samedi 19 janvier 2019 - par Alex

Pourquoi les végétaliens et véganes reviennent à la viande ?

 

Selon une étude, publiée en anglais sur https://www.psychologytoday.co​m/blog/animals-and-us/201412/8​4-vegetarians-and-vegans-retur​n-meat-why, laquelle a porté sur 11 399 adultes représentatifs de la population américaine, avec divers régimes alimentaires, il apparaitrait que : seuls 2% des interrogés ne consomment aucune viande, 1.5% sont végétariens, 0.5% sont veganes. Et surtout, 5 personnes sur 6 ont abandonné leur régime végétarien/végétalien… 86% des végétariens et 70% des vegans reviennent à la viande. Outre atlantique, c’est la santé qui dicte en premier la décision d’abandonner la viande en faveur d’une alimentation exclusivement végétale.

L’étude porte évidement sur des sujets américains. Autres pays autres mœurs.

Mais qu’est ce qui peut amener un végétalien voire un vegane à revenir à l’alimentation tant honnie ?

Il y a diverses raisons…

Un changement de vie ou dans la vie

Oui, un changement de vie...On grandit, on n'éprouve plus le besoin de contester et de faire ch*er ses parents. On a passé sa crise d’ado. On a cessé d'identifier tous les cerfs à Bambi et les cochons à Babe. Vous commencez même à comprendre pourquoi vos parents ont dit non à votre proposition de sauver un cochon de l’abattoir pour l’adopter et le faire vivre dans l’appartement. Vous comprenez que le Monde s’est pas celui des Bisounours et que la Nature à ses dures lois. Vous n’avez plus besoin de vous démarquer des autres par une cause, un mode alimentaire, vous apprenez à devenir vous-même et à acquérir votre propre personnalité.

Ou on se met en couple et le nouvel élu (enfin un mec potable après tant de désillusions !) est parfait sauf que le tofu, il ne peut pas, même qu’il tient à son steak, allez…, au moins une fois par semaine. Bon prince, il accepte deux jours sans viande, il devient flexitarien même, mais là, faut pas pousser bobonne ! Il vous rappelle que pour lui, Brigitte Bardot c’est juste qu’une vieille raciste devenue moche et mal peignée, et qu’il n’aimerait pas que vous tourniez à l’aigre de la même façon. Il rappelle aussi que rien n’est plus convivial que de partager un repas….le même repas. Petit détail que ne manqueront pas vous rappeler maman et belle-maman d’ailleurs. Alors de deux choses l’une, soit on accepte, soit le mec se barre à force de nous entendre parler « de cadavres » et de nous voir avaler nos faux mages trafiqués et nos graines germées. Et là, c’est Trafalgar, car on risque vraiment de finir sa vie seule avec les 6 chats et 7 chiens que l’on aura adoptés pour chauffer le lit à la place rendue vacante.

La situation se complique encore lorsque l’enfant paraît : non seulement il devient en principe le centre de préoccupation et de votre vie, et on commence à s’en fiche un peu de penser qu’avaler un poisson c’est tuer l’océan, et deuxio on hésite quand même, en tant que maman, à proposer un régime de vie évictif et plutôt controversé par la science à un petit mammifère qui vient tout juste de naître et qui réclame votre lait à grand cri. Si vous êtes déjà endoctrinée jusqu’à la racine, il est possible que le père s’en mêle, voire le restant de la famille, voire pire : les services sociaux et même les flics si le petit bout doit être mis sous perf à l’hôpital…dans l’étude en question, une certaine pression familiale exercée par un non-végé est le motif de retour à la viande pour la moitié des végés.

Le poids des traditions, inscrit jusqu’au cœur de nos cellules même

Homo Sapiens n’a pas évolué comme un herbivore et donc, même avec une analyse alimentaire minutieuse et les compléments nécessaires pour tenter de rester en bonne santé, ce n’est pas gagné en 2018 dans un monde capitaliste.

