lundi 22 janvier 2018 - par delepine

« Science ou rumeurs, il faut choisir » fake news ? qui les diffuse ? à propos de la tribune du Monde prônant l’obligation vaccinale

 

"Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire" George Orwell

« Science ou rumeurs, il faut choisir » fake news ? qui les diffuse ? commentaires à propos de la tribune du Monde prônant l’obligation vaccinale (6 juin 2017).

 

 

George Orwell

Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire.

 

Les média presse et télévision ont très largement relayé les manifestations et arguments des partisans de l’obligation vaccinale qui se présentent habituellement comme des scientifiques altruistes soucieux de notre seule santé. Mais au lieu d’énumérer des faits indiscutables concernant la situation sanitaire actuelle de notre pays, cette tribune visait à effrayer la population, en agitant les problèmes sanitaires du tiers monde, et en faisant croire qu’en France, sans obligation, des épidémies graves pourrait réapparaître[1]. Ils nient, comme la ministre, par argument d’autorité[2], que les vaccins, comme tous les médicaments, exposent parfois à des complications graves.

Examinons leurs arguments dans l’ordre qu’ils ont choisi en les confrontant aux faits avérés.

Il n’est pas vrai que « beaucoup de maladies ont été contrôlées, voire éliminées, grâce à la vaccination ». Une seule maladie (la variole) a été réduite puis éliminée par la vaccination encore qu’elle n’y serait pas parvenue seule, sans des mesures d’hygiène classique de confinement et de surveillance des contacts[3]. La peste n’a pas été éradiquée mais contrôlée sans vaccin par l’hygiène, l’éradication des nuisibles et les antibiotiques. Le choléra, la typhoïde et la poliomyélite sont des maladies à transmission exclusivement ou essentiellement oro fécale[4] qui peuvent être éradiquées sans vaccin par interruption de la chaine de transmission grâce à l’utilisation d’eau potable pour la nourriture et les boissons et l’application strictes des règles d’hygiène (lavage des mains et des fruits et légumes, contrôle sanitaire des fruits de mer..). C’est la raison pour laquelle l’obligation vaccinale anti typhoïde a été abandonnée et pour laquelle elle devrait l’être pour le vaccin anti poliomyélite dans notre pays[5] d’autant plus que le vaccin oral trivalent peut causer des paralysies, retrouver sa virulence et causer des contaminations[6]. Citons l’OMS[7] : « On estime qu'une poliomyélite paralytique post vaccinale (PPAV) peut, dans certains cas, se déclarer à la suite d'une déficience immunitaire… bien que cela se produise très rarement, le virus du vaccin subit une modification génétique et commence à circuler dans la population. Ces virus sont appelés « poliovirus circulants dérivés de souches vaccinales (PVDVc)  ». La vaccination anti poliomyélite peut cependant être indiquée pour les personnes qui voyagent dans les pays où circule encore le virus sauvage, parce l’assainissement de l’eau n’est pas généralisé et les règles d’hygiène peu respectées, mais son obligation globale est aujourd‘hui parfaitement injustifiée dans notre pays[8].

Transformer la coqueluche en France en croquemitaine est typique de la propagande mensongère déjà utilisée pour la vaccination contre l’hépatite, la grippe H1N1 ou le papillomavirus, dont les français devraient se souvenir ! Lorsque les auteurs de la tribune prétendent « cessons la vaccination contre la coqueluche comme ce fut le cas dans certains pays industrialisés et la maladie resurgit dans les mois qui suivent, touchant de très jeunes nourrissons, parfois de façon mortelle », ils travestissent les faits. En Suède, durant les 17 ans d’arrêt de la vaccination[9], la coqueluche est effectivement réapparue mais sans aucune augmentation de la mortalité. Dans les pays industrialisés, depuis l’utilisation des antibiotiques[10], la coqueluche reste avant tout une maladie bénigne même sans vaccination. Dans des populations à très forte couverture vaccinale (supérieure à 95%), on assiste depuis une vingtaine d’années à la réémergence de la maladie[11] [12] qui transforme de nombreux adultes vaccinés dans l’enfance en porteur de la bactérie menaçant électivement les plus jeunes, ceux qui ont le plus de risques d’en mourir, alors qu’ils étaient jadis relativement épargnés grâce aux anticorps de la mère[13]. La réapparition de la maladie malgré la vaccination prouve que l’éradication de la coqueluche n’est pas envisageable dans un avenir prévisible par la vaccination.

Faire de la rougeole en France un fléau gravissime en prenant comme exemple la mortalité de la rougeole dans certains pays pauvres constitue une opération publicitaire trompeuse. L’expérience quotidienne des médecins français âgés, (dont la nôtre sur une cinquantaine d’années), les relevés de l’institut de veille sanitaire montrent que la rougeole est une maladie bénigne en France. Précisons que sur les dix cas de morts recensés par la ministre en dix ans, 7 sont survenues chez des enfants gravement immunodéprimés (4 leucémies, 2 sidas, un déficit congénital) qui seraient probablement, sans rougeole, morts d’une autre infection opportuniste ou de leur maladie. Prétendre que « ces vies ont été perdues parce que la couverture vaccinale insuffisante ne leur a pas offert le bénéfice de l’immunité de groupe  » est contraire à la vérité. Cette «  immunité de groupe » constamment brandie par les pro obligation vaccinale qui prétendent qu’il s’agit d’une question de «  morale ou d’éthique collective » n’est qu’un crédo[14], démenti par l’expérience de la vaccination contre la rougeole en Chine et aux USA. En Chine, pays totalitaire, l’intérêt de la société prime sur celui des individus, et l’efficacité du système policier permet d’obtenir une couverture vaccinale de plus de 98%. Aux USA, grâce à une propagande forcenée, le taux de couverture vaccinale dépasse les 95%. Pourtant, dans ces deux pays, le virus sauvage circule toujours, véhiculé par des adultes vaccinés et porteurs sains, ne permettant donc pas de protéger les personnes à risques. Les épidémies américaines récentes montrent que l’espoir d’une éradication par immunité de groupe est fallacieux et que l’éradication de la rougeole n’est pas acquise. Les experts de l’OMS ont proclamé plusieurs fois l’avoir obtenue aux USA (en 2000, puis en 2016), mais ces affirmations ont été démenties par des flambées épisodiques de la maladie confirmant qu’une couverture vaccinale record n’empêche pas le virus de circuler. 

 Quant à l’hépatite B, dans leur tribune les auteurs n‘hésitent pas à promouvoir le vaccin contre l’hépatite B « le défaut de protection des jeunes adultes contre l’hépatite B..  ». Ils ne précisent pas que l’obligation (maintenant votée) impose de l’administrer trop tôt, à un âge où il n’a aucun intérêt[15] d’autant que l’immunité conférée est transitoire et ne sera plus efficace à l’adolescence, début de la période à risque. Et ils oublient de mentionner les complications neurologiques sévères qui lui ont été attribuées qui ont justifié l’arrêt de la campagne de vaccination et les indemnisations accordées par la justice administrative[16] (même si certains prétendent qu’elles n’ont rien à voir avec une quelconque responsabilité du vaccin, comme si l’Etat avait coutume d’indemniser sans raison).

 Les mensonges sur les vaccins contre la méningite 

 La méningite n’existe pas : ce sont DES méningites à germes différents que LE vaccin même contre plusieurs souches ne protège pas .. Ainsi le plaidoyer pour le vaccin contre La méningite est tout aussi trompeur : « de trop nombreux cas de méningites bactériennes, parfois mortelles ou source de séquelles graves (amputations, surdité) sont encore observés dans notre pays » prétendent les auteurs. Alors que le Pr Gilberg membre de l’ex-Comité Technique des Vaccinations précisait récemment[17] : « vacciner 800.000 nourrissons à 5 mois contre le méningocoque C, pour éviter potentiellement deux à quatre décès chez les nourrissons de moins de un an. Si la recommandation se comprend, cela peut être compliqué de justifier l’obligation  ».

 

Prétendre que : « Les nouveaux vaccins bénéficient d’essais cliniques et d’une couverture de pharmacovigilance équivalents voire supérieurs à ceux de tout médicament. » est tout simplement mensonger ! Pour s’en rendre compte il suffit de lire les compte rendus des essais en question qui ne sont pratiquement jamais randomisés contre placebo, étudient presque uniquement le taux des anticorps obtenus et sont réalisés à court terme ne permettant ainsi jamais d’établir une balance avantage/risque fiable[18].

