mercredi 3 juillet 2013 - par JMBerniolles

Syrie : et le peuple palestinien ?

La question de la Syrie et son actualité estompe quelque peu ce qu’il advient du peuple palestinien dans le contexte de cet affrontement régional à dimension internationale.

Il semble qu’un éveil de conscience douloureux touche maintenant le peuple palestinien. Sur le plan de ses droits et de la domination israélienne, dont la colonisation des territoires palestiniens qui ne rencontre aujourd'hui plus aucun frein, le peuple palestinien est au fond du trou. Cette colonisation est dans état d’avancement tel qu’elle ne laisse plus aucun espoir à ce peuple d’avoir un jour un territoire cohérent.

 

Si l’on compare l'état actuel à la situation résultant des négociations d’Oslo sur la création d’un état palestinien qui certes laissait pas mal de problèmes en suspend, notamment celui du retour aux frontière de 67 et le sort des exilés, on est passé d’une solution viable à une impossible équation.

D’ailleurs le monde d’aujourd’hui ne reconnait aux palestiniens qu’un droit théorique, mais absolument pas pratique, d’avoir un Etat.

Comment en est-on arrivé là ?

Il est inévitable de ne pas penser que cela résulte d’une grave série d’erreurs et de trahisons. Une erreur majeure a été commise par Yasser Arafat lors des négociations de camp David sous l’égide du président Clinton, en 2000. Les « concessions » israéliennes de l’époque, du premier ministre Ehud Barak donc, paraissent absolument incroyables dans le contexte actuel. Si l’on considère une carte de la région sous l'apect géographique et sous celui des ressources, on voit qu’Israël et les territoires palestiniens ne constituent en réalité qu’une même entité géographique jusqu’au Jourdain. Les peuples israéliens et palestiniens vivent sur les mêmes ressources. En particulier l’Eau.

Projet d'accords de camp David

Dans le projet d'accords il y avait pour les palestiniens une capitale à Jérusalem Est, la majeure partie, du côté ouest des rives du Jourdain, des colonies israéliennes auraient été cédées à l’Etat palestinien…

Un différent portait sur l’esplanade des mosquées à Jérusalem, quelques Km2, qui concentre des lieux saints des trois religions monothéistes. La solution était d’en faire un patrimoine international, ce qui est justifié sur le fond.

Pour l’ensemble des participants il était inconcevable que Yasser Arafat refuse ces propositions qui ne l’obligeaient nullement à renoncer à ses revendications. Et pourtant sous la pression du Hamas, il a commis cette erreur funeste de refuser l’accord. Aujourd’hui l’organisation american for peace donne la carte ci-dessus des implantations israéliennes, où l'on voit que les territoires palestiniens sont littéralement mités par les colonies israéliennes.

L'évolution depuis camp David

Depuis ce tournant manqué, la situation de la cause palestinienne n’a cessé de se dégrader.

Parallèlement Israël a développé son projet de grand Israël. Cela comprend donc le phagocytage des territoires palestiniens, mais aussi la neutralisation et la déstabilisation de tous les pays qui l’entourent. Et, principalement, la destruction du grand pays qui s’oppose et dont l’influence peut contrebalancer sa puissance, c'est-à-dire l’Iran. L’Iran et l’on peut dire la même chose pour la Russie, ne faisant pas partie du grand marché planétaire livré au capitalisme financier, est ainsi également classé dans la catégorie des pires ennemis par les USA et le monde anglo-saxon.

 Parmi les pays neutralisés on compte d’abord l’Egypte, de longue date avec Sadate, puis Moubarak et enfin avec les frères musulmans récupérés par l’axe Qatar USA. Ceux-ci, extrémistes musulmans adeptes de la conversion forcée et du Djihad, sont à vrai dire incapables de face aux graves problèmes économiques en Egypte, nourrir la surpopulation par exemple, et imposent un pouvoir autoritaire. On se dirige soit vers la reprise en main militaire, soit vers un chaos généralisé avec des affrontements. Les fonds du Qatar, comme ceux distribués au Hamas palestiniens servent surtout les dirigeants.

