les cinq principaux centres financiers offshore sont des Territoires britanniques d’outre-mer (British oversee territories - BOT) ou des Dépendances de la Couronne britannique (Crown Dependencies - CD) :

    Jersey (CD) Guernesey (CD) Iles Caïmans (BOT) Bermudes (BOT) Ile de Man (CD) Est-ce que les nouvelles règles et accords concernant les pays situés sur la liste noire établie à la suite de la crise financière ont fait une différence ? La volonté de mettre fin à ce type de pratique a été déclarée, mais cela a-t-il changé quoi que ce soit ?

    Pas vraiment. Certains pays combattent de manière très agressive toute tentative de les placer sur la liste. Une dévaluation par le GAFI est presque l’équivalent moral d’une baisse de la note par une agence de notation. Malheureusement, j’ai eu affaire à de nombreux pays d’Afrique de l’ouest à travers lesquels nous avons constaté, lorsque j’étais à la tête de l’UNODC, un large transit de stupéfiants en provenance de Colombie, du Vénézuela, du Brésil, en chemin vers l’Europe. Ce que nous avons aussi remarqué, et cela n’est pas surprenant, c’est la croissance rapide d’un secteur bancaire qui n’est pas justifiée par la taille de ces économies, ou par la complexité de l’économie réelle de ces pays.

    Pour revenir à l’aspect américain et européen, vous avez écrit un article sur votre site intitulé L’économie du crime, dans lequel vous avez parlé d’une « armée de criminels en col blanc – des avocats, des comptables, des agents immobiliers et des banquiers – qui couvrent les activités [des trafiquants de drogue] et blanchissent leurs revenus. » Par conséquent vous dites que la structure s’étend aux banques et organisations des pays occidentaux. Est-ce que les gouvernements et agences gouvernementales sont équipés pour faire face à ce problème ? De quoi ont ils besoin pour être efficaces ? Est-ce une question de volonté, ou de manque d’instruments appropriés ?

    Je dirais probablement les deux. Entre le système bancaire régulier et régulé d’un côté et les organisations criminelles de l’autre, il y a une armée de banquiers, de conseillers financiers, d’agents immobiliers, de notaires, d’avocats, etc., qui constituent réellement un problème.

    J’ai vu très peu d’effort pour les combattre. Nos pays, nos sociétés, nos gouvernements doivent être capables de rompre le lien entre les vrais criminels, ceux qui se promènent le revolver à la ceinture, et les banquiers. Dans les institutions financières il y a des gens qui sont impliqués dans le blanchiment non pas de l’argent sale en temps que tel, mais dans les tâches administratives nécessaires pour rendre licite l’argent sale.


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 12:27

    Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio (...) - Solidarité & Progrès http://m.solidariteetprogres.org/actualites-001/Trafic-de-drogue-et-systeme-bancaire-Interview-avec-Antonio-Maria-Costa_08781.html

    L’article complet .


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 13:00

    MICHEL NEYRET « C’EST TRÈS DUR D’ENTRER DANS LA MAFIA JUIVE » BENNICHOU - Dailymotion http://www.dailymotion.com/video/xotimu_michel-neyret-c-est-tres-dur-d-entrer-dans-la-mafia-juive-bennichou_news


  • Milla (---.---.1.10) 26 avril 2016 13:03

    La mafia juive est la pègre la plus dangereuse du monde se servant des organismes d’état bien infiltrés par les juifs sionistes ,des criminels sans état d’ame, dont les agences des services secrets.sarko en est un bel exemple formé par la mafia corse et la cia,sa mère étant en seconde noce avec l’ex directeur de la cia.


  • Auxi 26 avril 2016 13:18

    quelques voyous préoccupés davantage de l’argent facile des trafics de cannabis


    LEGALIZE IT !!!

    C’est la seule politique raisonnable, mais qui dit prohibition dit argent liquide, et qui dit argent liquide dit hommes politiques…

  • TSS 26 avril 2016 13:26

    Ce n’est pas un forum mais un one man show de @ Milla ,j’ai lu le 1er

     après j’ai laissé tomber ,textes trop touffus pas assez aérés... !!


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 18:19

      @Shawford

      Il est très rare qu je demande la suppression de commentaires, et la plupart du temps c’est sans effet. D’autres part, s’il fallait supprimer tous les commentaires contraires à la charte ou à la loi française, il ne resterait plus grand chose sur ce forum ....
      Je l’ai déjà dit il y a quelques jours, ce n’est pas à moi de faire le boulot des modérateurs.
      Dans le cas présent c’est tout de même tellement énorme que je me demande comment il est possible que personne ne réagisse .....
      Ils doivent être aux fraises .....


    • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:25

      @Pomme de Reinette L"israélienne veut me censurer ?


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 18:28

      @MILLA

      Je ne suis pas israélienne mais française.

