lundi 17 février - par George L. ZETER

Paix en Ukraine : ou le bal des cocus

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Trump et Poutine, telles deux multinationales de la malbouffe s’installant dans un bled de province, ouvrent des gargotes, et en un rien de temps, la seule offre restante n’est que la leur : "tu bouffes gras et malsain, ou bien, rien !" La concurrence a fermé boutique, seules deux enseignes sentant le graillon ont pignon sur rue. C’est à peu près l’image que donnent ces « propositions » de paix en Ukraine : un big Hamburger Hill façon Kiev… 

D’abord, de la voix du sous-fifre : du siège de l’OTAN à Bruxelles, le nouveau secrétaire d'État à la défense américaine, Pete Hegseth a déclaré sans ambage que : « Zelensky n’avait aucune chance d’atteindre son objectif de chasser les forces russes de Crimée et de l’est du pays et que l’Ukraine retrouve ses frontières d’avant 2014. Poursuivre cet objectif illusoire ne fera que prolonger la guerre et causer davantage de souffrances. »[i] Ce même Hegseth a averti que l’Europe devra fournir à l’avenir une part « écrasante » de l’aide à l’Ukraine.[ii] Selon Alberto Nardelli et Jennifer Welch, rebâtir une Ukraine ravagée par la guerre coûterait 175 milliards de dollars sur 10 ans.[iii] 

La mèche ainsi allumée, l’intervention du boss, est un avatar de plus de ce bal des dupés. D’abord, Trump souligne le retrait unilatéral des États-Unis de leurs engagements en matière de sécurité européenne, renonçant au rôle historique qu’ils ont joué depuis 1945. En clair, marre de supporter les Européens qui devront être dès maintenant responsables de leur propre défense, ainsi que de celle de l’Ukraine. Ensuite, et là, il tape où ça fait mal et met fin à tout fantasme de négociations tripartites, ça se passera entre lui et Vladi, seuls : « Je viens d’avoir un appel téléphonique long et très productif avec le président Vladimir Poutine de Russie, nous avons également convenu que nos équipes respectives entameront immédiatement des négociations, et nous commencerons par appeler le président Zelensky, d’Ukraine, pour l’informer de la conversation […] Des millions de personnes sont mortes dans une guerre qui n’aurait pas eu lieu si j’avais été président, mais qui a eu lieu et qui doit donc cesser. Plus aucune vie ne doit être perdue ! » Du côté Zelensky, c’est le double salto arrière du déballonnage total. Il a rappelé une conversation “très substantielle” avec le locataire de la Maison-Blanche, « Le président Trump a partagé les détails de sa conversation avec Poutine. Personne ne souhaite plus la paix que l’Ukraine. Avec les États-Unis, nous définissons les prochaines étapes à suivre pour mettre un terme à l’agression russe et garantir une paix durable et fiable. Comme l’a dit le président Trump, faisons-le. »

Trump, sans tambour ni trumpette : le président des USA, d’un coup d’éponge magique, efface l’entité qui existe entre son pays et la Russie : le continent européen en entier. Sans se préoccuper de diplomatie, une équipe de sa nouvelle administration commencerait immédiatement à discuter avec les représentants de Poutine. Le secrétaire d’État américain Marco Rubio, le directeur de la CIA John Ratcliffe et le conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz. D’après Trump, c’est SON équipe de négociation entre lui et le dirigeant russe. « Je suis convaincu que cet effort aboutira à une conclusion positive, bientôt, je l’espère. » Ces trois années Biden ont vu un boom de l’économie américaine, par ses ventes de pétrole, gaz et armement à l’Europe, puis, comme un bal bien organisé, l’aire Trump ira vers le dépouillement de l’Ukraine avec la prise en main de ses terres agricoles, de ses terres rares et la mise de ses populations sous le boisseau. A l’arrivée, tous cocus, sauf l’oncle Sam !