Rappelons par exemple les conclusions de la fondation Cochrane[19] sur les essais des vaccins combinés dont certains sont utilisés dans l’obligation vaccinale : « Nous avons comparé le vaccin combiné anti-DTP-VHB-HIB aux vaccins séparés anti-DTP-VHB et anti-HIB. Les études n'avaient examiné que l'immunogénicité et la réactogénicité. Nous avons inclus 20 études totalisant 5 874 participants dans l'analyse d'immunogénicité et 5 232 dans l'analyse de réactogénicité… Les études n'avaient pas utilisé d'analyse en intention de traiter (ITT) et le risque de biais n'était pas clair dans un grand nombre de ces études. Ces résultats ne sont donc pas probants. Des études concernant les critères de jugement cliniques quand cela est possible, en appliquant la méthodologie correcte et une taille d'échantillon suffisamment grande, devraient être menées ».

 

 Et le miracle du Dengvaxia ?

Rappelons aussi les graves complications de la récente campagne de vaccination contre la dengue aux Philippines où le vaccin, qui devait soi-disant « prévenir 8 hospitalisations liées à la dengue sur 10, et jusqu’à 93 % des cas de dengue sévère, dont une forme rare mais potentiellement mortelle appelée dengue hémorragique  »[20], a été imposé à la population par le président et la ministre de la santé précédents. Ce vaccin s’est en fait révélé susceptible d’exposer à des formes graves de la maladie chez 15 à 20% des vaccinés ! Là-bas (comme en France), la ministre s’était pourtant portée garante de la sécurité de la vaccination. Aux Philippines, la justice est indépendante du pouvoir : l’ancienne ministre doit maintenant s’expliquer devant ses juges et Sanofi est poursuivi par l’état philippin et les victimes pour indemniser les dégâts.

Or même si une complication grave ne survenait qu’une fois sur dix mille vaccins[21], administrer chaque année onze vaccins à plus de 1 million d’enfants[22] (dont plus de 70 valences différentes) aboutirait à faire annuellement plus de 1100 victimes, donc bien plus que la vingtaine de morts des maladies qu’ils prétendent vouloir éviter. Le seul bénéficiaire certain de l’obligation française est l’industrie du vaccin et ses affidés, qu’ils soient professionnels de santé ou politiques. Au-delà des victimes individuelles, sont bafoués dans le même temps les droits du citoyen de disposer de son corps, la loi Kouchner et son consentement éclairé, la convention d’Oviedo de l’association médicale mondiale et le code de Nuremberg. N’y – a-t-il pas en ce moment même des états généraux de l’éthique en médecine ? Sujet oublié ? [23]

 Quid des liens d’intérêt des rédacteurs de cette tribune, que les tv et radios démultipliant des messages parfois mensongers et toujours imprécis ne citèrent pas ? Les auteurs terminent leur tribune et présentant une liste incomplète de leurs liens d’intérêts avec les entreprises du médicament qui vont bénéficier de l’obligation. Le devoir d’information impose de la compléter, non pas pour critiquer les individus concernés ni les liens d’intérêts en général, mais uniquement les conflits d’intérêts insuffisamment précisés. Surtout lorsque ces médecins, qui utilisent leurs titres de professeurs, académiciens ou chercheurs, prétendent incarner « la science contre les rumeurs » pour faire de la propagande sur l’obligation vaccinale et sur certains vaccins sans rigueur, ni tact ni mesure (ce qui est somme toute assez peu scientifique) ni respectueux du serment d’Hippocrate.

Rappelons que « la prévention des conflits d’intérêts répond avant tout à une exigence sociale, politique et philosophique fondamentale de renforcement de la confiance des citoyens dans leurs gouvernants et dans tous ceux qui concourent à l’exercice de l’action publique. »[24] et que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de les faire connaître au public lorsqu’ils s’expriment lors d’une manifestation publique ou dans la presse écrite ou audiovisuelle sur de tels produits. » [25] Ceci doit s’appliquer quotidiennement aux émissions publicitaires sur ce sujet (et les autres tels le linky etc.) et c’est aussi aux lecteurs et aux auditeurs d’exiger le respect de la loi.

Nous complèterons ci-après leurs déclarations, afin de les rendre plus explicites, en sachant que les contrats commerciaux, (les plus rémunérateurs et parfois corrupteurs) ont été scandaleusement dispensés de déclaration par le ministère précédent et non imposés par le nouveau. Nous avons rappelé ailleurs que Mme Buzyn épouse Lévy (patron de l’INSERM et AVIESAN entre autres) a exposé à maintes reprises[26] que les conflits d’intérêt n’étaient pas un problème, puisque, selon elle, gage de compétence[27]. Et bien, qu’on les publie en totalité et au peuple de se faire une opinion !

Le professeur Robert Cohen (invité à répétition de tous les médias) est directeur scientifique d’Activ[28], association écran (appelée interface par ses fondateurs)[29] de soutiens financiers de l’industrie de groupes de médecins et / ou chercheurs. Il est président du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique et référent scientifique de l’Association française de pédiatrie ambulatoire, trois associations soutenues par l’industrie pour promouvoir les vaccins et rattachées à Activ. Il est personnellement très lié à Pfizer, GSK, Novartis, Sanofi Pasteur, MSD, Astra Zeneca, Gilead, Janssen, et ViiV Healthcare (joint-venture de deux fabricants de vaccins). En cinq ans il a bénéficié de 16599 euros de cadeaux, 17900 euros de rémunérations et signé 75 conventions avec l’industrie (montants inconnus mais total dépassant possiblement les trois cent mille euros).

François Vié le Sage est expert pour l’association Infovac, créée et soutenue par les laboratoires pour promouvoir les vaccins[30]. Membre influent de l’Association française de pédiatrie ambulatoire (qui vit principalement de l’industrie) il a personnellement reçu entre 2012 et 2016 plus de 18400€ de cadeaux de la part de laboratoires pharmaceutiques, (dont plus de 13 800 € de la part de Sanofi) et signé 37 contrats avec : GSK, Novartis, et Pfizer, Sanofi-Pasteur MSD, (montants non publiés mais dont le total dépasse vraisemblablement les cent cinquante mille euros)

Le professeur Odile Launay, patronne du CIC (centre d’investigation clinique de Cochin, APHP) voyage habituellement aux frais des fabricants de vaccins (GSK, Sanofi Pasteur, Pfizer, Bristol Myers Squibb, MSD) qui prennent en charge également ses congrès, la rémunère pour les nombreux essais de vaccins dont elle est investigateur principal (montants des rémunérations non publiés) et sponsorisent son institution. Elle oublie habituellement de signaler ces liens lorsqu’elle fait la promotion de vaccins dans les revues françaises de pédiatrie. Les nombreux essais dont elle est responsable ( et vraisemblablement rémunérée) sont visibles sur la base de données américaine clinicaltrials.gov[31].

Philippe Sansonetti, chouchou lui aussi des médias, Professeur à l’Institut Pasteur ( dont les revenus dépendent à près de 50% de l’industrie ) et Directeur de l'unité INSERM 786 de Biologie Cellulaire et Infection de cet institut, a reçu en 1997 un prix de 100 000€ de la fondation Robert Koch (financée essentiellement par GSK, Bayer, Novartis, Pfizer, Roche, Sanofi Aventis), et a aussi été coordonnateur de Stopenterics, réseau d’innovation vaccinale contre les infections entériques pédiatriques dont Sanofi-Pasteur et Novartis étaient partenaires (contrat commercial non déclaré comme le décret de MS Touraine le permet). Il s’est illustré lors de la grippe H1N1 annonçant sur les ondes une probable hécatombe qui ne fut que la grippette attendue par le professeur B Debré. Reste -t-il notre expert si fiable ?

