mercredi 11 mars 2015 - par Philippe VERGNES

« O� est Charlie ? » : le retour du fascisme et du totalitarisme sous le masque de la perversion narcissique

« Je ne dis pas : il y a des fous dangereux au pouvoir – et un seul suffirait –, je dis bien : il n’y a, au pouvoir, que des fous dangereux. Tous jouent au même jeu, et cachent à l’humanité qu’ils aménagent sa mort. Sans hasard. Scientifiquement. »[1]<

Quel peut donc être ce « jeu » dont parle Michel Serres dans l’ouvrage auquel j’ai emprunté cette citation ?

En référence aux célèbres bandes dessinées de Martin Handford où le lecteur doit réussir à retrouver plusieurs personnages à l’intérieur d’une image aux détails riches et complexes, je propose d’appeler ce « jeu » du même nom que celui de cette série de livres-jeux : « Où est Charlie ».

« Où est Charlie », pour ce qui nous concerne ici, consiste donc à trouver les indices avant-coureurs précédant l’arrivée du fascisme ou d’un quelconque totalitarisme dans une communauté. Toute ressemblance avec des faits ayant existé est donc totalement fortuite.

Au-delà de cette allégorie que nous révèle l’analyse de ce « jeu » qui consiste à aménager la mort de l’humanité sous couvert d’une froide rationalité totalement « désincarnée » ?

C’est ce que nous allons tenter de découvrir avec ce texte qui présente des pistes de réflexion parsemées de quelques indications de-ci de-là que notre « imagination » devra ensuite rabouter pour faire sens avec nos perceptions sur la situation actuelle de nos sociétés occidentales dites « modernes ».

Dans la journée du 24 décembre 2014, je recevais les vœux quelque peu prémonitoires de la revue Esprit critique. Je vous les présente ici, tant les événements décrits qui précédent la mise en place d’un pouvoir totalitaire font échos à la situation de crise que nous connaissons actuellement :

« En 1936, dans un article intitulé “Comment le fascisme vient aux nations”, le philosophe Emmanuel Mounier écrivait : “Le régime a épuisé ses déceptions et, avec elles, ses raisons d’espérance. Le désespoir est aujourd’hui le seul fond de mémoire politique d’un nombre toujours croissant de citoyens ; ils s’y retrouvent de la droite à la gauche avec une complaisance prête à tous les détournements… Que les violents s’emparent de tous ces désespérés, les nourrissent de quelque fort mensonge, les irritent de tout ce qu’ils n’ont su servir et le fait psychologique sera accompli, qu’assez de complicités matérielles s’apprêtent à soutenir. C’est le moment de nous rendre familière la préhistoire des fascismes, trop oubliée, et de nous faire une science précise des fautes qui en ont permis le succès, des ruses qui leur ont ouvertes les places apparemment les plus fortes.”

Cet appel à la science précise des faits sociaux, vieux de 80 ans, trouve une actualité singulière dans notre “Village Global”, entre indignados et révoltés, pire encore dans la passivité entretenue des laissés pour compte de notre société technologique si bien réglée, déjà digitalisée et programmée pourtant dite de l’abondance (pour certains).

Il appartient aux sciences sociales de repérer – si ce n’est de dénoncer – à l’aide des instruments de critique que nous donnent nos disciplines cette résurgence des âges sombres. »

Cette résurgence des âges sombres… certains auteurs ou théoriciens l’ont anticipé depuis quelques décennies déjà. Ils ont tenté par divers moyens de nous faire savoir que cette « peste noire » est en train de gangréner notre civilisation, de la conduire au bord du chaos et d’entrainer les survivants dans un état d’avilissement pour lequel les fictions 1984 ou Le Meilleur des mondes passeraient pour des romans à l’eau de rose à côté de ce à quoi nous serons réellement confronter si la situation actuelle continue de se dégrader ainsi… avertissement jusqu’à présent resté vain !

Malgré les signaux d’alerte que de nombreux chercheurs tirent un peu partout dans le monde, force est de constater qu’à l’exception de quelques « initiés » un tant soit peu informés c’est l’apathie quasi généralisée qui reste de mise. Peu de personnes ont véritablement conscience des « forces » à l’œuvre actuellement qui concourent à notre propre destruction, et ce, même si de plus en plus de gens perçoivent désormais le danger qui se profile à l’horizon. De plus, poser des questions qui dérangent, émettre des doutes raisonnables ou exprimer une pensée divergente à celles admises par la « bien-pensance politico-merdiatique » est désormais considéré comme suspect et peut désormais vous conduire en garde à vue quel que soit votre âge[2]… ou pire !

Aller à l’encontre des idées portées par le pouvoir en exercice, vous range d’office dans la catégorie des indésirables « complotistes », « négationnistes », « antisémites » et j’en passe, qu’il faut ostraciser par tous les moyens pervers qu’autorise la communication déviante et paradoxale dont nos élites se sont fait une spécialité[3].

Ces vœux apparaissent donc comme une petite éclaircie dans un ciel très sombre, car enfin des sociologues, anthropologues, psychologues et autres chercheurs en sciences sociales ont l’intention de sérieusement se pencher sur la question du repérage et de la dénonciation de « cette résurgence des âges sombres » qui précède l’avènement du fascisme et des systèmes totalitaires. Ce dont nous pouvons nous réjouir, car si les études pour la plupart comparatives des totalitarismes du XXe siècle sont nombreuses, elles ont essentiellement consisté à décrire ce que fut la vie des « survivants » dans une telle organisation sociale et ont toujours été réalisées a posteriori en procédant à l’analyse des conséquences de tels systèmes gouvernementaux sur les populations. Il n’en existe quasiment pas ayant été réalisé a priori, c’est-à-dire avant l’arrivée au pouvoir de dictateurs imposant leur seule et unique vision du monde. Ce qui fait que nous ne connaissons pas la dynamique à l’œuvre faisant plonger toute une société dans un radicalisme d’État conduisant au fascisme et au totalitarisme. Pas de prévention possible donc, d’où l’utilité d’une telle entreprise d’autant que désormais, l’expérience passée a de quoi nous apporter matière à réflexion.

C’est du moins ce que semblent penser les auteurs de la revue Esprit critique si l’on en croit leurs vœux pour cette nouvelle année. En tel cas, il apparaît utile de faire savoir que cette science précise des faits sociaux existe déjà.

Même si elle reste ouverte à la réflexion et donc à compléter, ses précurseurs ont déjà bien défriché le parcours. Cependant, mal utilisée parce que mal comprise – et donc mal reçue –, elle reste circonscrite à un usage familial, domaine tabou par excellence, tant et si bien que son importance pour l’ensemble de la société n’a jamais été admise. Mais si cette théorie est mal comprise, elle est loin d’être inconnue du grand public puisque certains la dénoncent comme étant un phénomène de mode.

Cette théorie est celle de la perversion narcissique qui revêt aujourd’hui une importance d’autant plus capitale que nous avons laissé les choses empirer sans jamais s’y opposer véritablement ; exception faite de quelques lanceurs d’alertes bien trop esseulés, mis à l’index et ostracisés par l’establishment en faction à la tête de nos « démocraties ».

Cette proximité de la perversion narcissique avec le nazisme et les différentes formes de totalitarisme qu’a connu l’humanité n’a pas échappé à ceux qui l’ont étudiée et conceptualisée. L’un des pionniers de cette théorie, Alberto Eiguer, écrivait en 1983 : « Ce sujet aux contours imprécis, la perversion narcissique, a suscité peu de réactions dans la littérature et ceci malgré l’intérêt croissant pour les relations intrafamiliales, pour les liens transférentiels du psychotique à l’égard du thérapeute et de l’institution traitante, pour la mise au jour du narcissisme avec tous ses développements, pour l’étude de la personnalité autoritaire, et pour l’étude du leadership et du pouvoir. »[4]

Alberto Eiguer, qui est loin d’être le seul à être parvenu aux mêmes conclusions, précise encore qu’« à la question de savoir comment fait le leader autoritaire pour s’attirer la sympathie de foules, voire leur dévotion, nous pouvons répondre que nous trouvons l’explication dans l’étude de la relation entre le p.n. et son complice. […] En fait, les dictateurs ne peuvent subsister aujourd’hui sans l’utilisation de moyens démagogiques (les exemples abondent) ; ils affirment leur pouvoir par une action sur la foule, par des cérémonies et des rituels parfois assez pittoresques. La panoplie des moyens utilisés pour exercer, maintenir et consolider le pouvoir contient, entre autres, des moyens p.n. – toute distance entre le social et l’individuel étant gardée. La pratique de la terreur est un moyen courant pour paralyser les réactions, mais cette terreur est trop voyante pour que certaines personnes ne réagissent pas. Alors les moyens indirects, discrets et manipulateurs, deviennent la règle. Tel est alors le cas de la séduction narcissique : le plus important, c’est de ne rien offrir en faisant semblant de tout offrir et ensuite, de faire croire que le tyran se sacrifie pour la cause du peuple (don imaginaire). »[5]

Puis il conclut : « La formule implicite […] du dictateur, du marchand d’illusion, peut-être : « Croyez en moi, aimez-moi comme moi je vous aime ; moi qui me sacrifie pour vous, sacrifiez-vous à votre tour, je vais tout vous offrir, à condition que vous sachiez vous résignez à ne rien vouloir recevoir.” »[6]

Nous reconnaissons dans cette formule implicite la structure d’une communication paradoxale dont j’ai évoqué les effets dans de précédents articles[7] (cf. infra notes ¹³ et ¹⁴). Ce type de message a pour conséquence de produire un « décervelage » qui inhibe nos capacités d’analyse, notre esprit critique, nos facultés de discernement et aliène notre libre arbitre. Ces techniques sont basées sur le principe fondamental de la torture qui consiste à faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité[8]. Elles induisent une traumatisation complexe – ou chronique – et un stress dont l’origine est inconsciente. Il en résulte de très nombreux troubles psychosomatiques incompréhensibles qui peuvent déboucher sur des maladies graves. De par l’impossibilité à en situer la source et à en suivre le cheminement, ces affections traversent les générations par des processus complexes telle la transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance non dite dont l’épigénétique commence tout juste à décrypter le message venant renforcer par là les intuitions géniales du découvreur de la perversion narcissique[9].

C’est ainsi que ce dernier pouvait à juste titre écrire à propos de ces personnalités autoritaires : « Des sujets qui, plutôt que de souffrir des peines ordinaires, font souffrir des tourments extraordinaires au moi des autres ; des travaux qui, d'être expulsés, vont perdre figure humaine ; des secrets violables aptes à tuer toute capacité de secret ; des noyaux pervers gâchant tout alentour les charmes de la libido et les vertus de la vérité ; une pensée s'exerçant à tarir le courant de la pensée : […] rien de plus difficile à comprendre ; et pourtant rien de plus important à connaître dans les rouages interpsychiques des familles, des institutions, des groupes et même des sociétés. »[10]

Il n’est effectivement rien de plus important à connaître, car c’est bien dans les rouages interpsychiques des familles, des institutions, des groupes et même des sociétés que nous allons déloger le Mal qui les gangrène.

Ce Mal est l’apanage des personnalités toxiques marquées par une des pathologies narcissiques perverses telles que décrites par P.-C. Racamier et dont la principale défense intrapsychique qui les caractérise est le déni d’autonomie où ce qui est refusé à l’objet – au sens psychanalytique du terme – c’est son indépendance, sa liberté de choix, son libre arbitre, ses désirs propres, etc. Ce déni d’autonomie va être renforcé par des mécanismes de défenses secondaires qui ensemble vont générer une « organisation de défenses conjointement dressées » à laquelle Racamier donne le nom de défense de survivance ou défense de survie[11] s’articulant autour du double principe d’autoconservation et d’anéantissement et qu’il situe antérieurement au principe lui aussi double et beaucoup plus célèbre de plaisir et de déplaisir. Ce que viennent corroborer les découvertes récentes d’Antonio Damasio dont les travaux ont été présentés dans une précédente série d’articles (cf. « Empathie, conscience morale et psychopathie », partie 1/3 : « Le développement moral », partie 2/3 : « L’intelligence émotionnelle » et partie 3/3 : « Une nouvelle conscience pour un monde en crise »).

Mais ces précisions ne nous renseignent guère sur la véritable origine du Mal, car même si nous pouvons identifier une personne à incriminer, cela ne résout pas le problème du Mal pour autant. En effet, pour qu’une personnalité soit jugée « toxique » il faut bien que d’une manière ou d’une autre elle puisse « contaminer » son entourage qui dans les pathologies narcissiques perverses se « déprécie » en lieu et place du pervers. Il faut donc pour cela qu’elle diffuse un l’élément toxique dans son environnement.

Comprendre la nature de cette « toxine » relève donc d’une question de survie et devrait être l’un de nos principaux objectifs. À moins d’être totalement suicidaire… ce qui entrainerait d’autres suppositions.

Dans l’un des rares essais associant le totalitarisme au narcissisme, Radu Clit démontre, d’après les analyses des régimes totalitaires de Raymond Aron, Hannah Arendt, George Orwell, etc., que la principale caractéristique du totalitarisme est la terreur. Puis il s’interroge : « Quand la terreur sociale est ouverte et évidente, son équivalent serait l’effroi ; devenue latente, elle serait réductible à l’angoisse de réel. Dans les deux versions, la terreur transmet l’existence d’un danger extérieur. Quelle serait sa nature ? »[12]

Malgré de nombreuses références à P.-C. Racamier, une recension de la littérature spécialisée et une brillante analyse qui mérite une lecture attentive par tous ceux préoccupés par cette problématique, il est assez frappant de constater que Radu Clit ne parvient pas à trouver la réponse à cette question et l’évite tout en y tournant autour[13] alors qu’elle est pourtant bien mise en évidence dans la théorie de la perversion narcissique (cf. la topique intégrative issue de la troisième topique psychanalytique de Racamier telle que succinctement présentée lors de mes deux précédents articles). Ce contournement d’école a de quoi surprendre et laisse véritablement songeur, car mal diagnostiqué, ce Mal ne peut être correctement endigué.

Quoi qu’il en soit, la solution que cherche Radu Clit réside dans le transport du processus de deuil ou de conflits internes, déjà altéré, défiguré et mis en agir, car non faits et refusés par le Moi du sujet : « Ce transport, à long terme, s’effectuera par la voie d’un comportement qui est interagi et manipulatoire. Ce comportement est à type de dilemme ou de paradoxe imposé à un tiers ; tels sont les moyens de transport privilégiés des deuils et dépressions refusés[14]. Les transports d’amalgame dépressif sont à direction unique : toujours vers le dehors, et à propriété unique : toujours empoisonnants. »[15]

Ainsi donc, voilà clairement identifiée et nommée la toxine libérée par ses sujets au narcissisme pathologique qui infectent les familles, les groupes, les institutions et des nations entières. Pour autant que l’on se souvienne des paroles de Racamier citées au point ¹⁰ de ce billet et soulignées par mes soins, car cet aspect de la problématique est sous-estimé par nos dirigeants et le grand public.

Dans sa présentation de 1983, Alberto Eiguer précise encore au sujet des dictateurs et des marchands d’illusion que « les leaders finissent par confondre les limites entre domaine du besoin et domaine du désir ». Cette remarque est particulièrement importante pour analyser la situation de notre société actuelle, car la captation du désir d’autrui est justement ce à quoi s’évertue le système capitaliste comme l’a très bien démontré Olivier Labouret dans ouvrage Le nouvel ordre psychiatrique – Guerre économique et guerre psychologique présenté ici même dans l’article intitulé « La mondialisation de la perversion narcissique » attestant du fait que quelques chercheurs ont très bien compris l’origine perverse de cette confusion entre besoin et désir.

Or, la captation du désir d’autrui par la production d’illusions répondant aux attentes des populations est également l’une des deux principales caractéristiques – avec la terreur – communes à tous les systèmes totalitaires que Radu Clit met en exergue dans son étude sur les différents totalitarismes.

Le parcours auquel j’ai convié le lecteur tout au long de mes précédentes publications qui abordent cette problématique de façon pluridisciplinaire avait pour principal objectif de révéler l’importance et la précision d’une théorie qui appliquée à la société tout entière est capable de nous dire ce qu’il adviendra dans un futur proche si nous laissons notre avenir entre les mains des fous qui nous gouvernent. Ce qui répond à l’appel de 1936 du philosophe Emmanuel Mounier et à celui de C. G. Jung dans l’interview de 1945 qu’il a accordé à Eugen Kolb pour le journal Mishmar au cours de laquelle il dénonce l’infection psychopathique de la propagande nazie dont nous connaissons le résultat et les atrocités[16].

À noter toutefois que cela ne clôt pas le sujet pour autant puisqu’il me reste désormais à détailler les modes de transport et les mécanismes par lesquels cette toxine agit sur les psychés individuelles et collectives.

À suivre !

Philippe Vergnes

N. B. :

Le lecteur impatient pourra toutefois prendre connaissance de trois précédents articles qui introduisent ce dernier sujet : « Le “pouvoir”, les “crises”, la communication paradoxale et “l’effort pour rendre l’autre fou” » ; « Comprendre l’emprise : la relation “en-pire” » et « La “novlangue” des psychopathes ».

[1] Michel Serres, Hermès III : La Traduction, Paris, Minuit, 1974, p. 74.

[2] Ce qui n’a pas échappé à Amnesty International qui, dans un communiqué de presse, a réprimandé la France pour ses arrestations abusives au prétexte « d’apologie du terrorisme ».