Les cocus du bal : ces chers dirigeants européens, que ce soit à la commission, où la von der Leyen est totalement mise sur la touche, que le Parlement européen qui n’a jamais été autant le figurant des événements de ce monde, en allant chercher le dernier des leaders de chaque pays composant la clique des 27, c’est la soupe à la grimace trempée de ses petits croutons amers. Complètement évincée pour « l’allié historique » et à tous niveaux, c'est la grosse colique pour la pétaudière européenne. Se dire, qu’après presque trois années jour pour jour de guerre qui a amené tout le continent vers sa faillite, causée par les décisions américaines de veto, sur les approvisionnements de gaz et de pétrole russe, de la cessation d’exportation de céréales russes et ukrainiens qui ont mis énormément de pays pauvres en grandes difficultés nutritionnelles, qui par ricochet a mis au chômage des centaines de milliers d’européens, ainsi qu’entrainant un nombre incalculable de faillites, ainsi, ce continent qui était prospère est à genou économiquement, et n’a pour seule vision du demain, ses divisions intestines. 

Chassés par la porte, revenir par la fenêtre : c’est un peu ce que veulent tenter certains pays européens concernant « la paix » en Ukraine : envoyer des forces de maintien de la paix au sol, afin de contrecarrer d’éventuelles velléités de conquêtes de terrain de la Russie…[iv] Avec toujours ces risques de dérapages, entrainant une confrontation directe cette fois-ci entre les forces de l’OTAN et celles des russes. Ça sent le bal des mauvais perdants qui veulent toutefois exister, par ego personnel et par aveuglement idéologique : NOUS, les phares de la civilisation occidentale, nous ne pouvons pas être relégués en division de déshonneur ; et pourtant… D’abord, par une impossibilité de se mettre d’accord, par simplement des règles différentes par pays lorsqu’il s’agit d’envoyer des troupes en sol étranger. L'Italie a des limites constitutionnelles à l'utilisation de ses forces. Les Pays-Bas auraient besoin du feu vert de leur Parlement, tout comme l'Allemagne, la Pologne est prudente, étant donné les animosités persistantes avec l'Ukraine qui datent de la Seconde Guerre mondiale. "Nous en sommes à un stade très précoce", a déclaré Hanno Pevkur, ministre estonien de la Défense.[v] Reste en tête de gondole l’Angleterre et la France.

De ceux par qui la pilule ne passe pas : Macron… Depuis l’épisode « longue table », il n’a toujours pas digéré l’humiliation poutinienne. De ses petits poings nerveux, il met en garde durant la conférence de Munich[vi] d’une paix qui serait une capitalisation. « La seule question à ce stade, c'est : est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à un cessez-le-feu sur cette base-là que seule l'Ukraine pouvait négocier avec la Russie, ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.  » Sauf que, le « président » Zelensky, celui à qui il donne sans arrêt des bisous, bisous, n’est plus un président élu depuis le 19 mai 2024[vii] et que de toutes les manières, l’armée ukrainienne n’est pas en position de force en face du rouleau compresseur russe, la partie est finie, et il n’y a plus que les pleureuses à vouloir se faire entendre contre une « capitalisation » certaine ! Comme à son habitude, le petit d’hom veut exister sur la scène mondiale et il faut constater que de nos jours, il n’est même plus sur un strapontin, mais seul, dans un placard à balais. Quant au premier ministre britannique, Keir Starmer, il s’est dit prêt à envoyer des soldats en Ukraine si cela s’avérait nécessaire pour assurer la sécurité de la Grande-Bretagne et de l’Europe…[viii] Et pourquoi de l’univers tout entier. Depuis Johnson et son foutage de zizanie de 2022, qui a provoqué ce conflit, les premiers ministres britanniques qui se sont succédés n’ont fait qu’attiser le feu de la haine et de la guerre.