Pour rappel, notre système digestif n’a pas suivi l’évolution de notre cerveau : il est resté le même que celui des grands singes. Et pour mémoire, les grands primates sont omnivores car ils mangent des insectes. Ils sont en outre coprophages et ne nettoient pas leurs légumes. C’est ainsi qu’ils se fournissent en B12. Le chimpanzé par exemple plante un bâton dans une termitière pour que les habitants montent dessus, avant de l’enfourner goulument dans la bouche...

Un supplément d’éducation

Ou l’envie soudaine de s’instruire et de sortir des schémas militantistes… on comprend alors que l’humain est omnivore et on apprend que la nature n’est pas le monde de Disney. On observe les animaux sauvages et leur mode de vie, et non plus seulement les sempiternelles vidéos sur les élevages et abattages porcins en Chine…on observe les choses sur le terrain, la Nature, on la découvre, on la vit et on ne l’adapte plus à des concepts bobo-végé. Ahlala, le nombre de copines très actives dans la protection animale à qui je dois expliquer que le gros oiseau au bord de l’étang – oui le vilain qui tue les pauvres petits poissons avec son long méchant bec – c’est un héron…On comprend que le monde « sans cadavres » dont parlent certains militants extasiés est une illusion juste pas possible vu que tout être vivant est mortel et donc appelé un jour ou l’autre à devenir un cadavre. On se bouge de son F4 de Chantilly et on visite des fermes écoresponsables sans traiter le paysan de tous les noms (violeur de vache, assassin, etc…). D’ailleurs, ces paisibles ruminants broutent tranquillement dans le pré et ne semblent pas outrageusement maltraités. Soit, on va les abattre, et donc raccourcir leur durée de vie, mais on n’a jamais vu une vache décompter les années sur le calendrier de son smartphone et voir ses amis sur Facebook lui souhaiter un joyeux anniversaire. On se met même à regarder des documentaires de la chaîne National Géographic sans chercher à arracher les dents au lion qui se chope une fragile gazelle. On apprend que les bons légumes sont aspergés au glyphosate et que ce n’est peut-être pas le meilleur pour la santé. On comprend que ce qui tue les abeilles ce n’est pas le fait de les élever pour leur prendre leur miel mais la pollution généralisée et les pesticides que l’on vaporise sur les fleurs, source principale de leur alimentation…bref, on devient plus éduqué, moins con et donc moins radical. On cesse de se construire un monde avec ses petits copains agités et on arrête surtout de vouloir l’imposer à tous.

Il faut du pognon...

Pourquoi les végétariens et végétaliens reviennent à la viande ?

Et ce n’est pas pour rien que grand nombre de végétaliens et véganes se situent dans la tranche privilégiée. Parce que si on veut s’alimenter de façon pas trop insipide, variée, de qualité et se procurer les compléments indispensables, il faut quand même avoir un peu de marge financière.

 

L’aspect social

 Parce que vous en avez marre d’être seul. A force de critiquer tous vos (ex) amis sur leur façon de vivre et de bouffer, vous avez fait le vide autour de vous. Vous avez bien 2 ou 3 « amis » véganes qui vous suivent de loin, sur Facebook, mais ça ne remplace pas la vraie chaleur de vos anciens bons chouettes potes datant du lycée. Alors, vous renouez enfin, et vous participez à nouveau au prochain repas raclette, et cette fois vous mangez et n’ouvrez votre bouche que pour avaler tout ce bon fromage chaud et dégoulinant ! Ah oui, mmmh ce fromage ! parlons-en car…

Le goût

-…on y revient aussi, pour une question de goût. Pas forcément à la viande rouge, directement. ..mais au fromage, aux œufs, au poisson issu de la pêche équitable ou d’élevage bio , à la volaille bio élevée en plein air…c’est quand même tellement plus goutu que le tofu et les mix fades et gras qu’on vous propose. Et quand on vous parle encore de sauver la planète, vous estimez faire un effort déjà, et vous parlez du nombre d’avions qui survolent le ciel et de tous ces végés qui se goinfrent de produits à base d’huile de palme et de compléments alimentaires dont la culture des produits de base à l’autre bout du globe squattent des parcelles entières qui pourraient nourrir les enfants des pays en voie de développement. Comme vous êtes redevenu social, désectarisé même, vos amis vous accueillent à bras ouverts, et vous êtes plus heureux que jamais. Comme c’est le cas de 58% d'anciens végés dans l’étude, vous ne voyez pas le régime comme faisant partie de votre identité mais plutôt comme une croix à porter, qui vous stigmatise.

