lundi 12 août - par Hamed

Pourquoi la réalité du monde nous interpelle sur le sens de l’existence ?

 

Tout être humain, de quelque société qu’il soit, homme ou femme, ont, par essence, la sensation de leur corps, de leur pensée, de leur existence. Combien même ils n’y pensent pas, peu importe, leur pensée peut ne pas penser leur état, ce qui est naturel, mais leur sentiment d’être restant implicite, ils sont comptables par leur présence dans le cours de leur être sur cette terre commune à tous les êtres. Par cette essence, ils ont aussi une connaissance d’un Être au-dessus d’eux, un Être qui s’érige comme Principe unique de la Création tant dans la fin de leur être que du sens même de leur existence. Et cet Être est Dieu.

 Cependant, entre ce sentir être et ce connaître de l’Être, tout humain relève de sa croyance et de sa connaissance ; en clair de l’acte de foi en lui relève de son essence même qui lui secrète cet acte de foi ; idem pour la connaissance qui relève de sa raison. Aussi posons-nous la question : « Y a-t-il une différence entre croyance et connaissance ? » La question se pose dans l’absolu, i.e. elle doit mettre en relief la croyance qui est un acte de foi, un acte de son esprit, et la connaissance qui est un acte de la conscience, de la perception d’un corps, d’une chose, mais, en réalité, toutes deux viennent de l’esprit humain qui est inconnaissable dans l’absolu, comme d’ailleurs l’âme sinon une représentation de la chose en soi, qui n’est pas accessible par la pensée.

Aussi tentons de chercher la signification de ces deux termes et les rapports qui existent entre eux. La question « pourquoi on croit ? » et « pourquoi on connaît ?  » et existe-t-il une différence entre eux ? Si on croit à quelque chose, cela suppose aussi que l’on connaît cette chose, que l’on peut représenter physiquement cette chose ; par exemple, je regarde le soleil ou la lune, c’est une perception réelle des deux astres ; la lune est circulaire, le soleil est brillant, il éclaire et transmet de la chaleur. Donc on peut dire aussi qu’il y a une croyance de l’existence des choses, et de toutes choses que nos organes des sens nous permettent de connaître, par les sentir, les regarder ou les entendre.

Si on ne croit pas à quelque chose, cela suppose aussi que l’on connaît cette chose, sinon on ne pourrait croire. A l’inverse, si on croit à quelque chose, cela suppose que l’on connaît cette chose, et peu importe qu’elle soit matérielle ou immatérielle.

Pour les choses physiques ou raisonnées, la question de la compréhension est pratiquement assurée pour l’esprit humain puisque l’esprit dans l’homme pense physiquement la chose, et intellectuellement les choses par des concepts scientifiques, en tout domaine de la pensée scientifique. Mais quand il s’agit de la foi en Dieu qui est métaphysique, et pourquoi « métaphysique » ? Pour la simple raison qu’il existe des êtres humains qui croient et d’autres qui ne croient pas.

Cette liberté de croyance relève du libre-arbitre qu’ont les êtres humains de croire ou ne pas croire. Ceux qui croient diront que c’est Dieu qui nous a créé et donc nous sommes sa création, par l’acte de « création », l’empreinte de Dieu est en nous. Ceux qui ne croient pas en Dieu, pourtant pour ne pas croire, il faut qu’il connaisse ce qu’est Dieu, et ils le connaissent mais nient sa présence. 

Mais ce que nous ne devons pas perdre de vue que, dans l’absolu, puisque « Dieu est connu par tous », et il faut encore le souligner « secrété par leur essence, leur pensée dont ils ne savent rien, sinon qu’ils pensent », et il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient pas, c’est simplement par l’acte de Création et le libre-arbitre qui est consenti à l’homme que celui-ci est libre de croire ou ne pas croire. La question qui se pose à l’esprit humain est « qui a créé l’univers ? » On répond que l’univers est issu du « big bang », ici aussi se pose la question « qui a provoqué le big bang ? »

Pour raisonner plus simplement, l’homme a fabriqué, par exemple, une chaise, cette chaise porte la marque de l’homme, i.e. sa forme, son poids, la matière que l’homme a utilisée en bois, en plastique, en acier. Si cette chaise pouvait penser, et avait vu l’homme la fabriquer tout au long de sa matérialisation, elle aurait pensé et témoigné que c’est l’homme son « concepteur  ».

Pareillement, l’homme ressemble à cette chaise qu’a fabriquée l’homme sauf qu’en le comparant, il est une « chaise pensante et créatrice ». Et tout ce qu’il crée comme du libre-arbitre qui lui est octroyé dans le choix qu’il fait dans sa vie, il le doit à sa pensée. Aussi par ce postulat, à l’instar de ce que créé l’homme, et que la chaise appartient à l’homme qui l’a fabriquée, l’humanité tout entière est non seulement la création de Dieu, mais aussi sa « propriété », créée pensante et libre du moins jusqu’à une certaine limite pour subvenir aux besoins de son existence. Nous êtres humains, que nous somme croyants ou non croyants, nous sommes le miracle de la Création. Pourquoi ? Parce que nous disposons du seul moyen dans ce que l’on connaît de l’univers jusqu’à aujourd’hui, ce moyen est la « pensée  », et à travers la pensée, l’« Essence de Dieu secrétée en nous, nous les êtres humains, nous les Terriens  ».

Tout ce que l’homme créé par la pensée relève du pouvoir octroyé par Dieu. Prenons un exemple, un honnête homme qui ne croit pas mais il est honnête, même s’il ne croit pas, mais il est honnête, on peut penser que par son honnêteté Dieu lui pardonne. D’autre part, en étant croyant, que va-t-il ajouter l’homme à Dieu ? L’homme n’a rien à lui donner sinon sa soumission et sa reconnaissance envers Dieu, et souvent dans des situations difficiles, de grandes souffrances morales, physiques ou sociales, l’homme invoque Dieu pour l’aider, et Dieu l’aide, et cela est certain.