[3] L’occasion nous sera donnée d’approfondir ce sujet dans un avenir proche, mais le lecteur curieux peut déjà assouvir son désir de connaissance en lisant ce billet introductif à ce phénomène indissociable du fascisme et du totalitarisme : « Le “pouvoir”, les “crises”, la communication paradoxale et “l’effort pour rendre l’autre fou” »

[4] Alberto Eiguer, « Le pervers-narcissique et son complice. Etude phénoménologique », in Dialogue n° 81, 1983, pp. 60-61. C’est moi qui souligne.

Cette assertion est toujours d’actualité comme en attestent les références évoquées dans la série d’articles sur la « Pathologie du pouvoir : Psychologie des leaders psychopathes » :

· « Partie 1/3 – Question de narcissisme » ;

· « Partie 2/3 – Narcissismes sain et pathologiques » ;

· « Partie 3/3 – Sommes-nous complices ? »

[5] Ibidem, p. 68.

[6] Ibidem, p. 69. Souligné par Alberto Eiguer.

[7] Cf. « Le “pouvoir”, les “crises”, la communication paradoxale et “l’effort pour rendre l’autre fou” » ; « Comprendre l’emprise, la relation “en-pire” » ; « La “novlangue” des psychopathes ».

[8] Cf. « Pervers narcissiques : Les personnes les plus intelligentes sont les plus exposées ».

[9] Cf. la conclusion de l’article « Perversion narcissique et traumatismes psychiques – L’approche biologisante » et le lien vers le n° 1110 de Science et Vie de mars 2010, « Nos états d’âmes modifient notre ADN ».

[10] Paul-Claude Racamier, « Pensée perverse et décervelage », in Gruppo, Revue de Psychanalyse Groupale, n° 8, 1992, p. 137. C’est moi qui souligne.

[11] Cf. « Idiosyncrasie du pervers narcissique (2/2) : définitions », note ³⁰.

[12] Radu Clit, Cadre totalitaire et fonctionnement narcissique, Paris, L’Harmattan, 2001, p. 48.

[13] Dans son essai, Radu Clit parvient bien à préciser qu’« il convient d’évoquer une certaine capacité de contagion de la pensée totalitaire » (p. 177) et parle également du « risque du maintien de “l’infection” » (p. 187), mais nulle part il n’indique comment une telle « toxine » se maintient et se propage.

[14] Le dilemme consiste à placer un « dépositaire » devant une alternative à laquelle il ne peut échapper, mais dont aucun des termes n’est satisfaisant, chacun renvoyant nécessairement à l’autre, et tous deux se révélant aussi calamiteux l’un que l’autre. […] La « prise » paradoxale est encore plus complexe : les termes dont elle est nouée ne sont même pas opposables ; bref, on n’en voit pas le bout.

[15] Paul-Claude Racamier, Le génie des origines, Paris, Payot, 1992, pp. 71-72.

[16] Cf. notes ⁷ et ⁸ de l’article « Pervers narcissique (partie 1/2) – Plongée au cœur d’un concept en vogue ».

271 r�actions

Commentaires: 0 | 100 | 200

Le p’tit Charles 11 mars 2015 11:12

( trouver les indices avant-coureurs pr�c�dant l’arriv�e du fascisme)....Mais le fascisme est chez nous mon bon...avec une mafia qui sert les USA pour soutenir les nazis au pouvoir � Kiev... ?

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troletbuse 11 mars 2015 11:16

Le 22 mars, foutons une « branl�e citoyenne » au PS.

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- Allexandre 11 mars 2015 17:35
  
  @troletbuse
  OK mais par quel moyen ? Que pr�conises-tu ?
  
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Robert GIL 11 mars 2015 11:19

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une r�ponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une d�rive fasciste, � la fois au niveau de la base et � celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les id�es fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux d�favoris�s (qui sont eux-m�mes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptis�e qu’on pourrait, il est vrai, croire � leur parfaite innocuit�...

.

voir : L’INEVITABLE RETOUR DU FASCISME

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Allexandre 11 mars 2015 17:44

R�fl�chir et faire r�fl�chir est devenu suspect. Nombreux sont ceux qui ne veulent surtout pas se poser de questions, pour ne pas mettre en p�ril leurs certitudes, et donc leur survie. Vous aurez beau dire que le FN est un parti comparable � ceux des ann�es 1930, personne ne vous croira. Ils ne comprennent pas qu’entre MLP et ceux qui votent pour elle et l’entourent, il y a des nuances � faire. Cette r�alit� est terrible � imaginer. On a d�j� connu ce genre de discours d�magogique et mensonger, mais �a ne fait rien, on veut « lui donner sa chance », comme les Italiens l’ont fait pour Mussolini, en pensant qu’il « tomberait » comme les autres. On conna�t la suite...

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- Philippe VERGNES 11 mars 2015 20:27
  
  @ Allexandre,
  
  Bonsoir,
  
  « R�fl�chir et faire r�fl�chir est devenu suspect. Nombreux sont ceux qui ne veulent surtout pas se poser de questions, pour ne pas mettre en p�ril leurs certitudes, et donc leur survie. »
  
  A qui le dites-vous... vous pr�chez l� un convaincu. Et justement, l’absence de remise en question (pour ne pas mettre en p�ril ses certitudes, et donc sa survie) cr�e un terrain propice au d�veloppement des « mouvements perversifs » qui conduisent � la perversion narcissique (cf. mes deux pr�c�dents articles sur l’historique et les d�finitions de ce concept)... qui conduit au fascisme... « parce que nous le valons bien ».
  
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Luc-Laurent Salvador 11 mars 2015 18:29

Pr�senter nos gouvernants comme des fous dangereux ou des pervers narcissiques me para�t peu �clairant car c’est mettre en cause des individus quand il se pourrait que ce soit un syst�me d’emprise qui en ait fait ses marionnettes et soit donc en cause.
On ne peut exclure a priori cette hypoth�se sous pr�texte qu’elle rel�verait de « la th�orie du complot. » L’hypoth�se de l’Empire me para�t davantage explicative du monde comme il va (mal) actuellement. Cantonner son regard � la personnalit� des individus au pouvoir c’est verser dans la fameuse « erreur fondamentale d’attribution ».

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- Philippe VERGNES 11 mars 2015 23:05
  
  @ Luc-Laurent Salvador,
  
  Bonsoir,
  
  « L’erreur fondamentale d’attribution » est hors de propos dans le contexte de la th�orie de la perversion narcissique bien comprise. (Cf. « Pervers narcissique (1/2) - Plong�e au cœur des origines d’un concept en vogue » et « Idiosyncrasie du pervers narcissique (2/2) : d�finitions ! »).
  
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- JL 11 mars 2015 23:51
  
  @Luc-Laurent Salvador
  
  je crois en effet avec vous, que ce que nous avons ici sous les yeux ici, pourrait au minimum, �tre un cas typique d’erreur fondamentale d’attribution - un concept que je d�couvre l� gr�ce � vous.
  
  Sur la question strictement limit�e � la perversion narcissique, je dirai que les pervers narcissiques soufrent d’une difformit� sp�cifique : leur narcissisme est d�mesur� par rapport � leur intelligence.
  
  En outre, les pervers narcissiques ne recherchent pas le pouvoir (*) : en seraient-ils capables, qu’ils n’y seraient pas � leur place, eux dont la vocation est d’humilier les gens plus intelligents que narcissiques. Le Plaisir d’humilier serait un plaisir indigne d’un Pouvoir digne de ce nom : indigne, donc humiliant, un comble.
  
  C’est pourquoi si j’ai �crit : ’’pourrait au minimum’’, c’est �videmment parce que je crois que l’erreur commise par l’auteur va bien au-del� de la simple erreur fondamentale d’attribution.
  
  (*) dixit Racamier himself
  
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- bakerstreet 12 mars 2015 01:30
  
  Votre article est int�ressant car il est sujet � d�bat, mais il soul�ve tellement de questions, qui sont celles du monde actuel, de son �volution, de ses projets et de sa repr�sentation, ainsi que bien s�r des peurs et des fantasmes collectifs, qu’il me semble un peu court de les circonscrire dans cette dynamique li�e au pervers narcissiques.
  
  Qu’est ce qui est l� en premier du p�pin ou de la pomme ? Une �vidence, notre soci�t� est une fabrique � atomisation des d�sirs et des projets, et coupe l’homme empathique en deux. Ne reste t’il pour autant que des narcisses, et autres pervers, que la soci�t� encourage dans leurs fonctionnements et leur �go.
  
  Ce monde n’a pas grand chose de commun avec les r�gimes totalitaires d’’avant. Ceux pr�sents ne sont pas construits sur la peur du gendarme ou du militaire, mais sur la culture du d�sir et de l’imm�diat, atomisant ainsi les groupes bien mieux que ne le fait la terreur..
  
  � Le monde d’hier � de Zweig, a �t� la tumeur cr�e par le chant de cygne des nations, telles qu’on les entendait, avec cette repr�sentation encore, que les conqu�tes militaires �taient plus importantes que tout. Les moyens de destructions modernes utilis�s par un homo sapien qui lui n’a pas �volu� depuis 100 000 ans, au niveau des aspirations profondes sont presque parvenus � nous entra�ner alors vers la fin du monde. C’est cette peur et ces limites nouvelles, qui nous a fait �voluer, sans doute, vers d’autres formes d’imp�rialismes, plus sournois et �conomiques, tel celui de la mondialisation.
  En m�me temps, la ligne de front s’est d�plac� des grands champs de carnages, vers la destruction de la terre et des esp�ces, pour continuer son cycle.
  
  Pour s’en sortir, ne suffit pas de rep�rer la fabrique � chefs, ses techniques.
  Il nous faut maintenant �voluer suffisamment vite pour arr�ter la machine mortif�re, et lui faire enclencher la machine arri�re.
  
  Je parle ici de la m�canique de cette m�canique de destruction, que le pouvoir �conomique refuse d’envisager. Donc, nous seulement nous devons faire �voluer nos techniques, d’une fa�on �cologique, mais �voluer nous m�me, nous formater enfin � la mesure de cet age adulte que nous refusons, et qui se r�sume � la capacit� de voir le monde tel qu’il est, et non tel que nous le voudrions
  
  Presque une histoire de pompiers, dans laquelle on nierait l’incendie � l’horizon, pr�tendant juste que c’est un coucher de soleil.
  
  Mais la r�alit� est t�tue, et se moque de nos fantasmes, de nos d�sirs qui refusent les limites du monde fini, dans lequel il ne pourra survivre qu’en d�veloppant son empathie, son intelligence vers le but collectif le plus important : La survie.
  
  Comme l’a fait remarquer Darwin, les esp�ces sont oblig�es de s’adapter ou de mourir.
  Alors �videmment, les docteur Folamour ont sans doute leur projet d’homme bionique, m�langeant biologie et informatique.
  
  Quelque chose de profond�ment terrible r�sulterait du refus de nous adapter, tels que nous sommes, humains, trop humains, dans un monde qui nous serait profond�ment hostile.
  
  Avec des robots, m�me plus sensibles � la d�pression et aux troubles de la personnalit�, telle que la psychopathie.
  
  R�pondre Lien permanent
- Philippe VERGNES 12 mars 2015 09:01
  
  @ bakerstreet,
  
  Bonjour,
  
  Ce fil ayant �t� initi� par LLS, je r�ponds plus bas pour ne pas m�langer les discussions, m�me si toutes deux concernent bien �videmment le paradoxe de la poule et de l’œuf.
  
  Mais en r�sum�, nous tenons � peu de choses pr�s le m�me discours (ce que je vous d�montrerais plus bas), sauf que vous ne pouvez pas le voir, car la repr�sentation (courante) que vous vous fa�tes du pervers narcissique est galvaud�e (comme c’est le cas dans TOUS les articles que je peux lire exposant cette probl�matique). Du coup, vous ne voyez pas les diff�rences que j’expose ici (et dans mes autres billets �galement) en restituant (et resituant) cette th�orie dans son acception CORRECTE.
  
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- JL 12 mars 2015 13:49
  
  @Philippe VERGNES
  
  Ce que j’ai lus ici n’est pas une th�orie de la perversion narcissique, mais une tentative de plus de tout expliquer au travers du prisme de ce que l’on pourrait appeler une monomanie, tant votre propension � voir des pervers narcissiques partout est manifeste.
  
  Cette discussion dans le d�bat, initi�e par LLS n’a pas trait � un suppos� paradoxe mais � que que LLS et moi disons de cet article, � savoir qu’il est b�ti sur ce qu’il convient bien d’appeler une erreur fondamentale d’attribution. Nuance, donc.
  
  Mais je ne crois pas me tromper quand je subodore que vous avez entrepris d’abreuver les moteurs de recherche de vos verbeuses litanies r�p�titives ass�n�es ad nauseam, pour un oui pour un nom (cf. Votre r�ponse � bakerstreet), sortes de copies-agit�s-coll�s d�vers�s sur Agoravox dans le but manifeste d’y devenir le champion toutes cat�gories du sujet.
  
  Enfin, votre titre est d�bile : rien ne saurait se pr�senter sous le masque de la perversion narcissique pour la bonne raison que la perversion n’est pas le masque mais le masqu�. Nuance encore, donc.
  
  Ps. Bonne crise de nerfs.
  
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- Herv� Hum 12 mars 2015 14:51
  
  @Luc-Laurent Salvador
  
  "Pr�senter nos gouvernants comme des fous dangereux ou des pervers narcissiques me para�t peu �clairant car c’est mettre en cause des individus quand il se pourrait que ce soit un syst�me d’emprise qui en ait fait ses marionnettes et soit donc en cause.«
  
  Vous confondez le marteau et la main qui le tient, vous faites donc l� une »erreur fondamentale d’attribution".
  
  En effet, pour que vous ayez raison, il vous faut d�montrer que le syst�me incrimin� est le fait de la nature, donc naturel et non pas le fruit d’une strat�gie humaine d�lib�r�.
  
  S’il fallait incriminer seulement le syst�me, il faudrait encore expliquer pourquoi celui ci ne se laisse pas r�former.
  
  Bref, derri�re tout syst�me pens�e par l’humain, vous trouverez des humains et non un syst�me reposant sur ses propres fondements.
  
  Par contre, on ne peut dissocier le syst�me de celui qu’il sert, qu’il en soit le cr�ateur ou simple utilisateur. Donc, qu’il arrive apr�s ou avant le syst�me.
  
  Bref, on reste bien dans une relation entre individus, mais unis ou divis� par un syst�me de pens�e plus ou moins totalitaire.
  
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- Philippe VERGNES 13 mars 2015 14:11
  
  @ JL,
  
  Bonjour mon tr�s cher et ins�parable ami agoravoxien.
  
  Je vous remercie pour toutes ces �loges qui flattent au plus haut point ma modestie naturelle. Veuillez cependant m’excuser, car je n’avais absolument pas pr�ter attention � vos �lucubrations habituelles, mais une nouvelle fois, vous venez t�moigner ici de toute votre perversit�. Pour le dire autrement, puisque m�me en vous expliquant longtemps les choses, vous ne les comprenez toujours pas : vous d�montrer encore une fois que vous n’habitez pas tout seul dans votre t�te.
  
  O� avez-vous lu que Racamier ait pu dire des pervers narcissique qu’ils ne recherchent pas le pouvoir ???
  
  Dans tous ses �crits, il dit en fait tr�s exactement le contraire, mais une fois de plus... encore et encore, comme d�j� maintes fois relever dans vos diatribes dithyrambiques � mon �gard (et � ceux de nombreux autres intervenants sur ce forum), vous pervertissez les propos que vous lisez en inversant leur sens et leur signification.
  
  A ce niveau d’interpr�tation, totalement et �tymologiquement perverse, nul doute que vous ne devez pas avoir la lumi�re allum�e � tous les �tages dans votre petite t�te. Comment dit-on d�j� de quelqu’un qui adopte un tel comportement... ha oui : il « veut se payer l’autoroute sans jamais pouvoir passer la troisi�me, alors en g�n�ral, �a chauffe et c’est st�rile pour tout le monde, �a fait du bruit et c’est pas de tout repos ».
  
  Merci encore d’illustrer si bien cette d�finition. !!!
  
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- JL 13 mars 2015 15:28
  
  @Philippe Vergnes,
  
  mais non, Racamier ne dit pas le contraire : il le dit partout, encore faut-il savoir lire, et comprendre ce qu’on lit.
  
  Par exemple ceci : ’’(La pens�e perverse) sera une pens�e qui ne s’int�resse ni aux fantasmes ni aux affects, et cela ni chez soi ni chez autrui. M�me les fantasmes de grandeur ne l’attirent pas : qu’en faire lorsqu’on baigne jusqu’� l’opulence dans l’agir et la manœuvre ?’’
  
  Ou cela encore : ’’L’imp�rieuse obligation du fantasme agi de toute puissance est telle qu’il d�nie toute limite et n’en admet aucune ; rien ne lui suffit ; sa cible est toujours autre part. On le sait d�j� : la toute puissance n’est pas dans la puissance, si haute que celle-ci paraisse ou qu’elle soit ; la toute puissance est dans le d�ni : d�ni d’impuissance et d�ni des limites. La toute puissance est ce qui ne connait ni bornes ni d�faillance.’’
  
  Je souligne : la puissance n’est pas la toute puissance, et le PN ne s’y trompe pas, lui qui n’aspire pas � la puissance puisqu’il poss�de la toute puissance. Je dirai : un succ�dan� de pouvoir pour un succ�dan� de pens�e.
  
  Non, je r�p�te, le pervers narcissique n’est pas une b�te de pouvoir, il n’est ni attir� par lui, ni �quip� pour : il laisse cela aux psychopathes mieux profil�s que lui. De quel pouvoir voudrait-il, puisqu’il a d�j� tout, qu’il le dit, et il croit ce qu’il dit (*) ? Je cite encore Racamier : ’’Enti�rement et exclusivement consacr�e � l’exercice et � la mise au point des agissements pervers, la pens�e perverse ne produit rien d’autre.’’ Le seul pouvoir qui int�resse la pens�e perverse, c’est celui de diriger des noyaux pervers, et en cela, elle excelle.
  