La santé

Vous vous apercevez que vous commencez à accumuler de solides carences, ou votre toubib vous le signale. Vous lisez aussi les appels au secours de divers comme vous sur les réseaux sociaux « au secours, mes cheveux tombent, tout tombe d’ailleurs, je suis ultra carencée, comment faire ? ». De toute façon, en général, il suffit de voir votre aspect, maigrichon, hâve…vous comprenez que soit vous devez avaler impérativement des gélules, soit vous nourrir à nouveau normalement. Vu que les gélules, c’est rébarbatif, fabriqué en laboratoire donc antinaturel et cher, vous réintégrez un peu de protéines d’origine animale dans vos menus. Et vous vous trouvez mieux.

Un effet de mode éphémère

Parce que vous s’était un phénomène de mode, et après une saison ça passe. Vous aviez suivi le régime d’une star du X, autoproclamée papesse du véganisme. Celle-là même qui s’enfile en douce, hors caméra, du caviar et des huitres…ca a eu du bon car vous avez perdu 5 kg….en masse musculaire, mais maintenant c’est bon…

On déteste cuisiner…ou on n’a franchement pas le temps

Vous n’aimez pas cuisiner, ou vous n’avez franchement pas le temps, mais vous êtes soucieux de votre de santé et vu le manque de produits transformés véganes sur le marché, et le prix de tous ces « faux-machins », vous revenez à une alimentation normale. Ou vous devez systématiquement cuisiner en double, une fois pour vous et une fois pour votre homme qui est bêtement omnivore. Revenant tout juste d’une réunion après une heure d’embouteillages, entre les gosses qui demandent de l’attention et votre série TV préférée qui démarre, votre cœur a balancé vers la facilité : vous êtes redevenue ce que vous étiez hier et avant-hier. Et vous éprouvez même un vif soulagement. Le gigot d’agneau c’est quand même plus facile que les 5 heures passée à composer un truc qui ne goûtera finalement que le seitan et les céréales qui le compose, c’est-à-dire pas grand-chose…

Pour des raisons de santé encore : des végétaux difficiles à avaler !

Vous avez compris que dans les céréales, il y a du gluten, et que même si vous n’y êtes pas sensible, c’est pas top pour vos intestins….hors, le blé est partout dans les produits transformés, encore plus dans les produits végés et vous ne pouvez plus vous bourrer de tartines à la margarine trempées dans votre soupe aux carottes pour tromper votre fin. Bref, végétalien, bio et sans gluten, ça commence à faire court dans l’assiette…d’ailleurs, toutes ces graisses trans pour composer les produits végés, ça aussi, ça commence à peser ! Et si en prime, vous êtes affligé un intestin irritable, plus de légumineuses, de crucifères, de crudités, d’aliments trop acides…là on frise l’alimentation par voie parentérale ou l’anorexie pure et simple !

D’ailleurs, il est intéressant de se pencher sur l’état des intestins de ceux qui ont été livrés par leur légitime propriétaire à des dizaines d’années aux légumineuses et céréales complètes…Le résultat est plutôt interpellant….

On vit en collectivité

Et souvent on mange en collectivité. Même si on amène sa bouffe, forcément à un moment donné on parle de resto entre collègues. Dans certains cas, il est difficile d’échapper à la cantine. Vu que par exemple, dans toutes les sauces, ils mettent systématiquement du fond de bœuf ou de volaille…

Le végétalien ou végane n’a pas le monopole du cœur

Vous comprenez que monopoliser le marché de la compassion, c’est tout un business. Vous avez envie de militer pour d’autres causes, par exemple plus proche de votre propre espèce. Vous avez par exemple des enfants, et du coup, vous vous préoccupez de leur bien être futur et donc du devenir de la société humaine avant tout. Et, non, on ne peut pas se consacrer pleinement à plusieurs causes à la fois. Il faut choisir.

