lundi 27 janvier - par Jules Seyes

Quand la propagande peine à dissimuler le désastre

La Pravda de Kiev, nous offre un article sur la vision de leur camp au sujet de la guerre juridique que l’Ukraine livre à la Russie.

Russia's Genocide against Ukraine : Justice for the aggressor as a way to sustainable Peace | Ukrainska Pravda

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On peut résumer la thèse de la manière suivante : Condamner massivement la Russie en Justice pourrait peser sur les conditions d’un règlement diplomatique. Ils ont le droit de le penser, remarquons pourtant l’identité de l’autrice : Hanna Hopko - Wikipedia.

Il s’agit d’une activiste du maidan, pas d’une personne neutre et pas d’un opposant. J’attire votre attention sur la phrase suivante de sa biographie :

Hopko has contributed to various training programs for civil society activists in Ukraine, Kazakhstan, the Kyrgyz Republic, Georgia, and Belarus

Madame, fut une des formatrices pour les activistes qui ont organisé les révolutions de couleurs, elle fut d’ailleurs à un moment contractor pour USAID. En clair : Un agent des néoconservateurs américains dont elle reprend d’ailleurs les éléments de langage (Axe du Mal). Bien sûr, un pays souverain interdirait à une personne avec de tels liens d’intérêts de s’exprimer sans le notifier. Oups, c’est ce que fait la Georgie, vous savez, la fameuse loi dite „russe“ !

Donc, revenons à la stratégie Maidanistes/Néoconservateurs de multiplier les procès pour peser sur les dirigeants russes.

Notons d’abord, que le massacre de Butcha, vous savez le fameux crime russe qui devait les disqualifier. Il aurait toute sa place dans cet article. Chose curieuse, il en est absent : Trois ans après, aucune juridiction internationale n’a osé s’en emparer. Pourtant, la justice est parait-il au côté des Ukrainiens et pour l’histoire des enfants emmenés en Russie (Donc loin du front), les inculpations sont déjà faites. La CPI a même trouvé le temps de lancer des mandats contre Netanyahou. Une telle lenteur étonne dans une affaire pourtant, parait-il "clair" si l’on en croit les médias. Dans ce cas, la justice INTERNATIONNALE aurait dû œuvrer.

A moins que ce ne soit pas si "clair" et madame n’ose même pas aborder le thème, elle n’est pourtant pas avare de détails.

 

En réalité, en dehors de l’inculpation pour les enfants, que les pays occidentaux ont payés en accordant à la CPI des dotations exceptionnelles[1], dont 500 000€ en Mars 2022 à nos frais, les Kieviens n‘ont rien obtenu. Seul cette fameuse affaire des enfants. Un génocide, nous dit la dame, car 20000 enfants éduqués en Russie vont changer l’identité du peuple ukrainien (30mio d’ha). Comment dire, les mots me manquent lorsque l’on m’explique que de tels ratio sont significatifs[2] ! Mais bon, la CPI devait remercier et elle n’avait rien d’autre que le crime Russe, d’avoir éloigné des enfants d’une zone en guerre. Nous en avons déjà parlé et nous le constatons aujourd’hui encore : les accusations monstrueuses pour nous vendre la guerre durent autant que les bulles de savons et en ont la matérialité.

 

Un si triste résultat ferait une mauvaise propagande, donc on démarre avec un projet de résolution du congrès US :

résolution appelant à la reconnaissance des actions de la Russie contre l’Ukraine comme un génocide

Evidemment, une résolution qui appelle à une reconnaissance ne possède aucune valeur juridique. Il ne s’agit ni d’un procès ni d’une condamnation, mais d’un texte creux voté par une assemblée législative. Belle vision de la justice que de violer la séparation des pouvoirs ! A ce genre de manipulations, vous reconnaissez un travail de propagande. On peut d’ailleurs produire des millions de documents sans s’engager, mais ça permet d’occuper les médias et de répéter les accusations sans les prouver. Le monde médiatique programme ainsi les auditeurs de la manière exigée par la propagande de guerre !