 Le pays régional déstabilisé de manière permanente, comme la Lybie, est l’Irak où le monde libre [sauf la France, l’Allemagne et la Russie à l’époque] devait amener la « démocratie ». L’exacerbation des querelles confessionnelles entre chiites et sunnites au moyen orient [la caractéristique des chrétiens est qu’ils y sont à peu près persécutés partout dans l’indifférence de l’occident] fait partie de ce plan de génération de situations de chaos dont est menacé également le Liban.

L’Arabie Saoudite quant à elle, finance depuis très longtemps le terrorisme islamique d'Al Qaida, et propage une branche extrémiste de la religion musulmane, le wahhabisme. Pour le Qatar et l’Arabie Saoudite ces actions correspondent à une politique expansionniste et de puissance destinée à préparer l’après pétrole. Il y a donc de la part de ces deux pays cousins, une part de jeu personnel en marge de l’influence américaine.

La Syrie

Le dernier pays à déstabiliser et à neutraliser, avant la cible qui est l’Iran, est donc la Syrie. Après une amorce de « printemps arabe » [qui sont avant tout des révoltes et non des révolutions] à l’instigation du Qatar et de l’Arabie Saoudite, une agression menée par des mercenaires [on connait maintenant à peu près la composition : tunisiens, algériens, saoudiens, qataris, tchétchènes, européens de diverses origines.. et très peu de syriens] a commencé avec une grande ampleur.

Et nombre de responsables politiques occidentaux, dont Alain Juppé, ont suivi l’avis du Qatar prévoyant une chute d’Assad rapide. Grossière erreur, qui a déjà coûté sa place à l’émir du Qatar débarqué par les américains et qui peut avoir de graves conséquences pour les intérêts occidentaux et autres au proche orient.

Le rôle du Hamas

Alors que la Syrie était objectivement et sans doute dans la pratique, un des meilleurs soutiens de la cause palestinienne, le Hamas a emboité le pas du Qatar et a semble-t-il aidé la "rébellion" en Syrie. Allant jusqu’à former des combattants avec les techniques apprises auprès du Hezbollah, ce que ce mouvement a constaté lors des combats à Qosseir. D’où une rupture des relations entre le Hezbollah et le Hamas. Dont, de plus, des responsables installés au Qatar se sont faits purement et simplement expulsés.

La cause palestinienne

En marge de cette affaire syrienne, la cause palestinienne a donc subi un nouveau véritable naufrage au caractère sans doute définitif.

Il semble d’ailleurs que le peuple palestinien s’éveille maintenant à la conscience de toutes ces trahisons.

De toute manière la seule vraie solution au problème fondamental de cette région tient dans une entente équlibrée des peuples israélien et palestinien.

D'un côté comme de l'autre, sur ce plan, les deux peuples souffrent de dirigeants qui sont des obstacles à la nécessaire cohabitation, sur une base démocratique, qui peut seule rétablir la paix dans cette zone géographique si sensible pour la stabilité mondiale.

 



15 réactions


  • Daniel D. Daniel D. 3 juillet 2013 14:30

    Que les Palestiniens gardent courage, les temps d’Azrael sont comptés.

    La finance et le systeme monetaire mondial ont tombés les masques, leur but est le mondialisme aux mains des élus banquiers éclairés guidant la masse des gueux. Leur projet impose d’être reconnu pour ce qu’ils sont, et ils s’affichent de plus en plus décomplexés. Le dollars papier de Ben shalom bernake vas imploser, et la revanche des peuples vas advenir, les dirigeants et éclairés sont cons damnés ; ce n’est plus qu’une question de temps car ils ne peuvent pas revenir en arrière.

    Les « victimes » sont devenus bourreau, la justice est aveugle, paix a leurs âmes...


    • Gandhi 3 juillet 2013 14:35

       smiley.................................certes pas facile d’être palestinien en ce moment ,depuis un bon moment déjà, avec l’aval de toutes les nations, ça continue....mais pas l’aval de tout le monde et loin de là, car il est difficile d’acheter toute la planète...c’est sur que la dernière ligne droite est maintenant à découvert.....la fin est proche....
      salutations.


  • Gandhi 3 juillet 2013 14:37

    Un point de grammaire, on ne dot pas dire israel mais l’ israel......