Pourquoi cela est certain ? Pour la simple raison que si les hommes n’avaient pas été secourus maintes et maintes fois et ils l’ont senti dans leurs âmes et esprits, ils n’auraient pas eu foi à travers eux en Lui. On comprend pourquoi des peuples à travers le monde glorifient Dieu, se soumettent à Dieu, procèdent à des pèlerinages, que ce soit dans le monde musulman, le monde hindou, le monde européen, et dans les autres croyances divines, c’est précisément la foi qui fait le lien entre les humains et leur Créateur.

Prenons par exemple, un être quel qu’il soit sur terre, qui spolie, prend des richesses qui ne sont pas à lui, pour s’enrichir et même s’il croit en Dieu, il ne sait pas que tout ce qu’il fait est comptabilisé dans le bilan terrestre qu’il aura laissé, qui va le suivre lorsqu’il ne sera plus. Mais son esprit sera dans l’autre monde, du moins une pensée nous fait signifier que l’on retourne en fait vers son Créateur, comme le corps retourne vers la matière qui l’a conçu, i.e. la terre.

Ce qu’on peut dire de l’homme, c’est qu’au-delà de sa force, l’homme en réalité est fragile ; et on l’a vu avec le coronavirus Covid-19, un micro-virus a confiné la planète entière et provoqué plus de 600 millions de cas et plus 6 millions de morts dans le monde. Là aussi c'est un miracle, comment un microscopique virus ait pu affecter l’humanité entière ; heureusement que l’humanité a progressé dans les sciences médicales, la technologie ; se rappeler la « mort noire » au XIIIe siècle qui a emporté plus du tiers de la population européenne ; se rappeler la « grippe espagnole » entre 1917 et 1920 qui a fait plus de 40 millions de morts ; le nombre de morts était supérieur aux pertes humaines dues à la Première Guerre mondiale

La présence de Dieu sur terre, dans tout l’univers en tant que Créateur des mondes est une vérité absolue pour les croyants ; pour ceux qui ne croient pas, ou qui sont sujet d’une affirmation de doute, qui devient de l’incroyance relève plus de l’inconnaissance. Tout ce qu’on peut dire, c’est que Dieu n’oblige aucun être humain à croire en Lui pour la simple raison qu’il lui a octroyé un libre-arbitre. Dieu n’a pas créé des robots, il les a créé libres, et diversifié l’espèce humaine. Si Dieu a agi ainsi, en créant des races, envoyant plusieurs messagers porteurs de religion, à plusieurs moments de l’histoire de l’humanité, c’est parce que l’être humain est cruel par son origine animale.

Dans les empires des millénaires passés jusqu’à l’empire de Rome, on jetait dans les lieux de grands spectacles des êtres humains emprisonnés en pâtures aux lions suivies d'exclamations et de joie populaires. Des gladiateurs qui se combattaient jusqu’à la mort, des divertissements considérés normaux, naturels.

Le mal et le bien font partie de l'essence humaine ; en l'humain, il existe un équilibre et un sens dans la dualité du bien et du mal ; c'est à travers eux que le bien a tout son sens pour l'être humain ; que l'être humain vise le bien parce qu'il sait qu'il est l'harmonie suprême ; mais le bien pour qu'il existe a besoin de l'essence opposée, le mal ; donc l'être humain doit lutter contre le mal pour se parfaire, pour s'élever dans son essence humaine ; les pulsions du mal sont présentes en nous, et le Créateur a donné à l’homme la « raison » pour comprendre, pour maîtriser ses pulsions ; c’est parce que ainsi est la nature humaine, l’humain ne s’est pas créé, il a été créé. Et toute la différence est là.

Si Dieu n'a créé que le bien, le mal n'existant pas, le bien n'aurait pas sa raison d'être ; l'humanité aurait existé dans un état de nature de bien éternel, mais qu'est-ce qu'une nature de bien éternel ? En fait une non nature, puisque toute chose sur terre pour qu'elle existe a besoin de son contraire pour être ; c'est ce contraire qui fait référence en tant qu'il justifie son essence. En fait, l'essence humaine est harmonieuse ; la, vie par exemple a son contraire, la mort ; sans la mort, l'existence humaine n'aurait de sens et inversement. Comme on comprend que la joie, l'amour, la sérénité existentielle a besoin de la tristesse, du désamour, de l'angoisse existentielle qui suit. Et entre ces extrêmes, une infinité d'états auxquels les humains sont confrontés dans leur existence ; mais cela fait partie d'un tout humain.

De même la richesse pour qu'elle ait un sens a besoin de la misère, de la pauvreté ; sans l'existence de la pauvreté, la richesse en tant qu'état qualifiant l'humain n'aurait pas existé ; ce mot ne serait pas justifié pour définir l'état d'un être tant sur le plan matériel que sur le plan intellectuel. Il y a la richesse de pensée, et la richesse matérielle ne signifie pas la richesse de pensée et inversement pour la pauvreté. De même le croyant a un sens que parce que beaucoup d’êtres sur terre ne croient pas en Dieu. Si tous les êtres humains croyaient en Dieu, a-t-il besoin l’humain de dire qu’il croit en Dieu ? La croyance chez les êtres humains serait si naturelle que personne ne s’aviserait à dire je suis croyant.

La croyance serait un état de nature ; c’est comme si tous les êtres humains seraient créés blancs, ni la race jaune ni la race noire n’aurait existé. Un être humain a-t-il besoin de dire « je suis un être humain  », si, comme dans le film « La planète des singes », on montrait des chimpanzés pensants et parlant comme des êtres humains, là forcément tout être humain aura à se déclarer être un « être humain ». Mais cette situation de science-fiction n’existe pas, et il n’existe qu’une seule humanité qui est réellement pensante, consciente et agissante ; par ses actes, elle a un grand pouvoir pour influer sur l’écosystème terrestre.