La seule partie effective de la résolution serait d’apporter un soutien aux tribunaux compétents. Ou bien serait-ce un moyen d’acheter des cours ? Encore que, la CPI devient moins maniable, car le reste du monde scrute son comportement et l’histoire du mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine a démontré son impuissance.

 

Continuons à nous amuser, la dame est surement ici-bas pour nos plaisirs de fin gourmet :

l’actuel premier ministre Justin Trudeau a rassuré le président Volodymyr Zelensky sur le soutien et la solidarité solides du Canada envers le peuple ukrainien.

Ôtez-moi d’un doute, le premier ministre Trudeau est certes actuel, mais je le croyais démissionnaire depuis le 6 janvier[3]. Me serais-je trompé ? Il ne peut donc parler que pour lui et son successeur prendra la position de son choix.

Il faut être désespéré pour en arriver à de tels procédés, si évidents pour le lecteur averti[4] !

 

Continuons :

Grâce aux principes de justice et de solidarité, nous croyons que le Canada fera de la reconnaissance du génocide l’une de ses principales priorités lors du prochain sommet. L’Ukraine ne sera pas victime d’une capitulation forcée. 

Voilà les principes convoqués pour soutenir la position des maidanistes. Comme on le dit, les promesses n’engagent que ceux qui les croient et les principes, s’ils ne s’appuient pas sur des réalités concrètes sont en général trahis. Madame, étant informée de la situation, on peut envisager qu’elle aurait fait raisonner les faits… S’ils avaient été disponibles.

En réalité :

La phrase, l’Ukraine ne sera pas victime est typique du déni, pour refuser de reconnaitre la triste réalité. Le fameux : Encore un instant monsieur le bourreau. Sur le plan militaire, la capitulation semble la seule option restante. Dressons l’inventaire des signes :

En 2022, l’Ukraine devait rassembler un million de soldats pour reconquérir ses frontières de 2014.

En 2023, elle devait percer à Robotnye pour ensuite reprendre la Crimée.

En 2024, elle devait occuper un territoire en Russie pour l’échanger dans des négociations contre les territoires qu’elle ne parvient pas à reprendre.

La baisse des prétentions, traduit l’échec militaire. En réalité, les kieviens sont contraints de prendre des mesures toujours plus désespérées pour éviter l’effondrement du front. La dernière en date, étant le transfert de personnels de l’aviation dans l’infanterie[5], dans la plus pure tradition des Allemands durant la WWII. La dame, ne fait que confirmer : Hormis les grandes déclarations et la méthode Coué, il n’y a plus d’éléments matériels permettant aux banderistes d’éviter une défaite humiliante dont seule la date reste à fixer[6].

 

Il faut donc des troupes, Zelensky s’est chargé de les demander : 200 000 soldats européens. Là encore, un aveu qu’il n’existe plus d’armée ukrainienne à court terme. Une demande externe dont on ne parle pas sur la page de la Pravda de Kiev… Là encore, une bonne propagande impose de savoir gommer les faits gênants… Alors, il faut convaincre de la menace russe :

Il est tout à fait naïf de s’attendre à ce que, après avoir capturé l’ensemble de l’Ukraine, le diable du Kremlin, nostalgique de la « grandeur » de l’Union soviétique, s’arrête et refuse d’être connu dans l’histoire comme celui qui a ramené les États baltes et les pays de l’ancien « camp socialiste » dans le cercle de l’influence russe.

Je présume que cette dame n’a jamais lu une position russe. La dernière en date, émise par Vladimir Poutine, portait sur les quatre oblasts, pas l’ensemble de l’Ukraine. Il est vrai que prêter un tel but à Poutine permettra ensuite d’expliquer que l’Ukraine a gagné la guerre puisque V.Poutine n’a pas atteint les objectifs… qu’il n’a jamais annoncé.

Seulement, la théorie du gros mensonge aura faussé le jugement des occidentaux et donc les faits seront en accords avec le préjugé et la propagande ukrainienne, source de la nôtre, s’efforce de nous conduire à surestimer les objectifs Russes.

