vendredi 21 mai 2021 - par Bernard Dugué

Trois scénarios pour l’épidémie ces prochains mois

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 L’année 2021 se présente comme incertaine avec un reflux incertain en Europe et aux States, un regain épidémique en Asie et une situation incertaine dans nombre de pays. S’ajoutent les facteurs sociaux, la déprime généralisée, les mesures sanitaires, les tensions sur les matières premières et les composants électronique, l’extinction partielle du tourisme et des voyages, le chômage, les tensions géopolitiques, bref, un monde traversé par des instabilités dont nul ne peut prévoir l’issue ni les secousses à venir. A ces incertitudes s’ajoute l’évolution incertaine de la pandémie.

 

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 Il est certain maintenant que la prédiction précise de l’évolution épidémique est impossible. La plupart des épidémiologistes ont donné des tendances mais se sont trompés sur les estimations. La vague de novembre n’a pas atteint les 7000 réanimations. La vague du printemps 2020 n’a pas atteint ce qui était redouté, en arrivant de plus quelques semaines après les estimations de l’Inserm. Deux enseignements à retenir. Seules les anticipations à deux semaines sont fiables. C’est un peu comme les prédictions météo. Pour les estimations à deux mois, les épidémiologistes ont le choix entre un scénario favorable et un autre défavorable. Les alarmistes et les médias (la Pravda du Covid ?) choisissent le second, car il justifie les mesures sanitaires et incite les Français à s’isoler, se fuir, rompre les contacts sociaux. Moins il y a de vie sociale, moins le virus circule. Pour les prédictions à six mois, un troisième scénario est possible, le cauchemar.

 

 Ce 20 mai, la décroissance est rapide, autant pour les réanimations que pour l’incidence, tombée en dessous des 150 le 16 mai alors qu’elle était à 190 au plus bas fin février, pour culminer à 410 au premier avril (elle est tombée à 125 car une correction a été apportée aux méthodes de calcul). Même chose pour la positivité. 6% au plus bas en février, 4.5 % le 15 mai. Les réanimations vont descendre pendant trois semaines pour atteindre les 2500 à 3000 ou peut-être moins. Un scénario favorable prévoit alors une longue et lente descente. Trois effets se conjuguent. L’immunité vaccinale, l’immunité naturelle et la saisonnalité du virus. Le seul chiffre tangible étant le nombre de vaccinés. La saisonnalité appartient au « bon vouloir de la nature ». L’immunité naturelle repose sur le nombre total de contaminés. Nous en sommes à 6 M de cas enregistrés. Le chiffre doit être corrigé car pendant la première vague, les cas n’étaient pas enregistrés sauf dans les hôpitaux. Il faut ajouter au minimum 1.5 M de cas, ce qui fait 7.5 M, avec un asymptomatique sur deux. Or, les chiffres indiquent que les asymptomatiques sont au moins de ¾. Ce qui ferait 15 M de contaminés, voire plus. Un chiffre intéressant mais pas assez élevé pour une immunité naturelle de masse.

 

 Le scénario favorable promet moins de 1000 réanimations au milieu de l’été.

 

 Le scénario défavorable est simple à formuler, même sans faire intervenir les variants. Les contaminations restent à un niveau bas mais soutenu. Disons une incidence stabilisée, 100 à 120. Ce qui correspond à 1500 à 2000 réanimations, avec une longue et très faible décroissance liée à la vaccination. Le scénario défavorable est simple, c’est un plateau durable tout l’été. Autrement dit, un été un peu meurtrier.

 

 Le scénario cauchemar pourrait être désigné comme été indien par des épidémiologistes facétieux. Car il se dessine pendant l’été indien, autrement dit, octobre et début novembre, et que le variant indien s’invite, pour autant qu’il soit bien le variant redouté. D’autres variants peuvent arriver. Le scénario cauchemar repose sur une contamination soutenue par des variants contagieux, combinée à un échappement immunitaire. Ce qui laisse entrevoir une vague aussi importante qu’à l’automne 2020. Cela étant, on ne peut pas anticiper l’effet de ce variant ni l’émergence d’autres variants.