Alain Fischer, Directeur de l'Unité d’Immunologie Pédiatrique à l’Hôpital Necker-Enfants malades à Paris, Inserm, et Professeur à l’Université Paris Descartes, a partagé en 2004 un prix de 100 000 € de la même Fondation Robert Kock et a reçu en 2013 un prix de 100000€ de Sanofi et l’Institut Pasteur pour ses travaux en immunologie[32]. Lors de la concertation nationale sur les vaccinations de 2016 dont il fut le président, il a constamment orienté les débats en faveur de l’obligation et dans ses compte rendus n’a pas hésité à travestir les conclusions des jurys et en particulier celui des professionnels qui s’était prononcé clairement contre l’obligation vaccinale. Le rapport de T Dietrich, haut fonctionnaire qui démissionna à la suite de cette mascarade l’explique clairement : « En fait de débat public, c’est une véritable opération de propagande qui est menée pour inciter les français à se vacciner, en occultant totalement toute réflexion sur la question de la balance bénéfices/risques. Machiavel en sortira sans doute grandi, mais non la démocratie en santé. L’état de santé des français, non plus. »[33]

Brigitte Autran, [34] a reçu, entre 2012 et 2016, 8 avantages de la part de l’industrie pharmaceutique, dont 930 € de MSD France et signé 9 conventions en tant qu’expert ou orateur toujours pour la société MSD France, mais aussi BMS (montants non publiés), mais ses liens d’intérêt ne sont pas transparents pour les auditeurs de ses émissions radios ou lors de vidéos enregistrées en différents congrès. Dommage !

Un petit monde de fait ! Tous les signataires de cette tribune ont en commun de travailler de très près avec les industriels des vaccins, et beaucoup cumulent les rémunérations publiques avec celles de l’industrie. Une indépendance toute relative dont leurs fonctions universitaires ne garantissent pas leur objectivité. Il est intéressant de noter que ce sont les mêmes et encore les mêmes que l’on a entendus à foison sur toutes les tv et radios depuis juillet 2017.

 Comment pourrait-on leur demander de renier l’engagement professionnel de toute leur vie et/ ou de risquer de nuire aux intérêts de leurs sponsors, en admettant que les vaccins doivent se discuter, comme tout médicament, en fonction de leur balance avantages/risques évaluée pour chaque individu en tenant compte de ses caractéristiques médicales et des risques éventuels liés à son mode de vie ?

Et comment peuvent-ils prétendre que leur plaidoyer pro obligation résulte d’une démarche exclusivement scientifique, alors que des pays d’Europe comparables, seules la France et l’Italie ont voté une telle obligation alors que l’Allemagne, l’Angleterre, les pays scandinaves, ou l’Autriche la refuse. La science serait-elle différence de ce côté du Rhin ?

Cette tribune montre que le ministère et les laboratoires fabricants les vaccins mobilisent tous leurs obligés pour défendre l’obligation vaccinale et leurs intérêts. Ce n’est pas en agissant ainsi qu’ils restaureront la confiance d’autant que des nombreuses études scientifiques ont démontré qu’aussi honnêtes et de bonne foi que soient les professionnels, la fréquentation des industriels et publicitaires influent obligatoirement sur nos jugements [35] [36]. Seraient-ils différents des autres humains ?

 

[1] Alors que l’hygiène et notre mode de vie actuel nous protègent, comme l’ont constaté la plupart des pays européens de l’ouest qui ont supprimé les obligations vaccinales.

[2] En utilisant les avis de l’OMS sur les vaccins, établis essentiellement pour les pays du tiers monde qui ne disposent pas de distribution d’eau potable, ni d’habitude d’hygiène élémentaire.

[3] Fenner F. A successful eradication campaign. Global eradication of smallpox. Rev Infect Dis 1982 ;4:916-30.

[4] C’est dire que le virus se transmet des selles d’un malade infecté au futur malade par la bouche par des boissons ou de la nourriture contaminée.

[5] En France, le dernier cas de poliomyélite autochtone remonte à 1989, et le dernier cas, importé depuis la côte d’ivoire, à 1995. Tous deux concernaient des adultes.

[6] En 2000, il semblait que l’éradication du poliovirus de type 2 était acquise, mais sur l’île Hispaniola (Caraïbes), un premier enfant a été atteint d’une poliomyélite due au virus vaccinal de type 2, et celui-ci a été à l’origine d’une flambée. Vingt et un enfants ont été atteints en république dominicaine et en Haïti et deux d’entre eux sont décédés. On a observé alors des épisodes analogues dans 16 autres pays.

[7] OMS la poliomyélite et les vaccins permettant sa prévention – questions et réponses 08-04-2016

[8] Pour la première fois, en 2017, le nombre de cas de polio provoqués par des virus circulants dérivés de souches vaccinales (cVPDV) dépasse le nombre de polio provoquées par des virus sauvages dans le monde : 91 contre 22 (WPV pour polio virus sauvage sauvage et cPVDV pour polio virus circulant dérivé du vaccin) : http://polioeradication.org/polio-today/polio-now/ . Voir,pour tous les détails sur la polio, article de bernard Guennebaud sur son blog : article http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2018/01/20/36065805.html de janvier 2018 ;

 

[9] Secondaire aux complications du vaccin entier et en particulier aux complications neurologiques dont des encéphalites

[10] Auxquels la coqueluche est parfaitement sensible

[11] Libster R, Edwards KM. Re-emergence of pertussis : what are the solutions ? Expert Rev Vaccines 2012 ; 11:1331-46

[12] Martine Sabbea and Corinne Vandermeulenb The resurgence of mumps and pertussis HUMAN VACCINES & IMMUNOTHERAPEUTICS 2016, VOL. 12, NO. 4, 955–959

[13] L’immunité conférée par la vaccination est plus faible et moins durable que celle après maladie, au moment de la grossesse elle est, chez les femmes vaccinées, devenue insuffisante pour protéger le nouveau-né.

[14] Le « taux de couverture vaccinale optimal » qu’on nous rabâche sans cesse n’est pas le résultat de l’expérience acquise sur les populations mais celui de simulations dont le résultat peut fortement varier selon les hypothèses retenues et qui ne peut pas tenir compte d’une transformation du virus qui comme tout être vivant se modifie et s’adapte.

[15] Comme le virus du sida celui de l’hépatite b ne se transmet que par le sang (transfusions et utilisation de seringues contaminées ou les relations sexuelles

[16] Conseil d’état et cour de cassation Cass. civ., 1, 12 novembre 2015, n˚ 14-17.146, FS-D. Panorama de droit des accidents médicaux janvier 2016 publié dans Lexbase Hebdo édition privée n˚642 du 4 février 2016 ; 524.847 € d’indemnisation dans le Cas Michel Gauvin contre état (2006) ; Voir aussi l’analyse détaillée des conséquences du vaccin contre l’hépatite B par le Dr M Girard expert auprès des tribunaux www.rolandsimion.org

[17] Pr Serge Gilberg congrès annuel 2017 du CNGE

[18][18] Les avis HAS disponibles sur le web le démontrent aux curieux qui souhaitent échapper à la désinformation.

[19] ONG indépendante de l’industrie et dont les macroanalyses en médecine font autorité dans le milieu scientifique

[20] D’après les experts Sanofi et la ministre de la santé lors du lancement de la campagne de vaccination

[21] Ce peut être parfois beaucoup plus : dans le cas du dernier vaccin Sanofi pasteur, (contre la dengue) la firme admet un risque sur 2000 , alors que les personnes à risque, (celles qui n’ont jamais été infectées par la dengue) représentent 15 à 20% de la population des philippines.

[22] La classe d’âge concerné, plus les enfants recevant un rappel

[24] Rapport de la Commission de réflexion pour la prévention des conflits d’intérêts dans la vie publique, remis au Président de la République le 26 janvier 2011

[25] Article L. 4113-13 du code de santé publique

[26] Rapport dl’enquête de la Cour descomptes relative à la prévention des conflits d’intérêts en matière d’expertisesanitaire, Par M. Alain MILON,

[27] médiapart « Il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l'industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts », avait-elle déclaré, devant un cabinet de lobbying en 2013

[28] ACTIV « est une association régie par la loi du 1-7-1901 dont le but est de promouvoir les études cliniques et épidémiologiques, la recherche diagnostique et thérapeutique en pathologie pédiatrique.

ACTIV est également un organisme agréé au titre du Crédit Impôt Recherche en application de l’article 244 quater B II du CGI ». « ACTIV dispose de l'expérience, des moyens structurels, humains et méthodologiques pour réaliser des études cliniques, de la conception du protocole à la publication nationale et internationale.