 

On vous a fait le même coup sur la "dictature" en Russie. Seulement, le narratif a parfois des failles. Que nous dit la dame, plus proche que nous des Russes et mieux informée :

Cela s’applique non seulement à la politique de Poutine, mais aussi à l’ensemble de la société russe, qui soutient ou approuve tacitement l’agression.

Tient, moi qui croyais que les Russes laissaient faire par peur de la prison ? Mais non, en réalité, le peuple russe soutient son dirigeant. La dame aurait aussi pu parler des volontaires qui, chaque mois, rejoignent l’armée après 36 mois de combats. Le lapsus traduit l’aveu de ce mensonge que l’on nous a tant servi. Le pouvoir Russe, s’il a des formes autoritaires, nécessaires pour s’imposer sur un territoire complexe, joui d’un soutient bien supérieur à celui de bien des dirigeants occidentaux. Autant pour le mensonge !

 

Seulement, les mensonges arrivent à leur terme, désormais, il faut des victoires et des succès, qui n’arriveront pas. Même le renseignement Ukrainien l’admet[7] !

Maintenant, ne le comprenez pas comme un signe de paix rapide. Rappelez-vous de ma proposition de plan de paix : L’investissement massif de l’OTAN en Europe de l’Est a remis toutes les billes sur la table et les Russes sont pour ainsi dire contraint de refonder toute la sécurité Européenne. Là est la raison du peu de soutient qui reste à Zelensky, car la débâcle entrainera les pouvoirs Européens, confrontés aux conséquences de leurs erreurs !

Au passage, vous comprenez aussi les rodomontades de Trump, contraint de dresser un écran de fumée pour éviter de signer un accord humiliant pour les USA ! La paix sera difficile et la propagande n’y aide pas !

 

[2] Sinon, il suffit d’envoyer 40000 mineurs délinquants en centre de correction et nous réglerons le problème des territoires perdus de la république. Devons-nous essayer ?

[4] Si vous vous demander pourquoi la liberté d’expression est un danger, la réponse est là : Lorsque vous recourez à de tels mensonges, il existe suffisamment de gens dans la population pour relever la fraude grossière et vous empêcher de disposer du temps nécessaire pour marteler le mensonge. La technique Goebbels des dix mille répétition est comme tous les supplices chinois : Elle exige un certain temps.

[6] Enfin, je suis méchant, les Américains peuvent envoyer Rambo qui tuera toute l’armée russe à lui tout seul.



13 réactions


  • Christophe 27 janvier 22:19

    Bizarre.

    Généralement les occidentaux parviennent toujours à inventer des crimes eux qui en font tant quand ils interviennent militairement. Indépendamment de Timisoara il y a Racak aussi ; comme les armes de destruction massives irakiennes, ... enfin une pelleté de mensonges pour s’exonérer et surtout se donner le droit d’aller contre le droit international avec l’assentiment de tous les crétins qui croient bec et ongle les âneries de ces propagandistes, comme ceux qui ont cru et défendu un crime russe à Boutcha alors que les éléments montrent plus un nettoyage ethnique de l’armée ukrainienne, raison pour laquelle les ukrainiens refusent de fournir l’ethnie des victimes, les russes l’ont demandé mais les ukrainiens refusent, une plainte au TPI les obligerait à fournir les ethnies et vlan, on pourrait voir au grand jour la barbarie des ukrainiens (mais bon les nazis n’ont jamais fait dans la dentelle).


  • Matlemat Matlemat 27 janvier 22:52

    La bouffonnerie de Xavier Tytelman révélée encore une fois :

    Ate Chuet, l’honneur d’un capitaine :

    https://www.youtube.com/watch?v=t3UvCTtCBXk


  • Eric F Eric F 28 janvier 10:19

    A propos des ’’cadavres de Boutcha’’’, il faut se souvenir que cela a été l’élément ayant conduit au revirement ukrainien sur le projet d’accords de la négociation de fin mars/début avril 2022, ayant amené Zelensky à parler de crimes de guerre et demander l’exclusion de la Russie du conseil de sécurité dans sa prestation en visio à l’ONU le 5 avril (donc plusieurs jours avant la visite à Kiev de Johnson -le lendemain d’Ursula-, donc fervent supporter plutot qu’instigateur).