  • jaja jaja 3 juillet 2013 15:19

    "De toute manière la seule vraie solution au problème fondamental de cette région tient dans une entente équilibrée des peuples israélien et palestinien.« 

    La seule solution, au contraire est que le peuple palestinien soit en capacité de modifier le rapport de force en sa faveur. Tant que ce ne sera pas le cas rien de significatif ne se produira allant dans le sens de l’application des droits nationaux du peuple palestinien et du retour des réfugiés !

    La Syrie, comme d’ailleurs tous les autres États arabes, n’a jamais été un allié fiable de la Résistance palestinienne qu’elle a même combattu par les armes en 1976 au Liban C’est par un surprenant renversement d’alliance que les Syriens D’Hafez el Assad sont alors venus au secours des phalanges fascistes libanaises en difficulté....

    Et comme ça ne suffisait pas : "De mai 1985 à février 1987, la milice Amal, appuyée par la Syrie, entreprend d’éradiquer l’organisation de l’OLP au Liban : les camps de Sabra, Chatila et Bordj el Barajneh sont assiégés, bombardés, privés de nourriture et de médicaments« 

    Avec des »alliés" pareils la résistance palestinienne n’a pas besoin d’ennemis ! Notons que depuis 1973 pas un coup de feu ne fut tiré au Golan syrien occupé par les sionistes !

    Les palestiniens ne peuvent, hélas, que compter sur leurs propres forces pour recouvrer leurs terres conquises par la violence de la colonisation.

    La seule solution sera la création de l’État palestinien unique sur les terres de la Palestine historique, conquise en 1948, où juifs et arabes vivront en paix !


    • JMBerniolles 3 juillet 2013 21:15

      Merci pour ce commentaire.

      Effectivement vous avez raison de souligner combien les régimes arabes ont été divisés et en proie à des rivalités qui perdurent.

      Mais il faut aussi souligner que l’instabilité et le chaos étaient aussi le résultat d’actions extérieures. De la part d’intérêts qui redoutaient l’union du monde arabe.

      Effectivement les palestiniens sont très isolés et leurs forces, également divisées, sont très largement insuffisantes.

      Une victoire de l’axe Syrie/Iran/Russie et Chine peut déboucher sur une double reconnaissance : celle des droits des palestiniens concrétisés par un Etat et la reconnaissance de l’Etat d’Israêl.

      Mais, comme on le constate en Egypte, il y a la question de la viabilité économique de l’Etat palestinien, qui obligera à une entente plus profonde avec Israël ;

      Nous sommes là dans un scénario favorable. Pas le plus probable malheureusement



  • Crab2 3 juillet 2013 15:51

    ’’ On ’’ s’intéressera aux palestiniens quand ils auront tous reconnût la nation israélienne et avant tout les droits de la femme

    Seuls les kurdes au Nord-Est de la Syrie méritent qu’on leur livre de armes et de l’argent, car eux, au moins, ils ont institutionnalisé depuis longtemps l’égalité femme-homme

    Suite :

    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2013/06/24/statut-de-la-femme.html



  • antyreac 3 juillet 2013 15:57

    Israël est un pays souverain qui repris les terres de ses ancêtres en 1948 et qui les conservera pour toujours si dieu le veut 


  • El_Arabi_El_Acil El_Arabi_El_Acil 3 juillet 2013 16:36

    Si la Place Ettahrir a décidé…...le Morsi doit absolument rendre le tablier.
    La situation a atteint - semble t il - un point de non retour et, qui peut mieux que le peuple des pyramides, décider de son propre devenir ?

    Ce qui m’est resté au travers de la gorge, depuis la venue de Morsi c’est sa poursuite toute effrénée contre le point d’orgue qui agite le monde du croissant.


    Il s’agit, bien évidemment l’affaire Palestinienne qui n’a pas avancé d’un iota depuis sa venue.
    C’est le contraire et, en pire, de ce qui était du temps de Moubarak.
    Si ce dernier signalait à la chasse étoilée, les points de passage souterrains des Ghazaouis, celui qui est invité à dégager aujourd’hui, a poussé l’audace jusqu’à noyer lesdits points de passage avec les égouts de la ville.


    Tout dirigeant Arabe, qu’il soit Roitelet ou Emir, doit comprendre que l’affaire Palestinienne est la prunelle des yeux du monde du croissant.

    Elle a été, est, et restera le point central de tous ces peuples qui ne demandent pas plus que la libération de la Palestine, toute la Palestine avec El-Qods comme capitale.