 

 Au final, il y a trois classes de scénarios formant un continu dont on peut évaluer la gravité sur une sorte d’échelle de Beaufort ajustée aux paramètres épidémiologiques. Auquel cas, petite brise signifie circulation à bas bruit du virus, grand frais signale des vents mauvais avec un plateau assez élevé et pour finir, avis de tempête pour indiquer un scénario cauchemar.

 

 Conclusion, rien ne va mal mais tout peut arriver. Bon vent et bonne route

 



30 réactions


  • pierre 21 mai 2021 11:25

    Conclusion fergussiene : « Conclusion, rien ne va mal mais tout peut arriver. Bon vent et bonne route »

    "


  • Sylv1 21 mai 2021 11:33

    J’y vais aussi de mon scénario : Augmentation des cas et des morts chez les vaccinés, mesures coercitives envers les non-vaccinés, émeutes sociales, déploiement de l’armée.

    Ensuite plusieurs autres « histoires » vont venir opportunément se greffer : pseudo-cyberattaques qui perturbent l’approvisionnement, lancement de la guerre « islamistes des cités vs peuple français » (cf. la préparation de l’opération psychologique par les différentes lettres des militaires). Tout ça pour après les vacances d’été.


    • Clocel Clocel 21 mai 2021 11:43

      @Sylv1

      Tu as oublié le climat !

      Le triptyque infernal : Terrorisme/Santé/Changement climatique.

      Le credo des possédés de Davos dont l’UE est la figure de proue.


    • pipiou2 21 mai 2021 12:13

      @Clocel
      Sans oublier les invasions de zombies.
      Et le pire : rupture de l’approvisionnement en baguettes et sauciflard. smiley


    • Gasty Gasty 21 mai 2021 19:37

      @Clocel

      Et les élections par vagues successives : Régionales, départementales, et ensuite les présidentielles, les législatives. smiley


    • goc goc 22 mai 2021 05:19

      @Sylv1
      Et surtout sans oublier le risque (presque) certain, celui de l’effondrement généralisée des économies mondiales, suite aux pénuries et donc à un krach boursier entrainant des faillites géantes, le tout à cause d’une inflation devenue incontrôlable (à cause des pénuries, elles aussi devenues incontrôlables)

      Je serais un complotiste (que dieu m’en préserve), je dirais que cela ressemble à une vengeance asiatique après la contamination volontaire, par un virus, de l’empire du milieu par l’autre empire, celui qui est en fin de règne.


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 2021 08:19

      @samy Levrai

      Le 15 avril 2020, des chercheurs de l’université de Zurich établissaient que le SARS-COV2 provoquait une « endothélite », une maladie des vaisseaux. 

      https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2820%2930937-5

      C’est la faiblesse pré-existante de l’endothélium vasculaires des malades qui était déterminante pour les suites de la maladie. De ce fait, les obèses, les diabétiques, les hypertendus, les malades des coronaires, les insuffisants rénaux, ont été des victimes de « choix » du SARS-COV2. 

      Par ailleurs, la maladie provoquée par le SARS-COV2 se soigne comme on soigne une pneumonie : à l’aide d’antibiotiques macrolides et ce, dès les premiers symptômes. 

      En soignant les malades dès les premiers symptômes à l’aide d’antibiotiques macrolides, et le cas échéant d’anti-coagulants, cette maladie serait passée inaperçue. Aujourd’hui encore les soins aux malades par antibiotiques macrolides ne sont toujours pas recommandés par « nozotorités ». 

      Une pneumonie c’est, chaque année en France, 400.000 à 600.000 malades et, chaque année « seulement » 18.000 morts grâce aux soins apportés « dès les premiers symptômes » par les médecins de terrain. Si ces médecins ne soignaient pas les malades de pneumonies « dès les premiers symptômes » le bilan annuel de la mortalité par pneumonie serait conséquent.