      Et vous ?


    • Shawford 26 avril 2016 18:29

      @Pomme de Reinette

      Ah ça pour voir, je vois smiley smiley smiley smiley


    • Shawford 26 avril 2016 19:16

      @Pomme de Reinette

       smiley ? Euh sur votre dernière phrase j’ai rien compris sur l’enchainement des causes (ou alors... serais je Milla à mon insu vouliez vous dire ? smiley smiley ?)

      Esclavagisme, esclavagisme, comme vous y allez smiley
      Civisme voyons, vous pourriez même vous en flatter alors pour de bon ! smiley
      A tout le moins c’est toute l’histoire d’AV ces questions là smiley

      PS : vous connaissez le petit nom des modérateurs ? Hum c’est louche ça smiley smiley


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 19:22

      @Shawford

      J’en sais rien ....
      Mais c’est quand même curieux cette concomitance de votre post avec ma propre question.
      Auriez-vous des antennes ..... bien placées ?


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 19:27

      @Pomme de Reinette

      Pourquoi devrais-je être la seule à faire acte de civisme et à aimer que les règles de bonne conduite soient respectées ?
      Où sont les hommes ?
      Où sont les humains ?


    • Shawford 26 avril 2016 19:30

      @Pomme de Reinette

      Euh vous avez fumé la moquette ? Où est votre question qui serait venue en amont de mon propre questionnement de 17:40 où je vous cite effectivement ; logique que vous y répondiez en suivant (17:56). Non ?
      A un quart d’heure près on peut en tout cas pas parler de synchronicité (pour le reste continuez dans cette voie, je sens que je vais adorer votre fantasme confusionniste smileysmiley


    • Shawford 26 avril 2016 19:34

      @Pomme de reinette

      Parce que la vie est vraiment trop injuste, vous le découvrez à l’instant ? smiley

      Et puis quand je parlais de civisme, je l’opposais au tout aussi exagéré esclavagisme, une fois de plus ne prenez pas forcément vos désirs pour des réalités smiley


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 19:34

      @Shawford

      Mais non. Vous n’avez rien compris : je parle de ma question à la modération à ce sujet.
      Juste avant votre post initial.
      Je trouve ça surprenant ... comme si vous aviez des petites antennes ...
      Soit c’est le hasard, soit ça ne l’est pas.


    • Shawford 26 avril 2016 19:40

      @Pomme de Reinette

      Mon post initial est bien de 17:40.
      Vous n’interpellez pour votre part la modération qu’à 17:56
      (et c’est pas compliqué à vérifier cela se situe plus haut dans le fil, ou il suffit juste de comparer dans nos deux profils respectifs)
      Votre post d’avant cela date de 9:22 et parle de toute autre chose.
      What else ?

      Sinon pour sûr j’ai des petites antennes, mon petit doigt me disait que vous alliez adorer mon post de 17:40, dont acte smiley


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 19:40

      @Shawford

      Ca y’est, vous retombez dans le grand « mektoub » fataliste .....
      Dommage !
      Je vous trouve mieux quand vous avez un soupçon de rébellion !


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 19:43

      @Shawford

      Non, je vous parle pas de mon post sur ce fil, mais d’un courrier direct.

      Donc, vous l’avez bien reçu  ?

      ........................................... !!!!!!!


    • Shawford 26 avril 2016 19:52

      @Pomme de Reinette

       smiley smiley ?
      De mieux en mieux
      Ben oui Pomme de reinette, c’est Carlo qui me l’a forwardé votre courrier pardi smiley smiley
      (ça va jaser à la mosquée d’à côté un de ces quatre avec ça, pour l’instant ils sont trop occupés à payer leur cotisation smiley )

      Mektoub ? Connais pas sorry. Je connais le grand mactou de Pandora, j’ai déjà fait des méchouis, mais votre machin, je sèche. J’ai jamais été invité à une Bar Mitzvah sinon, mes potes devaient trouver que j’avais un trop grand coup de fourchette :o- smiley


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 20:04

      @Shawford

      C’est dommage, j’espère que vous aurez l’occasion, faut pas rater ça ... et en général il y a toujours trop à manger ! (monge, mon fils, monge !!)
       smiley


  • blablablietblabla blablablietblabla 26 avril 2016 16:22

    C’est quoi cette merde de milla ? c’est un nouveau troll ??


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 17:10

    IÉTÉ

    Afficher / Masquer plus d’entrées

    Blanchiment : des « cols blancs » peu scrupuleux mêlés à un système bien huilé

    Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 15/10

    Trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » en quête de liquidités... C’est un véritable réseau de blanchiment de la drogue très bien organisé que les enquêteurs ont découvert, entre la France et la Suisse.