Ce qui explique aussi pourquoi l’humanisation n’est pas venue d’un trait, elle est venue par une longue période d’adaptation à la vie terrestre qui a duré plusieurs millénaires. Il y a moins d’un siècle, le continent africain et une grande partie de l'Asie étaient encore colonisés, des peuples sans droits ; leur libération a nécessité deux guerres mondiales. Évidemment, « les hommes ne comprennent pas qu’ils sont suivis durant toute leur existence comme le montre l’évolution du monde.  » Et même les guerres qui ne s’arrêtent pas aujourd’hui comme le montrent les guerres en Ukraine et à Gaza à Gaza ; elles suivront la même évolution, la libération et l’indépendance inévitable des peuples, qui relèvent en fait des « lois de la nature de la marche du monde » que ne commandent pas les hommes mais « décrétée » par Dieu. 

Dans tout ce qui s’est passé et se passe aujourd’hui, la réponse viendrait d’une situation qui serait sans sens pour l’humanité si elle avait été créé d’un seul coup, sans passer par les étapes de l’histoire. De même, « si l’humanité entière croyait en Dieu, le sens de Dieu n’aurait pas posé de problème », tous les êtres humains croiraient et suivraient ses « préceptes ». L’humanité serait alors un monde pacifié par la foi qui serait une partie de sa nature. Donc personne ne viendrait à se remettre en question, on serait alors tous identique, pas de guerres, un paradis sur terre ; la mort ne poserait pas de problèmes ni de peur puisqu’elle relève de la croyance en Dieu, de notre foi en Dieu, et donc du processus naturel de notre création.

Or, Dieu ne veut pas d’une humanité où tous les êtres humains sont identiques en termes de pensée, de foi et de connaissance ; en nous diversifiant, la volonté de Dieu a été que nous pensions, que nous agissions. Précisément la réalité du monde nous interpelle. Pourquoi croire ? Pourquoi connaître ? C'est pour sortir du néant qui est le vide, l’inconnaissance, l’incroyance, et qui permette à l’humain de s’assumer dans l’existence.

Aussi que le fait de croire et que l’être humain va dans le bon sens de la vie est une réalité ; que le fait de ne pas croire qui est aussi une réalité ne relève de la spiritualité que parce que ainsi elle est faite. Ce qui signifie que Dieu a laissé les êtres humains libres dans leur état. Cependant le croyant comme celui qui ne croit pas font face à l’existence qui n’est pas donnée ; ils sont tous deux confrontés aux aléas de leurs destinées et donc aux problèmes complexes de l’existence.

La seule issue est que l’humain doit penser à son être, cultiver son être comme une plante à laquelle on ajoute de l’engrais et qu’on arrose d’eau de connaissances. Et il y a une infinité de plantes qui a trait sur l’existence de Celui qui a créé le monde et nous a créés en tant qu’infime partie de Lui. Ce qui signifie que nous sommes tous un devant Dieu même si nous ne sentons pas ou sentons peu en notre être l’Être qui nous a créés.

Sachons une chose, que l’on ait la foi ou non en Dieu, il reste que Lui est présent en nous ; le seul pouvoir de penser dont nous ne savons pas d’où nous le tenons l’affirme sans même besoin que nous ayons à redire parce que nous ne le pourrons pas. Aussi « ceux qui le savent sont ceux qui ont foi en Dieu » parce que Dieu leur apparaît comme s’Il était infusé dans leurs âmes, dans leur esprit, il ne viendrait pas à leur idée qu’ils pouvaient exister sans Dieu ; en revanche, ceux qui ne le savent et se disent qu’ils ne croient pas ou croient mais sont dans le doute et il existe une infinité d’état entre croire jusqu’à l’illumination et ne pas croire du tout, leur état est ce qu’il est et Dieu n’exhorte personne sinon par les Livres Sacrés, à moins que Dieu se révèle dans leur conscience, dans leur âme, et là, c’est la « piété suprême ».

Cette piété suprême est intérieure, propre à chaque être qui la reçoit, et ne se révèle pas aux autres, elle est silencieuse et surtout truffée de passages d’existence où celui qui est « visité » voit « réellement  » la main de Dieu agir dans le cours de son existence. Évidemment, ce sont des cas rares mais ces cas existent, et c’est la raison pour laquelle les humains sont confrontés au « mystère de la foi », il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient et entre eux, une infinité d’état de croyance et d’incroyance.

Et c’est là où entre le dessein de la Création dont le sens est donné aux êtres humains par ce qui s’est opéré depuis la venue du premier homme sur terre (Adam). Force de le dire par ce qui s’est construit de la « grandiose réalisation de l’homme sur Terre », et permise par Dieu, à voir seulement le visage de la Terre comment elle est devenue, comment elle s’est transformée, et la conquête d’autres planètes qui a commencé pour l’homme. Et cela relève à la fois de la foi de l’homme en lui et de la foi qu’il a en Dieu qui lui a permis à réaliser, à travers la « pensée qu’Octroie Dieu », le dessein de Dieu dans l’homme. Telle est la destinée de l’humanité, un « miracle qui témoigne, par la pensée qui lui est octroyée, de l’Univers, de la Création du monde ».
 

Medjdoub Hamed
Chercheur



27 réactions


    • Hamed 12 août 21:34

      @Durand
      Merci Durand. Une vérité que vous devez savoir, c’est que tout se paie dans ce bas-monde.

      N’oubliez pas les catacombes. « Les chrétiens refusent en effet le culte impérial car ils affirment que leur dieu est le seul vrai dieu. »

      Les chrétiens sont soumis à toutes sortes de supplices et de tortures. Ils sont livrés aux fauves, ou crucifiés ou encore torturés en public.

      Mais pourquoi les Chrétiens acceptaient-ils cette souffrance et ne reniaient pas leur croyance au prix de devenir des martyrs.

      Durand, la réponse est simple. Si les Chrétiens qui souffraient pourtant le martyr sachant qu’ils allaient être dévorés, en spectacle, devant une foule qui acclamait, par des lions, et ils n’ont pas reculé, c’est que Dieu était en eux.