  Si vous voyez des pervers narcissiques partout, Philippe Vergnes, c’est de toute �vidence parce que votre notion de ce qu’est la perversion narcissique est erron�e. Elle vous cr�ve litt�ralement les yeux ! L� est votre probl�me.
  
  Nb. un mot sur ce que vous avez dit plus bas, � 7:38, je cite : ’’� The mask of sanity � d’Hervey Cleckley. (� Le masque de sant� mentale �). C’est en m’inspirant du titre de ce livre que j’ai choisi le titre de mon article’’. Cela confirme ce que je soulignais dans mon post pr�c�dent : rien ne peut se cacher sous le masque de la perversion, puisqu’elle-m�me se cache sous le masque de la sant� mentale. Mais cette faute est un effet de votre propension � renverser le sens des mots.
  
  (*) Racamier, les perversions narcissiques, page 30.
  
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- Philippe VERGNES 13 mars 2015 22:09
  
  @ JL,
  
  J’�tais en panne d’inspiration... merci encore pour ce commentaire qui m’�claire et apporte la solution � mon probl�me sur un plateau.
  
  Heu... NON ! Je persiste et je signe. Pour Racamier comme pour bon nombre d’auteurs qui ont s�rieusement �tudi� la perversion narcissique (tel celui que je cite dans cet article par exemple), le pervers narcissique est bel est bien en qu�te de pouvoir (mais pour en faire un usage qui �chappe � votre intelligence si « raffin�e »).
  
  Par ailleurs, je constate une nouvelle fois que vous vous arrangez selon votre bon vouloir avec les citations d’auteurs que vous n’avez de cesse de travestir. Ce qui est une habitude r�currente chez vous. Le mot « pouvoir » n’est pas une seule fois �crit sur la page 30 du livre que vous citez et encore moins dans le « pr�tendu » extrait que vous attribuez � Racamier. Chercher mieux...
  
  Que disiez-vous d�j� � propos de ceux qui falsifient une citation sans le dire ??? !
  
  Vous �tes d�cid�ment un incorrigible stupide d�ment (selon votre propre grille de lecture), � jamais incapable de passer la troisi�me. Mais ne changez rien, j’y perdrais ma principale « muse ».
  
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- JL 14 mars 2015 00:27
  
  @Philippe VERGNES
  
  vous dites : ’’le pervers narcissique est bel est bien en qu�te de pouvoir (mais pour en faire un usage qui �chappe � votre intelligence si � raffin�e �).’’
  
  Le principe de non contradiction ne vous �touffe pas, vous qui avez construit cet article � partir de cette citation de Michel Serres : � Je ne dis pas : il y a des fous dangereux au pouvoir – et un seul suffirait –, je dis bien : il n’y a, au pouvoir, que des fous dangereux.. �
  
  Premi�re question : si ce pouvoir dont vous parliez dans l’article, celui dont parle Serres, est � ma port�e et celle du lecteur lambda, par quelle diablerie, celui dont vous parlez dans le post ci-dessus �chapperait-il � mon intelligence ?
  
  Deuxi�me question : o� est-ce que Michel Serres a dit que les fous dangereux �taient tous des pervers narcissiques ? C’est pourtant ce que vous soutenez.
  
  Ainsi, la diff�rence entre mon propos qui est aussi celui de Michel Serres) vient de ce que vous avez traduit fous dangereux par pervers narcissiques, et sans aucune raison l�gitime ni d�montr�e.
  
  Citons opportun�ment ici, encore Racamier :
  
  ’’ La v�rit� n’importe pas au pervers narcissique. Tout en masques et faux-semblants, couvert de vernis, il n’a que faire de la v�rit� : moins exigeante et plus avantageuses sont les apparences. Ce qui compte pour lui n’est pas d’�tre ni m�me d’avoir, c’est de paraitre. (...) Aussi bien v�rit� ou mensonge, qu’importe au pervers, lui pour qui seule compte l’efficience ; que lui importe que ses dires soient en eux-m�mes vrais ou faux pourvu qu’ils soient cr�dibles ; la cr�dibilit� lui tiendra lieu de ’v�rit�’ et fera bien mieux son affaire. Que lui importent �galement que nos dires soient vrais : si jamais il les entend, et qu’ils ne lui conviennent pas, il aura t�t fait de les retourner en usant du mode projectif.’’ (p 37 et 45)
  
  Je dois dire � ce sujet que vos smileys dans le post ci-dessus et plus g�n�ralement, dans tous vos posts qui r�pondent � des dures qui ne vous conviennent pas, sont parfaitement �loquents et m’�conomisent une fastidieuse explication.
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 08:47
  
  @ JL,
  
  Mon tr�s, tr�s cher JL,
  
  Vos sempiternelles diatribes dithyrambiques m�ritent de figurer au panth�on des exemples de techniques d’enfumage qui doivent �tre inscrites dans le marbre afin d’�clairer les personnes soucieuses de v�rit� sur les proc�d�s pervers qu’une personnalit� telle que la votre est susceptible d’employer pour immerger son interlocuteur dans un brouillard s�mantique dont vous seul poss�dez la clef (= toute-puissance de la parole).
  
  Pas de bol, vous tombez sur un os... et un gros.
  
  C’est bien dans un but didactique que je vous r�ponds tant votre cause est entendue.
  Annoncer un principe de contradiction sans �tre � m�me de le d�montrer autrement que par la toute-puissance de parole, je vous ai d�j� dit des dizaines de fois et de multiples fa�ons, si ce n’est plus, que cela rel�ve de la pens�e magique digne d’un enfant de 3 ans qui d�couvre les vertus du langage. (1er paragraphe, 1�re manipulation).
  
  Votre premi�re question : « Si ce pouvoir dont vous parliez dans l’article, celui dont parle Serres, est � ma port�e et celle du lecteur lambda, par quelle diablerie, celui dont vous parlez dans le post ci-dessus �chapperait-il � mon intelligence ? »
  
  Pourquoi m�ler le lecteur lambda � un diff�rent qui nous oppose depuis bient�t trois ans d�j� sur ce site et qui fait suite au m�pris que vous n’avez de cesse de me t�moignez depuis lors sous chaque article que je fais para�tre ici ???
  
  Il n’est question dans ses �changes que de votre seul et uniquement intelligence qui est celle d’un robot totalement d�shumanis� qui voudrait que le monde se soumette � sa propre volont� de puissance. Ici, il est question du monde agoravoxien dont vous �tes le Dieu et le « pilier » principal - � vos yeux probablement - avec plus de 28 000 messages post�s � ce jour et sur ce seul site. Je pense que vous d�tenez l� le record d’Agoravox. Vous devez passer vos journ�es enti�re derri�re votre �cran d’ordinateur qui dans ces conditions ne doit �tre que le seul lien qui vous relie au monde r�el. C’est pour cette raison qu’en d�finitive, je vous plaint. Sinc�rement. Mais votre triste fin n’est que le fruit que vous r�coltez de votre sombre existence toute fa�te de perversit�.
  
  (Second paragraphe, seconde manipulation : Principe manipulatoire de la preuve par la masse de Robert Cialdini, In Influence et manipulation, ou sophisme d’appel � la majorit� ou au plus grand nombre)
  
  Votre seconde question :« O� est-ce que Michel Serres a dit que les fous dangereux �taient tous des pervers narcissiques ? C’est pourtant ce que vous soutenez ».
  
  A chacun de vos commentaires vous pervertissez les propos des auteurs que vous lisez. Dans cette seconde question, vous pervertissez ceux de Michel Serres - explicitement -, ceux de Racamier - implicitement - et les miens par la m�me occasion (ce qui serait un moindre mal si au moins vous aviez la d�licatesse de ne pas « falsifier » - selon vos propres termes - les citations que vous retranscrivez ici ou ailleurs).
  
  O� est-ce que j’ai pu �crire que Michel Serres a dit que les fous dangereux �taient tous des pervers narcissiques ?
  
  Cette assertion n’est qu’une nouvelle fois le fruit de votre imagination d�lirante.
  
  Le syllogisme � comprendre dans la construction de mon article est celui-ci :
  Pr�misse 1 : Michel Serres soutient qu’il n’y a que des fous dangereux au pouvoir qui am�nagent notre mort, sans hasard et scientifiquement (ce que tout un chacun est d�sormais � m�me de constater par lui-m�me en observant les d�g�ts caus�s sur notre soci�t� par les d�cisions - et les tergiversations - de nos hommes politiques).
  Pr�misse 2 : Paul-Claude Racamier soutient qu’aux yeux du pervers narcissiques « le prestige et la hauteur, le pouvoir et la propri�t� » compte plus que « la promesse d’un effort » ou « la promesse d’un travail meilleur » (ce qui correspond bien � la d�finition de l’avidit� et de la cupidit� de nos plus hauts dirigeants ; ce que d’aucun peut �galement constater sans trop d’effort).
  Conclusion de PV : Nous sommes diriger par des pervers narcissiques (ou des parano�aques puisque pour Racamier cette derni�re d�coule de la premi�re et se situe en tout �tat de cause dans les pathologies narcissiques perverses).
  
  (Troisi�me paragraphe, troisi�me manipulation : l� vous utilisez la technique du « hareng fum� » [Normand Baillargeon, Petit cours d’autod�fense intellectuelle] pour mieux semer l’�ventuel lecteur qui lit encore ces �changes - le fameux « para�tre » du pervers. Un autre proc�d� r�curent chez vous. Le sujet de nos �changes portait sur votre objection du fait que Racamier ait pu �crire que les pervers narcissique soient « attir�s » par le pouvoir. N’�tant pas en mesure de d�montrer mes dires [et ceux de Racamier] vous d�tournez la discussion dans le sens qui pourrait, � vos yeux, vous donner un avantage. Peine perdue avec moi, avant m�me que vous ne leviez le pied, je vois la merde que vous allez soulever).
  
  Quatri�me paragraphe, quatri�me manipulation : « Ainsi, la diff�rence entre mon propos (qui est aussi celui de Michel Serres) vient de ce que vous avez traduit fous dangereux par pervers narcissiques, et sans aucune raison l�gitime ni d�montr�e ».
  
  Je viens de prouver votre abus de langage qui consiste � pervertir tout � la fois la citation de Michel Serres, la d�finition de la perversion narcissique de Paul-Claude Racamier et mes propres d�ductions (cf. syllogisme ci-dessus). Ce qui n’est qu’une autre de vos incessantes disqualifications (tactique typiquement perverse si elle n’est pas �tay� par des faits v�ritables et v�rifiables)
  
  Cette �ni�me perversion vous permet une conclusion totalement absconse que vous pr�sentez comme un ultime f�tiche. Ici, vous fa�tes usage du principe d’appel � l’autorit� si bien �tudi� par les exp�riences de Stanley Milgram (le point de vue de Michel Serres n’est absolument pas le votre puisqu’il reconnait sa dette envers Simone Weil, qui elle, ex�crait le pouvoir et avait bien compris toute sa perversion ET sa dangerosit� (cf. son essai Note g�n�rale sur la suppression des partis politiques).
  
  Au final, merci pour cette citation de Racamier concernant la fa�on dont le pervers s’accommode de la v�rit�. C’est une de mes pr�f�r�es. Je ne r�siste pas � la r�p�ter tant elle cadre ici � votre pseudo-d�monstration qui n’est qu’une succession d’affirmations p�remptoires : « La v�rit� n’importe pas au pervers narcissique. Tout en masques et faux semblants, couvert de vernis, il n’a que faire de la v�rit�... etc. » J’adore !
  
  Et je vous adore aussi, tant vous apportez de l’eau � mon moulin. !
  
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- JL 14 mars 2015 09:39
  
  @Philippe VERGNES
  
  vous parlez d’enfumage ? Votre logorrh�e ci-dessus, de l’enfumage caract�ris� entre autres, est la parfaite d�monstration en live de ce qu’a voulu dire Racamier dans cette citation que vous pr�tendez adorer, et pour cause !
  
  Vis-�-vis de cette citation, vous me faites penser � un vampire en pr�sence d’un crucifix, qui au prix d’un immense effort de volont� r�ussirait � se contr�ler et d�clarerait avec force d�monstrations � la cantonade, que c’est son symbole pr�f�r�.
  
  A ceci pr�s que, contrairement � ce vampire, vous avez eu des heures loin des regards pour r�diger votre r�ponse. Aucun exploit de volont� l�-dedans, seulement de la routine pour vous.
  
  Toute votre production - vous disiez excr�ts ? - rel�ve clairement de cette unique pr�occupation, � savoir, tenir � distance tous ces ’crucifix’ que vous rencontrez, de la fa�on d�crite par Racamier : vous les retournez en usant du mode projectif.
  
  C’est ce qui a �t� d�montr� ici.
  
  A bon entendeur.
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 10:16
  
  @ JL,
  
  Quelqu’un qui se pose en contradicteur sans �tre capable d’argumenter de fa�on factuelle et circonstancielle n’est qu’un troll ou un pervers qui s’ignore (parfois m�me les deux ne font qu’un).
  
  Que vous d�cr�tiez par la toute-puissance de votre pens�e magique que ma logorrh�e soit la parfaite d�monstration en live de ce qu’a voulu dire Racamier dans la [cette] citation que j’adore effectivement, ne pr�juge en rien du fait que vous ne fa�tes ici encore qu’affirmer sans prouver. (Affirmation p�remptoire = toute puissance de la pens�e magique = perversion narcissique).
  
  En t�moigne la suite de votre post, tant j’ai pr�alablement pu �tablir dans mon pr�c�dent message de 8:47 auquel vous r�pondez que vos seules pr�occupations sont le discr�dit, le d�saveu, la disqualification, la mystification, etc. de vos contradicteurs qui d�voilent votre duplicit�, votre duperie, vos mensonges, vos dissimulations et votre double jeu encore ici exprim�s par une nouvelle technique d’enfumage.
  
  Lorsque vous dites « C’est ce qui a �t� d�montr� ici », � quelle formule magique fa�tes-vous appel pour stipuler qu’une d�monstration a pu �tre faite alors m�me qu’il vous a �t� impossible de prouver que Racamier ait �crit que « les pervers narcissiques ne recherchent pas le pouvoir » comme vous le d�cr�tiez � votre premi�re intervention ici ?
  
  Ce qui d�montre bien en fait que « vous n’avez que faire de la v�rit� »... et n’en avez jamais eu que faire.
  
  « A bon entendeur »... OUI ! Effectivement, celle-l� de formule magique, je la connais � force. C’est celle que vous prononcez suite � vos interventions o� finalement vous cherchez � vous payer l’autoroute sans passer la troisi�me.
  
  Terriblement inefficace ! (Sauf peut-�tre dans votre esprit fortement rabougri. !
  
  Pas �tonnant que vous puissiez croire encore aux crucifix. !
  
  Vous �tes vraiment impayable et incorrigible. Merci pour ce nouveau fou-rire.
  
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- JL 14 mars 2015 10:44
  
  @PV,
  
  puisque vous insistez, laissez moi vous dire ceci :
  
  les crucifix et les vampires rel�vent de la m�taphore. Mais les symboles, les m�taphores et les sentiments sont des choses dont visiblement vous n’avez que faire, vous ne savez qu’en faire.
  
  Vous avez cit� plus bas cette excellente remarque de Robert Hare : ’’ expliquer les sentiments � un psychopathe, c’est comme expliquer les couleurs � un daltonien.’’
  
  Cette formule r�sonne �videmment bien avec cette autre, de Racamier toujours : ’’L’objet de la PN n’est qu’un ustensile’’. De fait, le PN n’a pas d’alter ego : il ne connait que des proies ou des pigeons (p. 34)
  
  Cela me rappelle cette discussion que nous avons eue par le pass�, quand vous souteniez que la haine est chez le PN, pas chez ses victimes. Une th�orie clairement en contradiction avec ce fait que les PN comme les psychopathes n’ont pas d’objets au sens psychanalytique. En effet, on n’�prouve des sentiments qu’envers ses alter ego ; par cons�quent, la haine est un affect inconnu des pervers narcissiques : on n’�prouve pas de haine pour un ustensile.
  
  A votre service.
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 11:42
  
  @ JL,
  
  Heuuu... encore une fois, vous perdez l’occasion de vous taire. Et vous pervertissez une nouvelle fois des auteurs que vous ne pouvez manifestement pas comprendre. Pas �tonnant lorsque l’on raisonne selon une logique bool�enne destin�e � la programmation des robots et des ordinateurs.
  
  Maurice Hurni et Giovana Stoll (des auteurs que j’ai d�j� pr�sent�s ici et que je repr�senterais � nouveau) sont les plus grands sp�cialistes de la perversion narcissique actuellement encore en activit� et ayant poursuivi les travaux de Racamier. Dans leur ouvrage de 1996 intitul� La haine de l’amour, ils exposent la PN au regard des normo-n�vros�s. Pour eux, le p.n. n’a pas d’affect seulement rage et peur. De cette m�me rage qui le conduit � ha�r ses objets puisqu’il est toujours port� � les d�truire. De cette m�me destructivit� que vous vous �chinez � manifester sous tous mes articles.
  
  En outre, dans la pr�face de ce livre, Racamier (dont je note qu’il est devenue votre nouvelle marotte alors que vous pr�tendiez avoir �tudi� la PN avec d’autres auteurs que vous n’avez jamais �t� en mesure de citer... et pour cause lorsque l’on connait votre propension � travestir la v�rit� et � vous accommodez de divers mensonges), d�clare que les auteurs (M. Hurni et G. Stoll) auraient tout aussi bien pu inverser le titre de leur livre et l’intitul� L’amour de la haine. Car effectivement, c’est bien l’un des rares sentiments dont sont capables les p.n. : ils aiment leur haine tout comme vous t�moignez continuellement aimer la votre � mon encontre.
  