Ces études sont à l'initiative d'ACTIV, de pédiatres de terrain, de l'université, d'agences officielles, de l'industrie pharmaceutique... ».

Elles sont réalisées globalement ou partiellement par ACTIV. Soutenue financièrement par l’industrie, Activ a reçu en 2016 20000 euros de GSK et 48000 de Pfizer mais aussi des sommes de montant non précisé de Novartis MSD Sanofi et Astra Zeneca.
 « ACTIV fait partie du Groupe de Recherche Clinique (GRC) GEMINI (Groupe d’Etude des Maladie Infectieuses Néonatales et Infantiles), dont l'objectif est la surveillance en temps réel des maladies infectieuses et des maladies à prévention vaccinale de l’enfant.
Ce GRC a été créé en 2015 dans les suites de l'activité de recherche d'ACTIV, de l’expertise en infectiologie des pédiatres du CHI Créteil et de la mise en place du Centre de Recherche Clinique du CHIC, dont ACTIV est un partenaire privilégié. » cf site ACTIV sur le net.

TOUT EST LIE mélangé entre ces partenariats public privé, associations, groupe de recherche clinique etc..

[29] Son but initial était d’être un interface entre les laboratoires et des investigateurs pédiatres formés à la pratique des essais cliniques

[30] Crée sur le modèle infovac suisse soutenue financièrement par l’industrie (dont Pfizer, Novartis, Sanofi et GSK). Ses comptes sont gérées par l’association frère activ « Dis-moi qui te paye je saurais pour qui tu travailles »

[31] Base de données qui recense les essais publics et privés qui sont menés dans le monde

[32] Pour la petite histoire le Pr Sansonetti cité plus haut était membre du rpix décerné par sanofi pasteur … Un petit monde de l’entresoi. http://data.over-blog-kiwi.com/1/47/73/60/20160820/ob_bbc68b_alain-fischer-conflits-d-interets.pdf

[34] professeur d'immunologie à l'université Pierre et Marie Curie, responsable du département d'immunologie à la Pitié Salpêtrière

[35] Just how tainted has medicine become ? Editorial du LANCET 2002, Volume 359, Number 9313T3 

[36] C de Jong et coll pharmaceutical sponsored meals and physician prescribing patterns for medicare beneficiaries JAMA Intern Med. doi:10.1001/jamainternmed 2016 2765 Published on line June 20, 2016.

 



68 réactions


  • foufouille foufouille 22 janvier 2018 09:06

    « le vaccin anti poliomyélite dans notre pays[5] d’autant plus que le vaccin oral trivalent peut causer des paralysies »

    la souche 2 n’existe plus donc il est bivalent, il faudrait mettre à jour le disque rayé antivax.


    • njama njama 22 janvier 2018 10:16

      @foufouille
      la souche 2 n’existe plus donc il est bivalent, il faudrait mettre à jour le disque rayé antivax.

      Vous parlez du vaccin oral or ce n’est pas celui qui sera injecté aux bébés français.

      « L’une, la souche 2, est officiellement éradiquée depuis 1999. Les analyses régulières dans les eaux usées partout sur la planète ne l’ont plus jamais retrouvée. Une autre, la souche 3, n’a plus été observée depuis 2012. On devrait pouvoir la déclarer éradiquée sous peu. Seule la souche 1 subsiste encore à l’état sauvage dans deux pays : le Pakistan et l’Afghanistan. C’est elle la dernière cible des campagnes de vaccination massive. »
      Source Le Monde.fr 22.05.22017

      et donc le vaccin polio est devenu inutile


    • njama njama 22 janvier 2018 10:31

      @foufouille
      Il faudrait donc demander à Sanofi-Pasteur d’abandonner son IMOVAX POLIO trivalent les souches 2 et 3 ayant disparu, la seule souche 1 subsistant très marginalement ...

      Disponible en collectivités (hôpitaux, centres de vaccination). Retour à disponibilité en secteur de ville en janvier 2018.
      1. Composition antigénique
      Une dose (0,5 ml) contient :
      - Virus poliomyélitique1 inactivé de type 1 (souche Mahoney) : 40 UD 2,3
      - Virus poliomyélitique1 inactivé de type 2 (souche MEF-1) : 8 UD 2,3
      - Virus poliomyélitique1 inactivé de type 3 (souche Saukett) : 32 UD 2,3

      https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/13-imovax-polio

      Continuer à vacciner contre la polio c’est faire prendre des risques inutiles aux personnes compte-tenu d’un pourcentage d’accidents post-vaccinaux paralytiques liés à ce vaccin, la balance bénéfices-risques penche désormais très nettement en faveur de l’abandon de ce vaccin.
      D’autant plus que la poliomyélite prise à son début se soigne très bien avec du chlorure de magnésium je vous le rappelle.

      Traitement cytophylactique des maladies infectieuses par le chlorure de magnésium, la poliomyélite », Docteur Neveu, Librairie Le François, 1959.

      Lien de téléchargement :
      http://www.aryanalibris.com/index.php?post/Neveu-A-Traitement-cytophylactique-par-le-chlorure-de-Magnesium-La-Polyomyelite


    • foufouille foufouille 22 janvier 2018 10:36

      @njama

      ce n’est pas ce que je lis sur le site de l’OMS. quelques non vaccinés sont suffisant pour créer un nouveau virus. tu veut construire un mur autour des 3 pays qui reste ? avec une DCA ?


    • foufouille foufouille 22 janvier 2018 10:43

      @njama

      c’est juste le vaccin oral qui pose problème.

      http://fr.granma.cu/cuba/2015-03-09/campagne-de-vaccination-anti-polio

      cuba fait partie de sanofi ?


    • njama njama 22 janvier 2018 10:52

      @foufouille

      Et vous en pensez quoi au juste de la note de Nicole Delepine ?

      [5] En France, le dernier cas de poliomyélite autochtone remonte à 1989, et le dernier cas, importé depuis la côte d’ivoire, à 1995. Tous deux concernaient des adultes.

      Vous paraît-il raisonnable de continuer à s’obstiner à vacciner contre la polio 800.000 bébés / an rien que pour la France, plus de 5 millions / an en UE, contre une pathologie - souche autochtone - disparue depuis presque 30 ans  ? 

      Derrière cette inutilité vaccinale avérée par les données épidémiologiques « ground zero », n’entretient-on pas plutôt le mythe du fléau, et une peur irraisonnée qui sert avant tout les intérêts des vaccinalâtres ?

      Ne faudrait-il pas abandonner clairement ce vaccin, de même que l’on a arrêté en toute logique celui contre la diphtérie, celui contre la variole ?

      A qui profite exactement cette médecine dite préventive ?


    • njama njama 22 janvier 2018 11:10

      correction
      de même que l’on a arrêté en toute logique celui contre la tuberculose BCG, celui contre la variole ?


    • njama njama 22 janvier 2018 11:17

      @foufouille

      @njama ... c’est juste le vaccin oral qui pose problème.

      Vous reconnaissez enfin que des vaccins posent problèmes ! un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité smiley

      mais il n’y a pas que celui-là qui pose problème, une somme de mêmes problèmes sont liés à la vaccination.


    • foufouille foufouille 22 janvier 2018 11:50

      @njama

      https://pdfs.semanticscholar.org/278f/b81c728e5137dc3d454a0fd59973fa061a5a.p df

      les vaccins cubains utilisent aussi de l’aluminium. c’est un pays communiste, les vaccins sont gratuits ..........


    • foufouille foufouille 22 janvier 2018 11:55

      @njama

      http://mediccreview.medicc.org/articles/mr_56.pdf

      vaccins cubains obligatoire, fabriqués à cuba.


    • foufouille foufouille 22 janvier 2018 14:31

      @Djam

      réaction typique d’un antivax facho qui voit le monde en noir et blanc.


    • Lancelot 22 janvier 2018 18:07

      @foufouille
      Tu crois que la mafia qu’est l’oms et une référence !


    • Lancelot 22 janvier 2018 18:09

      @foufouille
      Quand ont traite de facho ceux qui ne pensent pas comme la doxa ont et mal placer pour critiquer les autres !


    • Lancelot 22 janvier 2018 18:12

      @foufouille
      Pauvre imbécile comme si le mal n’exister pas dans le monde !Ont voit bien a quel point la société et corrompu a tout les niveaux !Seul les derniers des imbéciles et les ignares ont encore confiance dans l’état et dans les lobbys !Pour toi tout et bien continue de vivre dans le déni !