      La foi en eux était divine ; ces Chrétiens souffraient surtout pour ceux qui les torturaient qui n’étaient en fait que des animaux en pire ; et Dieu, vous devez savoir, Durand, rendait leurs souffrances douces ; en clair, ils ne ressentaient rien.

      Qu’un lion enlève un bras à un Chrétien, il ne ressentait rien ? Pourquoi, Durand ? C’est simple, que l’on vous frappe ou que l’on vous brûle, comment vous ressentez votre douleur ? Par les yeux voyant celui qui vous agresse, et par la pensée, vous sentez la douleur.

      Qu’on vous enlève une dent, un bras, le médecin a recours aux anesthésiants, et appliqués, que l’on vous enlève une dent ou un bras, vous ne ressentez rien.

      C’est la même chose pour les Chrétiens. C’est Dieu qui fait penser les humains ; Dieu octroie la pensée aux humains ; il peut l’octroyer douce, méchante, jalouse, cruelle, transforme les êtres par la pensée en surdoués, en débile, etc.

      Dieu a donné la sérénité aux Chrétiens, malgré les tortures ; à la fin toute l’Europe avec la Rome impériale (italienne) est devenue chrétienne. C’est dire la marche de l’oeuvre de Dieu dans la marche de l’humanité au travers des siècles. Ce qu’ils étaient des barbares au temps des Gaulois et des Germains, des Wisigoths et des Romains impériaux devenir des Chrétiens.

      Voilà, Durand. Même processus. Les Palestiniens que l’on voit torturés, assis la tête en bas, et les geôliers israéliens armés. Et les dizaines de milliers de morts surtout de femmes et d’enfants sont tous des martyrs. Ils relèvent des desseins de Dieu qui va amener à la fin Israël à être ce qu’elle est réellement ; le peuple palestinien aura son État, et Israël, plus tard abandonné par l’Occident qui se trouvera dépassé, et laissera choir Israël, n’aura qu’une ouverture de survie, intégré l’État palestinien qui deviendra « fédéral ».

      Si Dieu avait voulu, il aurait écrasé Israël et l’Occident ; non Dieu laisse faire ; ceux qui font du mal sur leurs prochains récolteront leur dû en 1000 fois. A voir seulement les deux Guerres mondiales qui ont libéré des continents entiers.

      Merci pour ce post.


    • Durand Durand 13 août 08:37

      @Hamed

      Dans la deuxième vidéo que je propose, Alexandre Dianine-Havard pose cette question terrible : « mais où sont les Chrétiens en Occident ? »…

      De toute évidence, le silence assourdissant du Vatican concernant ce qui se déroule à Gaza et dans les territoires occupés donne une partie de la réponse. Je ne parle même pas des communautés chrétiennes d’Orient, abandonnées par l’Occident au sort que leur réservait les djihâdistes, financés et manipulés par l’Occident, lui-même manipulé par l’entité talmudiste sioni$te…

      Non, les Chrétiens d’Occident ne sont plus à la hauteur d’un Jésus qui renverse les tables des cupides Marchands du Temple et surtout, qui s’en prend aux Grands Prêtres pour leur hypocrisie mercantile basée sur les sacrifices : on ne marchande pas avec Dieu, on ne s’absout pas de ses fautes avec des rivières de sang !

      Et je fais mienne une autre partie de la réponse : je constate autour de moi que la charité et la chrétienté en Occident sont mieux portées et mieux défendues par les musulmans que je connais que par ceux qui se disent “Chrétiens“ mais qui, en réalité, ont totalement succombé aux tentations et aux mensonges des Grands Prêtres.

      ..


    • Hamed 13 août 10:20

      @Durand
      C’est le monde qui change ; l’histoire de l’humanité est un « éternel recommencement » mais inscrit dans un « éternel progrès ». Combien de civilisations ont existé et ensuite ne l’ont plus été, elles ont été remplacées ; et toutes ont concouru à la marche de l’histoire.

      Pareil aujourd’hui, le déclin de l’Occident est de plus en plus visible, de plus en plus manifeste ; pourquoi ? Après son ascension, et sa suprématie sur les autres, il commence à décliner ; c’est le culte du veau d’or, le culte de tout ce qui brille.

      Mais qui en est responsable ? Les êtres humains ? Ils sont ce qu’ils sont, des êtres créés qui ne se connaissent pas ou se connaissent par leurs mensonges, leurs cruautés, mais le monde est ainsi. Heureusement que tous les êtres humains ne sont pas ainsi, peut-être plus en Occident qu’en Orient.

      Mais si aujourd’hui, c’est en Occident, qu’en sera-t-il demain en Orient s’ils viennent à leur tour... reproduire les mêmes tares. Une vérité cependant, le progrès qu’octroie le Créateur sera garant de cette humanité frondeuse. Et c’est la raison pour laquelle tout être humain dans son petit microcosme peut participer à ce progrès du monde.


  • xana 12 août 22:18

    Pffff !

    C’est qu’il y croit, notre petit Hamed !

    C’est incroyable combien l’esprit humain reste attaché aux superstitions préhistoriques. Quand je pense qu’il y a 250 ans les savants européens ne croyaient pas que les femmes aient une âme. Ni les nègres, ni les arabes...

    Mais il faut beaucoup de temps pour faire entrer la réalité dans nos petites caboches. Et puis c’et toujours décevant ! Ainsi on a appris que la Terre n’était plus la centre de l’univers, que l’Homme était un cousin du Chimpanzé, et que nous ne serions même pas les héritiers de Dieu (à supposer qu’il existe)...

    Mon pauvre Hamed, vous vous enterrez la tête dans le sable avec vos croyances d’un autre âge. Le monde est merveilleux, mais ce n’est pas celui des histoires des bergers analphabètes de la préhistoire.