    L’enquête sur un vaste réseau franco-suisse de blanchiment d’argent de la drogue, démantelé cette semaine, a mis au jour un système très organisé mêlant trafiquants, blanchisseurs et « cols blancs » peu scrupuleux en quête de liquidités. 

    A la tête de cette organisation se trouvent les trois frères Elmaleh, mis en examen et écroués, l’un à Paris, les deux autres en Suisse. Ces deux derniers, qui exercent dans la finance à Genève, sont séparés dans leur détention pour éviter tout contact, selon une source suisse proche du dossier. Les enquêteurs disposeraient notamment de « retranscriptions de conversations téléphoniques codées », selon cette source. 


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 17:23

    CLARA CARLESIMO ET YANN SOUDÉ

    Publié le 25/11/2012 à 18:50 | Le Point.

    « Le crime organisé nous emportera. » C’est sur cette phrase-choc que se termine la mini-projection précédant le dernier débat des 8es Rencontres de Cannes. Son auteur : l’ex-procureur de Nice Éric de Montgolfier. Les autres intervenants se succéderont au micro : Fabrice Rizzoli, docteur en sciences politiques à la Sorbonne, Catherine Pierce, ancienne vice-présidente du tribunal de grande instance de Nanterre, et Michel Koutouzis, historien et surtout consultant auprès de l’ONU en matière de trafic de drogue et de blanchiment.

    Tout de suite, le spécialiste en la matière, Fabrice Rizzoli, procède à un éclairage : « Pour qu’il y ait mafia, il faut qu’il y ait violence érigée en système, accumulation de capital, contrôle du territoire et liens avec les politiques. » Il est vite appuyé par Éric de Montgolfier, qui regrette la « banalisation » du terme : « J’ai vu que François Fillon l’avait utilisé cette semaine dans le cadre de la lutte interne à l’UMP. C’est un abus de langage. » Chaque année, les mafias génèrent 600 à 700 milliards d’euros dans le monde, et n’ont de cesse de se développer. « Le trafic et l’organisation criminelle se sont banalisés », selon Michel Koutouzis. Il donne l’exemple de la Colombie : « Dans les années 1980, on comptait deux ou trois organisations. Aujourd’hui, il y en a des centaines. » Le coeur du problème, c’est que la mafia s’est installée, revêt désormais un aspect global et « a chaussé les pantoufles de la légalité ».

    La mafia, parti politique ?

    Si la mafia est connue pour corrompre les politiques, et la « bourgeoisie » en général, cette dernière ne se gêne pas pour trafiquer avec elle. Plus encore, en Italie du moins, l’un ne peut fonctionner sans l’autre. « Sans le col blanc, sans le banquier complice, le géomètre qui fait un faux rapport pour construire l’autoroute, ils ne peuvent rien », précise Rizzoli. Les autoroutes, justement, sont un business ultralucratif pour les organisations criminelles. Lorsqu’un appel d’offres est lancé, les Camorra, Cosa Nostra et autres N’drangheta se partagent les portions à construire, ce qui ralentit l’avancée des travaux. Ceux de l’A3, par exemple, traînent depuis plus de 20 ans. La mafia, qui reverse des pots-de-vin et fait chanter les patrons d’entreprises, peut agir dans le silence. « Elles s’inscrivent dans les institutions », précise Montgolfier, qui ajoute que les « institutions s’inscrivent de leur côté dans la mafia ».

    Si la législation anti-mafia est très puissante en Italie, ce n’est pas le cas partout. En Turquie, par exemple, la corruption évidente entre politiques et mafieux n’est que très peu remise en cause. Sauf quand ça va mal. Koutouzis évoque le tremblement de terre à Istanbul, dans les années 1990 : « Le mécanisme politique concernait tout le monde, des loups gris au PKK. La mafia garantissait le vote des populations et obtenait des permis de construire. Lors du tremblement de terre, rien n’est tombé sauf les bâtiments construits grâce aux permis accordés aux mafieux. Il y a eu près de 20 000 morts. »

    Et la France, dans tout ça ?

    Interrogé au sujet de l’implantation de la mafia sur la Côte d’Azur, Éric de Montgolfier assure qu’il n’y a jamais été confronté directement, mais prévient : « On a l’impression que je n’ai rien fait, mais j’ai fait l’essentiel, éviter le crime. » « On n’a pas mis les moyens proactifs pour lutter », rétorque Rizzoli, en désaccord total avec le procureur 


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 17:35

    books.google.fr/books ?...

    Jacques Follorou, ‎Vincent Nouzille - 2004 - ‎Aperçu - ‎Autres éditions De 1930 à 1980, les parrains corses ont prospéré, entre Marseille et Paris, grâce à une solidarité clanique, des activités diversifiées, une violence rare, une implantation internationale et de solides appuis politiques.