Voici donc, la revue de ceux… Qui ne comptent plus, mais qui pourtant veulent toujours en découdre. Nous, peuples d’Europe, devons écarter ces hommes et ces femmes dangereux pour nos vies et celles de nos descendants, et surtout mettre fin à cette aberration qu’est l’Europe « unie » des nations. Parions sur un Europxit qui doit être notre avenir… Pour nous sortir de ce piège à rats où nous sommes fourrés de force.

Georges ZETER/février 2025

Vidéo : Paix en Ukraine : Trump à la manœuvre, quid des Européens ? FRANCE 24




24 réactions


  • Seth 17 février 16:56

    Avez vous remarqué sur la photo le salut militaire avec le sourire niais du fils à monmon ?  smiley


  • Seth 17 février 17:57

    pour la sécurité de l’Ukraine pas d’inquiétude : papa trompe ayant écarté l’envoi de ses soudards, c’est à l’europe de pustula qu’il donne l’ordre de l’assurer. Avec l’approbation de ce qui sert de « parlement » avec un peu de chance.

    Les baisés comptez vous.


  • sylvain sylvain 17 février 19:33

    c’est sur qu’ils ont pas eu leur bon point pour avoir ete sage nos « dirigeants », pourtant ils ont ete drolement sage. C’est dur pour un bon eleve, faut pas se moquer, surtout que c’est nous qui nous faisons niquer, pas vraiment eux.


    • perlseb 18 février 19:36

      @sylvain
      pas vraiment eux
      C’est l’art de la mise en scène. Si ça se trouve, ils doivent continuer à jouer leur script de petits roquets hargneux vis-à-vis de la Russie pour toucher des sommes colossales dans des paradis fiscaux. Le but de ces traitres étant de couler au maximum l’Europe, comme leur maître leur demande, en touchant du pognon qui sera évidemment remboursé de très nombreuses fois par le peuple européen (achats d’armes américaines avec des fonds européens, achat de gaz de schiste américain hors de prix, délocalisation de nombreuses entreprises européennes aux US, fuite des ingénieurs aux US, on peut ajouter toutes les lois américaines extraterritoriales permettant un racket des compagnies européennes).
      Demain, il y aura tellement de SDF en Europe et d’insécurité (c’est vraiment voulu) qu’on priera pour une dictature, pardon, pour un homme fort (qu’ils ont déjà choisi) et providentiel qui viendra nous sauver de cette mauvaise passe...


    • sylvain sylvain 19 février 08:28

      @perlseb
      beaucoup prient deja. Aujourd’hui russes et americains font tout pour que l’extreme droite passe en europe


  • Le député de Moselle, Ludovic Mendes dit consommer de la drogue et qu’il l’a notamment fait en tant que parlementaire.

    Il appelle maintenant à légaliser le cannabis.
    Vous trouvez normal que des gens sous substance votent des lois ?


  • Réunion des losers à Paris pour la guerre :

    Cette après midi les dirigeant va t’en guerre de l’Europe organisent une réunion bancale et informelle pour prolonger la guerre en Ukraine.

    A l’heure où Keir Starmer annonce envoyer des troupes en Ukraine, ne trouvez vous pas inconvenant que Macron s’affiche avec le Premier Ministre Britannique alors que celui-ci est impliqué dans le scandale de milliers de petites filles anglaises violées par des gangs pakistanais ?

    Starmer était procureur général à l’époque des faits et il a étouffé l’affaire en se se contentant de quelques investigations minimales.


    • titi titi 17 février 20:52

      @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

      " ne trouvez vous pas inconvenant que Macron s’affiche avec le Premier Ministre Britannique

      "

      Oui en effet.

      Mais il est encore plus inconvenant que des français relaient la propagande d’un pays ouvertement hostile à la France.


    • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

      Né à Lille le 22 novembre 1890, le jeune Charles de Gaulle est le troisième des cinq enfants de Jeanne Maillot et d’Henri de Gaulle, professeur de lettres et d’histoire.

      Très tôt, Charles choisit d’être officier.