  • Jonas 3 juillet 2013 17:44

    A l’auteur de l’article.


    Les plus grands traitres à la cause Palestinienne sont les pays arabes. Par manque d’intelligence et d’hommes d’Etats dignes de ce nom. Mis à part le grand Tunisien Habib Bourguiba. Mais il était trop en avance sur son temps.
    « Avant l’heure ce n’est pas l’heure , après l’heure ce n’est plus l’heure » disait Péguy.





     Les peuples arabes , ont été des sujets vivant sous des régimes religieux et autoritaires depuis les califats, puis la colonisation Ottomane pendant quatre siècles ( presque le quadruple de la colonisation occidentale, que beaucoup d’arabes ignorent. Aucune mention dans les manuels scolaires ou alors succinctement) jusqu’à la colonisation occidentale.

    « La Nahda avait-elle insuffisamment préparé les Etats arabes souverains à l’exercice d’une liberté chèrement acquise ? Nous étions libres , mais libres de quoi faire ? Libres d’agir , mais comment ? La succession de l’Empire ottoman contre lequel nos dirigeants s’étaient rebellés et qu’ils avaient , avec leurs alliés d’Occident ,aidé à battre , nous semblait une bien lourde charge . Nous évoquions, en guise d’alibi une » responsabilité de l’Histoire« . Ghassam Tuéni,ancien Ambassadeur du Liban à l’ONU et présent lors de la création de l’Etat d’Israël.

    Les indépendances devaient normalement apporter la liberté et la prospérité, et transformer l’indigène en citoyen. On connait la suite de l’histoire avec ses héros négatifs , Nasser-Saddam Hussein-Hafez al-Assad-Muammar Kadhafi etc jusqu’à aujourd’hui avec Bachar al-Assad et Nasrallah. Héros de la résistance en massacrant leurs propres frères en religion.

    Les hommes d’Etat arabes se sont toujours servis de la cause Palestinienne pour canaliser et faire diversion afin de cacher leur faillite , économique, financière et sociale malgré une richesse insolente pour certains.

    Les Arabes dont leur grande majorité ne connaissent pas et pour cause la résolution 181 de l’ONU du 29 novembre 1947.
    Cette résolution recommande le partage de la Palestine en un Etat juif, un Etat arabe ( la Palestine n’est pas mentionnée) et une zone » sous régime international particulier".

    Or que font les Etats Arabes , ils refusent la résolution de l’ONU et dès la déclaration de l’Etat d’Israël le 15 mais 1948 se lancent dans la guerre avec à leur tête le roi Abdallah de Transjordanie en tant que commandant suprême des armées arabes, composées de la légion arabe-de l’Irak-Egypte -Syrie et Libanaise. Déjà !
    L’armistice signée, que font les pays arabes, l’Irak , la Syrie et le Liban rentrent chez eux , tandis que la bande de Gaz est administrée par l’Egypte de 1948 à 1967. 
    Et la Transjordanie annexe en 1950 Jérusalem -est et la Cisjordanie et se rebaptise Jordanie de 1948 à 1967 soit dix-neuf ans ( 19) presque une génération.

    Alors JM Bernioles qui a empêché les deux Etats Arabes Egypte et Jordanie de donner l’autonomie aux Palestiniens en attendant le règlement du conflit ?

    Pourquoi , la Jordanie avait elle annexé la Cisjordanie et Jérusalem est ? 

    Pourquoi y avait-il des députés d’origine palestinienne dans le Parlement de Jordanie ?

    Pourquoi la Ligue Arabe n’a jamais présenté une une résolution à l’ONU condamnant les deux pays arabes qui se sont octroyés le droit sur Gaza et la Cisjordanie ?

    Les pays arabes aujourd’hui , sans honte , exigent un retour aux frontières de 1967 , c’est-à-dire sur les territoires qu’ils avaient en leur possession avant la guerre de 1967. Où est le sens politique ?

    Quant à un Etat Palestinien , je suis convaincu , que celui-ci adviendra, mais au paravent, ils faut que les Palestiniens parlent d’une même voix et qu’ils se réunissent. 
    Il ne vous a pas échappé, que Gaza est gouvernée par le Hamas qui interdit au responsable du Fatah de mettre les pieds sur son territoire. Ce qui fait que Mahmoud Abbas peut se rendre dans tous les pays de la planète sauf à Gaza.