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 17:45

    IL ETAIT UNE FOIS LA MAFIA SUR LES BORDS DE LA MEDITERRANEE

    mafia homme d’honneur

    LES MAFIAS INSTALLÉES SUR LA CÔTE D’AZUR SEVISSENT DEPUIS DES LUSTRES ...

    La Chute de l’Empire du Crime organisé à Nice... une véritable hécatombe au siècle dernier et en ce début du XXIème siècle

    ville de nice

    Le 26 mars 1993, Michel Luisi dit Petit Michel, ancien chef du clan des italo-grenoblois, considéré comme un parrain de Nice et patron de l’iguane café, est abattu par une décharge de chevrotine alors qu’il se trouve au volant de sa voiture devant son établissement de nuit. Il avait 47 ans et avait déjà été impliqué dans un réseau international de proxénétisme, il s’était exilé pendant 7 ans en Italie puis avait pris la suite de l’iguane café a la mort du parrain Bastien Bonventre en 1989.

    le 8 octobre 2 corps démembrés sont retrouvé dans les casiers de la gare de Nice. Ils semblent appartenir à 2 petits truands niçois.

    Le 25 décembre 1994,c’est une figure de la pègre niçoise qui tombe. Richard Ughetto, âgé d’une quarantaine d’années est abattu par trois hommes armés et masqués devant la boite de nuit de laquelle il sortait en plein centre de Nice. Connu pour vol à main armée il est considéré comme un proche de la bande à Olivero, avant la mort de Luisi, il été également un habitué de l’iguane café.

    Le 22 mars 1995 , Jean-Paul Casabianca, truand niçois respecté, est abattu au volant de sa Mercedes-Benz , prés du port de Nice, par des hommes à moto qui tirent une quinzaine de balles de 11,43. Proche du Petit Michel et d’Olivero avec lequel il est suspecté dans la série d’attentat en 1993. Il était un habitué de l’iguane café.

    Le 1er avril 1995, c’est Jean-Robert Vincent , alias Bob le grenoblois, 46 ans, qui est blessé a St. Laurent du Var, il riposte mais est touché au bras et à l’abdomen, ses deux agresseurs prennent la fuite à moto. Considéré comme un ambassadeur des italo-grenoblois sur la Côte d’Azur, il est très proche de Luisi et a été condamné à 4 ans de prison dans les années 1980. Il se retire en Espagne d’où il sera extradé en 1999, recherché en France pour un trafic de cannabis et escroquerie aux cartes bancaires.

    Le 4 avril Xavier Picat, 36 ans est abattu à Nice par 2 hommes à moto d’une balle de 9 m/m en pleine tête, il portait un gilet pare-balles et était armé d’un pistolet Beretta.

    Le 8 juin, un jeune truand porche des italo-grenoblois est blessé aux jambes alors qu’il conduit sa moto, par des tueurs a bord d’une voiture, à Nice, il parvient a s’échapper en conduisant sa moto jusqu’au siège de la police municipale à proximité du casino Ruhl. Considéré comme l’homme de main de Michel Luisi, Pascal Picardo, 23 ans meurt quelques mois plus tard. Il était un habitué de l’iguane café.

    Le 11 mai 1996, Michel Borde, 35 ans est abattu dans un parking prés de la faculté des lettre de Nice , proche de la madeleine par 2 hommes. Il est touché de 6 balles 11,43 et de 2 décharges de chevrotine, il était impliqué dans des affaires de racket et de machines à sous. Il fréquentait l’iguane café.

    Le 30 mai, Philipe Sarmiento, 30 ans, est abattu devant une école du centre de Nice par 2 tueurs à moto, gros trafiquant de drogue, il pourrait s’agir d’un litige entre dealers.

    Le 8 janvier 1997, Michel Marani, 42 ans, proche des italo-grenoblois est abattu chez lui, de 17 balles de 9 m/m, suivi du coup de grâce à la tête. Inquiété dans les années 80 pour une infraction sur les armes, et en 1993 pour extorsion de fonds. Proche de Casabianca et de Luisi, il semblait s’être retiré.

    Le 10 janvier, c’est une autre figure du milieu niçois qui tombe, Régis Colpaert, 41 ans, patron du Pape, restaurant de St.Tropez, il est retrouvé criblé d’une dizaine de balles tirées a bout portant dans le garage de sa résidence à Nice. Connu pour proxénétisme, extorsion de fonds et coups mortels, il semblait investir dans le marché de la drogue, évoluant pourtant dans le sillage de Sébastien Bonventre. Il fréquentait l’iguane café.

    Le 16 juin, Jean-Charles Taran, 44 ans, et Patrice Meillan, 28 ans, sont assassinés par des hommes en voiture, à St. Laurent-du-Var tout prés de Nice. Les hommes masqués les achèvent de 7 coups de 11,43 dans la tête, après les avoir criblés d’une rafale de mitraillette. Une trentaine de douilles sont retrouvées prés des cadavres. Les Perletto sont soupçonnés d’être impliqués dans cette affaire de meurtre.