      Bachelier en 1906, c’est au collège Stanislas à Paris qu’il prépare son entrée à l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr.

      Depuis 1969 la France est Gouvernée par des Présidiots d’une stupidité galopante pour atteindre le sommet de la connerie, Macron .

      Les Sarkozy, Hollande, Macron, Borne, Castex, Philippe, Bayrou, Pivet, Larcher, Faure, Mélenchon, Retailleau, Darmanin, Tondelier.....etc sont de véritable, Loosers. 



    • xana 18 février 11:34

      @titi
      Ce serait vrai si ce pays était « ouvertement hostile à la France ».
      Heureusement, il n’est hostile qu’à notre élite corrompue. Et la plupart des Français (sauf Titi ?) y sont hostiles aussi.
      De fait, objectivement la Russie est notre alliée, à nous les Français.
      Seule notre soi-disant élite corrompue est notre ennemi. Ah, j’oubliais : Et Titi aussi...


    • microf 23 février 17:30

      @titi

      Pauvre @titi, vous ne vous attendiez certainement pas á un tel développement que moi @microf avait prévu dans de nombreux de mes commentaires que vous avez toujours dénigré, un seul mot continuez á les dénigrer.


  • ETTORE ETTORE 17 février 21:07

    En fait, avec la réunion fissa fissa....

    Les débiles you rope, viennent de comprendre, qu’ils se sont fait mettre profond, et que tout ce qui A été avancé au monoboule marteau 0 piano....Macach wallou, ,il n’y auras rien à partager.

    Insolvable comme une politique à AldoMacrote, vu que la multinationale Las Vegas, vas tout rafler, terre rares, terres agricoles, terre tout court du dessous, et du dessus.

    Et cet pauvre glandu youRope, qui s’est fait rouler dans la farine, par un Bidet, tenu en place, le temps que les morpions youropéens, se croient protégés dans leurs exactions.....Eh bien, c ’est fini ! Les cocus comptez vous, et n’oubliez pas de vous faire tatouer, « con comme un balai ».

    Bon, maintenant, il s’agit de faire comme si.....Mais vu les ballerines en tutu dégarnis....Sont pas prêts de faire une scène....A part entre testicules de bon aloi.


  • Com une outre 18 février 04:08

    Il ne faut pas tout mettre sur le dos des américains, l’UE est entièrement responsable de ce qui lui arrive, du moins pour sa partie ouest. A l’est, des dirigeants comme Orban étaient plus clairvoyants. Pourquoi les américains s’encombreraient de l’UE qui a démontré son incompétence évidente a gérer la crise depuis 3 ans ? Pourquoi Poutine discuterait avec une UE dont l’Ukraine n’est même pas membre et qui se montre ouvertement russophobe, racontant les pires mensonges à son sujet ? Surtout quand un Macron le menace de lui faire la guerre, il doit bien rigoler Poutine. Trump a pris la seule décision qui s’impose (et largement annoncée pendant sa campagne), faire la paix, vu le ratage de l’opération « je ruine la Russie », et même si c’est pour des raisons économiques internes aux US avant tout. Pourquoi lui reprocher de vouloir tirer ses marrons du feu, surtout face à la passivité européenne ? N’oublions pas la perte de pouvoir des américains sur les pays « sous-développés » riches d’énergies et métaux rares. Trump fait du business au réel pendant que l’UE s’inquiète de la difficulté d’être un travesti de couleur et handicapé dans une Ukraine en guerre c’est juste une image parlante sans animosité envers une communauté. L’UE est un enfant pré-adolescent casse-couilles, alors que le sujet doit être traité entre adultes responsables, ce qui se fait.