  Vous avez beau chercher � la dissimuler sous couvert de formules polic�es, votre haine transpire � chacune de vos interventions o� encore une fois, pour �tayer votre argumentation, vous pervertissez la notion m�me d’objet du point de vue de la psychanalyse.
  
  Si comme vous le d�tes, la haine est un affect inconnu des p.n. sous pr�texte que l’on �prouve pas de haine pour ses objets-ustensiles (terminologie propre � Racamier) pourquoi donc chercheraient-ils � les d�truire comme vous vous y efforcez ici t�moignant par l� de ce qui caract�rise toute votre perversit� ???
  
  « A votre service » Oui, merci !
  
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- JL 14 mars 2015 12:24
  
  @Philippe VERGNES
  
  vous le dites vous-m�me : ’’ (pour) Maurice Hurni et Giovana Stoll le p.n. n’a pas d’affect seulement et peur.’’
  
  Il faudrait ajouter l’amour de soi et ce genre de chose.
  
  L’amour de la haine n’est ni l’amour, ni la haine. Vous comprenez �a ?
  
  Mais non : vous d�montrez par votre incompr�hension manifest�e ici cette belle formule que vous aimez tant : ’’ expliquer les sentiments � un psychopathe, c’est comme expliquer les couleurs � un daltonien.’’
  
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- JL 14 mars 2015 12:36
  
  @PV,
  
  ultime tentative pour vous ouvrir les yeux : aimer ou ha�r, c’est reconnaitre que l’on d�pend de l’autre. Cela est impossible pour le PN, ce serait antinomique avec sa toute puissance, par d�finition.
  
  Vous �tes incapable de d�crire la perversion narcissique puisque vous confondez PN et PV. Ce n’est pas qu’un jeu de mots.
  
  Maintenant je n’ai plus rien � vous dire.
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 14:16
  
  @ JL,
  
  Bon sang JL... comment dire... les mots me manquent... vous �tes « wonderful ».
  
  J’�cris : « Pour eux (M. Hurni et G. Stoll), le p.n. n’a pas d’affect seulement rage et peur. »
  
  Vous recopiez : « (pour) Maurice Hurni et Giovanna Stoll le p.n. n’a pas d’affect seulement et peur » en oubliant au passage le mot RAGE, et son lien expliquant ce qu’est ce sentiment. Mot et d�tail les plus importants de cette citation.
  
  Acte manqu� ? « Hasard » qui s’acharne contre vous et votre duperie sans cesse r��dit�e ? « Gremlins » informatiques ?
  
  Le pire c’est que je ne pense pas que vous le fassiez expr�s... vous �tes bien trop tordu pour cela. Comme en atteste une fois de plus la d�monstration qui va suivre. !
  
  Je m’�tais gard� une poire pour la soif, connaissant par cœur votre propension aux incoh�rences que vous croyez d�celer chez autrui (vos objets-ustensiles).
  
  JL 14 mars 10:44 : « Puisque vous insistez, laissez moi vous dire ceci : les crucifix et les vampires rel�vent de la m�taphore. Mais les symboles, les m�taphores et les sentiments sont des choses dont visiblement vous n’avez que faire, vous ne savez qu’en faire. »
  
  Nouvelle affirmation p�remptoire puisque j’use souvent dans mes �crits de m�taphores quant aux symboles, tous vos contradicteurs connaissent votre inclination � les travestir m�me s’ils n’en ont pas toujours conscience. Mais le pire chez vous, ce qui rel�ve de la constance et de l’inconscience dont vous �tes atteint, c’est qu’imm�diatement � la suite de cette nouvelle disqualification gratuite prof�r�e sans aucun fondement vous pouvez rajouter : « Vous avez cit� plus bas cette excellente remarque de Robert Hare : ’’Expliquer les sentiments � un psychopathe, c’est comme expliquer les couleurs � un daltonien.’’ »
  
  Alors la question qui s’impose tout de suite � l’�vidence, c’est de savoir comment je peux n’avoir que faire des symboles, des m�taphores et des sentiments tout en citant un auteur qui fait usage d’une m�taphore que vous qualifiez de belle formule.
  
  Lorsque l’on est capable de produire une telle contradiction et incoh�rence dans deux paragraphes successifs, c’est bien que l’on n’est manifestement pas motiv� par la recherche de v�rit�. Et si ce n’est la recherche de v�rit� qui vous attire sous tous mes articles, qu’est-ce donc ??? Ce n’est un myst�re que pour tout ceux qui s’aveugle de votre dialectique �ristique.
  
  Vous rajoutez dans votre dernier message vouloir effectuer une « ultime tentative pour m’ouvrir les yeux », mais comment un aveugle peut-il s’y prendre pour guider les pas d’un clairvoyant ???
  
  La seule chose int�ressante � tirer de toute vos interventions, si ce n’est qu’elle atteste de votre hypocrisie, est celle-ci : « aimer ou ha�r, c’est reconna�tre que l’on d�pend de l’autre. Cela est impossible pour le PN, ce serait antinomique avec sa toute-puissance, par d�finition ».
  
  Pour ce qui est de l’amour d’un p.n. : OUI... ABSOLUMENT ! Puisque comme je l’explique dans mes articles que vous ne lisez jamais (ce qui ne vous emp�che pas de les polluer), la perversion narcissique est une d�fense de survivance qui a pour but de se prot�ger de l’attraction d’objet (l’amour) ET des deuils ou conflits intrapsychique.
  
  Par contre, pour ce qui est d’ha�r, ABSOLUMENT PAS ! C’est bien pour cela que le p.n. n’a comme affect que rage et peur. Triste... terriblement triste pour celui qui vieillit ainsi.
  
  « Maintenant je n’ai plus rien � vous dire ». Oui, mais l� aussi on conna�t la chanson de votre incantation chamanique. Cela fait plus de deux ans que vous vous r�p�tez et que vous apparaissez pourtant sous chacun de mes billets post�s ici. Mais rassurez-vous, je ne vous chasse pas, car comme je le dis souvent : vous �tes ma muse tant vous �tes prolixes en paradoxes et en incoh�rences encore ici d�montr�s « factuellement ». !
  
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- JL 14 mars 2015 14:51
  
  @Philippe VERGNES
  
  Pour le mot rage, je voulais supprimer un lien que je trouvais d�plac� dans un copi� coll�. Et m�me ailleurs lors que ce n’est qu’un renvoi vers le dictionnaire. L’�diteur d’Avox devrait le faire syst�matiquement pour les copi�s-coll�s. Pour le coup, j’ai d� l’effacer et l’�diteur m’a vol� la frappe de la transcription clavier.
  
  Sur la ’belle formule’, les m�taphores et vos capacit�s : Une comparaison n’est pas une m�taphore ; une comparaison est � la port�e du premier venu, et il ne viendrait � personne l’id�e de dire le contraire. Ceci dit, concernant votre infirmit� relative, je ne faisais allusion qu’aux seules m�taphores du vampire et du crucifix que vous aviez r�fut�s.
  
  Enfin, pour ce qui est de la haine, je ne comprends pas ce que vous dites : la peur et la rage, pour vous, c’est de la haine ? Vous confirmez l� que, d�cid�ment, vous �tes incapable de comprendre ce qu’est un sentiment.
  
  Bis repetita : la haine c’est ce qu’on �prouve � l’encontre des personnes que l’on juge responsables de nos souffrances. C’est donc bien un sentiment de d�pendance. Une personnalit� PN ne peut admettre une telle d�pendance, je le r�p�te, antinomique de son sentiment de toute puissance.
  
  Ce que je fais ici ? Je cherche � sauver la cr�dibilit� d’Agoravox mis en p�ril, entre autres, par vos articles d�lirants r�p�t�s ad nauseam et au sujet desquels vous ne tol�rez pas la controverse, imposant de ce fait, une v�ritable dissuasion par la terreur envers tous ceux qui oseraient vous faire front. Et cela fait des ann�es que �a dure.
  
  Si je n’ai plus rien � vous dire, c’est parce que je crois avoir fait le tour de votre probl�matique. Et je n’aime pas me r�p�ter. Cela ne signifie pas que je n’ai plus rien � dire. Nuance.
  
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- philouie 14 mars 2015 15:14
  
  @JL
  Une question en passant : qu’est-ce qui distingue le pervers narcissique du narcissique : est-ce une simple question de degr�s ou y a-t-il une diff�rence de nature ?
  
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- bourrak 14 mars 2015 15:26
  
  @JL
  
  "Premi�re question : si ce pouvoir dont vous parliez dans l’article, celui dont parle Serres, est � ma port�e et celle du lecteur lambda, par quelle diablerie, celui dont vous parlez dans le post ci-dessus �chapperait-il � mon intelligence ?"
  
  Leur qu�te de pouvoir est probalbement d�e � une tendance au solipsime (je suis le seul qui existe vraiment, je suis le ma�tre du monde) , leur principale force est le sophisme.
  
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- Xenozoid 14 mars 2015 15:26
  
  @philouie
  le pouvoir ?
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 15:55
  
  @ JL,
  
  « Pour le mot rage, je voulais supprimer un lien que je trouvais d�plac� dans un copi� coll�. Et m�me ailleurs lors que ce n’est qu’un renvoi vers le dictionnaire... »
  
  Ben oui, pourquoi ne pas effacer les traces de vos m�faits ???
  
  Effacer la d�finition du dictionnaire du mot rage qui stipule que ce sentiment m�le la col�re, le ressentiment et la haine, autrement dit d�voile vos intentions ici, est bien typique des pervers.
  
  « Sur la ’belle formule’, les m�taphores et vos capacit�s : Une comparaison n’est pas une m�taphore... »
  
  Prenez-vous la « belle formule » de Robert Hare pour une comparaison ? N’y aurait-il donc que vous qui soyez capable de produire des m�taphores ?
  
  D�cid�ment, vous ne reculez devant aucun obstacle pour assouvir votre soif de vengeance.
  
  « ... Ceci dit, concernant votre infirmit� relative, je ne faisais allusion qu’aux seules m�taphores du vampire et du crucifix que vous aviez r�fut�s. »
  
  Heu... encore un produit de vos d�lires. Je disais simplement que compte tenu de votre �ge mental, il n’�tait pas �tonnant que vous croyez encore aux crucifix.
  
  « Enfin, pour ce qui est de la haine, je ne comprends pas ce que vous dites... »
  
  Normal quand on est un robot programm� par une logique bool�enne.
  
  « ... la peur et la rage, pour vous, c’est de la haine ? » = enfumage. Qui confond ici la peur et la rage si ce n’est vous qui venez semer cette confusion ? (Confusion = fusion � la con = perversion.) !
  
  « Bis repetita : la haine c’est ce qu’on �prouve � l’encontre des personnes que l’on juge responsables de nos souffrances. C’est donc bien un sentiment de d�pendance. Une personnalit� PN ne peut admettre une telle d�pendance, je le r�p�te, antinomique de son sentiment de toute puissance. »
  
  Donc vous reconnaissez un d�pendance vis-�-vis de moi puisque vous admettez implicitement me ha�r. Autrement, selon votre propre d�finition, vous seriez pervers narcissique. C’est « gentil » d’enfin admettre que vous me ha�ssez. Cela explique votre acharnement et votre psychorigidit�.
  
  « Ce que je fais ici ? Je cherche � sauver la cr�dibilit� d’Agoravox mis en p�ril, entre autres, par vos articles d�lirants r�p�t�s ad nauseam et au sujet desquels vous ne tol�rez pas la controverse, imposant de ce fait, une v�ritable dissuasion par la terreur envers tous ceux qui oseraient vous faire front. Et cela fait des ann�es que �a dure. »
  
  Ciel un sauveur... un narcissique donc. Pervers en ce qu’il reproche � autrui ses propres m�faits : mensonges, calomnies, d�lires, accusations p�remptoires, disqualifications, mystifications, d�saveux, etc., etc., etc.
  
  Je crois qu’Agoravox se porterait bien mieux sans des gens tels que vous qui cherchent � imposer leur dictature. Ce qui est tout � fait dans le sujet de l’article. Il ne vous apparemment jamais venu � l’id�e que c’�tait de vous qu’il faudrait sauv� ce site d�sert� par de nombreux intervenants, ne serait-ce que suite aux prises de becs qu’ils ont eut avec vous et votre folie « confusiog�ne » comme vous en t�moignez une fois de plus dans votre dernier paragraphe.
  
  Concernant la controverse, il n’y jamais eu avec vous la moindre controverse comme en atteste une fois de plus ces �changes : vous ne fa�tes que m�dire sans �tre capable d’apporter un seul argument factuel et circonstanci� � votre propos qui n’est que haine (ce que vous finissez par admettre implicitement), d�go�t (ce que vous avez maintes fois r�p�tez), m�disance, hypocrisie, m�pris et j’en passe.
  
  Joli tableau d’ensemble pour un vengeur masquer qui se pare de vertus. Un vengeur masquer sans aucune morale... qui se voudrait vertueux... si ce n’�tait si dramatique pour notre soci�t� toute enti�re se serait � mourir de rire.
  
  « Si je n’ai plus rien � vous dire, c’est parce que je crois avoir fait le tour de votre probl�matique. Et je n’aime pas me r�p�ter. Cela ne signifie pas que je n’ai plus rien � dire. Nuance. »
  
  Ha oui... quelle nuance ? Celle de ne plus rien avoir � me dire tout en continuant � commenter chacune de mes interventions ? A qui parlez-vous d’autre ici, si ce n’est � moi ? Voil� bien le genre de tour de passe-passe dont votre esprit pervers raffole.
  
  Y’a pas � dire... vous �tes un VRAI cas d’�cole ! Un v�ritable sujet d’�tude � diss�quer sous toutes les coutures tant vous vous �vertuez � d�ployer un tr�sor d’ing�nierie perverse pour parvenir � vos fins.
  
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- philouie 14 mars 2015 16:16
  
  @Xenozoid
  La Toute Puissance.
  
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- JL 14 mars 2015 18:40
  
  @philouie
  
  c’est une bonne question, et je vous remercie de me l’avoir pos�e.
  
  Je crois que la meilleure r�ponse que je pourrais trouver c’est ce � de Racamier (*) intitul� ’Question de dosage’ o� il dit : ’’Toute perversion narcissique repose � la fois sur une affirmation et sur un d�ni : affirmation de soi, d�ni de l’autre par d�ni d’une part de soi. Mais les proportions changent. Et leur produit. Tant que la perversion narcissique se fonde surtout sur une affirmation renforc�e (’’je suis meilleur que vous ’’), elle n’est qu’ennuyeuse. Elle devient nocive d�s qu’elle se fonde principalement sur un d�ni (’’Vous n’�tes bon qu’� mes d�chets’’).
  
  Si l’on se r�f�re au DSM, je crois que l ’on pourrait qualifier de personnalit� narcissique celles qui ne sont fond�es que sur l’affirmation : ’’je suis le meilleur’’. Et qu’on devrait r�server l’appellation de perversion narcissique au trouble bas� � la fois sur l’affirmation et sur le d�ni : vous n’�tes bon qu’� mes d�chets’’.
  
  Ainsi, le pervers narcissique est une personnalit� narcissique nocive, ce que n’est pas le narcissique ordinaire. Mais il y aurait des tas de choses � en dire : il faut bien se limiter.
  
  (*) J’utilise les mots de Racamier, son ouvrage �tant le plus clair de tous pour les profanes.
  
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- JL 14 mars 2015 18:40
  
  @bourrak
  
  le solipsisme ? Non, je ne crois pas du tout qu’il y ait un rapport.
  
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- JL 14 mars 2015 18:43
  
  @Philippe VERGNES
  
  Bah, vous dites l� encore, tout et son contraire.
  
  Au sujet de la rage : il y a rage et rage narcissique. Nuance.
  
  La rage : ’’L’adversaire qui devient la cible de nos agressions matures est ressenti comme s�par� de nous, que nous l’attaquions parce qu’il nous entrave dans l’accession � nos buts libidinaux d’objets ou le ha�ssions parce qu’il fait obstacle � l’accomplissement de nos d�sirs narcissiques adapt�s � la r�alit�.’’
  
  nb : d�sirs narcissiques adapt�s � la r�alit�.
  
  La rage narcissique : ’’L’ennemi cependant, qui suscite la rage archa�que du sujet narcissiquement vuln�rable, est vu par lui non pas comme une source autonome d’impulsions, mais comme une imperfection de la r�alit� per�ue narcissiquement. Il est une part r�calcitrante d’un soi �largi sur lequel il esp�re exercer une ma�trise totale et dont la simple ind�pendance ou l’alt�rit� est une offense.’’
  
  nb : l’ennemi qui suscite la rage est vu comme une imperfection de la r�alit�. Peut-on ha�r les imperfections de la r�alit� ? Bien s�r que non.
  
  C’est l�.
  
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- philouie 14 mars 2015 19:04
  
  @JL
  Donc une question de dosage. c’est la dose qui fait le poison.
  Comme nous sommes tous narcissiques, nous sommes tous, � degr�s divers des pervers narcissique.
  Si l’on veut parler du totalitarisme il faut clairement le distinguer de la simple tyrannie. Celle si repose sur la force, alors que le totalitarisme repose sur la manipulation des masses.
  Et ce qui est manipul�, dans la masse, c’est le narcissisme.
  C’est pourquoi le pouvoir promeut le narcissisme.
  Il le fait en s’attaquant � la loi et en promouvant l’indiff�renciation.
  Il le contr�le par la soci�t� du spectacle et le nourri par la distribution.
  