    Le 16 juillet, Jean-Claude Olivero est abattu . Arrêté à un feu feux rouge, en compagnie de deux jeunes femmes, sur l’avenue de la Californie, 2 hommes à moto criblent Olivero dit « le fou » d’une quinzaine de balles 9 m/m parabellum. Suspecté dans un grand nombre de meurtres au début des années 90, avant la mort de Luisi, il était un habitué de l’iguane café et considéré comme un proche de Borde et Ughetto.

    Le 22 septembre, Jean-Louis Ellena, 48 ans, connu pour trafic de drogue et arrêté en 1992 pour trafic d’héroïne est tué à coup de Brenneck, balles à sanglier, dans le sous-sol de sa résidence niçoise.

    Le 7 octobre, 2 membres du milieu niçois sont tués dans un parking de Nice, 4 hommes, 3 en voiture et 1 en moto abattent Patrick Fellah de 17 balles de 11,43, Fellah, âgé de 28 ans était connu pour des vols de tableaux commis en 1992 chez l’homme d’affaire Tannouri. Fellah était le neveu de Michel Blanc abattu en 1992 et était considéré comme un ami d’Olivero et de Borde. Le second, Sauveur Coronia,54 ans, connu pour proxénétisme, trafique de stupéfiants et de fausse monnaie, était considéré comme un ex-lieutenant du parrain Zampa.

    TANY ZAMPA DIT LE SERPENT A SONNETTES MARSEILLAIS

    LE PARRAIN DE MARSEILLE TANY ZAMPA

    Le 23 octobre 1998, Noël Fratoni , 50 ans, fils du Napoléon des tapis verts Jean-Dominque Fratoni est retrouvé abattu d’une dizaine de balles de 9 m/m dont 2 dans la tête dans son garage de sa résidence à Nice. Le meurtre pourrait être lié au monde des jeux.

    Le 8 décembre, Frédéric Kalka, 24 ans et sous contrôle judiciaire est blessé d’une balle dans le dos dans le hall de son immeuble niçois, par un homme seul et cagoulé.

    Le 18 décembre 1998, c’est une figure locale qui tombe. Le « parrain » de Nice est abattu. Marcel Diavaloni, dit Marcel le bègue, est abattu dans le sous-sol de sa résidence, à Nice. Armé, il ouvre le feu contre ses agresseurs, mais il est tué d’une vingtaine de balles provenant de plusieurs armes. Fiché au grand banditisme et considéré comme une figure du milieu du Sud-Est, il avait été arrêté en1980 pour porteur de 500.000 faux dollars, Il est également soupçonné dans un trafic de drogue, notamment avec Regis Colpaert.

    Le 15 janvier c’est le bras droit de Diavaloni qui est abattu. Jean-louis Goiran, 47 ans, est criblé d’une vingtaine de balles par 3 ou 4 tueurs. Condamné pour attaques à main armée, fausse monnaie, racket, et soupçonné dans plusieurs règlements de comptes, notamment dans celui de Bonventre en 1989. Il est abattu a bord de son 4x4 prés de chez lui sur les hauteurs de Nice, à Colomars.

    Le 2 juin 2000, Roger Generotti, 58 ans, ami de Diavaloni et de Goiran est abattu de 13 balles alors qu’il sort de chez lui à Nice.

    Le 6 juin 2000 , c’est Camille Panizolli qui est abattu de 5 balles de gros calibre 45 sur la promenade des anglais à Nice. Proche du père Jean-Dominique Fratoni, il était rentré depuis peu d’Espagne, c’était lui qui avec son complice le Curé s’était laissé enfermé dans une banque à Vence pour la piller, mais n’avait pu en ressortir et avait été cueilli avec son complice dénommé le Curé par la Police.

    C’est ici que les choses se calment, après la chute d’un parrain en 1989, Sébastien Bonventre, les têtes sont tombées, les règlements de comptes se sont succédés. Olivero est soupçonné de beaucoup d’entre eux : Jean-Marc Sirvent au Cros-de-Cagne en 1992, Michel Blanc en 1992 à Nice, Jean-Jacques Francesconi, retrouvé dans le coffre de sa voiture carbonisé, à l’aéroport de Nice, Joseph Fernandez, et beaucoup d’autre jusqu’à sa mort.

    Les années 90 resteront gravées dans les mémoires des niçois ,comme étant celles qui ont vu la chute progressive des figures locales du grand banditisme.

    En moins de 15 ans, Nice a perdu 3 parrains...peut-être pour laisser place à d’autres ?

    Aujourd’hui, Soret, Sordi, Agostini sont les noms cités par la justice, comme étant ceux qui tiennent le milieu niçois, mais qui sait ?