    • jjwaDal jjwaDal 18 février 21:02

      @Com une outre
      « Entièrement responsable » ?... je n’ai pas le souvenir que le coup d’Etat de 2014 sponsorisé par victoria Nulland (Fuck E.U.) était un choix européen. Pas le souvenir non plus que c’était le choix à la conférence de l’OTAN à Bucarest en 2008 des européens de dire haut et fort que l’Ukraine serait membre de l’OTAN un jour (Merkel et Sarkozy sentaient le coup fourré venir), mais à leur charge ils ne s’y sont pas opposés sur le communiqué final, n’y ni ont fait obstacle à aucun moment.
      A leur charge la volonté de se torcher avec les accords de Minsk dont ils étaient garants et approuvés par toutes les parties au Conseil de Sécurité. Je suis d’accord sur le fait que les USA ont montré leur compétence dans la création ex nihilo de crises et l’U.E. a magnifiquement démontré sa totale incapacité à percevoir ses intérêts stratégiques fondamentaux et à les défendre. Il est vrai que l’U.E. est une collection hétéroclite d’intérêts bien divergents. L’intérêt des pays fondateurs et donateurs nets au budget (ceux qui font tourner la boutique, soit les allemands et nous) auraient dû prévaloir.
      Il se trouve qu’aucun de ces deux pays n’a plus eu de chef d’Etat depuis un bon moment. De mauvais gestionnaires, certes, mais des chefs d’Etats …


  • ZenZoe ZenZoe 18 février 11:04

    Je retiens un seul mot de l’article : Europxit.

    Sauf qu’il faudra une crise massive pour faire tomber ce cartel et dégager les voyoux, parce qu’ils sont bien accrochés et savent se sererr les coudes.


    • JulietFox 18 février 11:29

      @ZenZoe
      Il fallait construire une Europe fédérale sur le modèle des USA.
      Monnaie commune, mais chaque pays garde ses propres lois. S’y joignent des lois fédérales.
      Là c’est un ramassis de carpes et de lapins.
      Quand à l’Otan, De Gaulle nous en avait sorti , et la voix de la France portait.
      C’est l’Agité au bracelet à la cheville qui nous y a refourré.
      Depuis Chirac, c’est la décadence. Surtout avec le papouilleur de l’Elysée.


    • ZenZoe ZenZoe 18 février 12:14

      @JulietFox
      Non. Pas d’Europe fédérale. Les peuples européens sont trop divers et entendent le rester. Un marché commun du genre Commonwealth aurait été largement suffisant.


  • xana 18 février 11:36

    Oui, mais ca plait à notre Titi, cette chienlit.

    Titi aime la merde, bien fluide.


  • Eric F Eric F 18 février 19:34

    Les Américains qui nous avaient entrainés dans la marche vers l’Est pour ’’acculer et affaiblir la Russie’’ ont se retirent du jeu, ils dénigrent l’Europe, se rabibochent avec la Russie, et nous laissent la patate chaude.

    Ce n’est pas rendre service à l’Ukraine de prolonger un conflit perdu et où on a nous mêmes tout à perdre. Sauf, comme disent certains journalistes à ’’saisir l’opportunité’’ de renforcer les armées européennes, c’est du reste ce que demande Trump pour écouler les productions de ses usines d’armement. On aura payé le prix cher des sanctions inefficaces, et de l’achat de gaz de schiste liquéfié étasunien.

    Il aurait fallu dès le départ exprimer un véto définitif à l’inclusion de l’Ukraine dans l’OTAN et UE, et proposer une coopération multilatérale, cela aurait évité la division interne du pays et le conflit, la ’’ligne rouge’’ avait été explicite. Ni les Baltes ni les Polonais et moins encore l’Europe de l’Ouest n’étaient en situation de menace auparavant.


    • microf 23 février 17:36

      @Eric F

      Pauvre Occident.
      Il a été dit que « lorsque Jupiter veut perdre un homme, il lui ôte la rasion. »
      Dans cette affaire en Ukraine, Jupiter a ôté la raison aux occidentaux.


  • Krokodilo Krokodilo 18 février 21:36

    Synthèse très claire également sur RT Trump a dit de ne pas censurer !


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