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- JL 14 mars 2015 19:26
  
  @philouie,
  
  je crois que vous allez un peu vite : si de fait, nous sommes tous � des degr�s divers des narcissiques, il en va tout autrement de la perversion qui, je le rappelle est fond�e aussi sur le d�ni ; et le d�ni n’est pas monnaie courante qui a � voir avec la castration, je crois que �a vous parle ? Et l’indiff�renciation est un d�ni d’une autre nature que celui dont on parle ici.
  
  Mais vous avez raison sur la nuance � faire entre totalitarisme et tyrannie.
  
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- Philippe VERGNES 14 mars 2015 20:04
  
  @ JL,
  
  Merci pour le lien, mais je le connaissais d�j� pour, il y a quelques temps de �a, vous en avoir d�j� parl�. !
  
  « Bah, vous dites l� encore, tout et son contraire. »
  
  Ha bon ???
  
  Pour l’instant, nous attendons toujours que vous puissiez prouver cette assertion autrement que par l’une de vos sempiternelles incantations chamaniques.
  
  Au sujet de la rage et de votre article en lien qui ne parle que de rage narcissique, elles sont curieuses vos nuances... donc, finalement, pour parler clairement : vous me ha�ssez oui ou non ???
  
  Moi je dis que c’est ce que vous d�montrez ici � longueur de commentaires... ce que finalement vous admettez implicitement sans oser le dire explicitement. Etes-vous capable de r�pondre � cette simple question sans enfumer vos lecteurs comme vous en �tes coutumier ?
  
  Je doute vraiment, mais sait-on jamais.
  
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- JL 15 mars 2015 09:43
  
  @bourrak
  
  si vous �tes encore l�, et sur votre question � propos du solipsisme, il y aurait bien cet extrait dont le dernier � est relatif au solipsisme :
  
  << Supposons que dans une dispute, un c�t� est innocent, honn�te, et dit la v�rit�. Il est �vident que mentir ne fait pas de bien � une personne innocente ; quel mensonge peut-il dire ? S’il est innocent, le seul mensonge qu’il peut dire est de confesser faussement « Je l’ai fait ».
  
  << Mais mentir n’est que bon pour le menteur. Il peut d�clarer que « Je ne l’ai pas fait », et accuse un autre de l’avoir fait, tandis que la personne innocente qu’il a accus�e dit : « Je ne l’ai pas fait » ; et qu’elle dit r�ellement la v�rit�.
  
  << La v�rit� – quand elle est d�form�e par de bons menteurs, peut toujours faire qu’une personne innocente apparaisse mauvaise – sp�cialement si la personne innocente est honn�te et admet ses erreurs.
  
  << La supposition de base que la v�rit� se trouve entre le t�moignage des deux c�t�s d�place toujours l’avantage du c�t� menteur et l’�loigne du c�t� disant la v�rit�.
  
  << Dans la plupart des circonstances, ce d�calage avec le fait que la v�rit� va �tre d�form�e d’une mani�re telle � porter le d�triment sur la personne innocente, r�sulte dans l’avantage reposant toujours dans les mains des menteurs – les psychopathes. M�me le simple acte de t�moigner sous serment est inutile. Si quelqu’un est un menteur, jurer sous serment ne signifie rien � cette personne. Cependant, jurer sous serment agit fortement sur un t�moin s�rieux, vrai. A nouveau, l’avantage est plac� du c�t� du menteur.
  
  << Cela met en lumi�re une des choses uniques sur le psychopathe – leur incapacit� a concevoir de l’id�e abstraite du « futur ». On a souvent not� que les psychopathes ont un avantage distinct sur les �tres humains avec conscience et sentiments parce que le psychopathe n’a pas de conscience et de sentiments. Ce qui semble �tre ainsi est que la conscience et les sentiments sont reli�s aux concepts abstraits du « futur » et des « autres ». C’est « spatio-temporel ».
  
  << Nous pouvons ressentir la peur, la sympathie, l’empathie, la tristesse, etc.. parce que nous pouvons IMAGINER d’une mani�re abstraite, l’avenir bas� sur nos propres exp�riences dans le pass�, ou m�me juste des « concepts d’exp�rience » dans des variations innombrables. Nous pouvons « pr�dire » comment les autres r�agiront parce que nous sommes capables de « voir nous-m�mes » en eux quand bien m�me ils soient « l�-dehors » et la situation est quelque peu diff�rente ext�rieurement, quoique similaire en dynamique. Autrement dit, nous pouvons non seulement nous identifier aux autres spatialement – pour ainsi dire – mais aussi temporellement – dans le temps. Le psychopathe ne semble pas avoir cette capacit�. Ils sont incapables d’« imaginer » dans le sens d’�tre capable de relier r�ellement � des images d’une sorte de mani�re "se connectant directement � un autre moi".
  
  << Oh, en effet, ils peuvent imiter les sentiments, mais les seuls sentiments r�els qu’ils semblent avoir – la chose qui les dirige et les pousse � jouer diff�rents drames pour les r�sultats – sont une sorte de « peur », bas�e sur l’adr�naline, de perdre ce qu’ils veulent. C’est-�-dire qu’ils ressentent le besoin/d�sir comme de l’amour, et n’ayant pas leurs besoins/d�sirs satisfaits est d�crit par eux comme « n’�tant pas aim� ».
  
  << En outre, cette perspective « besoin/d�sir » pose en principe que seule la « faim » du psychopathe, et tout ce qu’il y a dehors, en dehors du psychopathe, n’est pas r�el, except� tant qu’elle a la capacit� d’�tre assimil�e au psychopathe comme une sorte de « nourriture ». Pouvoir �tre utilis� ou pouvoir fournir quelque chose est la seule question sur laquelle le psychopathe semble �tre concern�. Tout autre chose – toute activit� – est englob�e dans ce mouvement. >>
  
  Ps. J’ai soulign� en gras ce qui renvoie aux �changes PV vs JL.
  
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- JL 15 mars 2015 10:01
  
  ’’tout ce qu’il y a dehors, en dehors du psychopathe, n’est pas r�el ’’ (cf. JL, ci-dessus)
  
  Cette phrase est � relier avec cette autre :
  
  ’’L’ennemi qui suscite la rage (du) narcissique est vu (par lui) comme une imperfection de la r�alit�.’’ (cf. JL 14 mars 18:43)
  
  Voil� pourquoi le psychopathe � l’instar du solipsiste, ne connait pas la haine ordinaire, celle que les humains ordinaires peuvent � l’occasion, �prouver l’un pour l’autre.
  
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- philouie 15 mars 2015 11:16
  
  @JL
  Merci de me dire o� je vais un peu vite.
  Vous serez d’accord que pour que la masse soit manipul� il faut qu’elle soit manipulable.
  Est-ce aller trop vite que de dire que ce qui est manipul� c’est le narcissisme ?
  
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- JL 15 mars 2015 11:33
  
  @philouie,
  
  vous m’avez pos� la question : ’’qu’est-ce qui distingue le pervers narcissique du narcissique’’
  
  Je vous ai r�pondu qu’� mon avis, c’est le d�ni, non pas d�ni de la diff�rence, mais d�ni de l’autre en tant qu’alter ego (cf. mes deux pr�c�dents posts ci-dessus adress�s � Bourrak), et vous en concluez, je vous cite : ’’Comme nous sommes tous narcissiques, nous sommes tous, � degr�s divers des pervers narcissique’’
  
  Si nous sommes bien tous des narcissiques � des degr�s divers, en revanche, seuls un petit nombre sont, � des degr�s divers, pervers narcissiques.
  
  Du moins, c’est ce que je crois.
  
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- philouie 15 mars 2015 13:26
  
  @JL
  D’accord.
  Je ne suis pas sp�cialiste des cat�gories de la psychiatrie et de la psychologie. Mon avis n’est ni tranch�, ni �clair�. je m’interroge.
  Mais dans mon esprit, perversion et narcissisme sont une m�me chose et il n’y aurait pas de diff�rence de nature mais seulement de degr� entre une personnalit� « normale » et une personnalit� « perverse ».
  Vous dites, la perversion, c’est de la d�ni de l’autre en tant qu’alter �go, or pour moi, c’est cela le narcissisme, le d�ni �tant le refus de la castration, le refus au renoncement � la toute puissance.
  Il y a , en tout �tat de cause, un probl�me d’alt�rit� dans la question du narcissisme, probl�me d’alt�rit� qui fait que l’�go, �go narcissique donc, n’est pas un moi individualis�, mais plut�t une sorte de « nous » dont le moi est le centre.
  On aurait tendance � penser que le narcissisme produit de l’individualisme, le cot� chacun sa gueule.
  c’est en r�alit� l’inverse qui est vrai : le narcissisme produit du nous, il agglom�re plut�t qu’il ne divise en s’opposant � un eux diabolique.
  C’est cette question du « nous » issue du narcissisme, qui en fait un enjeu politique majeur.
  A mon avis, donc.
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 14:26
  
  @ JL (et bourrak puisque c’est avant tout � vous que le message de JL s’adresse),
  
  « PS : J’ai soulign� en gras ce qui renvoie aux �changes PV vs JL ».
  
  Voyons, voyons...
  
  JL 15 mars 2015 09:43 : « ... cette perspective � besoin/d�sir � pose en principe que seule la � faim � du psychopathe, et tout ce qu’il y a dehors, en dehors du psychopathe, n’est pas r�el, except� tant qu’elle a la capacit� d’�tre assimil�e au psychopathe comme une sorte de � nourriture �. Pouvoir �tre utilis� ou pouvoir fournir quelque chose est la seule question sur laquelle le psychopathe semble �tre concern�. Tout autre chose – toute activit� – est englob�e dans ce mouvement. »
  
  A noter au passage que vous copier/coller un texte qui parle de la perspective besoin/d�sir ressentit comme de l’amour par le psychopathe. Ce que ne dit pas autre chose mon article qui parle �galement de la confusion besoin/d�sir des hommes de pouvoir. Pour autant, vous maintenez que le pervers narcissique (forme aboutie de psychopathie) ne recherche pas le pouvoir... Comprenne qui pourra !
  
  JL 14 mars 2015 14:51 : « Ce que je fais ici ? Je cherche � sauver la cr�dibilit� d’Agoravox mis en p�ril, entre autres, par vos articles d�lirants r�p�t�s ad nauseam et au sujet desquels vous ne tol�rez pas la controverse, imposant de ce fait, une v�ritable dissuasion par la terreur envers tous ceux qui oseraient vous faire front. Et cela fait des ann�es que �a dure. »
  
  Donc, vous vous prenez pour le cyberflic d’agoravox...
  
  Une nuance cependant, mais elle est de taille et visible dans tous nos �changes : je r�tablis les v�rit�s que vous manipulez � dessein en les transgressant sciemment pour enrober vos mensonges d’un semblant de vraisemblance... (ce que je vais une nouvelle fois d�montr�e ci-dessous).
  
  Et tout vous pousse � continuer ainsi puisque vous parvenez � recruter des « clients » aveugl�s par votre double jeu. Paix � leur �me !
  
  JL 17 mai 2013 14:13 : « ...Ceci dit, j’ai vu dans cet article, une opportunit� pour mettre un peu d’ordre dans ces concepts de langue, novlangue, psychopathie et tutti quanti qui ont �t�, je trouve, quelque peu bouscul�s ces derniers jours. »
  
  Etc., etc., etc.
  
  Cyberflic d’agoravox donc... ou Dieu agoravoxien cherchant � gommer les imperfections de sa propre r�alit�... perverse... !
  
  Un Dieu agoravoxien qui pr�tend d�fendre la v�rit� en mentant de fa�on �hont�, sans aucune vergogne.
  
  JL 11 mars 23:51 premi�re intervention sur ce fil de discussion : « ... les pervers narcissiques ne recherchent pas le pouvoir (*). [...] (*) dixit Racamier himself. »
  
  Ce qui n’est que mensonge et travestissement de la r�alit� (cf. votre copi�/coll� sur la d�finition de la psychopathie).
  
  Par la suite, n’�tant pas parvenu � PROUVER (sauf � mentir et � manipuler comme vous l’avez fait) que Racamier ait pu �crire une telle chose puisque tout son livre dit en fait le contraire, vous n’avez eu de cesse de mettre en oeuvre diverses techniques d’enfumage comme d�montr� ici m�me.
  
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- JL 15 mars 2015 14:30
  
  @philouie,
  
  Bah ! Je vous ai donn� des arguments que je n’ai pas invent�s mais que j’ai trouv�s dans la litt�rature sp�cialis�e.
  
  Je regrette, je ne comprends pas bien ce que vous voulez dire l� : ’’Vous dites, la perversion, c’est de la d�ni de l’autre en tant qu’alter �go, or pour moi, c’est cela le narcissisme, le d�ni �tant le refus de la castration, le refus au renoncement � la toute puissance.’’
  
  Si je devine correctement, je r�pondrai en disant que la castration est effectivement ce qui met un terme � l’illusion de toute puissance, mais en pr�cisant bien que cette illusion est justement l’autre nom de ce que l’on appelle le d�ni de l’Autre, l’alter ego.
  
  Par ailleurs, si un refus est bel et bien un d�ni, un �chec ne l’est pas. Or il convient de parler d’�chec de la castration et non pas de refus. De sorte que, c’est peut-�tre une question de degr� d’illusion de toute puissance - mais pas que(*) - qui met en �chec la castration, mais c’est bien parce qu’il y a d�faut de castration que s’�labore d�finitivement le d�ni (de l’autre).
  
  Et cette �laboration d�finitive est donc ce qui distingue le pervers narcissique du simple narcissique dont l’Ego peut bien �tre surdimensionn�, il n’en constituera pas pour autant un poison pour autrui. Il peut arriver passag�rement (deuils, d�pressions, �checs cuisants) que le narcissique se r�fugie (r�gresse ?) dans le d�ni de l’autre : on parle alors de mouvement pervers ; � ne pas confondre avec noyaux pervers.
  
  (*) Il peut arriver que la castration n’ait pas lieu (cf. œdipe) malgr� un Ego relativement modeste. Dans ce cas, je crois qu’on parlera plut�t de d�linquance, de psychopathie, d’asocialit�. Mais ceci est une autre affaire.
  
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- bourrak 15 mars 2015 14:32
  
  @JL : Une question en passant : qu’est-ce qui distingue le pervers narcissique du narcissique : est-ce une simple question de degr�s ou y a-t-il une diff�rence de nature ?
  Je pense, que le narcissique est dans un �tat d’esprit, temporaire, alors que le pervers narcissique est la nature d’une personnalit�, c’est son �tat « normal ».
  
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- bourrak 15 mars 2015 14:39
  
  @JL
  Merci de me dire o� je vais un peu vite.
  Vous serez d’accord que pour que la masse soit manipul� il faut qu’elle soit manipulable.
  Est-ce aller trop vite que de dire que ce qui est manipul� c’est le narcissisme ?
  J’en doute fort.
  La masse est manipulable de la m�me fa�on qu’un indidivu, en usant de raisonnements fallacieux.
  
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- JL 15 mars 2015 14:44
  
  @Philippe VERGNES
  
  ’’tout son livre dit en fait le contraire’’
  
  Non, �a c’est votre lecture.
  
  Je ne saurais mieux faire que de conseiller aux personnes int�ress�es la lecture de ce petit bouquin qui se lit en une heure � peine, mais se relit avec int�r�t. (Les perversions narcissiques, par Paul-Claude Racamier).
  
  Ps. Si vos articles n’�taient pas aussi verbeux, r�p�titifs et ennuyeux, peut-�tre qu’on les lirait plus attentivement.
  
  Vous parliez tout � l’heure de ’’Principe manipulatoire de la preuve par la masse’’ ? Il y a masse et masse, et vous recherchez autant l’une que l’autre en publiant as nauseam cette logorrh�e que j’ai compar�e � de la monomanie : vous collectionnez vos articles comme un philat�liste collectionne les timbres poste.
  
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- JL 15 mars 2015 14:49
  
  Pr�cision : il y a des pervers narcissiques qui briguent le Pouvoir avec un grand P, en effet, et nous en connaissons. Mais ce n’est pas ce pouvoir qui attire en priorit� ces individus ; ce qui leur est plus accessible et bien plus confortable, c’est le pouvoir occulte.
  
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- JL 15 mars 2015 14:59
  
  @Philippe VERGNES
  
  Vous dites � l’instant : ’’A noter au passage que vous copier/coller un texte qui parle de la perspective besoin/d�sir ressentit comme de l’amour par le psychopathe. Ce que ne dit pas autre chose mon article qui parle �galement de la confusion besoin/d�sir des hommes de pouvoir. ’’
  
  J’ai donc cherch� dans votre article ce passage, j’ai trouv� ceci : ’’l’origine perverse de cette confusion entre besoin et d�sir’’
  
  Je note que vous m�langez tout encore une fois. Cela devient lassant. J’aimerais bien que quelqu’un prenne le relai, d’autant que, comme l’a si perfidement dit joraclette en fin d’article, certains lecteurs ne voient ici que des marionnettes et des aspirants Marionnettistes.
  
  joraclette confirmant bien par l� que, comme je l(ai signal� plus haut : ’’La supposition de base que la v�rit� se trouve entre le t�moignage des deux c�t�s d�place toujours l’avantage du c�t� menteur et l’�loigne du c�t� disant la v�rit�.’’
  
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- philouie 15 mars 2015 15:00
  
  @Bourrak
  La masse est manipulable de la m�me fa�on qu’un indidivu, en usant de raisonnements fallacieux.
  
  A mon sens non.
  la masse est manipulable par les images et l’�motion qu’elles v�hiculent.
  C’est par l’identification (narcissique, donc) que l’individu est touch� par la manipulation.
  