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:08

    AGORAVOX

    appoline appoline (---.---.---.48) 23 août 2013 18:33 Mais ça arrange tout le monde ce trafic. Qui dirige tout cela ? Croyez vous qu’il n’y a que les petits dealers des banlieues qui s’en mettent plein les poches, pas assez malin pour ça. L’argent sale concerne beaucoup de monde y compris ceux que l’on pense blancs comme « neige


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:10

    Lien Robert GIL ROBERT GIL (---.---.---.196) 22 août 2013 11:33 Le marché de la drogue représente des milliards et sert de financement à différentes activités officielles et non officielles. C’est parfois avec l’argent de la drogue que des gouvernements dit « démocratiques » financent des activités illégales ou des groupes insurrectionnels dans différentes parties du globe........

    voir : SALLES DE SHOOT ET HYPOCRISIE

    et aussi : LA MAFIA VOUS SALUE BIEN

    Répondre


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:11

    Lien Robert GIL ROBERT GIL (---.---.---.196) 22 août 2013 11:33 Le marché de la drogue représente des milliards et sert de financement à différentes activités officielles et non officielles. C’est parfois avec l’argent de la drogue que des gouvernements dit « démocratiques » financent des activités illégales ou des groupes insurrectionnels dans différentes parties du globe........

    voir : SALLES DE SHOOT ET HYPOCRISIE

    et aussi : LA MAFIA VOUS SALUE BIEN

    Répondre


    • Massada Massada 26 avril 2016 18:18

      @MILLA
       

      Avez-vous été escort girl ?
      On parle de 20,000 euros en échange de relations tarifées avec des hommes du Moyen-Orient, vrai ?
      Etes-vous mêlée à une enquête du FBI sur un réseau de prostitution ?

    • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:23

      @Massada

      Je sais que tu n’es pas contente que je demontre que les plus grands trafiquants du monde sont israéliens comme toi


    • Pomme de Reinette 26 avril 2016 21:20

      @MILLA

      Au contraire, ce que vous « démontrez » intéresse beaucoup Mr le Docteur.


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:12

    Karol (---.---.---.57) 22 août 2013 14:13 Merci. L’économie de la drogue est très puissante et a contaminé de nombreux secteurs de la société, plus le temps passe plus il est difficile de lutter contre ce fléau.

    Répondre


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:19

    appoline appoline (---.---.---.48) 23 août 2013 18:39 S’il n’y avait que les banques dans les paradis fiscaux (rires), en haut de l’échelle vous avez des financiers qui louent leurs compétences aux pontes de la drogue


    • capobianco 26 avril 2016 18:55

      @MILLA
      Contrairement à quelques détracteurs je trouve vos infos passionnantes et bien révélatrices. Vous avez le mérite de montrer combien est dérisoire le combat de ces gens que néanmoins je comprends tant il peut y avoir d’exaspération dans leur vie déjà difficile et je vous trouve dure avec eux.

      Il est vrai que le trafic de la drogue, la délinquance et les scandales se situent ailleurs et on peut se demander si le maintien de la pénalisation de « l’herbe » n’a pas pour but de créer ces dissensions parmi les « petites » gens, la médiatisation étant là pour attiser un racisme de plus en plus présent. Quand un écrivain célèbre se fait une « ligne » sur le capot de sa voiture nos élites trouvent cela rigolo mais applaudissent aux contrôles policiers sur le cannabis. 

      Je suis curieux de vos grandes connaissances du sujet d’autant que je remarque que vos contradicteurs la joue « petit bras » tant vos infos sont évidentes. Il y a comme une gène de certains habituellement plus arrogants. En tout cas beau travail. 


    • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 19:14

      @capobianco

      Avec tous mes remerciements :-*

  • Massada Massada 26 avril 2016 18:23

    vous avez dit sur le dernier Entrevue  je cite : « Je n’ai jamais couché le premier soir » 


    Et le 2 ieme soir ?


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:39

    Uraniumk (---.---.---.155) 22 août 2013 14:17 « La totalité de la planète est recouverte de routes qui servent le trafic de drogue, son infrastructure logistique pour l’approvisionnement et les ventes. Il faut avoir en tête qu’aucun processus au monde n’est déconnecté des flux de drogue : aucun processus politique, militaire, ni même culturel, puisque de nouvelles modes culturelles pro-drogues sont constamment développées


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:42

    Rensk (---.---.---.246) 22 août 2013 17:44 N’oubliez pas que la TV germaine avait fait une enquête qui avait fait scandale : Toutes les toilettes du parlement étaient souillée de cocaïne...

    Des années plus tard, pour marquer le coup contre les critiques d’avant, cette même chaîne de TV va simplement récidivé... concernant son propre parlement et celui de l’UE...