    • Hamed 13 août 00:08

      @xana
      Bon retour. Je ne comprends pas xana ; vous trouvez mes articles, plutôt mes analyses « indigestes », pourquoi alors les lisiez-vous ?

      Vous dîtes : "Mon pauvre Hamed, vous vous enterrez la tête dans le sable avec vos croyances d’un autre âge. Le monde est merveilleux, mais ce n’est pas celui des histoires des bergers analphabètes de la préhistoire.« 

      Tout d’abord, merci de tout cœur pour ce mot »pauvre« Hamed, mais vous ne savez que c’est la pauvreté qui est la véritable richesse sur terre. Et je recherche cette »pauvreté« qui me grandit.

      Merci aussi pour le notre »petit« Hamed ; oui je suis le petit mais le »petit« peut être la vraie grandeur de l’âme que l’Esprit du monde octroie à l’humain La grandeur ne peut pas être petite, elle peut seulement être grande et »fade". Qu’apporte un milliardaire ? Avec ses palais, ses yachts... Rien, sinon le parvenu, le riche qui n’apporte rien que la commisération parce qu’il souffre de richesses ; en clair, trop riche, il ne vit pas, ne vit que par la richesse. 

      Quelle horreur pour celui qui comprend ce qu’est être riche. L’habit ne fait pas le moine, ou tout ce qui brille n’est pas or, dit-on. 

      Voyez par vous même qui donne la signification de l’humanité ? Est-ce les riches qui sont moins que 80 millions d’êtres à travers le monde comparés aux 8 milliards moins 80 millions (au maximum). L’humanité est cette humanité de 7 milliards 920 millions de pauvres. Soit au maximum 1% sur les 99% de pauvres ou justes suffisants pour vivre cette existence donnée par Dieu.

      Et je crois xana que ce qui vous attire à lire mes articles, c’est parce qu’ils ont un côté magistral qui relève de la profondeur d’esprit, non du mien, mais de celui qui n’est pas du mien, de ce n’est pas moi qui écrit mais ma pensée qui écrit en moi ; ce qui explique que beaucoup évite de commenter l’incommensurable, i.e. la pensée qui pense par elle-même. 

      Voilà, xana, lisez et merci pour vos réflexions, elles sont à bien d’égard constructives. Pourquoi ? Parce que vous ne vous savez pas ; vous êtes vous même une richesse de lire et de critiquer et j’accepte votre critique comme je l’ai dit, elle est constructive. Et vous en êtes un des rares. Merci encore xana.


  • Hector Hector 12 août 23:37

    Medjdoub Hamed
    « Chercheur »
    Vu tes papiers, t’es pas prés de trouver mon pote !!!
    Et puis c’est quoi ce nom de carnaval ?


    • Hamed 13 août 00:17

      @Hector
      Je vous ai déjà répondu dans l’article précédent ; vous portez un pseudo mythique de la civilisation grecque.

      « Hector, héros troyen de la guerre de Troie. Fils du roi Priam et de la reine Hécube, il est tué par Achille qui veut venger la mort de Patrocle. »

      Tranquilisez-vous, je ne suis pas Achille, seulement un être qui pense et je crois que vous Hector, vous pensez votre pensée et voudriez apprendre de moi ; je n’ai rien à vous offrir, que des mots. Qu’ils soient carnaval ou non. Merci pour le petit commentaire ; cela signifie que vous pensez.


    • Hector Hector 13 août 01:45

      @Hamed
      En effet je pense mes pensées...
      Je n’y avais jamais pensé. Quel penseur vous faites !
      Mais à moins d’être complétement idiot, ce que vous n’êtes pas, aucun humain de ce site n’écrirait « Vous pensez vos pensées ».
      Alors qui êtes-vous ou plutôt QUOI êtes-vous ?
      Question inutile, n’est-ce pas ?


    • Hamed 13 août 09:34

      @Hector
      Je reconnais en vous cette perspicacité ; je reconnais en vous cette intelligence qui ne court pas les rues ; je comprends maintenant pourquoi vous voulez être mythique en portant votre choix sur Hector pour votre pseudo.

      En fait, on est que ce que l’on est. Vous me dîtes, Hector, « Alors qui êtes-vous ou plutôt QUOI êtes-vous ? » Je vous réponds : « Je ne suis qu’un miroir à votre pensée ; en fait c’est votre pensée qui s’interroge sur elle-même. »

      Et elle le confirme puisqu’elle ajoute : « Question inutile, n’est-ce pas ? » Mais, cependant, Hector, « Vous savez. »


    • Hector Hector 13 août 13:00

      @Hamed
      Vous voulez me la faire à l’envers ?
      Le plus con des voyous connait le stratagème. vous perdez votre temps.


    • Hamed 14 août 17:32

      @Hector
      Comme je vous l’ai dit, vous êtes trop intelligent. Au point que vous doutez tout de vous-même, de votre propre intelligence. Je n’ai pas à perdre mon temps ; j’ai décelé en vous une forte intelligence ; mais à être agressive, votre intelligence bien qu’elle soit forte, je le reconnais et c’est la raison pourquoi je l’ai dite, force de vous dire qu’elle est restreinte.

      Seule sortie pour vous, pensez bien en vous même.
      Et point besoin de me répondre.


  • sylviadandrieux 13 août 02:00

    Le seul tort que l’on peut attribuer à Dieu est justement d’avoir donné le libre-arbitre aux humains qui croient en lui.


    • Hamed 13 août 09:59

      @sylviadandrieux
      « Le seul tort que l’on peut attribuer à Dieu est justement d’avoir donné le libre-arbitre aux humains qui croient en lui. »

      Savez-vous, sylvia, que ce que vous attribuez à Dieu vous l’attribuez en fait à vous-même. Vous aurez bien aimé qu’il n’existe pas de libre-arbitre, je dois déduire pour les « hommes », ainsi feriez d’eux ce que bon vous passerait par la tête.