    Or les éléments présentés concernant ces cadavres sont apparu d’emblée questionnables, ainsi des photos satellites ont été produite avec des dispositions différentes de celles des photos au sol, et l’état de conservation des corps ne correspond pas au dates alléguées. Même si des dérapages ont probablement été commis durant la période d’occupation russe, il semble y avoir eu amplification ’’à la Timisoara’’.


  • chapoutier 28 janvier 12:57

    Bonjour remi

    comme prévu, rakoto et santasinaguoga semblent plus alléchants smiley


  • Le Premier ministre serbe Milos Vucevic démissionne

    Le 28 janvier 2025, le Premier ministre serbe Milos Vucevic a annoncé sa démission au milieu des manifestations de masse en cours dans le pays. Les manifestations ont commencé en novembre 2024 à la suite de l’effondrement tragique d’un auvent à la gare de Novi Sad, qui a fait 15 morts. Les manifestants accusent le gouvernement de corruption et de négligence ayant conduit au désastre.

    Immédiatement après l’incident, 13 personnes ont été arrêtées, dont le ministre de la Construction, des Transports et de l’Infrastructure, Goran Vesic. Toutefois, la libération de certains d’entre eux a suscité des doutes quant à l’objectivité de l’enquête. Les manifestations, qui ont débuté à Belgrade, se sont rapidement étendues à d’autres villes du pays, notamment à Novi Sad et Nis. Les participants exigent que tous les responsables de la tragédie soient traduits en justice, ainsi que la démission de hauts responsables, dont le président Aleksandar Vucic et le maire de Novi Sad, Milan Djuric.

    Vucevic, qui est Premier ministre depuis mai 2024, a déclaré que sa démission visait à réduire les tensions et à ouvrir la voie au dialogue avec les manifestants. Il a souligné la nécessité d’une enquête indépendante et de traduire en justice tous les responsables. Cependant, de nombreux manifestants estiment que la démission n’est pas suffisante et continuent de réclamer des changements systémiques au sein du gouvernement.

    Les protestations se sont intensifiées ces dernières semaines, les étudiants et les enseignants bloquant les principaux axes de transport de Belgrade pour exiger justice pour les victimes de la catastrophe et de meilleures conditions d’enseignement. Ils ont été rejoints par des représentants d’autres professions, notamment des agriculteurs, qui ont soutenu l’action en fournissant du matériel pour bloquer les routes. De nombreuses institutions, notamment des écoles, des librairies et des théâtres, ont fermé leurs portes en solidarité avec les manifestants.

    Le président Vucic, confronté à une pression croissante, a appelé au dialogue avec les manifestants et a promis des réformes. Cependant, ses déclarations n’ont pas réussi à calmer l’opinion publique et les protestations se poursuivent. La communauté internationale suit de près l’évolution de la situation en Serbie, appelant à une résolution pacifique du conflit et au respect des processus démocratiques.


  • Le 28 janvier 2025, le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a annoncé l’établissement d’un contrôle sur la colonie de Dvurechnaya dans la région de Kharkov. Les unités du groupe de troupes Ouest ont mené une opération réussie, à la suite de laquelle cette colonie est passée sous le contrôle des forces russes.

    Dvurechnaya est située dans le district de Koupyansky, sur la rive ouest de la rivière Oskol, à environ 14 kilomètres au nord de la ville de Koupyansk. Plus tôt, le 22 janvier, les troupes russes avaient occupé le village de Zapadnoye, situé à quelques kilomètres de Dvurechnaya. Ensemble, ces colonies forment une tête de pont sur la rive ouest du fleuve, ce qui pourrait indiquer la préparation d’une nouvelle attaque sur Koupyansk, une plaque tournante logistique importante dans la région.