    Aucune toilette de l’UE où du parlement d’Allemagne ne manque de cocaïne... non seulement il y avait des traces chimiques mais aussi des restes sniffable de cette drogue sur les rebords !


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:51

    oosevelt_vs_Keynes

    Coupez les banques, pas la coke !

     

    « La totalité de la planète est recouverte de routes qui servent le trafic de drogue, son infrastructure logistique pour l’approvisionnement et les ventes. Il faut avoir en tête qu’aucun processus au monde n’est déconnecté des flux de drogue : aucun processus politique, militaire, ni même culturel, puisque de nouvelles modes culturelles pro-drogues sont constamment développées. »

    « Si on considère la composition financière du trafic de drogue, il y a différentes sphères. Si on prend un producteur en Afghanistan, il produit une héroïne qui est vendue sur les marchés étrangers pour environ 100 milliards de dollars annuels. […] Cet argent ne reste pas à dormir sous l’oreiller, mais nourrit directement le système bancaire. (Cfhttp://www.larouchepub.com/eiw/public/2011/eirv38n47-20111202/32-37_3847.pdf)

     Grasso abrazo entre Richard Grasso, président du New York Stock Exchange et le commandant Raul Reyes, trésorier du FARC, le 26 juin 1999

    « Nous travaillons à tous les niveaux, et en ce sens, la question devient : il faut interdire les flux d’argent et arrêter les criminels en suivant leur argent à travers le système bancaire, via lequel il circule et est blanchi. »

    C’est ce qu’a déclaré Victor Ivanov, qui préside le Service russe de lutte contre le trafic de drogue, lors d’un discours public tenu le 12 décembre à l’université d’Harvard dans le cadre du groupe de travail russo-américain sur la lutte contre le trafic de drogue.

    C’est dans ce contexte que le 13 décembre, le journaliste d’investigation Matt Tibi du magazine Rolling Stones accusait le Département de la Justice US de protéger les banques britanniques, dans une interview dans Democracy Now du 13 décembre : « Apparemment, nous avons un scandale similaire impliquant une autre banque britannique, Standard Chartered, qui a payé une énorme amende pour blanchir de l’argent via l’Iran. Ceci vient se mêler au scandale du Libor, qui implique déjà deux grandes banques britanniques, la Royal Bank of Scotland et Barclays. 

     » Juan Gonzalez de Democracy Now de souligner le contrôle de l’Empire britannique sur HSBC : « la plupart des gens ne sait pas que HSBC signifie Hong-Kong and Shanghai Banking Corporation. C’est une banque britannique qui remonte au temps du colonialisme de l’Empire britannnique. »

    C’est dans ce contexte, où est exposé le lien entre trafic de drogue et système financier international, via des « banques universelles » (c’est-à-dire, en l’occurrence, des banques qui mêlent l’argent de la drogue aux comptes-courants des salariés), que Pierre Moscovici va présenter sa réforme bancaire le 19 décembre.

    L’enjeu est la ré-instauration, au niveau mondial, du standard bancaire Glass-Steagall(en France, il s’agit de la loi 45-15 du 2 décembre 1945, abrogée par Jacques Delors en 1983) qui consiste à couper les banques en deux.  


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:54

    Philv (---.---.---.113) 22 août 2013 18:23

    Ne vous êtes vous jamais dit que depuis des dizaines d’années que letrafic rapporte autant que le pétrole, ceux qui en sont les bénéficiaires possèdent aujourd’hui des pans entiers de l’économie.


  • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 18:59

    King Al Batar (---.---.---.48) 23 août 2013 00:47 Bonjour à l’auteur,

    Voici le discours le plus intelligent que j’ai entendu sur le traffic de drogue... Il s’agit d’un morceaud e rap datant de 1995... Du groupe Assassin... Si vous n’aimez pas le rap, je vous met les paroles en dessous pour que vous les lisiez sans entendre la musique... Tout est clair.

    http://www.youtube.com/watch?v=FqPc7wsFzhw

    L´échec de la guerre à la drogue ne peut s´expliquer seulement par les effets pervers de la répression ou la corruption des agents de contrôle. La cocaïne rapporte beaucoup trop d´argent pour qu´on la combatte sérieusement, C´est une formidable pompe à finance qu´on ne peut abandonner aux seuls trafiquants.