    Les Palestiniens auront leur Etat c’est le sens de l’histoire.

    Mais la question qu’il faut se poser est celle-ci : Est-ce que cet Etat Palestinien ressemblera aux autres Etats Arabes ou sera différend de ceux-ci ?








    • JMBerniolles 3 juillet 2013 21:00

      Merci pour votre commentaire ;

      Je pense que vous oubliez Nasser déjà en butte aux socialistes français ;

      L’Histoire ne revient pas en arrière.
      La colonisation israélienne est trop avancée. 

      La bataille de Syrie est un tournant décisif. Pas pour les palestiniens malheureusement, mais pour l’axe USA/Israél/Emirats arabes... je ne compte pas la France et la GB ; Celle-ci est un vassal assumé des USA et la France s’est déconsidérée et ne joue plus aucun rôle diplomatique. Au contraire sur ce terrain la France a déjà essuyé de sérieux revers, que seule des médias muselés et contraints à distiller une propagande peu crédible ignorent volontairement ; Ce qui fait que la plupart des gens ont une vision erronée du problème syrien.

      Déjà un croissant chiite [la formule est de Bassam Tahhan] s’est constitué et renforcé.

      Au fur et à mesure de sa résistance à l’agression de l’occident et des émirats, la stature de Assad grandit.
      Dans le passé, comme des commentaires l’ont souligné ici, jamais le monde arabe n’a pu s’unir.

      Il est possible que cela change. Et que cela conduise les peuples arabes à s’affranchir de la tutelle américaine exercée à travers des dirigeants corrompus.

      Il faut aussi considérer la crise économique, systémique en fait, profonde qui mine les pays occidentaux. Une défaite en Syrie provoquerait une aggravation des problèmes internes.

      Il est à fortement souhaiter que dans ces conditions les dirigeants israéliens soient raisonnables. Jusqu’à présent ils ne le sont pas.
      Le moyen orient est une véritable poudrière. On ne peut rien exclure y compris le recours à l’arme atomique de la part d’Israël.

      Il est clair qu’une des clés de tout cela est la reconnaissance par Israël des droits du peuple palestinien, finalement contre une reconnaissance de son existence par le monde arabe. 




  • Christian Labrune Christian Labrune 3 juillet 2013 23:05

    Aussi longtemps que la « cause » palestinienne se confondra avec l’islamo-fascisme du Hamas ou du Hezbollah, avec les intérêts particuliers des truands d’une « Autorité » complètement pourrie, les Palestiniens resteront perçus par tout homme un peu civilisé comme des primitifs particulièrement demeurés, aux comportements ignobles, hérités de Mohamed El-Husseini ou de son sinistre petit-neveu. Si l’islam s’effondrait enfin et rejoignait dans l’insignifiance les autres religions « du livre », peut-être que des solutions deviendraient possibles. La déconfiture probable, à brève échéance et un peu partout, des Frères musulmans, pourrait leur être favorable, mais il ne faut pas se faire trop d’illusions. De toute façon, Israël a fini par s’habituer à leurs sinistres et répugnantes exactions. Si les pauvres et bons (je m’amuse !) Palestiniens ne veulent vraiment pas évoluer pour entrer enfin dans le monde civilisé, les choses peuvent sans difficulté rester en l’état pendant encore bien des années, voire éternellement.


    • Constant danslayreur 3 juillet 2013 23:16

      « De toute façon, Israël a fini par s’habituer à leurs sinistres et répugnantes exactions »
      Vous êtes vous même une sinistre compilation de répugnantes exactions à vous tout seul, Israël et son antéchrist de mes deux, ont-il fini par s’habituer à vous aussi ?


    • Constant danslayreur 3 juillet 2013 23:30

      Et si j’étais... ce que vous êtes... je ne me soucierais ni du hamas ni du hezb par contre je surveillerais de près le niveau du lac de tibériade et quand icelui serait à son plus bas, je lorgnerais sans être rassuré du côté des étendards noirs venant du khorassan vous botter le fondement votre maître et vous sous la conduite du fils de Marie himself

      Ne me remerciez pas pour le tuyau, j’aime beaucoup partager smiley

       


    • Shawford42 3 juillet 2013 23:32

       smiley smiley smiley


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