    • Lancelot 22 janvier 2018 18:15

      @foufouille
      Tu dois bosser pour les labos ou être médecins pour troller autant sur ce site !Les pauvres larbins soumis comme toi ne servent pas a grand chose a part défendre le système vous ne faites rien d’ autre !C’est pas a des êtres inférieur comme les politiciens ou lobbyistes de décider a notre place ces gens sont ce qu’il y’a de pire dans la bassesse humaine seul les chiffres compte !


    • doctorix, complotiste doctorix 22 janvier 2018 19:53

      @foufouille
      Revoilà l’imbécile troller et ignorant qui après en avoir remontré au professeur Joyeux, au Pr Montagnier, à moi-même, s’en prend maintenant au Professeur Delepine.

      Il n’y a donc pas de limite à votre bêtise ni à votre suffisance ?
      Mais passons sur les propos débiles de ce parasite aussi difficile à décrocher qu’un morpîon sur les poils pubiens.
      Félicitons plutôt le Pr Delepine pour son remarquable exposé, quasi exhaustif.
      La France a besoin de ces médecins honnêtes et documentés, elle doit jeter aux chiens cette race de pseudo-experts sans morale qui se vautrent dans les millions de Big Pharma au travers des media complaisants.
      Ils auront leur Nuremberg un jour, tout comme les journalistes qui leur cirent les pompes.
      Que de scandales en perspective !!!
      En attendant, combien d’enfants vont encore souffrir et mourir, en un sacrifice planétaire aux Dieux du profit, de l’ignorance et de la perversité ?

    • njama njama 22 janvier 2018 21:17

      @Lancelot
      tout au plus foufouille a pu être aide-soignant (ce qui n’est pas sans mérites )... recruté on ne sait comment ? en service commandé colonial peut-être (?), infirmier militaire ? peu importe au fond ...

      Quoiqu’il en soit de ce qu’il est ou serait de son histoire personnelle, ni moins ni plus méritante de bien d’autres, de ses états de service, avec ses aléas pathologiques, congénitaux ou non, historiques ou hystériques (?), dont il semble souffrir au point que cela altère ses raisonnements... le seul ennui avec lui, est qu’il tend à donner des leçons comme un mandarin et qu’il continue allégrement bien que se fourvoyant régulièrement.
      Mais comment venir à bout de cette incontinence verbeuse et surtout stérile ... le proverbe nous aidera je crois « Patience et longueur de temps Font plus que force ni que rage. »

      Laissons-le jaspiner et mouliner ses petits bras contre ceux qu’il appelle anti-vaxx, kmers verts et autres noms d’oiseaux, autant de surnoms oiseux en guise d’anathèmes contre les mécréants de la vaccinologie  smiley


    • njama njama 22 janvier 2018 21:19

      @Sharpshooter - Snoopy86
      La mère Delèpine n’a jamais été professeur

      Elle pourrait très certainement vous donner des cours ... 
      Sans aucun doute, heureux seraient ceux qui pourraient écouter la quintessence de son expérience et de ses connaissances.


    • doctorix, complotiste doctorix 22 janvier 2018 23:54

      @Sharpshooter - Snoopy86

      Sauf que ses pairs la considèrent comme une agitée du bocal

      Venant d’eux, on ne pouvait espérer meilleur compliment. C’est l’hommage que rend le vice à la vertu.
      Snoopy le raté fait toujours allusion à ces fameux pairs, une espèce de clique de médecins bourgeois qu’il est très fier de fréquenter par sa femme, et qui doivent le considérer avec un mépris souverain.
      Les résultats spectaculaires obtenus par le Dr Delepine à l’hôpital de Garches avec des méthodes conventionnelles mais éprouvées, en lieu et place des protocoles mortifères actuels, ne pouvaient que lui attirer la haine des parasites du système qui eux, avaient réussi à obtenir titres et honneurs. Ce sont ceux-là, bardés de titres usurpés, qu’on voit pérorer dans les media.
      L’histoire est un perpétuel recommencement.
      Ceux-là, associés à l’industrie du cancer mortifère, ont réussi à faire fermer son service en laissant les petits malades qu’elle soignait si bien, à la satisfaction entière de leurs parents, à la rapacité et à l’inefficacité des vendeurs de protocoles aussi coûteux qu’inefficaces. 
      Ce n’est pas par manque de qualification que le Dr Delepine n’est pas devenue Professeur, c’est parce que sa rigueur scientifique et ses succès contre le système ont du lui valoir des haines minables, et qu’elle avait mieux à faire que de faire la course aux titres honorifiques.
      Voici le parcours de cette femme extraordinaire qu’un minable comme Snoopy ose critiquer :

    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 09:13

      @Lancelot

      je constate que c’est trop fatiguant de lire un pdf sur les vaccins à cuba. manifestement répondre à une insulte d’un antivax n’est pas autorisé. donc tu es un facho.


    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 09:15

      @doctorix

      pas de réponse pour cuba ?


    • Lucadeparis Lucadeparis 25 janvier 2018 19:14

      @Sharpshooter - Snoopy86
      L’article de La Charente Libre en donne une image positive, contrairement à ce que tu voudrais faire croire.


  • leypanou 22 janvier 2018 10:32

     Il est intéressant de noter que ce sont les mêmes et encore les mêmes que l’on a entendus à foison sur toutes les tv et radios depuis juillet 2017 : c’est classique en France où sur différents sujets, comme l’économie (trop de prélèvements, trop d’état, etc), l’Union Européenne (sans Europe, pas de salut, l’Europe c’est la paix, etc), le prétendu réchauffement climatique (journaliste licencié, mêmes « climatologues »), la politique étrangère (Russie, Syrie, Vénézuela, Iran, Trump, etc), etc, etc.

    Classique aussi de ne pas parler des différents attributs des intervenants : un économiste sera seulement présenté comme professeur d’économie (neutre ?) mais pas travaillant en même temps pour une banque ou un fond d’investissement (une certaine vision des choses).

    Complément de lecture pour les curieux sur les vaccins  ici.


  • njama njama 22 janvier 2018 11:24

    Mort subite et inexpliquée du nourrisson
    par Sylvie Simon sur 29 Décembre 2010
    [.....]
     Après des années d’observation, l’Australienne Viera Scheibner a mis au point, avec l’aide de son mari ingénieur, un appareil de monitoring capable de surveiller la respiration des nourrissons afin de prévenir la mort subite. Dans son livre Vaccination, publié en 1993, elle a apporté la preuve de la responsabilité du vaccin DTCoq dans ce syndrome.

    En janvier 1983, une étude de l’École de médecine de UCLA, menée par l’Administration de la Santé du comté de Los Angeles et dirigée par le Dr Lary Barraf, fit apparaître que, cette année-là, 53 des 145 victimes du Syndrome de Mort Subite du Nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.Coq. Sur les 53 nourrissons, 27 avaient été vaccinés dans les 28 jours précédant le décès, 17 dans la semaine et 6 dans les 24 heures avant le décès. Ces décès dramatiques ont fait l’objet de nombreuses études. Déjà, en 1974, le Dr George Dick avait déclaré qu’on observait annuellement en Grande-Bretagne environ 80 cas de sérieuses complications neurologiques dont 33 % conduisaient à la mort et 33 autres pour cent à des dommages irréversibles. (cf. Dr George Dick, Practi Immunization - MTP Press - Lancaster 1986).


    • njama njama 22 janvier 2018 11:27

      suite
      En France, suivant nos bonnes habitudes, ce vaccin est systématiquement innocenté. On se souvient de l’émoi provoqué, en 1986, par le décès le même jour de cinq bébés, peu après la première injection de Tétracoq®. Les lots avaient été incriminés et ensuite retirés du marché, mais le vaccin était sorti blanchi.

      Il est indéniable que l’acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire. À ce sujet, le Pr R. Bastin écrivait dans Le Concours médical du Ier février 1986 : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. » En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osa cependant écrire : « [...] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !


    • njama njama 22 janvier 2018 12:37

      « en 1986, par le décès le même jour de cinq bébés, peu après la première injection de Tétracoq®. »

      Toujours les mêmes stratégies dès qu’il y a un problème, jamais de remise en cause du vaccin lui-même, seuls des lots incriminés... Sauf que dans le cas de figure présent, ce sont 2 lots provenant de fabricants différents !
      Quelle fâcheuse et fatale coïncidence tout de même !

      En complément d’info sur ces cas précis voir la Page Facebook de Sophie Guillot, lanceuse d’alerte, ancienne présidente et fondatrice d’Infos Vaccins France, porte parole du mouvement EPVL

      L’aventure du Tétracoq et du Pentacoq ... ou comment garder intacte la réputation virginale des vaccins. 27 mai 2010
      « 4 enfants sont décédés dans les 24 heures après injection du vaccin Tétracoq Mérieux - lot Z 1277, et un cinquième par un vaccin associé DTCoq Polio Pasteur lot L 5093 »


  • njama njama 22 janvier 2018 11:29

    Il suffit de rappeler l’attitude des autres pays face à la vaccination anticoquelucheuse pour comprendre le danger de ce vaccin. Le 3 novembre 1973, la revue française La Gazette médicale avouait : « C’est parce que le risque d’accident neurologique post-vaccinal est plus élevé que celui de mort ou de dommages encéphalo-pathiques dus à la coqueluche elle-même, que les Suédois et les Allemands ne préconisent plus cette vaccination et que le Pr Gordon Steward multiplie les communications et les interventions pour qu’on n’y expose plus les bébés anglais. »

    Mais les bébés français n’ont pas la chance de bénéficier des mêmes mesures de protection !

    Les Allemands ont finalement supprimé de leur calendrier vaccinal la vaccination généralisée contre la coqueluche. Pour eux, la régression de la coqueluche n’a rien à voir avec la vaccination qui présente plus de dangers que la non vaccination. Le professeur Ehrengut qui étudie les complications de la vaccination depuis 35 ans pense qu’elles sont largement sous-estimées (cf. Quick-Nachrichten n° 51 du 11 décembre 1975).

    [............]


    • njama njama 22 janvier 2018 11:44

      Source : idem
      Mort subite et inexpliquée du nourrisson
      par Sylvie Simon sur 29 Décembre 2010

      C’est quand même très étonnant de constater que les conclusions scientifiques (ou soi-disant scientifiques) seraient à géométrie variable d’un pays à l’autre ...

      Les vaccins, SCIENCE OU SCIENTISME ?

      https://sniadecki.files.wordpress.com/ ...


    • Eric F Eric F 22 janvier 2018 19:11

      @njama
      je partage votre stupéfaction sur le fait que les vérités en matière de vaccins sont différentes de chaque côté des frontières. Or c’est justement un sujet sur lequel il devrait y avoir une harmonisation européenne, il y en a bien en matière d’additifs alimentaires par exemple.

      Compte tenu du fait que la réaction immunitaire constitue un « choc » pour l’organisme, le principe de précaution devrait inciter à concentrer l’obligation vaccinale aux seuls cas de fort risque, forte efficacité et faible nocivité ...et je ne suis finalement pas convaincu que dans nos pays il subsiste désormais un seul cas de ce genre.

      Voilà typiquement un sujet sur lequel je m’étais guère posé de question jadis, et le débat pluraliste a fait considérablement évoluer mon point de vue. Or ce pluralisme n’est pas provenu des grands canaux d’information, qui abondent systématiquement dans le sens officiel, et on voit ici les imbrications d’intérêts « industrie »/« politique »/« médias » (je le constate, bien qu’étant de manière générale tout à fait rétif aux théories complotistes)


  • marc dublanc 22 janvier 2018 14:46
    Ce qui est incroyable dans cette crise financière c’est que personne ne vous dit vraiment qui provoque ces crises, qui sont les spéculateurs qui s’enrichissent sur le dos de toutes la planète.. : Il suffit de lire cet article pour comprendre comment Goldman & Sachs (et les autres banquiers véreux) s’enrichissent sur vôtre dos.


    PS. Je vous conseille de vite faire passer ces infos mes postes disparaissent très rapidement.

  • pipiou 22 janvier 2018 18:00

    Quelqu’un qui commence un article par une citation orwélienne n’est pas là pour parler science,
    sinon il n’aurait pas besoin de commencer par un discours ideologique.

    Fermer le ban


  • rhea 1481971 22 janvier 2018 19:41
    • la médecine ne respecte le serment d’Hippocrate, il suffit de le lire pour
    • comprendre que nous nous en sommes éloigné. La psychiatrie est à
    • mettre dans le même sac . Au fait prêtes t-ils encore serment .


  • Lugsama Lugsama 22 janvier 2018 20:03

    Il n’est pas vrai que « beaucoup de maladies ont été contrôlées, voire éliminées, grâce à la vaccination ».


    On peux s’arrèter puisque ce n’est même pas discutable. Ce n’est pas avec des mensonges aussi grossier que vous défendrez votre cause.. question fake news vous n’avez pas besoin de leçon visiblement.

    QuelQues courbes enregistré sur la population US qui montre la bétise de cette phrase qui voudrait remettre en cause des vérités scientifique :








    Ils sont incroyablement chanceux les vaccins, dire que ces cons de scientifiques appele ça des preuves, c’est pas comme si les population US et UK étaient assez nombreuses pour en tirer ensignement.. smiley


    Et pour ceux qui pensent encore que ce ne serait que des coïncidence dans tous les pays du monde à chaque fois, il suffit de voir ce qu’il se passe dans les pays ou la vaccination est en baisse, bizarrement les épidémies reviennent.. encore une coïncidence ?

    • doctorix, complotiste doctorix 22 janvier 2018 21:15

      @Lugsama

      On peux s’arrèter puisque ce n’est même pas discutable


      Voilà ce qu’on appelle un discours anti-scientifique par excellence. C’est le même que la mère Touraine.
      « Les vaccinations ont sauvé des millions de vie »est un mythe,parfaitement discutable.
      Pour preuve les courbes de décroissances des épidémies ou de leur mortalité qui n’ont pas été modifiées par l’arrivée tardive des vaccins, en pleine phase dégressive.
      On peut extrapoler de ces courbes que l’arrivée des vaccin ne les a strictement pas modifiées.
      Pour le reste, des épidémies reviennent aussi dans des pays très vaccinés, comme la Chine et l’Inde, mais on n’en parle pas.
      Les épidémies se foutent pas mal du statut vaccinal. Elles vivent leur vie, arrivent, repartent.
      On ne parle que des retours.


    • Lugsama Lugsama 23 janvier 2018 10:33

      @doctorix

      « Pour preuve les courbes de décroissances des épidémies ou de leur mortalité qui n’ont pas été modifiées par l’arrivée tardive des vaccins »

      C’est faux, les courbes de mortalités et d’infection ont été modifié par les vaccins, systématiquement et dans tous les pays développé qui ont accès aux vaccins, et sur des populations de centaines de millions d’individus, il n’y a même pas de marge d’erreur possible. Les vaccins ont sauvés des millions de vie c’est une vérité scientifique.


    • Drugar Drugar 23 janvier 2018 16:14

      @Lugsama
      Pouvez-vous m’expliquer dans ce cas pourquoi la tendance à la baisse de la mortalité de la coqueluche en France peut se constater dès 1930 soit 10 ans avant l’invention du vaccin aux Etats-unis et 30 ans avant son introduction en France ? Que l’on peut constater la fin des flambées épidémique dès 1945 soit 20 ans avant sa généralisation en France qui date de 1966 : Wikipédia

      A l’arrivée du vaccin puis à sa généralisation en France, la maladie a déjà très fortement régressée : ou est l’action du vaccin dans cette histoire ?
      Il est dit dans cette fiche Wikipédia (partie « Vaccination ») que le rapport bénéfice / risque du vaccin est évalué positif en France, mais pas en Allemagne ou en Suisse. Pouvez-vous m’expliquer cette différence alors que le développement, l’accès aux soins et aux vaccins de ces 3 pays est extrêmement proche ? 

    • Pere Plexe Pere Plexe 23 janvier 2018 17:13

      @Lugsama
      ...que le nombre de décès baisse serait une preuve ?

      Le nombre de morts sur la route à formidablement baissé alors que le taux de vaccinations augmentait.Serait ce une preuve de l’efficacité des vaccins ?
      Bien sur que non !
      Il en va de même avec les maladies.