    La guerre à la drogue a été créée pour des objectifs politiques, Qui servent les politiciens et justifient les budgets militaires, on s´explique : La politique de subvention agricole appliquée, Par la Communauté Européenne et les Etats-Unis. A fait chuter les prix agricoles de 50% en 30 ans donc les pays ; Du Tiers-Monde n´ont plus que les cultures de coca, De pavot, de hachich et de marijuana. Pour être compétitif sur les marchés internationaux. Bonne raison pour envoyer les G.I´s. dans les pays producteurs de pavot. On combat la keco, pour avoir des places stratégiques dans le business illégal, Car la communauté financière internationale Gère les bénéfices de la drogue dans les banques occidentales. La seule vente légale de feuilles de coca, Est pour Coca-Cola qui les raffine pour sa boisson. Les USA combattent la coca ! Alors qu´il sont les seuls au monde à pouvoir l´importer librement dans leur nation. Pendant que dans la rue on se fait serrer pour deux grammes de chichon. Les prisons sont remplies de petits délits, Le tout organisé comme un show télévisé. Chaque personne a son rôle à jouer dans la société. Mais attention, chacun à sa place, Sniffe de la coke dans le ghetto, vends du teuchi par kilo, Mais ne viens pas t´occuper du business de l´Etat sinon tu finiras à la morgue ou au cachot. L´Etat assassine, ce n´est pas une surprise ; Quand l´Etat a une cible son bras ne tremble pas quand il vise. La répression sur les petits trafiquants, Cache la vraie identité des gouvernements en occident. C´est la France qui vend des armes au Rwanda, Les Etat-Unis contrôlent toujours Panama. Et tout le monde s´agite dès qu´il y a du fric, La mort est valeur marchande, c´est la loi du trafic.

    Car le business des armes est légal, Mais le business du teushi reste toujours illégal. Le business des tranquilisants est légal, Mais le business de la sensi reste illégal.

    Tous les business sont légaux quand ils sont controlés, L´illégalité dépend de ta place dans la société. Tu peux dealer des kilos si tu es dans l´armée, Mais te faire enfermer 10 ans si tu deales pour ton quartier. Certains dealent de la came, d´autres dealent des armes, Le business illégal est légal quand il sert le patrimoine national.

    Tous les business sont légaux quant ils sont controlés, L´illégalité dépend de ta place dans la société. Tu peux mourir dans la rue d´une O.D. Mais pas dealer dans l´escalier de ta cité. Certains dealent de la came, dÕautres dealent des armes...

    Quant on s´aperçoit de tout ce trafic, de tout ce fric, toute cette thune qui circule Pendant que les petits dealers croupissent en cellule. On se demande si il ne faudrait pas S´organiser arme au poing face à la lo. L´Etat nous pousse dans les précipices, dans le gouffre. Le business du hachich développé dans les artères des villes, Occupe et fait survivre les forces du underground les plus actives. Voilà pourquoi l´Etat le tolère, Il préfére nous voir faire des affaires illégales, Plutôt que de nous voir nous organiser entre villes sur des bases sociales. Si tu vends la mort dans un bar-tabac, Pas de problèmes pour toi tu es couvert par l´Etat. Car 70% d´un paquet de cigarette, Et chaque dose d´alcool calculée au millimètre. Reviennent dans la poche du big boss, Celui qui contrôle sans visage les parents et nos gosses. Mais si tu vends de la drogue à son insu, Tu deviens le déguisement parfait dont les médias sont à l´affût. Pour faire croire que la guerre à la drogue est déclarée. « Cette année nous avons attrapé ceux qui tuent vos enfants dans les lycées. »

    La télé est une drogue, le tabac est une drogue, Le café est une drogue, l´Amour peut être une drogue. L´alcool rend accro comme l´héro, Les ragots des médias font plus de victimes que le teush et la keco. Et en France, on nous traque toujours pour un oinj de sensi, Pour un keusdi de teushi, et aucune pédagogie en ce qui concerne la toxicomanie. Assassin analyse comme beaucoup l´ont déjà fait. Ce n´est qu´un grain musical dans l´Histoire de l´Humanité. Non, non, non nous n´allons rien changer, Le business illégal est contrôlé à une échelle internationale. Produit du Capital, ils aiment quand dans tes veines coule de la came. L´attaque est sociale, l´attaque est raciale. Ne sois pas surpris que les quartiers défavorisés soient le plus touchés par ce mal.

    Car le business de l´heroïne est illégal, Mais le business de l´alcool est légal. Le business de la cocaïne est illégal, Mais le business du sexe est légal.

    au Refrain


    • Shawford 26 avril 2016 19:03

      @MILLABOT

      Ah, j’ai compris, vous êtes missionnée par AV pour recycler les contenus ? smiley smiley

      A tout le moins, bravo là vous citez l’ami feuj Al Batar, qui a(vait) un avis toujours tellement judicieux sur ces questions !


    • MILLA (---.---.1.10) 26 avril 2016 19:10

      @Shawford


      Ça m ’arrive de citer des juifs qui disent des verites

    • Shawford 27 avril 2016 10:06

      @Massada

      Encore une question de religion !

      Israël, énième théocratie du M.O. !! smiley

      smiley smiley ? )


    • Pomme de Reinette 27 avril 2016 10:41

      @Shawford

      Pas du tout, plutôt ça ......


Réagir