      Et bien, c’est ce à quoi nous avons assisté avec cet épisode SARS-COV2. Les soins n’ont pas été apportés aux malades dès les premiers symptômes. Il fallait développer l’injection expérimentale, il fallait injecter la planète entière. C’était l’un des buts de la stratégie. 

      Tout ceci pue l’embrouille et la manipulation politique ! Un vrai dégoût de cette espèce humaine manipulatrice. 

      Le travail de cette pneumologue n’a jamais, jamais, été démenti ! 

      https://visegradpost.com/fr/2021/03/22/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 mai 2021 08:43

      @Legestr glaz
       
      Les gouvernements ont remplacé les terroristes par le Sars cov 2 ; c’est facile à comprendre après avoir écouté cette vidéo qui date du 25 novembre 2015, après les attentat :

       

      Vous pouvez vérifier que tout ce qui y est annoncé se réalise aujourd’hui.


    • nono le simplet 22 mai 2021 08:43

      @Legestr glaz
      si les antibiotiques dont les macrolides soignaient les infections virales ça se saurait depuis longtemps ...
      les macrolides sont des bactériostatiques à diffusion profonde qui peuvent éviter une éventuelle surinfection bactérienne pour une infection virale mais ne soignent pas l’infection virale ... antibiothérapie de « couverture » ...


    • I.A. 22 mai 2021 20:11

      @Sylv1

      Possible aussi.

      Moi, j’ai considéré « les différentes lettres des militaires », comme une bête façon de garder Marine le Pen sur le devant de la scène : elle passera ainsi plus facilement le 1er tour... et du coup, l’autre débile pense la battre au 2ème round.

      Il faut dire qu’il aime jouer avec le feu, notre débile national !


    • Legestr glaz Legestr glaz 22 mai 2021 22:37

      @nono le simplet

      Et bien les gens meurent de sur-infections. Vous ne le saviez pas ?

      Par conséquent, prescrire, dès les premiers symptômes des antibiotiques macrolides est une excellente idée, comme l’a fait cette pneumologue roumaine, les médecins mosellans et la doctoresse Sabine Paliard Franco : 
      « Près de Grenoble, le Dr Sabine Paliard-Franco traite ses patients touchés par la Covid-19 avec des antibiotiques macrolides associés à des Céphalosporine de 3ème génération appelés C3G. Elle obtient des résultats spectaculaires. Nous l’avons contactée mais elle n’est pas autorisée par le Conseil de l’Ordre à parler à la presse. »

      https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacite-d-un-protocole-a-base-d-azithromycine

      Pour le SARS-COV2, en plus, il faut parfois des anti-coagulants parce que ce virus provoque des mini-thromboses ! 

      A votre avis pourquoi soigne t-on les pneumonies virales à l’aide d’antibotiques macrolides ? Pour éviter les sur-infections. Ce n’est pas compliqué voyez vous. Sauf lorsque l’on est dans la propagande et la manipulation comme vous et « nozotorités » ! Parce que les antibiotiques macrolides ont été interdits ! On aurait voulu tuer les gens on ne s’y serait pas pris autrement ! 

      D’ailleurs, lors de la grande « grippe espagnole » les gens sont décédés très majoritairement de « sur-infections » ! Et toc nono le simplet. Arrêter de faire semblant. D’ailleurs les résultats sont ici ! 

      « Les surinfections bactériennes 

      La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes” à risque”, c’est donc tout l’enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales.

      Fatigué par l’infection grippale, l’organisme se défend moins bien contre les autres microbes. Une surinfection bactérienne peut survenir, surtout si la personne est très jeune et que son système immunitaire n’est pas mature ou inversement si la personne est âgée et que son système immunitaire est moins performant. Les surinfections bactériennes post-grippales se traduisent par des pneumopathies, des bronchites, des infections ORL (otites ou sinusites, surtout chez l’enfant) et, plus grave encore, des septicémies. »

      Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole.