      Il me semble que c’est la seule réponse logique qui explique votre position sur ce thème. Alors que vous savez que le libre arbitre est donné à toutes les espèces biologiques pensantes ou pensantes par instinct comme c’est le cas des animaux qui fuient leurs congénères en cas de danger.

       

       
       



    • sylviadandrieux 13 août 13:55

      @Hamed
      je n’attribue rien à Dieu. Mais c’est vous qui avez écrit que Dieu a accordé le libre-arbitre aux hommes. Vu le résultat ce n’était vraiment pas une bonne idée. 
      Le libre-arbitre est aussi valable pour Dieu ? 


    • Hamed 13 août 15:38

      @sylviadandrieux
      Vous ne pouvez attribuer à Dieu qui vous a créé ; vous sylvia êtes simplement un être humain pensant ; que vous soyez un homme ou une femme, vous êtes avant tout humaine. 

      Cela dit, vous écrivez : "je n’attribue rien à Dieu. Mais c’est vous qui avez écrit que Dieu a accordé le libre-arbitre aux hommes. je n’attribue rien à Dieu. Mais c’est vous qui avez écrit que Dieu a accordé le libre-arbitre aux hommes. Vu le résultat ce n’était vraiment pas une bonne idée."

      Le libre-arbitre est une nécessité pour que les humains existent, subviennent à leurs besoins, i.e. construisent, se procurent de la nature ce dont ils ont besoin pour vivre, réalisent tout ce qui a trait à leur survivance.

      Maintenant, les humains se combattent, se font la guerre , cela revient à leur essence d’être ; ils sont ce qu’ils sont. Entre hommes, comme entre femmes ou entre hommes et femmes se livrent des mini-guerres d’ordre affectif (désaffection, jalousie, ambition, etc.). C’est une « loi de la Nature », une « loi de l’Esprit du monde ».

      " Vu le résultat ce n’était vraiment pas une bonne idée.", c’est vrai ce n’est pas une vraie idée ; mais cette idée de libre-arbitre leur assure leur existence, sinon s’ils ne sont pas libre, ils ne pourraient lutter pour leur existence.

      Donc Libre-arbitre = existence humaine



  • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 13 août 05:25

    Salut à propos de pseudo grippe pseudo espagnole, si je puis me permettre

    https://reseauinternational.net/la-grippe-de-1918-netait-pas-une-grippe/

    extrait :

    La grippe espagnole de 1918

    On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».

    Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !

    « La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tort comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».

    En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.

    En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.


  • Soucougnan Soucougnan 13 août 12:40

    Je pense que l’on se contente de croire quand savoir est impossible, c’est-à-dire que l’on ne peut s’appuyer sur l’expérience et les faits pour confirmer ou infirmer la réalité d’une chose. Mais pourquoi choisit-on de croire ou de ne pas croire.

    Imaginez que chaque matin avec vos enfants, vous traversiez un pont en toute confiance. Vous croyez que ce pont est solide bien que vous ne puissiez pas en juger par vous même n’ayant pas les compétences pour cela. Et puis des gens qui eux ont ces compétences disent avoir vu des fissures sur les piliers du pont qui assurément démontrent que le pont va s’écrouler de façon imminente. Puis imaginez que parmi c’est personnes compétentes, un plus petit nombre nie la chute du pont et parle de fissures dans le parement qui ne font courir aucun risque. Eh bien il y a de bonne chances que ne pouvant pas juger qui a tort qui a raison, vous choisissiez de croire ceux qui disent que le pont peut tomber et que vous évitiez désormais de traverser ce pont avec votre famille.

    Maintenant imaginez une autre situation. Cette fois vous êtes bloqué sur le pont avec vos enfants et beaucoup d’autres personnes. Vous ne pouvez pas en sortir et vous attendez que les secours viennent dégager la voie quand tout à coup, des gens qui se prétendent compétents voient les fissures sur les piliers et affirment que le pont est sur le point de tomber avec tous ses occupants. Imaginez que d’autres personnes regardant les fissures se mettent à crier que ce sont des histoires et que ce sont juste des fissures dans le parement. Eh bien dans cette situation-là vous aurez plutôt tendance à croire que le pont ne va pas tomber et que votre famille et vous n’avez rien à craindre. La foi n’est pas quelque chose de rationnel. En fait, on croit simplement ce qui nous rassure. Or traverser le pont sur lequel pèse la menace d’un écroulement ne nous rassure pas. Alors qu’à l’inverse, cela nous rassure de croire en la solidité du pont sur lequel nous sommes bloqués.

    Maintenant la question est de savoir pourquoi au sein des religion monothéistes, Dieu rassure-t-il certains et pas d’autres ? Il est probable que cela tienne à la façon dont les gens perçoivent l’existence de Dieu, c’est-à-dire comme une entité rassurante ou menaçante. Au fond la foi religieuse est bien quelque chose de profondément intime.


    • Hamed 13 août 15:21

      @Soucougnan
      L’histoire du pont ressemble à l’allégorie de la caverne de Platon. Les humains ne font que penser ce qui pense en eux et croient qu’ils pensent.

      C’est cette croyance de penser qui fait leur existence ; cependant ne pensant pas que la pensée pense en eux, ils s’imaginent toute pensées et la pensée est là pour les satisfaire. Et la pensée leur donne le sens de leur existence ; et peu importe qu’ils pensent dans le bien et le mal. Cela relève des « desseins » de Dieu qui a donné la pensée pour corriger les excès des hommes.

      Ainsi comprend-on la marche de l’histoire de l’humanité qui n’est pas responsable de son existence.

      Quant à pourquoi « Dieu rassure-t-il certains et pas d’autres ? », cela tient à leur essence d’être qui est certes commune pour tous mais aussi individuelle pour chaque être. Et en leur octroyant le libre-arbitre et le couple bien et mal dans lequel ils sont immergés, il y a des êtres qui sont bons et d’autres non. Comme pour les humains qui construisent des machines, certaines sont bonnes, et c’est la plus grande partie produite, et certaines portent en elles des imperfections.