Parce que vous virez extrémiste

Pourquoi les végétariens et végétaliens reviennent à la viande ?Vous vous sentez devenir un terroriste de la bouffe, pire qu’un extrémiste islamiste en quête d’un atome de porc. Bref, lire la composition des étiquettes commence à vous gaver gravement ! Vous ne vivez plus que la loupe à la main pour traquer le sigle végane. Au restaurant on vous renverse « accidentellement » la sauce sur les genoux lorsque vous renvoyez votre assiette de légumes après avoir vu le commis utiliser la même cuillère qui a servi pour le gratin dauphinois. On se fout ouvertement de votre tête lorsque vous traînez fièrement avec votre veste et chaussures en cuir synthétiques et qu’on vous demande dans quelle usine, située où et avec quelle main d’œuvre ils ont été fabriqués, et combien de temps, une fois devenus des déchets, ils vont mettre à se biodégrader comparativement à leurs belles chaussures en cuir et leur pull en laine à eux. Piqué au vif vous répondez réprouver formellement de porter la peau de vos « frères et amis les animaux ». Là, les autres sont carrément pliés en deux, et charitablement vous rappellent que tous vos amis vont de toute façon y passer, même si c’est de mort naturelle, et que leur peau disparaîtra sans servir à rien dans les équarrissages ou les incinérateurs. Vous commencez tout doucement à perdre pied. 

C’est carrément Trafalgar quand vous relisez certains de vos posts ou lorsque vous vous entendez parler…ainsi vous nommez les abus sur des non-humains avec une sémantique propre à l’être humain vu qu’elle implique une conscience ! Ça vous fait tout d’un coup tout drôle de parler de viol, d’esclavage ou d’Holocauste lorsque vous parlez d’une génisse. On pourrait en rire, si ce n’est qu’il arrive que votre interlocuteur humain a lui vraiment subi un viol avec les conséquences psychologiques humaines que cela comporte, ses grands –parents ont disparu en fumée dans les cheminées d’Auschwitz et qu’il considère que se lever chaque matin aux petites aurores pour se taper deux heures de route dans les embouteillages aller-retour pour aller bosser pour un salaire de misère, ce n’est pas loin d’être de l’exploitation…

Et si vous n’aviez pas versé totalement dans l’extrême-droite du végétal, les remarques de certains extrémistes « végétarien, c’est rien, Vegane seulement c’est bien » n’arrangent pas les choses. Au contraire, cela vous pousse au crime et à dévorer une grosse entrecôte, de filmer en direct, et d’envoyer ensuite sur leurs réseaux.

Une erreur de casting

Vous doutez du fondement même de l’éthique que vous vous êtes construite à grand renfort de propagande. Vous restez ferme sur la maltraitance animale, la vivisection, les élevages intensifs ou en batterie, la fourrure, … mais vous ne considérez plus que l’animal est votre égal, vous comprenez que vous êtes résolument spéciste, comme tous les animaux qui naturellement privilégient leur espèce et au besoin bouffent les autres, et finalement vous parvenez à le manger même si c’est du cadavre. Forcément, on ne va pas mordre la cuisse d’un bœuf sur ses pattes, même si ça, c’est de l’ultra-frais.

Après avoir récupéré un peu de votre capacité de réflexion et de jugement (justement en ayant avalé une petite poignée de délicieuses crevettes), vous comprenez que pour pouvoir avoir des droits, il faut avant tout pouvoir comprendre ce qu’est un droit ou, à défaut, il faut au moins avoir la possibilité, un jour ou l’autre, d’être capable de comprendre ce qu’est un droit. Comment donc peut-on dire que les animaux ont les mêmes droits que nous ? Vous recommencez à considérer le corps d’un animal comme une ressource dont vous pouvez disposer à votre guise. C’est-à-dire en faisant preuve de discernement. L’éthique dont vous entendez si souvent parler dans certains groupes, et dont vous avez-vous-même abondement parlé autour de vous, vous paraît de plus en plus être des tics compulsifs.