  On l’a vu, avec les morts de Dropped en Argentine.
  C’est parce que le public s’identifie aux sportifs morts qu’il est touch� par l’accident, comme si, c’�tait une part de chacun qui �tait morte l�-bas. « Toute la France est en deuil » dixit le dirigeant.
  Une caract�ristique du Nazisme, c’est l’organisation de spectacle de masse.
  Le « nous » est rassembl� sous les images hypnotiques. le « eux » est diabolis�.
  
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- bourrak 15 mars 2015 15:07
  
  @Jl
  Je ne vois pas o� est la manipulation dans votre exemple, pourriez-vous en fournir un autre ?
  
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- Xenozoid 15 mars 2015 15:12
  
  @ tous
  peut �tre vous mettez trop de cr�dits a ceux qui mentent et par ce fait ,vous vous mettez en diff�rence
  
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- philouie 15 mars 2015 15:31
  
  @bourrak
  ce n’est pas un exemple de manipulation, c’est un exemple du m�canisme.
  Dans le cas d’attentats qui servent la manipulation, ce m�canisme fait croire que l’individu faisant partie de la masse est victime lui-m�me de l’attentat. Il ne reste alors qu’a diriger sa col�re.
  
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- bourrak 15 mars 2015 15:50
  
  @philouie "ce m�canisme fait croire que l’individu faisant partie de la masse est victime lui-m�me de l’attentat. Il ne reste alors qu’a diriger sa col�re.«
  L’appel � l’�motion, c’est une technique apprise tr�s t�t par les pn. Plus intelligent ils utilisent aussi l’appel au morts, »un des n�tres est mort de leur faute (parfois sans preuve), donc c’est nous qui avons raison et ce sont eux les m�chants"
  
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- bourrak 15 mars 2015 15:53
  
  @philouie ce m�canisme fait croire que l’individu faisant partie de la masse est victime lui-m�me de l’attentat. Il ne reste alors qu’a diriger sa col�re.
  
  L’appel � l’�motion, c’est une technique apprise tr�s t�t par les pn. Plus intelligent ils utilisent aussi l’appel au morts, "un des n�tres est mort de leur faute (d�claration parfois sans preuve), donc c’est nous qui avons raison et ce sont eux les m�chants".
  
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- JL 15 mars 2015 16:05
  
  @philouie,
  
  ce fil devient difficile � suivre, et l’on commence � ne plus �tre dans le sujet, ce qui, paradoxalement (quoique ... tout est relatif) est une assez bonne chose.
  
  ’Votre question : ’Est-ce aller trop vite que de dire que ce qui est manipul� c’est le narcissisme ?’’
  
  Je ne vois pas l’int�r�t de cette question sinon qu’elle parait soutenir une id�e que vous auriez derri�re la t�te ? En effet, le narcissisme tout comme le style, c’est l’homme. Mais ce qui me parait manipul�, c’est plut�t l’opinion, non ?
  
  � Le mensonge et la cr�dulit� s’accouplent et engendrent l’Opinion. � Paul Val�ry
  
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- JL 15 mars 2015 16:12
  
  @bourrak,
  
  avez vous lu mon post de 09:45 qui vous �tait destin� ?
  
  Celui de 14:30 est pour vous aussi.
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 16:49
  
  @ JL,
  
  JL 15 mars 14:49 : « Je note que vous m�langez tout encore une fois... »
  
  Vous « notez »... mais ne d�montrez toujours rien si ce n’est d’aligner les affirmations tendancieuses et p�remptoires (= sophismes) les unes � la suite des autres comme on enfile des perles � un collier.
  
  « ... Cela devient lassant. J’aimerais bien que quelqu’un prenne le relais... »
  
  Voila bien un exemple d’attitude perverse type du genre pompier-pyromane. Le relais de quoi... d’une votre folie � deux ou � plusieurs afin d’�luder la r�ponse claire et pr�cise � une simple question telle que de savoir quelles sont vos motivations consistant � polluer tous mes articles ? Alors : amour ou haine ???
  
  Il devrait �tre assez facile, pour quelqu’un tel que vous (pr�tendez �tre), de faire une rapide introspection pour conna�tre l’�motion qui vous pousse � agir ainsi.
  
  « ... d’autant que, comme l’a si perfidement dit joraclette en fin d’article... »
  
  !!!
  
  Perfidement : D’une mani�re perfide, avec perfidie. Qui agit sournoisement, tra�treusement ; qui cherche � nuire (� quelqu’un qui lui fait confiance) ; qui manque � sa parole.
  
  Et c’est moi qui vois des pervers narcissiques partout ???
  
  Je vous remercie n�anmoins de faire la publicit� des œuvres de Paul-Claude Racamier qui est devenue votre nouvelle marotte depuis mon dernier billet. Cependant, il conviendrait de ne pas le salir en transgressant ses d�finitions comme vous l’avez fait sur ce fil de discussion.
  
  En effet, la v�rit� est une et ne peut pas �tre divis�e. C’est simple � v�rifier ici, � condition de ne pas c�der � l’�motionnel, aux « erreurs fondamentales d’attribution » (les vraies, pas celles que l’ignorance permet de « fantasmer ») et de faire preuve d’un peu d’intelligence et de r�flexion. Ce qui demande un minimum d’effort que finalement peu de gens fournissent... ce dont tous les manipulateurs exploitent � merveilles.
  
  Nos politiques sont les champions � ce jeu-l� et l’origine est bel et bien narcissique. D’un type de narcissisme pervers qui nous conduira tous vers un nouveau totalitarisme si nous continuons d’ignorez ce probl�me. Tel est bien l� le th�me de cet article.
  
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- bourrak 15 mars 2015 16:53
  
  @JL : avez vous lu mon post de 09:45 qui vous �tait destin� ?
  
  Celui de 14:30 est pour vous aussi.
  
  Sur le post de 9h43
  Je ne sais pas si cette (longue) citation exprime votre d�saccord, ou un compl�ment � mon post.
  Dans les deux cas, je n’ai rien � ajouter pour l’instant :)
  
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- JL 15 mars 2015 18:37
  
  @Philippe VERGNES
  
  puisqu’il est � nouveau question de l’erreur fondamentale d’attribution, notion qui, il faut le rappeler, a �t� introduite ici par Luc-Laurent Salvador, j’aimerais citer ceci :
  
  ’’Si l’intelligence du psychopathe est m�diocre, il fera partie des petits malfrats. S’il est plus intelligent, il peut survivre sans se faire prendre, parfois dans des situations de semi-marginalit�. S’il est tr�s intelligent et issu d’un milieu ais� et favoris�, il sera tr�s dou� pour la dissimulation des failles du syst�me.’’ (c’est l�)
  
  Ces personnages auquel l’auteur de ces lignes fait allusion � son insu, nous les connaissons tous : ce sont les �ditocrates, m�diocrates et autres chiens de garde du Syst�me qui si�gent en bataillons pl�thoriques et omnipr�sents dans ses m�dias de masse.
  
  Mais ce que je voudrais souligner ici, c’est que, avec des ennemis du Syst�me - c’est bien ainsi que vous vous pr�sentez, PV, n’est-ce pas ? - qui commettent de telles erreurs fondamentales d’attribution, qui pr�sentent la r�alit� au travers de leurs biais cognitifs - en l’occurrence, voir des pervers narcissiques partout -, je me dis que tout ce petit monde politico-m�diatique peut dormir sur ses deux oreilles.
  
  Votre vision de la r�alit�, hormis son potentiel fauteur de troubles, est parfaitement st�rile, si ce n’est pire, puisque nous savons bien que ce ne sont pas les m�contents qui prendront le pouvoir, mais ceux qui sauront tirer parti du m�contentement. Et ceux-l�, ceux qui seraient � la t�te de ce qu’il conviendrait alors de qualifier pour le coup, un vaste noyau pervers, ces dirigeants l� ne m’inspireraient rien de bon. C’est un euph�misme.
  
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- JL 15 mars 2015 19:06
  
  @bourrak,
  
  c’est selon comment on interpr�te la phrase : ’’En outre, cette perspective � besoin/d�sir � pose en principe que seule la � faim � du psychopathe, et et tout ce qu’il y a dehors, en dehors du psychopathe, n’est pas r�el, except� tant qu’elle a la capacit� d’�tre assimil�e au psychopathe comme une sorte de � nourriture �. ’’
  
  Prise au premier degr�, elle pourrait �voquer le solipsisme, c’est pourquoi je l’ai cit�e, car je suppose que vous n’avez pas fait vous-m�me le rapprochement pour rien.
  
  J’en profite pour dire ici � PV que ce regroupement besoin/d�sir sous le vocable g�n�rique de ’’faim du psychopathe’’ n’a, de mon point de vue pas grand chose � voir avec l’amalgame d�sirs/droits des libertariens qui ne sont pas tous, loin s’en faut, des pervers.
  
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- philouie 15 mars 2015 19:42
  
  @JL
  Par ailleurs, si un refus est bel et bien un d�ni, un �chec ne l’est pas. Or il convient de parler d’�chec de la castration et non pas de refus. De sorte que, c’est peut-�tre une question de degr� d’illusion de toute puissance - mais pas que(*) - qui met en �chec la castration, mais c’est bien parce qu’il y a d�faut de castration que s’�labore d�finitivement le d�ni (de l’autre).
  
  Vous dites « d�finitivement ». Vous voulez dire que quand il y a �chec de la castration, c’est cuit � tout jamais ?
  Moi je vois la castration comme un processus qui s’accomplit au cours de la vie.
  Mais bon, c’est possible qu’il y ait des pervers incurables.
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 19:58
  
  @ JL,
  
  Il n’y a jamais eu qu’un seul fouteur de merde ici. Il suffit de chercher celui qui peut critiquer un article sans le lire (selon ses propres d�clarations), qui peut d�clarer un jour et � longueur de post, je cite : « Les pervers narcissiques ne recherchent pas le pouvoir (dixit Racamier himself) », et un autre jour, je cite encore : « Pr�cision : il y a des pervers narcissiques qui briguent le Pouvoir avec un grand P, en effet, et nous en connaissons... » ; celui qui ne cesse d’accuser son contradicteur de commettre des amalgames et des confusions sans �tre capable d’en d�montrer ne serait-ce qu’un seul de fa�on factuelle et circonstancielle ; celui qui use de toutes les techniques d’enfumage possibles et inimaginables afin de d�tourner l’objet des d�bats tout en accusant son interlocuteur principal de ses propres m�faits ; etc., etc., etc.
  
  Celui l� est le seul fouteur de merde de tout ces �changes. Lui et lui seul !
  
  Vous d�tes : « j’aimerais citer ceci : ’’Si l’intelligence du psychopathe est m�diocre, il fera partie des petits malfrats. S’il est plus intelligent, il peut survivre sans se faire prendre, parfois dans des situations de semi-marginalit�. S’il est tr�s intelligent et issu d’un milieu ais� et favoris�, il sera tr�s dou� pour la dissimulation des failles du syst�me.’’ »
  
  Vous confirmez donc par l� que les pervers narcissiques sont bien aux pouvoirs.
  
  Puis vous rajoutez : « Ces personnages auquel l’auteur de ces lignes fait allusion � son insu, nous les connaissons tous : ce sont les �ditocrates, m�diocrates et autres chiens de garde du Syst�me qui si�gent en bataillons pl�thoriques et omnipr�sents dans ses m�dias de masse. »
  
  Confirmant bien par l� que le seul � voir des pervers narcissiques partout, apr�s avoir nier... puis admis, qu’ils pouvaient �tre au pouvoir, c’est bel et bien vous.
  
  Vous d�tes encore : « Mais ce que je voudrais souligner ici, c’est que, avec des ennemis du Syst�me - c’est bien ainsi que vous vous pr�sentez, PV, n’est-ce pas ? -... »
  
  Vous illustrez ici � merveille ce qu’est une erreur fondamentale d’attribution, car non, je ne me pr�sente ni ennemis ni en amis du Syst�me. Je propose simplement d’autres analyses de ce qui cloche dans notre soci�t�. Analyse que personne ne propose, car ce sujet, comme je le d�voilerais tant�t dans d’autres articles, est tabou en France.
  
  Si vous connaissiez la th�orie de la perversion narcissique correctement vous pourriez comprendre cela, mais comme vous venez tout juste de d�couvrir Paul-Claude Racamier depuis mon pr�c�dent article et nos �changes qui ont suivi, il vous faudra bien une dizaine d’ann�e d’�tudes (au minimum) pour parvenir � saisir cela. (Un temps qu’il vous aurait �t� possible de gagner si vous aviez lu mes articles en cherchant � les comprendre plut�t qu’� les critiquer sans les lire en donnant libre cours � votre vendetta personnelle que vous avez vous m�me initi�e. Mais les pervers ne peuvent jamais admettre leurs torts.)
  
  En guise de conclusion, vous d�tes : « nous savons bien que ce ne sont pas les m�contents qui prendront le pouvoir, mais ceux qui sauront tirer parti du m�contentement. Et ceux-l�, ceux qui seraient � la t�te de ce qu’il conviendrait alors de qualifier pour le coup, un vaste noyau pervers, ces dirigeants l� ne m’inspireraient rien de bon. C’est un euph�misme. »
  
  Un vaste noyau pervers... donc une coalition narcissiquement perverse. Je croyais que les pervers narcissiques ne recherchaient pas le pouvoir. !
  
  Sinon, c’est bien l’un des rares points sur lesquels je suis d’accord puisque c’est ce que j’affirme dans cet article ici-m�me.
  
  Pour le reste de votre post, je vous laisse � vos d�lires habituels.
  
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- philouie 15 mars 2015 20:04
  
  @philouie
  
  ’Votre question : ’Est-ce aller trop vite que de dire que ce qui est manipul� c’est le narcissisme ?’’
  
  Je ne vois pas l’int�r�t de cette question sinon qu’elle parait soutenir une id�e que vous auriez derri�re la t�te ? En effet, le narcissisme tout comme le style, c’est l’homme. Mais ce qui me parait manipul�, c’est plut�t l’opinion, non ?
  
  � Le mensonge et la cr�dulit� s’accouplent et engendrent l’Opinion. � Paul Val�ry
  
  Une id�e derri�re la t�te ; oui.
  
  L’opinion. oui.
  
  c’est le « on » qui pense.
  
  Selon moi, le nous est ant�rieur au moi, la pens�e narcissique s’inscrit dans ce nous, commun et collectif de l’opinion et de l’image. Narcisse ne pense pas lui-m�me, il pense comme le « nous » auquel il appartient.
  
  Du point de vue du pouvoir totalitaire, il vaut mieux un corps social atomis� (H Arendt) sans int�r�ts cat�goriels, corporatistes, sectaires, ou autre, pour augmenter la masse du « nous » et de l’opinion qu’on souhaite manipuler.
  
  L’autre fa�on de manipuler le narcissisme c’est en cultivant l’illusion de la Toute-Puissance � travers la jouissance, qui permet en quelque sorte de renforcer l’adh�rence au « nous ».
  
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- JL 15 mars 2015 20:15
  
  @philouie,
  
  j’ai dit : un processus qui s’�labore jusqu’� un point de retour, c’est-�-dire d�finitivement, de la m�me mani�re que la croissance prend fin un jour.
  
  Je ne sais pas si la perversion est un mal incurable, mais je sais que personne n’a la recette pour la gu�rir. Peut-�tre les camisoles chimiques ?
  
  Je profite de ces lignes pour corriger une phrase dans mon post pr�c�dent : � Ces personnages auquel l’auteur de ces lignes fait allusion � son insu, nous les connaissons tous : ce sont les �ditocrates, m�diocrates et autres chiens de garde du Syst�me qui si�gent en bataillons pl�thoriques et omnipr�sents dans ses m�dias de masse. � A son insu est en trop, c’est clair.
  
  Par ailleurs, je pr�cise � PV que les �ditocrates n’ont pas le pouvoir : ce sont des employ�s du pouvoir, notamment �conomique.
  
  Enfin j’ajoute que les politiques n’ont pas le pouvoir parce qu’ils sont fous, mais sont fous parce qu’ils ont le pouvoir. Nuance, donc.
  
  C’est pourquoi, il n’y a pas lieu de se livrer � une chasse aux sorci�res qui enverrait tout le personnel politique � la guillotine, mais de se doter d’institutions solidement �tay�e par les gardes fous idoines.
  
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- JL 15 mars 2015 20:26
  
  @philouie
  
  Je pense au contraire de vous que Narcisse n’est pas un pervers narcissique, et c’est pourquoi je ne peux pas vous suivre dans ce raisonnement.
  
  Pour la citation d’Annah Arendt, je lui opposerait la formule : ’’diviser pour r�gner’’. Les communautarismes, les guerres de clans, de classes, cat�gorielles, tout �a, vous connaissez, non ?
  
  Peut-�tre que c’est pour �a - atomiser le corps social - que les v�ritables d�tenteurs du pouvoir, celui de l’argent, font tout pour r�duire le pouvoir des politiques ?
  
  Vaste sujet.
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 20:51
  
  @ JL,
  
  Voil� bien le seul point positif � relever de tous ses �changes : « Enfin j’ajoute que les politiques n’ont pas le pouvoir parce qu’ils sont fous, mais sont fous parce qu’ils ont le pouvoir. Nuance, donc. »
  
  Personnellement, il y a bon longtemps que je fais ce genre de nuance. Par contre, il semblerait que vous d�couvriez le probl�me. Pour philou�e, et d’apr�s ce que j’ai pu lire de sa r�flexion � ce sujet, il semblerait qu’il soit d’avis contraire ce qu’il saura lui-m�me nous confirmer ou pas.
  
  Quid de l’opposition individus/Syst�me (avec un S majuscule pour faire une distinction que j’introduirais peut-�tre plus tard) ? Ce qui revient finalement � refaire le d�bat sur le paradoxe de la poule et de l’œuf comme d�j� indiqu� lors de mes tous premiers commentaires.
  
