Quelque chose de révélateur
Ça fait longtemps que l’on peut observer une inattention généralisée, ce qui aplatit toute distinction, égalise tout mal-être et empêche tout bonheur.
Nous arrivons au bout d’un pouvoir qui agit de manière tellement exagérée qu’il est suivi, par une population qui ne peut pas concevoir ces énormités hors raison importante, voire vitale.
Et comme on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, on ne peut pas faire voir un aveugle.
Les aveuglés sont devenus idiots – je pense que c’est les suites d’un délire non résolu, d’un retour à la normal raté, d’une habitude prise, d’une ornière tracée à côté de l’ornière précédente sur le chemin – , tellement idiots, ou sous informés donc ignorants mais sans volonté d’apprendre, qu’ils ne voient pas qu’un vacciné est sensé ne rien craindre, mais comme ils entendent, ou ont écho, par ailleurs que le vaccin ne sert à rien puisque doivent bien leur parvenir aux oreilles le nombre de gens tombés malades après l’injection, la transmission de variants subséquente, qu’ils portent encore les masques en plein air, si si, les tenues à distance, bref : l’irresponsabilité ouvertement promue au rang de la première vertu populaire dont ils s’habillent sans protester.
Leur connerie savamment entretenue va jusqu’à crier avec le roi contre l’hydroxychloroquine et autre ivermectine, sans parler de l’armoise tellement primitive, dont ils ne veulent pas entendre qu’elle a bien fait ailleurs sur le globe ! Il faut dire que cela fait un moment qu’on les flatte d’appartenir à un monde supérieur, donc c’est acquis, tous ces pays sont inférieurs, s’ils ne mentent pas !
Je me demande si les injections se font après décharge de responsabilité, je veux dire, on parle d’obligation, d’irresponsabilité donc, mais le vacciné n’aura que ses yeux pour pleurer en cas de pépin ; du jamais vu ! Avant, on signait une décharge quand on voulait sortir plus tôt de l’hôpital ou refusait un soin ! Les temps changent...
Notre vie sociale, notre vie tout court, se résume à la peur de la perdre, à un point tel qu’on a toutes les chances de la perdre, en tout cas sa santé. Le défoulement joyeux est interdit et tout le reste est surveillé ; il n’y a que les normopathes pour s’en réjouir.
J’ai entendu la vidéo dans laquelle Philippot relate les paroles, les invectives plutôt de nos « journalistes » déjà repérés en d’autres occasions ! Où il est question de guerre civile.
Je ne crois pas à la guerre civile : les coupures, les ruptures, les scissions se font dans tous les sens ; un Gilet Jaune vacciné est d’abord un Gilet Jaune, et beaucoup d’entre eux refusent l’injection ; il y a et restera des non vaccinés dans toutes les couches de la société parce que la réponse aux alertes données par les scientifiques n’est pas politique, elle est profondément du bon sens, donc elle touche tout le monde ou plutôt n’importe qui. Et puis, je compte sur des affections capables de dépasser la connerie intubée médiatiquement.
En bémol à cette réflexion, mes proches qui se sont faits cobayes, l’ont tous fait en écoutant les conseils de leurs enfants !! leurs enfants qui n’y connaissent rien, n’en savent pas grand-chose, étant à un âge où ils travaillent et ont des amours, des loisirs, des projets qui ne leur laissent pas le temps d’être à l’écoute de toutes les explications, analyses de scientifiques indépendants. Ce n’est pas dans la radio de sa bagnole que l’on peut apprendre et comprendre quelque chose à ce qui se passe.
Ce n’est pas à la télé que l’on peut se rassurer devant la certitude qu’il existe des soins efficaces et comprendre qu’ils sont tus seulement parce que reconnus, la recherche sur le vaccin et le vaccin n’existeraient pas.