      Et la foi quelle qu’elle soit ne va que pour les bons ; les mauvais ont aussi la foi, qui est leur mauvaise foi ; elles sont antagonistes, à l’mage du « bien et du mal ».. Et c’est au Seigneur des mondes de régir et corriger ces milliards d’humains dont certains en sont convaincus, et « la conviction dans la vraie foi ne vient que du Seigneur des mondes », il ne faut pas l’oublier.


    • Soucougnan Soucougnan 13 août 16:55

      @Hamed

      cela tient à leur essence d’être qui est certes commune pour tous mais aussi individuelle pour chaque être

       

      Non, j’ai bien peur que non. Il est probable que la réponse soit plus prosaïque. C’est l’expérience de la vie tout simplement qui fait perdre au concept de Dieu son aspect rassurant. Un de mes cousins qui est catholique m’a avoué avoir perdu la foi quand il était jeune. Pendant longtemps il croyait en Dieu et un jour brutalement, il n’y croyait plus. Étrange ! Cela a coïncidé selon lui avec la mort de son frère qui souffrait du cœur depuis sa naissance. Il m’a dit avoir longtemps demandé en prière à Dieu pourquoi avoir fait naître son frère malade pour ensuite le tuer au moment où il se faisait sa première petite amie. Mais contre toute attente, ce n’est pas ce qui lui a fait perdre la foi. Selon lui, l’instant décisif a été le jour où la tristesse l’a submergé et où il s’en est pris intérieurement à Dieu. Mais cela n’a pas duré, il s’est très vite ressaisi et a demandé à Dieu pardon pour ces accusations injustes. Il a dit à Dieu qu’il savait que celui-ci n’était pas vraiment responsable et que c’était simplement le hasard de la naissance qui était à l’œuvre. Et à cet instant, il a prétendu avoir eu l’impression que cette pensée raisonnait au plus profond de son être et a clairement ressenti que sa foi en Dieu était en train de le quitter à toute allure. Il a essayé vainement dans les jours suivants de se raccrocher à Dieu en faisant le compte de toutes les raisons qu’il avait de croire, mais c’était déjà sans passion et plus il cherchait des raisons rationnelles, plus il lui semblait évident que Dieu n’avait jamais existé, que tout n’était que fable. Aujourd’hui c’est un homme totalement athée, mais comme il me disait un jour n’avoir jamais compris comment la foi avait pu le quitter si brutalement, je lui ai expliqué qu’à mon avis, s’il avait cessé de croire en Dieu c’était tout bêtement parce que la foi dans le hasard le rassurait, alors que Dieu ne le rassurait plus, au contraire : L’idée d’un esprit tout puissant qui fait intentionnellement et inutilement naître et mourir les humains lui déplaisait bien plus qu’il n’en avait conscience. Par la suite il a voulu se raccrocher à la foi avec des arguments rationnels mais c’était contre-productif. Pour croire en Dieu mon cousin n’avait besoin d’aucun argument rationnel mais simplement de trouver du réconfort dans l’existence du divin or ce n’était pas le cas.


  • xana 14 août 09:49

    Hélas, je n’ai pas le temps (ni la patience) de lire la prose ampoulée de Hamed.

    Je réagis seulement à sa signature. La signature d’un ayatollah (peu importe de quelle religion, elles sont toutes aussi nocives) indigné par le refus de se prosterner devant des idoles.

    Hamed sait s’exprimer, comme la plupart des (faux) prophètes. Il peut ridiculiser ses adversaires dans une discussion. Cela ne lui donne pas raison.

    La seule chose qu’il ne peut pas cacher c’est son but : Rétablir le règne d’une religion, son emprise et sa toute-puissance sur les hommes, comme nos sociétés l’ont connu à plusieurs reprises. Et combattre victorieusement la liberté de penser et l’athéisme.


    • Hamed 14 août 17:25

      @xana
      Vous dîtes : "Hélas, je n’ai pas le temps (ni la patience) de lire la prose ampoulée de Hamed.

      Je réagis seulement à sa signature. La signature d’un ayatollah (peu importe de quelle religion, elles sont toutes aussi nocives) indigné par le refus de se prosterner devant des idoles.« 

      Tout d’abord, xana, vous êtes censés n’avoir pas lu, et pourtant vous réagissez et donnez votre point de vue qui est tout votre honneur. Dans le sens que vous n’acceptez la vision de celui que vous lisez. Vous la refusez ; je vous comprends.

      Le problème est qu’un doute s’est insinué en vous ; et vous doutez ce qui explique votre véhémence dans le refus de l’autre au point que vous l’assimilez à un ayatollah que je ne suis pas, et si je l’ai été, je n’aurais jamais écrit ni agoravox ni ailleurs.

      Je suis un chercheur qui cherche à comprendre notre humanité, et l’humain dans cette humanité taxée d’humaine alors qu’elle ne se sait pas, ni elle-même, ni ses racines ni le but de son existence sur terre.

      Et c’est parce que j’essaie de décortiquer le sens de cette humanité que je créé la question en chacun. Et vous xana »vous doutez«  ; vous faîtes comme Descartes, »je doute donc je suis.« 

      Le problème, vous n’êtes arrivé à douter que lorsque vous lu »la prose ampoulée de Hamed.« Et vous dîtes que vous n’avez pas lu alors que vous l’avez lu ; un mensonge authentiquement humain qui relève de votre »essence« que vous ne pouvez refouler ; pourquoi ? Parce que c’est elle qui dicte votre existence ; sans elle vous n’existez pas.

      Vous dîtes encore : »La seule chose qu’il ne peut pas cacher c’est son but : Rétablir le règne d’une religion, son emprise et sa toute-puissance sur les hommes, comme nos sociétés l’ont connu à plusieurs reprises. Et combattre victorieusement la liberté de penser et l’athéisme.« 

      Le problème est que vous n’avez pas bien compris mes propos. Pour moi tous les êtres humains de la Terre sont religieux ; ils sont »programmés« de vivre un temps, puis ils quittent cette Terre ; pas leurs corps mais l’esprit qui les fait exister.

