vendredi 26 mars 2021 - par alinea

On a du mal, hein, à ne pas être complotistes !

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On a du mal quand même à entendre que cette panique généralisée a été induite par la sortie opinée ou inopinée d’une mini sphère couronnée d’un labo étanche.

Les Chinois ont dû en avoir la certitude en janvier, enfin juste avant de s’affoler, tout boucler et faire sortir de terre deux hostos fissa ; avant il punissait le gus qui s’affolait, racontait que c’était comme d’hab, rien à signaler. Après branle-bas de combat.

Les narcissiques comme Macron qui de toutes façons ne regardent que leur nombril, n’ont absolument pas vu l’inhabituelle agitation, pour des Chinois.

L’inconnue qui reste est la suivante : une pandémie très meurtrière était promise, mettons ; mais qui était au courant parmi les dirigeants dans le monde ? On ne peut guère imaginer qu’ils l’étaient tous, tous complices ; mais tous avaient entendu l’hypothèse d’une menace épidémique.

Ceux qui ont tout mis en branle à la vitesse grand V, et réussi à éradiquer le virus, ceux qui ont soigné avec les moyens du bord, ont sauvé des vies, on peut imaginer qu’ils l’ont fait autant qu’ils ont pu, et ne peuvent, de ce fait, pas être taxés de complotisme contre leur peuple.

En revanche tous les branlito d’occident qui ont mis les deux pieds dans le même sabot et les ont pris dans le tapis, sous lequel par la suite ils ont poussé ce qui dérange – les éclairés, les éclaireurs, les fouineurs, les bavards, bref, les empêcheurs de tourner en rond, puis les chiffres gênants – eux ont réussi à foutre la pétoche à des millions de gens qui, un an après en sont encore à obéir aux ordres imbéciles et nuisibles, qu’on leur a donnés !

L’immaturité de l’enfant gâté est attesté, voire même son inaptitude à vivre seul face aux éléments à peine agités. Mais sa constance dans l’anormalité qui ne dérange apparemment pas son bon sens, nous prouve qu’il y a bien du mal de fait et, à moins de trouver très très vite un gentil dictateur généreux et honnête, on n’est pas près de se rapprocher de la liberté de l’égalité fraternelle ! On n’est pas près de s’éloigner de la folie furieuse technologique qui rend dépendants les cerveaux les moins armés et pourrit d’ondes les cieux. On n’est pas près de réparer les dégâts incommensurables causés aux éléments, au vivant, et on n’est pas près de recouvrer la santé, même mentale en dernier !

Quelques humains, les plus atteints, se sont amusés à l’hybris, et ont dû croire aux millions de morts puisqu’ils ne peuvent même pas imaginer ne pas réussir leurs coups. Seulement, comme le vieux gâteux, décrété tel parce qu’il gênait, l’a dit, la nature se débarrasse d’un superflu artificiel, et notre virus s’est débarrassé des séquences ajoutées à son programme !

Je suis convaincue que certains s’arrachent les cheveux d’avoir raté leur mission divine et sont en train de chercher comme des fous comment faire mieux la prochaine fois. Déjà beaucoup de progrès depuis H1N1.

En tout cas, la politique sur ses rails a continué le programme comme il était convenu : des millions de morts, donc état de guerre pendant au moins un an ! Hébétés, ahuris, assommées ( on va mettre un « e » parce qu’il y a bien quelques nanas égales), ils ne sont plus si sûrs d’eux ni de la sortie glorieuse de cet épisode. On se demande qu’est-ce qui pourra bien se passer pour qu’enfin cesse ce délire enkysté dans la bien-pensance ( ce qui le rend beaucoup plus effrayant).

Les contrastes sont saisissants, entre ce chauffeur de bus qui ordonne à une femme, assise seule sur sa rangée, avec deux rangées vides devant et derrière, et qui est en train de manger une pomme - respirer enfin un peu après l’avoir eu toute la journée sur le nez- de remettre son masque, et, les regards complices des démasqués, un peu plus nombreux chaque semaine, sans cependant dépasser la dizaine, croisés sur le marché.

Les nuances fortes entre les paniqués, les craintifs, les obéissants pour cause de solidarité et d’autres par peur de la prune, et les audacieux timides qui sont comme ils sont d’habitude.

D’habitude ? On dit ça encore, au bout d’un an ? Et les militants qui rêvent encore que leur agressivité, spontanée et naturelle, viendra à bout de la connerie cinglée ambiante.

Cependant les névrosés y trouvent sécurité, à ces recommandations serrées, eux qui ont tout verrouillé pour se protéger, avant l’âge de raison ; la raison ne peut donc pas les projeter dans une réalité trop désécurisante et ils resteront jusqu’au bout apathiques, quand la queue du poisson servira de fin à l’ère du mensonge masqué.

Tant pis pour nous, ceux-ci sont majoritaires et chacun sait que le pouvoir du peuple se résume à la soumission au pouvoir de sa majorité.

Voilà les strates de l’humanité civilisée : la piétaille en bas, comme un matelas d’expérimentation, les imbéciles ou les psychosés qui font relais avec leur pouvoir usurpé, et une bande de branquignols, des incapables, mais prêts à tout pour se prouver qu’ils existent et qui se tiennent tout en haut de cette pyramide d’où la vue sublime les isole puisque leur folie les aveugle. On ne les envie pas mais il nous faudra bien commencer à réfléchir à comment les empêcher de nuire.




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