Ce n’est pas en restant imbibés de ces sirops trop acides que l’on peut comprendre le sadisme que l’on nourrit ; l’adaptation qui se mute en molle complaisance à toute injonction, rend fou le pouvoir ; la non violence, ce n’est pas l’abandon de sa dignité – souvenez-vous de ces jeunes assis sur un pont en train de se faire gazer et se croyant héroïques en ne bougeant pas alors qu’ils excitaient le sadisme des flics ; comme un homme à terre qui se fait taper dessus, impuissant à bouger – la non violence est une force qui en impose même aux voyous. Elle ne s’improvise pas !
En l’absence de tout contre pouvoir, le pouvoir s’affole ; il ne faut peut-être plus trop compter sur le surmoi des dingues.
Je ne crois pas à la guerre civile parce que l’obligation vaccinale est impossible avant 2023 ; la pression qui est mise par les médias toujours prompts à transformer tout en catastrophe, est un dernier recours puisque la publicité « positive » ne marche plus : il y a de moins en moins de gens qui vont se faire piquer ! Cela nous prouve au moins qu’on a raison de parler, d’écrire, de transmettre, il n’y a rien de mieux que le bouche à oreille pour convaincre. Et cela nous incite à la confiance : le peuple français ne s’est-il pas refusé à la vaccination H1N1 ? N’a-t-il pas voté « non » en 2005, allant contre une propagande à peine croyable ?
Je ne crois pas à la guerre civile, même si je sais que c'est une guerre fratricide et non une guerre de classe, et qu'on a ici les ingrédients, parce que je crois ( espère) à l’évènement antérieur qui fera exploser tout ce bourrage de crâne, ce fatras de contradictions déniées, d’arbitraire, d’incertain inquiétant, toutes ces petites cases dans lesquelles a muté le délire du début.
Les lignes de la bien-pensance ont bougé, cette bien-pensance qui donne à celui qui la détient tout pouvoir d’arrogance et de mépris de l’interlocuteur ; aujourd’hui le méprisé peut être un chercheur mondialement réputé, des savants irréprochables selon les valeurs d’antan. Et l’arrogant, un petit péteux de rien du tout qui tient un micro. Le drame, c’est que tout le monde ne le voit pas.
En cela, les responsables politiques dits d’opposition sont à chier, eux qui ont une influence certaine sur leurs ouailles, restent dans une réserve, surfant sur le déni en faisant mine de s’attaquer au fondamental.
On entend souvent cette voix des piqués, qui ne veulent pas insister, dire que l’important est ailleurs, le climat, ou, le climat, pardon, l’écologie… et pas dans une simple question de liberté personnelle, signe de l’égoïsme et de l’individualisme de nos temps. À leurs yeux nous ne pleurons que parce que nous ne pouvons plus aller boire un coup au bistrot ! Ou quasi.
Il faut le savoir : les vaccinés œuvrent et se sacrifient ( ? sans conscience alors) pour le bien de l’humanité. Et si vous contredîtes, si vous essayez d’argumenter, vous êtes toisés et tenus au silence.
Face à cette attitude, la colère de l’impuissance se mute vite, sous l’effet de la fatigue, en résignation, mais celle-ci abrite le noyau de la détermination à ne pas céder. La résistance n’argumente pas, elle devient ample et active justement quand les arguments se sont révélés impuissants. Certes cette résistance peut devenir violente mais elle aura comme cible toute institution, toute action gouvernementale transgressant les valeurs fondamentales, de l’individu et du vivre ensemble, plutôt que le voisin. Ceci dit la délation n’est pas à exclure, mais je vois mal les bien-pensants prendre les armes ou même dénoncer, pour un bonne partie d’entre eux, un frère.
Nous risquons plus l’opposition collabos/résistants, que la guerre civile, à mon avis. Et cela jusqu’à ce que l’on fasse tomber ce régime.
N’oublions pas qu’ouvrir les volets d’une fenêtre fait entrer la lumière dans la pièce mais ne rend pas la rue obscure. Tant qu’il y aura des êtres éclairés, des gens lumineux, ils seront phares pour l’ombre.
Je cède à la tentation : cherchant une illustration pour cet article, je suis tombée sur cette émission, que j'ai écoutée, et que j'ai envie de partager ; certes ce n'est pas exactement ciblé sur le sujet, mais quand même !!