      Oui concernant la rougeole la vaccination à été décisive .
      Au point que la vaccination obligatoire n’a plus de raison d’être pour cette maladie.
      Non la vaccination n’a pas été déterminante dans la disparition de la poliomyélite.
      Non la persistance du tétanos n’a rien à voir avec la couverture vaccinale.
      Un pro vaccination comme Didier Raoult le reconnait sans problème.

      Que les vaccins aient leur utilité et une efficacité sur certaines maladies ne devrait pas interdire de réfléchir au problème de les utiliser sans discernement par paquet de 12 sur des enfants au système immunitaire immature.




    • Lugtata Lugtata 28 janvier 2018 15:50

      @Pere Plexe

      Vous pouvez nier mais les chiffres sont incontestable, et quand des pays ont décider de diminuer ou d’arrêter les vaccinations les épidémies ont réapparu, tout ceci également est chiffré par les hopitaux. Et le tétanos reste présent dans la nature même si le vaccins a quasiment fait disparaitre les cas..

      Les vaccins ont sauvé et sauvent toujours des millions de personnes dans le monde, les données statistiques sont malheureusement pour vous implacable.

  • njama njama 23 janvier 2018 08:46

    Le professeur Romain Gherardi... répond aux questions de « L’Obs ».

    Serait-il possible d’utiliser d’autres adjuvants ? Comment faisait-on avant l‘aluminium ?

    En France, jusque dans les années 80, l’institut Pasteur a refusé l’aluminium, il utilisait du phosphate de calcium. On en a dans les os, l’organisme est « équipé » pour le tolérer. Mais quand les laboratoires Mérieux ont racheté l’institut Pasteur dans les années 80, les vaccins Pasteur sont passés à l’aluminium. Alors même que leurs vaccins au phosphate étaient d’excellente qualité.

    Pourquoi ce choix du tout-aluminium ?

    J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers...

    source : Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium »
     L’Obs > Santé 24 sept. 2017


    • njama njama 23 janvier 2018 09:12

      adjuvants vaccins
      hydroxyde d’aluminium vs phosphate de calcium

      « Le phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium »
      Il y a fort à parier que une troisième dose de vaccin coûte bien plus que 30 centimes de francs - en valeur constante 1980 / 2016 = 0.13 €uro selon un convertisseur Insee - .
      Pour les comptes de la sécu déjà très mal en point, à efficacité égale il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

      Pour la santé des enfants, à efficacité égale, et pour une toxicité moindre avec le phosphate de calcium, il vaudrait mieux 2 vaccins que 3, ça ne se discute pas !

      Question : pourquoi donc l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), le CTV (Comité technique des vaccinations), le ministère de la santé valident les vaccins contenant des adjuvants aluminiques à l’efficacité moindre, à la toxicité supérieure, et donc plus coûteux  ? plutôt que de contraindre l’industriel à les fournir avec l’adjuvant phosphate de calcium.

      Avis scientifiques ou corruption ?


    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 09:19

      @njama

      il faut envoyer un mail à cuba. les vaccins sont obligatoires pour les enfants et gratuits.


    • njama njama 23 janvier 2018 10:25

      @foufouille

      selon vos sources 22 janvier 11:50 ... les vaccins cubains utilisent aussi de l’aluminium. PDF Trivac HB : a Cuban polycvalent vaccine

      « ... a combined vaccine of diphtheria anatoxin, tetanic anatoxin, whole cells of Bordetella pertussis, and recombinant hepatitis B virus surface antigen (DPT-HB). The commercial name of the vaccine is Trivac HB . One novel element in its design is the use of aluminum hydroxide as the adjuvant which was essential in avoiding the Glaxo Smith Kline patent for polyvalent vaccines. »

      trad : ... Le nom commercial du vaccin est Trivac HB. Un élément nouveau dans sa conception est l’utilisation de l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant qui était essentiel pour éviter le brevet de Glaxo Smith Kline pour les vaccins polyvalents.
      ------------
      donc des histoires de brevets !


    • njama njama 23 janvier 2018 10:32

      explication pour foufouille :

      VIDEO. Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?

      Une vidéo compromettante
      Pour deux cadres du laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s’agit d’abord de considérations de santé publique – lutter contre l’hépatite B –, et en aucun cas de raisons commerciales ou de rentabilité.

      Pourtant, Sophie Bonnet s’est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l’on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les brevets sur le vaccin contre l’hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l’hépatite B aux cinq autres vaccins  : « C’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. » Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu’il les trouvait beaucoup plus rentables.

      Extrait d’« Envoyé spécial. Se soigner à quel prix ? » du 11 février 2016.

      https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-vaccins-pour-enfants-les-labos-font-ils-de-la-vente-forcee_1311677.html


    • Lugsama Lugsama 23 janvier 2018 10:40

      @njama

      Les brevets c’est indispensable à la recherche et ça n’a par ailleurs rien à voir avec la notion de vente forcé.

    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 10:46

      @njama

      pour les enfants cubains les vaccins sont gratuits. c’est un pays communiste. cuba a aussi donner de nombreux vaccins à des tas de pays. c’est toujours big pharma ?


    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 10:54

      @njama

      « n 1999, after launching its first campaign against Haemophilus influenzae type B (Hib) and paying $3 per imported vaccine dose, Cuba began researching a possible alternative to the expensive vaccine. With more than 500,000 children dying annually from Hib and vaccines costly and complex to produce, Cuba took up the call. Four years later, with collaboration from researchers from the University of Ottawa, Cuba became the first country in the world to successfully produce a synthetic vaccine for the virus. After extensive clinical trials conducted with the Canadians, the Cuban vaccine showed a 99.7% success rate. In 2004 it was introduced into the national vaccination campaign, and in 2005 Cuba won its sixth WIPO Gold Medal. »

      $3 per imported vaccine dose = ce qui fait beaucoup pour cuba.


    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 11:00

      @njama

      les vaccins contre l’hépatite A et B sont produits depuis 2006 aussi à cuba.

      ton monopole n’existe pas.


    • njama njama 23 janvier 2018 11:02

      Voilà pourquoi les nourrissons français seront vaccinés contre l’hépatite B !

      A communiquer sans modération parce que faut pas compter sur Madame Buzyn pour le dire aux futurs parents

      « Nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B, c’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevets. Nous avons tous les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, eh bien vous allez devoir négocier avec nous. Je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful, et après on a développé des vaccins combinés, c’est à dire on a mis l’hépatite B avec tout autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets, et en faisant ça, on rendait évidemment les produits combinés protégés.
      Et donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça... » 
      Déclaration de Jean Stéphenne qui a dirigé la branche vaccins chez GSK pendant 23 ans, en juin 2012

      Le laboratoire a donc cherché à créer un monopole, et il a commercialisé des vaccins multiples parce qu’il les trouvait plus rentables.


    • Lugsama Lugsama 23 janvier 2018 14:59

      @njama

      Les brevets stimulent la recherche mais ralentissent au contraire la diffusion des traitements, et jusqu’a l’absurde dans les pays pauvre. Un produit plus cher n’encourage pas vraiment l’Etat à le diffuser.

    • njama njama 24 janvier 2018 13:24

      @Lugsama

      Madame Buzyn veut de « la rationalité »

      Elle ferait bien de commencer par être rationnelle elle-même car il n’y a aucune justification « rationnelle » à vacciner des nourrissons contre l’hépatite B. On était en droit d’attendre un minimum de rigueur intellectuelle de cette personne compte-tenu de ses connaissances scientifiques et de ses anciennes fonctions, ce qui n’est visiblement pas le cas. 

      La seule rationalité dans le cas de figure est au service de l’industrie, des brevets sur les vaccins combinés, et donc au profit des labos et le leurs actionnaires. Madame Buzyn n’est autre que leur VRP.



    • njama njama 24 janvier 2018 13:30

      @Lugsama

      Quand on écoute la déclaration de Jean Stéphenne qui a dirigé la branche vaccins chez GSK pendant 23 ans, en juin 2012 sur le vaccin hépatite B citée ci dessus, on comprend très bien que la pénurie de vaccins trivalent DTP (diphtérie, tétanos, polio) a bel et bien été préméditée, et organisée par GSK et autres fabricants.