  Pour vous JL, vous �tes si camp� sur vos positions que vous ne pouvez pas concevoir une autre solution. C’est bien l� tout votre probl�me. Comme c’est le sujet de l’un de mes prochains billets, que penseriez-vous si je vous disais qu’en fait... c’est les deux ???
  
  C’est-�-dire que c’est le syst�me qui fait l’individu et qu’en retour l’individu fait le syst�me. De m�me que selon notre positionnement (temps, espace, etc.), nous pouvons �galement formuler la proposition inverse : c’est l’individu qui fait le syst�me et en retour le syst�me fait l’individu. Autrement dit, que vous et LLS n’avaient qu’� moiti� raison (et donc � moiti� tort) et que philou�e n’a �galement qu’� moiti� raison (et donc � moiti� tort aussi).
  
  Amusez-vous bien. !!!
  
  PS : ce probl�me ramen� au pouvoir se pose ainsi : nous avons coutume de dire que le pouvoir corrompt (ou rend « fou »), mais ne peut-on pas �galement �mettre l’hypoth�se que c’est le pouvoir qui attire les « fous » ou les corrompus ???
  
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- bourrak 15 mars 2015 23:00
  
  @JL
  J’ai l’impression que vous avez �t� tromp� par le terme « pervers narcissique » utilis� par Racamier, personnellement j’ai toujours trouv� qu’il pr�tait � confusion, car ces deux mots ne d�crivent qu’une partie de ce type personnalit�.
  Je pr�f�re le terme psychopathe performant, ou psychopathe tout court.
  
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- JL 15 mars 2015 23:09
  
  ’’que penseriez-vous si je vous disais qu’en fait... c’est les deux ???’’
  
  Putain, le mec ! �a fait des si�cles qu’on lui explique, mais lui qui vient juste de d�couvrir apr�s force d�nis, l’eau chaude, il va bient�t tout nous en expliquer dans ses futurs d�lires �ditoriaux !
  
  D�cid�ment, il ne manque pas d’air.
  
  Vous mentez encore ? PV : LLs et moi, n’avions pas � moiti� tort, mais raison � 100% ! Nous n’avons jamais dit que c’est le syst�me qui cr�e les PN : cette id�e est n�e de votre interpr�tation d�fensive devant ce que vous perceviez comme une mise en danger de votre cr�dibilit�. vous d�formez tout honteusement. Mais la honte ne fait pas partie de votre panoplie d’affects, c’est clair.
  
  S’il n’y a que les imb�ciles qui ne changent pas d’avis, comment d�signer ceux qui passent d’un extr�me � l’autre ? Parce que, tout de m�me, il a exist�, il existe et il existera toujours des pervers narcissiques qui ne doivent rien au pouvoir et auxquels le pouvoir ne doit rien, bien au contraire. Exit ceux-l�, PV ? Apr�s des centaines d’heures pass�es � nous exposer en long et en large que vous en voyez partout et comment ils sont faits ?
  
  Je vous ai fait au cours de ces �changes, de laborieuses et d�taill�es explications du texte de Racamier auquel vous n’aviez rien pig�. Et maintenant, vous pr�tendez m’expliquer ce que je vous ai appris ?
  
  Pfff !
  
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- JL 15 mars 2015 23:11
  
  lire : Vous mentez encore, PV :
  
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- JL 15 mars 2015 23:20
  
  @bourrak
  
  psychopathe performant n’est pas �quivalent � pervers narcissique, sauf � vouloir pervertir le sens de la notion de performance.
  
  Un pervers narcissique n’est pas performant : la pens�e perverse est une pens�e pour ne pas penser ; on pourrait dire qu’elle est une pens�e n�gative.
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 23:36
  
  @ JL,
  
  JL : « Je vous ai fait au cours de ces �changes, de laborieuses et d�taill�es explications du texte de Racamier auquel vous n’aviez rien pig�. Et maintenant, vous pr�tendez m’expliquer ce que je vous ai appris ? Pfff ! »
  
  C’est vrai que pour quelqu’un qui vient tout juste de d�couvrir Racamier suite � nos derniers �changes en achetant un court extrait de son oeuvre (7 livres et quelques 150 articles) �quivalent � une cinquante de pages (2 chapitres) tout au plus dans sa version originale, vous �tes d�sormais devenu le GRAND sp�cialiste de la question. LOL !!!
  
  (Pour autant, vous trompez philou�e sur ce qu’� pu dire Racamier de la perversion narcissique, parce que sur le coup, c’est philou�e qui a raison...)
  
  JL, vous �tes inimitables.
  
  Je m’en vais dormir sur cette crise de fou-rire. D�cid�ment, rien n’arr�te un pervers (narcissique... et moral pourrait-on dire, si cette d�finition n’�tait pas tautologique dans l’acception qu’en fait Racamier).
  
  « Parce que, tout de m�me, il a exist�, il existe et il existera toujours des pervers narcissiques qui ne doivent rien au pouvoir et auxquels le pouvoir ne doit rien, bien au contraire. »
  
  Mais je n’ai jamais ni� ce fait-l� puisque vous en �tes la preuve vivante. Ce qui ne change rien au fait que les pervers narcissiques nous gouvernent avec leur alter �go les parano�aques. Vous savez... ces homosexuels refoul�s. Vous les connaissez bien mieux que quiconque ceux-l�, n’est-ce pas ?
  
  Allez bonne bourre et � plus !
  
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- Philippe VERGNES 15 mars 2015 23:43
  
  @ JL,
  
  Une petite der pour la forme avant d’oublier...
  
  « Nous n’avons jamais dit [LLS et JL] que c’est le syst�me qui cr�e les PN.. ».
  
  Heu... moi non plus.
  
  D�s lors ce qui suit n’est qu’une fois de plus le fruit de votre d�lire :
  
  « cette id�e est n�e de votre interpr�tation d�fensive devant ce que vous perceviez comme une mise en danger de votre cr�dibilit�. »
  
  JL = D�lirium tremens ad vitam aeternam...
  
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- philouie 15 mars 2015 23:58
  
  @JL
  Pour la citation d’Annah Arendt, je lui opposerait la formule : ’’diviser pour r�gner’’. Les communautarismes, les guerres de clans, de classes, cat�gorielles, tout �a, vous connaissez, non ?
  
  « Diviser pour r�gner », �a marche pour la tyrannie : il y est question de rapport de force.
  Le totalitarisme ne fonctionne pas de la sorte. C’est en tout cas la th�orie d’Annah Arendt, Pour qu’il y ait totalitarisme, il faut que la masse atteigne une certaine taille critique pour qu’elle puisse �tre mise en mouvement. L’atomisation du corps social consiste � le d�structurer pour en faire une sorte de bouillie sans forme qui va pouvoir �tre impr�gn�e par la propagande.
  
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- philouie 16 mars 2015 00:01
  
  @JL
  j’ai dit : un processus qui s’�labore jusqu’� un point de retour, c’est-�-dire d�finitivement, de la m�me mani�re que la croissance prend fin un jour.
  
  D’un point de vue religieux ; l’homme est perfectible.
  Par la pratique des rites.
  
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- bourrak 16 mars 2015 00:08
  
  @JL : psychopathe performant n’est pas �quivalent � pervers narcissique, sauf � vouloir pervertir le sens de la notion de performance.
  
  Un pervers narcissique n’est pas performant : la pens�e perverse est une pens�e pour ne pas penser ; on pourrait dire qu’elle est une pens�e n�gative.
  
  Qu’est-ce qu’un psychopathe performant selon-vous ?
  
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- philouie 16 mars 2015 00:09
  
  @JL
  C’est pourquoi, il n’y a pas lieu de se livrer � une chasse aux sorci�res qui enverrait tout le personnel politique � la guillotine, mais de se doter d’institutions solidement �tay�e par les gardes fous idoines.
  
  Il n’y a pas, � l’�vidence, � psychologiser ou � psychiatriser les gens, fussent-ils nos tyrans. Peut importe qu’untel soit ceci ou cela. Ce qui importe, c’est qu’il respecte la loi et que son pouvoir soit limit�.
  Mon point de vue est de ne pas m’int�resser � la psychologie du tyran mais � la psychologie de la masse et de l’individu en cela qu’il est accro � la masse. Mon pas la question du manipulateur mais la question de la manipulabilit�.
  Je n’ai pas besoin de la notion de perversion, mais de celle de narcissisme.
  
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- alinea 16 mars 2015 00:28
  
  @JL
  Question de vocabulaire : « manipulation » ou « pouvoir » ?
  la manipulation est un pouvoir mais n’a absolument pas le m�me but que le pouvoir au sens ordinaire du terme !
  Je ne pense pas, personnellement et fruit de mon exp�rience, qu’un pervers narcissique puisse acqu�rir quel pouvoir politique que ce soit ; sa psych� est quasi trou�e et il ne cherche qu’� la combler ; ainsi, la chose publique ne l’int�resse pas du tout.
  Il y a un petit gar�on qui joue au roi, et, pour se faire, se nourrit de l’�nergie, de l’intelligence, de la cr�ativit� de l’autre.Mais il doit rester dans sa sph�re de s�curit� et ne pas rencontrer l’impr�vu, le hasard, la controverse. Il n’aurait pas de r�ponse � cela.
  Ceci dit, quand on voit un Sarkozy, on se dit que quelque chose y ressemble ; mais la m�galomanie doit faire l’affaire !
  Je suppose que le pouvoir pervertit, quiconque, mais celui qui est en place reconnue de pouvoir n’a aucun besoin de manipuler ; cela lui est offert !!! Du reste, aujourd’hui, les gens de pouvoir ne se donnent m�me plus la peine de maquiller leur perversion, tellement c’est une �vidence pour tous !!!! et que tous s’y soumettent.
  ( comme toujours quand j’arrive en retard.. juste une observation...)
  
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- JL 16 mars 2015 08:06
  
  @alinea bonjour,
  
  je suis heureux de lire votre post auquel je souscris � 100% : nous disons la m�me chose.
  
  De fait, et vous l’exprimez bien, la manipulation est le pouvoir des manipulateurs ; au del� de cette lapalissade, il y a � comprendre la formule que j’ai donn�e plus haut (13 mars, 15:28) : un succ�dan� de pouvoir pour un succ�dan� de pens�e, je parle bien entendu de la pens�e perverse.
  
  Permettez moi une question que toute personne sens�e doit se poser ici : croyez vous qu’il aurait suffit d’exprimer les choses aussi simplement pour d�masquer l’auteur de cet article ?
  
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- JL 16 mars 2015 08:26
  
  @bourrak
  
  sortez de cette ambiance glauque et triste qu’est cet article de PV lequel ne fait qu’embrouiller la pens�e.
  Vous lirez j’en suis s�r, avec plaisir et profit cet excellent petit livre intitul� : ’’Les lois fondamentales de la stupidit� humaine’’.
  
  �crit dans un style simple et roboratif, il n’y est pas question de psychopathes ni autres pervers : ceux-l� sont tous regroup�s sous la banni�re du bandit .
  
  Je suppose que je n’ai pas besoin de vous expliquer ma d�finition de ce qu’est un bandit performant ?
  
  Ps. il nous est donn� d’en voir un sacr� sp�cimen dans ce fil. C’est bien regrettable qu’Agoravox accepte de publier ses d�lires.
  
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- JL 16 mars 2015 08:33
  
  @philouie,
  
  Tyrannie ? Totalitarisme ? Je r�pondrai que le pouvoir politique, � savoir l’UE et la V�me R�publique sont tyranniques et non pas totalitaires. Et j’affirme que le pouvoir �conomique est un totalitarisme. Je n’ai pas dit autre chose dans mon post de 20:26 ci-dessus.
  
  Pour le reste, je ne souhaite pas r�pondre ici � vos digressions m�taphysiques.
  
  Veuillez m’en excuser.
  
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- JL 16 mars 2015 08:50
  
  � tous,
  
  permettez moi de faire une mise au point : je n’ai pas d�couvert la perversion narcissique au travers de ce petit livre (*) contrairement aux affabulations diffamatoires de Philippe Vergnes : j’ai commenc� � �tudier ces choses-l� bien longtemps avant m�me que Racamier ne soit publi�. Je dis ’’ces choses l�’’, car on ne peut pas comprendre ais�ment la probl�matique sp�cifique expos�e par ce sp�cialiste des psychoses si on ne connait pas auparavant les bases g�n�rales de la psychologie des profondeurs.
  
  Il a �t� d�montr� ici que l’auteur du pr�sent article, PV, est un escroc av�r� de la pens�e, un bandit comme dit Carlo M. Cipolla, et je d�plore que ce site accepte de publier ses �lucubrations envahissantes.
  
  (*) ’’Les perversions narcissiques’’. Sans rire, je voudrais bien que ce petit livre soit suffisant pour acqu�rir un tel savoir. J’y ai surtout trouv� des �l�ments de langage fort clairs et utiles.
  
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- JL 16 mars 2015 09:27
  
  @philouie,
  
  en fait, c’est bien plus compliqu�, et c’est Devphil30 qui par ses citations l�, nous r�v�le le pot aux roses, j’en cite une :
  
  ’’1924 US Banker’s Association Magazine : Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, gr�ce � la coalition et � la l�gislation. Les dettes doivent �tre collect�es et les hypoth�ques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons � travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement �tre dirig�es gr�ce au bras fort du gouvernement repr�sent� par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces v�rit�s sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent d�sormais � cr�er un imp�rialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants gr�ce au syst�me de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils d�pensent toute leur �nergie pour des probl�mes n’ayant aucune importance. C’est donc gr�ce � une action discr�te que nous garantirons la p�rennit� de ce que nous avons si bien planifi� et accompli. ’’
  
  Ce qu’il convient d’appeler le Syst�me est cette association des meilleurs ennemis que sont le pouvoir politique et le pouvoir �conomique, ce mariage de la carpe et du lapin sans lequel chacun d’entre eux ne serait viable sans l’autre.
  
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- JL 16 mars 2015 09:29
  
  De fait, on appelle �a le fascisme : ni totalitaire, ni dictatorial, mais un dosage subtil des deux.
  
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- Philippe VERGNES 16 mars 2015 09:42
  
  @ JL,
  
  Bonjour,
  
  « Wonderful »...
  
  Vous nous fa�tes votre petite crise d’hyst�rie de bon matin : 6 posts � la suite aussi pu�rils qu’inutiles. Faut vous calmer mon brave, vous allez finir par y prendre la sant�. Est-ce parce que j’ai fais allusion � votre homosexualit� refoul�e que vous vous mettez dans de tels �tats ???
  
  Faux rigoler un peu dans la vie, �a vous d�tendra. !
  
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- JL 16 mars 2015 10:02
  
  Faut-il rappeler que le fait de traiter quelqu’un d’homosexuel refoul�, et de prof�rer des insultes gratuites en g�n�ral, en dit incomparablement plus long sur l’insulteur que sur l’insult� ?
  
  Cela dit en particulier que l’insulteur est � bout d’arguments, et que n�anmoins, il provoque celui qui l’a d�masqu�.
  
  Cela vaut bien un point Monty Python, non ?
  
  Bon, c’est vous qui voyez.
  
  Le Point Monty Python est une r�compense inspir�e par le c�l�bre sketch o� l’on voit un chevalier � terre baignant dans une pare de sang, n’ayant plus ni bras ni jambes, et qui traite de l�che qui fuit le combat, celui-l� m�me qui l’a mis dans cet �tat.
  
  nb. Le mim�tisme est une manie que les PN partagent avec les hyst�riques.
  
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- Philippe VERGNES 16 mars 2015 10:19
  
  @ JL,
  
  N’avez-vous pas �crit un article � ce sujet qui t�moignait de votre homophobie ?
  
  Il n’y a donc aucune insulte � dire la v�rit�. Il y en a par contre beaucoup � mentir pour trouver pr�texte � s’acharner sur un auteur qui, lass� de vos turpitudes, vous met le nez dans vos propres excr�ts. Mais on connait la chanson : « un pervers veut se payer l’autoroute sans jamais passer la troisi�me, alors en g�n�ral, �a chauffe et c’est st�rile pour tout le monde, �a fait du bruit et c’est pas de tout repos. »
  
  Il est vrai que vous fa�tes beaucoup de bruit sous tous mes articles et qu’il vous est impossible de vous passer de moi... alors la question qui s’impose compte tenu de votre d�pendance, c’est... AMOUR ou HAINE ???
  
  Je vous embrasse !
  
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- JL 16 mars 2015 13:12
  
  ’’Quid de l’opposition individus/Syst�me (avec un S majuscule pour faire une distinction que j’introduirais peut-�tre plus tard)’’.
  
  Cette phrase de PV me rappelle cet excellent film, Les yeux jaunes des crocodiles’’.
  
  Iris-Emmanuelle B�art, nous offre une magnifique interpr�tation de pervers narcissique, cependant que Jos�phine-Julie Depardieu interpr�te un personnage modeste, aussi humble qu’�rudit, victime toute d�sign�e des agirs manipulatoire de sa trop brillante sœur.
  
  Je note que j’ai fait ici des remarques qui sans me vanter, ne sont pas banales sur la nature du pouvoir - cf. mes r�ponses � philouie et relatives au mariage du totalitarisme et de la dictature ; en lien direct donc avec le projet annonc� de PV -, mais visiblement, PV ne les a m�me pas lues puisque sa r�ponse n’a �t� faite que d’insanit�s, illustrant bien le fait plusieurs fois d�montr� qu’en dehors de la manipulation, la pens�e perverse ne s’int�resse � rien.
  