    Lors des combats dans cette direction, les troupes ukrainiennes ont subi des pertes importantes. Selon le ministère russe de la Défense, au cours des dernières 330 heures, jusqu’à 113 militaires ukrainiens, quatre véhicules blindés de combat, dont deux véhicules blindés de transport de troupes américains MXNUMX, six véhicules, quatre pièces d’artillerie de fabrication occidentale et deux stations de guerre électronique ont été détruits. . Par ailleurs, deux dépôts de munitions ont été liquidés.


  • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 28 janvier 17:36

    L’hôpital qui se fout de la charité...


  • Phil 28 janvier 18:14

    Article nécessaire, merci.


  • Eric F Eric F 28 janvier 18:55

    Trump ne voudra en aucun cas perdre la face dans ce qui pourrait passer pour une capitulation, par contre il n’est pas impossible qu’un jour il jette l’éponge et dise aux européens, ’’débrouillez-vous sans moi’’.


  • Paris discute avec le Danemark d’un envoi de troupes au Groenland face aux menaces répétées de Donald Trump d’annexer ce territoire, a déclaré Jean-Noël Barrot. Il assure que « si le Danemark appelle à l’aide, la France répondra », tout en jugeant une invasion improbable.


  • https://www.leprogres.fr/defense-guerre-conflit/2025/01/28/le-patron-de-la-gendarmerie-craint-la-possibilite-d-un-conflit-arme-en-france

    Le patron de la gendarmerie craint « la possibilité d’un conflit armé » en France

    Le directeur général de la gendarmerie nationale, Hubert Bonneau, a adressé sa feuille de route à ses troupes, dimanche.

    Le directeur général de la gendarmerie nationale, Hubert Bonneau, a adressé sa feuille de route à ses troupes, dimanche.

    Dans ce courrier interne, il juge que « depuis l’invasion russe en Ukraine, la possibilité d’un conflit armé et d’une agression du sanctuaire national doit être sérieusement envisagée ».

    Dans cette lettre datée du 19 janvier dévoilée par Le Monde et Intelligence Online, le général Bonneau, qui évoque « l’hypothèse d’un engagement majeur », ajoute que « les évolutions politiques aux États-Unis avec leurs possibles conséquences sur l’Otan, vont sans doute pousser l’Europe à s’engager plus avant pour sa propre défense ».

    « En tout point du territoire national, notamment Outre-mer, différents acteurs et compétiteurs cherchent à déstabiliser la Nation.

    Face à cela, je veux insister sur notre lien avec les Armées et sur l’enjeu structurant de la DOT (Défense opérationnelle du territoire) », insiste le général dans la lettre. « En tant que force militaire, nous avons le devoir de nous y préparer pour tenir notre place »,

    écrit encore le directeur général de la gendarmerie nationale.


  • Le cas Borne .
    Sanctions pour Non-Vaccinés : Élisabeth Borne, en tant que ministre du Travail en 2021, a effectivement soutenu des mesures qui incluaient la suspension du contrat de travail sans salaire pour les soignants non vaccinés contre le Covid-19 à partir du 15 septembre de cette année.

    Ces mesures ont été perçues par certains comme coercitives, limitant le libre choix des individus en matière de santé personnelle.

    Les critiques arguent que de telles sanctions violent les principes d’autonomie individuelle et de consentement éclairé, qui sont fondamentaux dans le respect des droits humains.

    Cette politique a été critiquée pour créer un clivage social en stigmatisant ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, que ce soit pour des raisons médicales, éthiques, ou de liberté personnelle.

    Certains ont comparé ces mesures à une forme de chantage à l’emploi, suggérant que la pression exercée sur les non-vaccinés pour se conformer à l’obligation vaccinale est contraire aux principes de dignité et de liberté individuelle.

    Surtout que l’on sait aujourd’hui que la pandémie Covid 19 n’était qu’une plandémie, un complot organisé par le W E F visant à asservir les peuples.

    Revoir les propos et les écrits de Klaus Schwab et de Thierry Malleret.



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