  • njama njama 23 janvier 2018 12:12

    4. Le changement d’adjuvant s’est déjà produit : l’exemple des vaccins IPAD
    Comme nous l’indiquions supra, l’Institut Pasteur avait mis au point, au début des années 1970, des vaccins adsorbés sur phosphate de calcium (vaccins dénommés IPAD = Institut Pasteur ADsorbés sur phosphate de calcium), face aux risques présentés par les sels d’aluminium.
    En 1985, la branche vaccins de l’Institut Pasteur, Pasteur Production, fut rachetée par l’Institut Mérieux, donnant naissance à Pasteur Vaccins.
    [...] Marc Girard (directeur scientifique en 1985 de Pasteur Vaccins - fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) précisait que les critères économiques avaient prévalu dans cette volonté d’imposer l’aluminium comme seul adjuvant (30) : «  Avec l’arrivée de Mérieux, si vous voulez, les choses sont devenues beaucoup plus professionnelles. (...) c’était des industriels, c’est là où, dans un souci de rationalisation, l’Institut Mérieux a dit «  écoutez, on laisse tomber le phosphate de calcium, tout le monde fait de l’hydroxyde d’aluminium. » (...) Dans une industrie, c’est toujours plus compliqué d’avoir différents produits qu’il faut mélanger, pas mélanger, éviter de mélanger, etc. C’est plus simple d’avoir une ligne unique. »

    source  : pages 10-11 Le Dossier Intégral Phosphate de calcium : une alternative aux sels d’aluminium septembre 2015

    https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2015/09/Le-phosphate-de-calcium-Une-alternative-aux-sels-daluminium.pdf


    • njama njama 23 janvier 2018 12:21

      @foufouille
      adjuvants vaccins
      hydroxyde d’aluminium vs phosphate de calcium

      extrait page 10 :

      3. Le changement d’adjuvant est une modification mineure
      La Commission Européenne énonce dans sa directive de 2005 sur les adjuvants dans les vaccins à usage humain que, pour procéder au changement d’adjuvant dans un vaccin déjà autorisé, il n’est pas nécessaire de refaire l’ensemble des études cliniques.
      ...


    • njama njama 23 janvier 2018 12:23

      extrait page 11 :

      Les choix raisonnables de l’Institut Pasteur n’ont ainsi pas résisté au « réalisme économique ».

      « Nous avons regretté que lors de la fusion Institut Pasteur-Institut Mérieux, le vaccin de ce dernier, sur aluminium adsorbé, ait été préféré aux vaccins Ipad sur phosphate de calcium pour des raisons politiques, même si les vaccins Ipad faisaient 40 % du marché aussi bien en France qu’à l’export  », déplore ainsi le Dr Jean-Paul DAMAS, lauréat de l’Académie nationale de médecine et ancien interne de l’hôpital de l’Institut Pasteur. Une analyse partagée par le Dr Louis LERY, de l’Institut Pasteur, dans une lettre adressée à la Sous-Direction des Affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales le 29 septembre 1987 (31) :
      « (...)les publications portant sur les effets toxiques ou les effets indésirables de l’aluminium et de l’hydroxyde d’alumine sont de plus en plus nombreuses, d’année en année. Cet élément pousse ainsi à préférer des produits adjuvantés avec un autre sel minéral comme le calcium, composant habituel de notre économie générale. Récemment, en juillet dernier, l’administration américaine a pris des positions nettes concernant les allergènes retard contenant de l’hydroxyde d’alumine. »

      Malheureusement, ces alertes des chercheurs de l’Institut Pasteur ne furent pas entendues.


    • foufouille foufouille 23 janvier 2018 12:32

      @njama

      la HAS a estimé que l’alu est mieux et sans danger comme cuba avec ses vaccins gratuits, la chine, inde, brésil, etc sont en partenariat avec cuba et vu les salaires si le calcium était rentable, il serait utilisé.

      le monde entier a donc tort et seul les antivax ont vu la vérité.


    • njama njama 23 janvier 2018 13:05

      @foufouille

      J’en viens à me demander si vous avez un cerveau ?

      On a beau vous démontrer par A + B que ce sont des critères industriels qui ont prévalu dans le choix de l’hydroxyde d’aluminium, que les « vaccins combinés » sont des choix de stratégie marketing, et de business (pour ceux qui se demanderaient encore ce que fout l’hépatite B dans des vaccins pour bébés), qu’il y a des personnes de l’Institut Pasteur de très haut niveau qui connaissent les effets indésirables et toxiques des adjuvants aluminiques, que la Sous-Direction des Affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales en est parfaitement informée de longue date, depuis  le 29 septembre 1987 ...

      et vous continuez à vous arcbouter dans votre foi aveugle, intégriste, et totalitaire !

      et vous préférez croire Madame Buzyn qui affirme sans vergogne que les vaccins sont très sûrs et utiles (celui de l’hépatite B pour bébés par exemple) ...


    • Lugsama Lugsama 23 janvier 2018 15:05

      @njama

      Ils connnaissent les suspicions, pas les effets indésirables que toutes les grandes études n’ont jamais pu prouvés.. ce sont des scientifiques, pas des prophètes de forums internet.

    • Pere Plexe Pere Plexe 23 janvier 2018 18:52

      @Lugsama
      Des scientifiques... ?

      Et donc les nombreux pays qui ne vaccinent pas massivement et obligatoirement les nourrissons contre des maladies disparues sont des pays obscurantistes ? moins « scientifique » ?



  • njama njama 23 janvier 2018 13:08

  • zygzornifle zygzornifle 28 janvier 2018 13:12

    Je ne donne pas 3 ans avant qu’éclate un nouveau scandale sanitaire concernant cette salade de vaccins ....


  • lloreen 28 janvier 2018 18:07

    Tant que personne ne prouvera l’innocuité des vaccins, tout le monde peut refuser ce qui est susceptible de lui nuire et s’appliquer le principe de précaution...Pour l’instant, de nombreux chercheurs et professeurs mettent en garde contre des vaccins et ont prouvé des liens de cause à effet entre des vaccins et le déclenchement d’effets indésirables.
    Personne n’a pu établir de lien de corrélation non plus entre la disparition de certaines maladies et les vaccins.

    Obliger quelqu’un c’est cautionner un système tyrannique et accepter de se soumettre à un racket systématique. Pour un pays qui se dit être celui de la liberté c’est pour le moins curieux de vouloir ordonner l’obligation vaccinale à la population...La tyrannie du lobby pharmaceutique n’a aucune raison d’être, d’autant plus que de nombreux pays l’ont refusée.

    Les conclusions de Claire Séverac lors de ses conférences sont d’ailleurs plus que jamais d’actualité.
    https://jesuismalade.org/larnaque-de-la-vaccination-claire-severac-et-sylvie-simon-interview/

    Claire Séverac:la guerre secrète contre les peuples.
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=Dl8uFyLy-qk


  • Bertrand Loubard 28 janvier 2018 21:42

    Il semble bien que dans les années 50, précédant l’indépendance du Congo Belge, le gouvernement belge ait autorisé, d’une « manière » ou d’une autre, une vaccination massive de la population locale, contre la poliomyélite, menée semble-t-il par le Dr Hilary Koprowski. (Qui aurait d’ailleurs reçu une distinction honorifique de la part du gouvernement belge pour cette campagne). Les conséquences de cette vaccination serait, pour certains, l’apparition du SIDA. S’il devait être démonté qu’il ait bien s’agit d’un « accident », la question resterait posée de savoir comment a été choisie la population ciblée par la campagne. Il semble que récemment ait eu lieu au Rwanda une campagne massive de vaccination contre le cancer du col de l’utérus, chez les petites filles n’ayant pas encore eu de rapports sexuels..... Quand on sait que la mortalité par ce cancer ne semble pas avoir fait l’objet d’études statistiques sérieuses mais que la mortalité par malnutrition (par la « famine) est récurrente dans cette région on peut s’interroger sur la similitude de la stratégies appliquée sur les populations de la colonie belge de l’époque et celle qui est aujourd’hui appliquée par un gouvernement extrêmement proche, semble-t-il, des intérêts économiques des diverses industries basées sur l’exploitation des êtres humains ....
    Merci pour l’article et sa structure (récurrente) des rappels nominatifs. Bien à vous.


Réagir