  Je note que ce ’’plus tard’’ est typique de la fuite en avant du PV, la seule fa�on pour lui de prendre en consid�ration l’avenir : � l’instar d’Iris, il ne s’y per�oit jamais autrement qu’en personnage brillant, seul digne de l’int�r�t g�n�ral, sa toute puissance y pourvoira.
  
  Qui a vu le film, sait comment a fini Iris. C’est la morale du film, une morale qu’on aimerait voir plus souvent � l’œuvre dans la vraie vie.
  
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- Philippe VERGNES 16 mars 2015 14:22
  
  @ JL,
  
  Et bien s�r, c’est moi qui vois de pervers narcissiques partout...
  
  Ceci dit, un excellent film, que celui que vous nous citez. Il y a cependant un hic. Ici, le seul qui pique les id�es des autres, c’est celui qui vient de trouver en Racamier un nouveau mentor, alors que j’en parle depuis pr�s de 3 ans sur ce site et depuis plus d’une dizaine d’ann�es ailleurs. !
  
  Je crois vraiment qu’inconsciemment, vous nous montrez ce qu’il faut comprendre et conna�tre de vous. Une culpabilit� inconsciente que vous n’arrivez pas � exprimer autrement qu’en la projetant chez autrui ?
  
  « Je note que j’ai fait ici des remarques qui sans me vanter... » Harfff !
  
  « ... ne sont pas banales sur la nature du pouvoir [...], mais visiblement, PV ne les a m�me pas lues puisque sa r�ponse n’a �t� faite que d’insanit�s, illustrant bien le fait plusieurs fois d�montr�... »
  
  En fantasme dans vos r�ves, les formules magiques tournent toujours � plein r�gime chez vous.
  
  « ... qu’en dehors de la manipulation, la pens�e perverse ne s’int�resse � rien. »
  
  Il est effectivement vrai « la pens�e perverse est toute enti�re tourn�e vers la manipulation d’autrui, l’emprise narcissique et la pr�dation. Experte en manœuvres, apparemment socialis�e, capable d’essaimer et prompte � la pers�cution, la pens�e perverse n’a aucun souci de v�rit� (seul le r�sultat compte)... »
  
  Que dire de quelqu’un qui vient critiquer tous les articles publier par un auteur, et ce deupis maintenant bient�t trois ans, tout en avouant ne pas les lire (mais en « reconnaissant » tout de m�me ses productions), en avouant �galement vouloir « sauver la cr�dibilit� d’un site » (qu’il entache de ses excr�ts perp�tuels), qui pour toute controverse n’a que des sophismes ou des affirmations p�remptoires � proposer, qui m�le amalgames et mensonges en n’�tant m�me pas capable de citer honn�tement un auteur dont on vient tout juste d’acheter le bouquin, qui s�me la confusion en changeant d’avis comme on change de sous-v�tement (trois changement d’opinion sur le cas de la recherche de pouvoir des pervers narcissiques dans ces seuls �changes et ce en fonction de l’interlocuteur � qui il s’adresse) ; etc., etc., etc.
  
  Pour arriver � de tels exploits, il n’y a plus qu’une seule possibilit� : j’ai affaire AU Dieu d’Agoravox en personne. D�sol� JL, je ne vous avais pas reconnu.
  
  Esa�e 44:17 : « Ainsi parle JL, l’�ternel, ton r�dempteur, le Saint d’Isra�l : Moi, JL l’�ternel, ton Dieu, je t’instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre. » Amen !
  
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- JL 16 mars 2015 19:23
  
  @Philippe VERGNES
  
  ’’Et bien s�r, c’est moi qui vois de pervers narcissiques partout ... ’’
  
  Est-ce que vous voulez dire, Philippe Vergnes, que vous n’avez pas vu de pervers narcissique dans ce film dont je vous ai parl� ci-dessus, Les yeux jaunes des crocodiles’’ ?
  
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- philouie 16 mars 2015 22:16
  
  @JL Je r�pondrai que le pouvoir politique, � savoir l’UE et la V�me R�publique sont tyranniques et non pas totalitaires. Et j’affirme que le pouvoir �conomique est un totalitarisme.
  
  oui.
  Le pouvoir politique c’est encore la police et l’arm�e, la loi.
  Pour le pouvoir �conomique nul besoin d’user de la force : dans le totalitarisme chaque citoyen est un soldat. Il suffit de voir comment la presse s’auto-r�gule pour d�verser la parole unique quotidienne. Chaque journaliste est un flic de la bonne pens�e.
  
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- Philippe VERGNES 17 mars 2015 12:45
  
  @ JL,
  
  Vous �tes d�finitivement et « r�dhibitoirement » un danger public : � ce stade l� c’est vraiment grave. C’est bien la raison pour laquelle je dis souvent sur le ton de la plaisanterie que nous sommes tous foutus. Avec des « intelligences » telle que la votre, notre soci�t� continuera de briller au firmament de la perversit�. Nos gouvernants ont encore de beau jour devant eux. Ils n’ont absolument rien � craindre de vos « lumi�res ». Vous �tes le meilleurs complice qu’ils puissent trouver chez les plus d�munis. Une esp�ce d’agent infiltr� en quelque sorte.
  
  Vous pr�tendez que dans le film Les yeux jaunes des crocodiles, Iris est une perverse narcissique. Ce faisant vous attestez par l� votre absolue incapacit� � comprendre cette probl�matique et votre in�narrable sottise. Ce qui est somme toute normal lorsque l’on raisonne avec une logique bool�enne.
  
  Dans ce film, Iris est une narcissique qui certes manipule sa sœur, mais RIEN ne d�montre qu’elle soit �galement perverse. Il y manque en effet tous les ingr�dients essentiels qui feraient d’elle une perverse narcissique. Tr�s, tr�s loin de la description des perverses narcissiques « phallo�des » telles que Racamier les d�crit.
  
  Tous s’�claire donc au grand jour, vous confondez le narcissique et le pervers narcissique. Votre exemple en est la preuve irr�futable, mais qu’esp�rer de mieux d’autre de vous ?
  
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- JL 17 mars 2015 14:59
  
  @Philippe VERGNES,
  
  Vous me reprochez maintenant - c’est nouveau - d’amalgamer les narcissiques et les pervers narcissiques ? C’est �videmment une contrev�rit� �hont�e que chacun peut v�rifier ici, en t�moigne mon post � philouie : ’’Si nous sommes bien tous des narcissiques � des degr�s divers, en revanche, seuls un petit nombre sont, � des degr�s divers, pervers narcissiques’’. (Par JL, 15 mars 11:33). CQFD.
  
  PV, vous mentez effront�ment,. S’il y a ici quelqu’un qui a toujours amalgam� les narcissiques et les pervers narcissiques au point d’en voir plus que de raison, c’est bien vous, en t�moigne entre autres, ceci que vous disiez hier : ’’vous trompez philou�e sur ce qu’� pu dire Racamier de la perversion narcissique, parce que sur le coup, c’est philou�e qui a raison’’ (par PV le 15 mars 23:36). Or que disait philouie ?Je cite : ’’dans mon esprit, perversion et narcissisme sont une m�me chose’’. (par philouie ,15 mars, 13:26). je l’ai d�montr� dans ces lignes. CQFD.
  
  Ainsi, pour justifier votre incapacit� � reconnaitre un pervers narcissique lorsqu’on vous en montre un, vous n’h�sitez pas � donner de la perversion une nouvelle d�finition qui vous arrange et en totale contradiction avec celle que vous avez toujours soutenue, allant m�me, un comble, jusqu’� m’attribuer votre amalgame, et endosser mon discours s�parateur, un comble ! Preuve suppl�mentaire que la v�rit� ne compte pas pour vous, seulement le paraitre.
  
  Afin de soutenir votre nouveau syst�me de d�fense, vous introduisez cette notion de ’’perverses narcissiques � phallo�des �’’ dont je ferai remarquer ici, vous n’aviez jamais parl� en 2 ans et demi et au bout de quelques 30 articles et 800 commentaires sur le sujet.
  
  Voyons ce qu’en dit Racamier : ’ ... il y a � distinguer au sein de la perversion narcissique deux versions qualitativement distinctes : l’une, la plus �pre, la plus charg�e d’acrimonie, est plus proche de la parano�a et de la psychose passionnelle. Elle s’observe surtout chez les femmes - celles que je dis phallo�des. L’autre, la plus avantageuse et la plus charg�e de suffisance, est plus proche du narcissisme glorieux. Elle s’observe surtout chez les hommes’’. Surtout ne veut pas dire toujours. Nuance.
  
  Or que voyons nous ? Iris n’est pas dans l’acrimonie. En effet, tout semble lui r�ussir : elle n’est pas une f�ministe mais au contraire, en apparence tr�s f�minine et pr�cis�ment, proche du narcissisme glorieux. Iris n’est certes pas une narcissique phallo�de : non, c’est une perverse de type narcissique avantageux. Et vous seriez incapable de d�montrer le contraire, vous PV qui n’avez eu de cesse de nier toute diff�rence entre narcissiques et pervers narcissiques.
  
  Mais foin de ces nuances qui sont utilis�es par vous en guise d’enfumage, parlons de la forme.
  
  Vous dites que je suis un danger public ? Diable ! Diable ! Non, Philippe Vergnes, je ne suis un danger que pour vous ; et votre exag�ration n’a d’�gale que votre peur, l’un des deux principaux affects des personnes comme vous, l’autre �tant comme nous le savons la rage.
  
  Jamais aucune personne dou�e de bon sens et de raison, et voulant honn�tement expliquer au plus grand nombre ce qu’est une affection mentale ne r�agirait par la rage, comme vous l’avez fait quand s’est pr�sent� un cas d’�cole qui illustrait merveilleusement bien, � charge ou � d�charge, ladite affection. Car c’est bien de la rage qui transparait dans vos r�ponses et quand vous renversez la table, de la rage et non pas un souci de v�rit� ; encore moins de p�dagogie.
  
  Pour conclure : j’ai �tabli ici un fait �tonnant : les pervers narcissiques ne se reconnaissent pas entre eux.
  
  Et cette constatation �claire d’un jour nouveau toutes vos r�ponses en m�me temps qu’elle s’impose comme une �vidence et jette un jour nouveau sur notre compr�hension de la perversion narcissique : comment pourraient-ils reconnaitre un comportement pervers narcissique, puisque ce comportement leur apparait comme normal, correct, adapt� ?
  
  Quand il voit Iris spolier sa sœur de la chose qui compte le plus pour elle Iris, � savoir la gloire et les honneurs, PV n’est pas �tonn� : il trouve cela normal, cela ne le choque pas, tout au plus admet-il un simple comportement narcissique.
  
  Et c’est bien cela que nous a dit � son corps d�fendant ici, PV : � l’instar des daltoniens qui ne savent pas ce qu’est le daltonisme, les pervers narcissiques ne savent pas, ne sauront jamais ce qu’est la perversion narcissique. Et c’est pourquoi, c’est une insulte � l’intelligence que de nous imposer sur ce site ou ailleurs ces pensums indigestes �crits par un individu qui a la pr�tention de nous expliquer ce qu’il ignore lui-m�me.
  
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- JL 17 mars 2015 15:15
  
  une erreurs s’est gliss�e, il faut lire :
  
  PV, vous mentez effront�ment, et je le d�montre dans ces lignes : S’il y a ici quelqu’un qui a toujours amalgam� les narcissiques et les pervers narcissiques au point d’en voir plus que de raison, c’est bien vous, en t�moigne entre autres, ceci que vous disiez hier : ’’vous trompez philou�e sur ce qu’� pu dire Racamier de la perversion narcissique, parce que sur le coup, c’est philou�e qui a raison’’ (par PV le 15 mars 23:36). Or que disait philouie ?Je cite : ’’dans mon esprit, perversion et narcissisme sont une m�me chose’’. (par philouie ,15 mars, 13:26). CQFD.
  
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- Philippe VERGNES 17 mars 2015 20:53
  
  @ JL,
  
  !
  
  Petite crise d’hyst�rie ???
  
  Je persiste et signe : vous �tes d�finitivement et « r�dhibitoirement » un danger public, v�ritable agent infiltr� du syst�me pervers qui nous dirige. Tout en s’en d�fendant cela va de soi. Sinon, vous ne seriez pas pervers.
  
  PR�TENDRE CONNAITRE EST DIFF�RENT DE SAVOIR RECONNA�TRE !
  
  Ainsi, vous t�moignez par l� de votre confusion entre les registres du r�el, du symbolique et de l’imaginaire. Confusion qui est l’apanage des psychotiques... et des pervers. Ce qu’atteste encore une fois vos incessants recours aux formules magiques pu�riles : CQFD !
  
  C’est toute la diff�rence qu’il y a entre l’Etre et le para�tre. Voir en une narcissique qui ne t�moigne (dans la pr�sentation qui est faite de son interpr�tation) d’aucun ingr�dient ESSENTIEL au diagnostic de « perverse narcissique » ne fait que t�moigner du fait qu’un pervers souhaite cr�er le monde � son image, tel un Dieu... Tel JL !
  
  Sur les diff�rentes notions que Racamier a pu cr�er, elles sont aux nombres de 333 et il les a regroup�e dans un petit dictionnaire que je cite souvent dans mes articles. Je n’en ai utilis� qu’une dizaine environ, car parler de perversion narcissique sans conna�tre les autres concepts clefs qui sont INDISSOCIABLES � cette th�orie me permet toujours de rep�rer les imposteurs qui ne manquent pas d’appara�tre sous ce genre de sujet. C’est un peu comme une assurance tout risque si vous pr�f�rez. Posez un diagnostic de pervers narcissique sans conna�tre ces concepts clefs (que vous m’auriez cit� depuis le temps que vous venez poser vos excr�ts sous tous mes articles qui traitent du sujet), rel�ve de l’imposture pure et simple. Il n’y a pas � chercher � tortiller du cul pour chier droit.
  
  Sur les propos de philouie et la r�ponse alambiqu�e que vous lui avez faites, c’est ici et non pas l� o� vous avez d�cidez que cela devrait �tre. Si vous ne l’aviez pas induit en erreur de par cette r�ponse digne d’une v�ritable promesse de Gascon r�v�lant votre imposture (alors que Racamier dit une chose tr�s simple � ce sujet, ce que seul un connaisseur peu savoir), il n’aurait pas sorti la connerie que vous r�p�tez pour justifier vos d�lires.
  
  Quant � votre obsession de vouloir m’interdire de poster mes articles « ici ou ailleurs », cela en dit tr�s, tr�s, tr�s long sur la dictature que les gens tels que vous �tes pr�s � mettre en place pour interdire les personnes qui les d�rangent de s’exprimer. Nous sommes l� au cœur du sujet de cet article, n’est-il pas ?
  
  « Que celui qui a des oreilles pour entendre entende... »
  
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- philouie 18 mars 2015 10:04
  
  car parler de perversion narcissique sans conna�tre les autres concepts clefs qui sont INDISSOCIABLES � cette th�orie me permet toujours de rep�rer les imposteurs qui ne manquent pas d’appara�tre sous ce genre de sujet.
  
  Quel coquin de Vergnes.
  �a me rappelle quand « il faisait des exp�riences » avec ses interlocuteurs....
  
  [philouie] n’aurait pas sorti la connerie que vous r�p�tez pour justifier vos d�lires.
  
  et bien JL, c’est pas bien de faire dire des conneries � philouie. il en dit bien assez tout seul....
  
  Quant � votre obsession de vouloir m’interdire de poster mes articles � ici ou ailleurs �,
  
  En m�me temps, ces articles sont tellement creux et verbeux qu’ils s’annihilent bien tout seul.
  
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- Philippe VERGNES 18 mars 2015 10:44
  
  @ philouie,
  
  « En m�me temps, ces articles sont tellement creux et verbeux qu’ils s’annihilent bien tout seul. »
  
  Ha mais je suis enti�rement d’accord, c’est d’ailleurs bien pour cela qu’ils vous attirent... vous devez vous sentir aussi vide et creux qu’eux. C’est cela qu’on appelle l’identification en psychanalyse (qui est aussi le mim�tisme chez certains).
  
  Bonne bourre...
  
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- philouie 18 mars 2015 11:16
  
  @Philippe VERGNES
  
  je vais vous d�cevoir : je suis comme JL, je ne lis pas vos articles.
  je les parcours un peu, vite fait. Et chaque fois, je me dis : toujours aussi nul.
  
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- JL 18 mars 2015 11:28
  
  @philouie,
  
  bonjour,
  
  ’’En m�me temps, ces articles sont tellement creux et verbeux qu’ils s’annihilent bien tout seul.’’
  
  Je voudrais bien : est-ce que vous avez not� que 20 personnes sur 45 ont pluss� cet article ?
  
  Je dirai de ces articles que ce sont des b�tons merdeux : Pile on laisse dire et l’auteur s’y installe comme un coucou dans le nid puisque’’ qui ne dit mot consent’’ ; face on y r�pond, et �a devient un v�ritable Chemin de croix.
  
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- Philippe VERGNES 18 mars 2015 11:29
  
  @ philouie,
  
  « Je vais vous d�cevoir... »
  
  C’est cela que l’on appelle une projection : croire dur comme fer que l’on peut d�cevoir quelqu’un en ne lisant pas ses articles m�me si on les commente. Cela rel�ve de l’imaginaire et du fantasme.
  
  Non content de ne pas me d�cevoir, vos interventions sont pour moi une b�n�diction.
  
  « Et chaque fois, je me dis : toujours aussi nul... »
  
  Cela s’appelle une disqualification, ce dont certains se sont fait une tr�s grande sp�cialit� ici. (Je vous fais une confidence tout � fait entre nous, vous le r�p�terez pas d’accord ? C’est exactement ce que je viens �tudier ici en tenant la grappe � des ignorants tels que vous.) !!!
  
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