      Nous sommes reliés depuis toujours à l’Essence du monde, avant notre naissance, durant notre existence et après l’existence. Sauf que nous ne le sentons pas et et le comprenons pas, parce que c’est exprès. Pourquoi »exprès«  ? Si tous les êtres humains savent ce qui se passe ; tous les êtres humains deviendraient philosophes dans le sens clairvoyant. Et même point besoin de religion, ils comprendront qu’ils n’existent que par un prêt accordé par l’Esprit du monde, et qu’ensuite ils doivent rendre ce prêt pour partir, pour voyager.

      Ce qui s’est passé du règne des religions passées, »c’est que les êtres humains étaient des barbares et la religion devait les pacifier. Aujourd’hui, c’est chose faite.« 

      Quant à »combattre victorieusement la liberté de penser et l’athéisme.", ce ’est pas du tout ma pensée ; pour moi on ne peut combattre la pensée, la pensée se rit de tout parce que l’on n’arrive jamais à annihiler la liberté de pensée. 

      La pensée est l’essence qui vient du Suprême, de même la liberté qui vient du libre-arbitre accordé par le Suprême. Donc c’est donné à l’humain. L’athéisme n’est pas un refus de croire en Dieu, puisque pour refuser de croire, il faut que l’être humain admet qu’il il y a quelque chose au-dessus de lui.

      Et c’est ce quelque chose qui existe au-dessus de lui qui lui dicte son attitude qui consiste à ne pas croire en l’existence de Dieu. Et l’athée le fait comment ? Par la pensée, pardi ! Et c’est ça que l’athée ne comprend pas ; que quoi qu’il fasse, qu’il refuse de croire en Dieu, et pour refuser, il faut bien qu’il croit à ce qu’il refuse. Donc, sans même le savoir, l’athée est aussi religieux. Et point besoin de religion, son athéisme religieux lui suffit.

      Et dieu n’a pas créé des robots ; tout être humain est libre de penser.


  • xana 16 août 10:20

    Pauvre Hamed. Votre suffisance atteint des sommets.

    Vous croyez réellement créer quelque chose (dans chacun de nous) en balancant des balivernes éculées ?

    Vous ne créez que du vent.

    Quant à être « un chercheur » si vous vous limitez aux croyances religieuses sorties des élucubrations ( parfois poétiques) des bergers de la préhistoire, votre « recherche » n’aboutira jamais à quelque chose de plus que celles des innombrables autres prétendus « chercheurs » qui se sont égarés sur ce sujet largement épuisé.

    Des chercheurs, il y en a eu et il y en a encore. Ceux-là ont découvert bien des choses que les religieux ont immédiatement essayé de cacher de nouveau. La structure de l’univers, celle des étoiles et des planètes. L’évolution des êtres vivants, et l’origine animale de l’humanité qui vous reste en travers de la gorge.

    Et tout cela sans dieux ni déesses, qui n’ont pas leur place dans la science.

    Et évidemment sans « chercheur » de votre genre.


    • Hamed 16 août 14:05

      @xana
      Merci xana pour les bons point que vous me décernez. Vous êtes réellement très intelligent, et je vous le dis en toute sincérité. Vous dîtes ce que vous dit votre être et peu importe que vous n’en soyez pas satisfait de ce que j’écris.

      J’apprécie tout ce que vous écrivez , et le paradoxe, ce ne sont que des gentillesses que vous me décernez ; sachez seulement que le chercheur en moi, ce n’est pas moi qui le veut, il m’est imposé et m’a été imposé depuis toujours.

      Je sais que vous ne pourrez comprendre ; mais ce n’est pas moi qui écrit mais un esprit en moi qui le dicte, et j’obéis.

      Et tout être humain est dans cette situation, sauf que l’on ne s’aperçoive pas parce qu’il n’est pas donné de s’apercevoir. Et c’est pourquoi j’accepte votre critique, elle vient de votre esprit.

      Et je vais encore plus loin, un être humain qui tue son prochain, pensez-vous que c’est lui qui tue ? On le pense certes puisqu’il tue son prochain. Mais dans l’absolu, ce n’est pas lui qui tue, mais le mal qui l’habite qui tue. Quant à celui qui est tué, cela relève de son destin, il doit être tué ; et si le destin de cet être aurait été autre, eh bien, il échappera à son tueur.

      Voilà, xana, merci pour le post malgré qu’il soit véhément. J’aurais pu ne pas vous répondre, mais j’ai estimé que vous êtes critique dans le bon sens. Merci



  • chat maigre chat maigre 16 août 15:27
    Pourquoi entend-on des voix ?

    Les hallucinations auditives apparaissent dans certaines maladies psychiatriques, en particulier la schizophrénie.

    Mais d’autres pathologies comme le trouble bipolaire, le trouble borderline ou le trouble dissociatif de l’identité peuvent engendrer de telles hallucinations, en particulier dans les moments d’excitation ou de forte anxiété.

    Des associations existent

    L’aide peut venir aussi d’associations comme le Réseau français sur l’entente de voix dont le but principal est de déstigmatiser les personnes concernées et surtout de prôner une « relation plus apaisée » avec les voix. 


    Bon courage smiley


    • Hamed 16 août 17:25

      @chat maigre
      Où voulez-vous en venir ? Chat maigre, vous n’êtes pas du tout maigre quand je pense que vous parlez de troubles psychiatriques alors que vous ne balancez que des mots à moins que vous n’avez été touché par des troubles hallucinatoires.
      Auquel cas je n’y peux rien ; il faut voir un psychiatre.

      Merci quand même pour le post.


  • chat maigre chat maigre 16 août 17:40

    Je voulais aider juste !!

    Quand je lis que c’est qqun à l’intérieur de vous (une voix) qui agit à votre place, je m’inquiète c’est tout smiley

    Je réitère mes encouragements, au plaisir smiley


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