Une dérive suivie d’une prise de conscience soudaine provoquant un retournement de situation

Vous avez réussi à faire crever votre chat – un petit carnivore – en lui imposant un régime exclusivement végétalien, donc aux antipodes de ses besoins naturels et fonctionnels. La mort du pauvre minet, décharné et déplumé, assortie de la menace du vétérinaire de vous dénoncer à un organisme de défense animale vous incite à cesser d’imposer le contre nature aux autres, et comme charité bien ordonnée commence par soi-même…

Chacun son organisme

Chaque organisme est différent, et tolère plus ou moins bien le végétalisme. Considérer par exemple la théorie sur les groupes sanguins qui veut qu’en fonction de son groupe sanguin on tolère plus ou moins bien la viande, voire on en a un réel besoin ! - Selon le docteur D'Adamo, notre groupe sanguin nous prédestine à une alimentation particulière, avec des aliments dits bénéfiques, neutres ou à éviter. Cette théorie du régime selon son groupe sanguin part du postulat que les groupes sanguins sont intimement liés à l'évolution de l'espèce humaine, ...On aura donc toujours des gens qui vivront mal leur végétalisme et une fois revenus à un peu de protéines animales, se sentent soudainement mieux. Cela n’a rien avoir avec une propagande des industries agro-alimentaire, lesquelles – ce que les décérébrés extrémistes n’ont pas compris – ont plutôt tout avantage à s’engouffrer dans le créneau végane, pour pouvoir leur vendre cher et vilain des produits transformés à base des céréales OGM et pulvérisés généreusement au glyphosate dont ils ont déjà tendance à nous gaver, parce qu’elles ne leur coûtent rien ! Pour citer un seul exemple, voyons la composition idyllique des fausses saucisses knacki Herta. Ne parlons pas du goût…

La santé encore une fois

Votre changement alimentaire était dû dés le départ à des raisons de santé. Et justement, au niveau hygiène de vie, vous avez obtenu ce que vous souhaitez : manger plus de légumes et diminuer fortement la viande. Vous comprenez que ça suffit amplement à votre bonheur…

 

A.Zeletzki v.Potschenitz

(Janvier 2019)

 

Pour aller plus loin…

 

https://www.contrepoints.org/2015/03/16/200733-4-derives-des-environnementalistes-contemporains Il est actuellement de bon ton de penser d’une certaine façon ? Est-ce la bonne ?

https://www.unmondevegan.com/index.cfm pour se fournir en produits…de substitution, en compléments, etc….

https://www.authentico.fr/alimentation-et-groupe-sanguin/ Chaque organisme est particulier, notre ADN est unique…mais déjà, notre espèce dispose de plusieurs groupes sanguins. Pour quelle raison et quelles sont les incidences au niveau de l’alimentaire ? Tenez, en fait il y a aussi ceci : https://mythevegetarien.wordpress.com/2016/11/16/4-raisons-qui-expliquent-que-certains-vegans-se-portent-comme-un-charme-la-ou-dautres-se-ramassent-lamentablement/

https://mythevegetarien.wordpress.com/2017/12/11/a-tout-le-monde-desole-davoir-ete-un-tel-vegan/ Un témoignage d’un militant végane.

http://worldnewstrust.com/what-if-plants-have-feelings-too-mickey-z les végétaux aussi sont des aliments vivants. Leur incapacité à hurler leur douleur leur prive-t-elle des mêmes droits que celui qu’on veut octroyer aux animaux ? Mais une moule ne crie pas non plus, d’ailleurs…jusqu’à quelles limites doit-on porter une éthique ?

https://www.federationvegane.fr/documentation/pourquoi-etre-vegane/specisme-antispecisme-et-carnisme/ Site de la fédération végane.

 




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