      Depuis Fleming, pour la pénicilline, et Pasteur, pour les mesures d’hygiène, sont passés par là. Mais si elles sont mieux contenues, les surinfections bactériennes sont toujours meurtrières. Pneumocoques, Haemophilus influenzae et staphylocoques dorés continuent à prospérer sur des terrains laminés par le virus de la grippe.

      https://www.pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/



      Nono le simplet, vous devriez arrêter de propager des contrevérités ! Vous essayez, très maladroitement, de défendre l’indéfendable ! Votre cynisme est infect ! 

  • Clocel Clocel 21 mai 2021 11:37

    J’adore la science lorsqu’elle a ce niveau de précision...

    Et tout repose sur cette fumisterie... Mon Dieu...

    Du coup, on la joue comment chez les bookmakers !? smiley


  • pierre 21 mai 2021 12:06

    Donc le programme est : plus d’immigration, zéro pour moi


  • alinea alinea 21 mai 2021 14:34

    Conclusion : quand on n’a rien à dire, mieux vaut s’éviter de causer et subrepticement laisser le quidam se réapproprier sa vie et son avis. Rassembler ses énergies et réfléchir à comment se débarrasser de ce pouvoir malséant.


  • lejules lejules 21 mai 2021 16:53

    afin de réagir avec un peu d’humour face a une propagande éhontée je me défend a ma maniere avec radio serpent N°5

    https://www.youtube.com/watch?v=96iKj1SsluQ&t=4s

    pour ceux qui n’aurait pas vu la N°4

    https://www.youtube.com/watch?v=WChhqRouZ0s&t=13s


  • Reflexo78 Reflexo78 21 mai 2021 19:50

    Luc Montagnier en réponse à la question « D’où viennent les variants ? » : « C’est très simple, les variants viennent des vaccinations ! »

    Luc Montagnier, Prix Nobel de physiologie ou médecine de 2008, pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH)
    4"05 : les nouveaux variants sont la résultante des vaccinations
    https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/montagnier/b4f36cc18db3becdf9 3aa6f756039dd97d669f33/0a7b32


  • ETTORE ETTORE 21 mai 2021 20:34

    Je crois que le nombre incroyable, de traces de doigts gras, sur la boule à Madame Irma , rend cette dernière inopérante, à prédire l’avenir qui nous attend.

    la seule solution, devant cette impossibilité à décrypter, ce à quoi, elle était destinée dans sa fonctionnalité originelle ( attrape gogo, ou convertis expiatoires) , est de changer sa destination première.

    La prendre comme boule de bowling, et de faire un strike magistral, dans ce jeu de quilles molles, qui font semblant de se tenir droit dans leurs bottes, avec nos libertés sous leurs talons, pour les faire paraître à la hauteur de leur morve.


    • Aristide Aristide 22 mai 2021 09:07

      @ETTORE

      Je souscris à votre proposition, pour ma part je serais assez satisfait que tous ces spécialistes disent qu’ils ne savent pas et que les politiques avouent qu’ils essaient de faire le moins mal. 

      Malheureusement, je crains que cette modestie liée à la méconnaissance de cette épidémie soit impossible.


  • Baron de Risitas Baron de Risitas 21 mai 2021 23:09

    L’immunité de masse est une grosse connerie, si ça marchait tout le monde aurait déjà attrapé la grippe depuis le temps et il n’y aurait plus d’épidémie de grippe tous les ans .

    Le covid c’est pareil il n’y aura jamais d’immunité collective et le vaccin a un effet quasi nul, vous serez protégé au plus 3 mois.

    Croyez moi octobre ça va repartir confinement, masque et couvre-feu .

    Je préfère dire la vérité et ne pas donner de faux espoirs .


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 22 mai 2021 10:02

      @Baron de Risitas Vous envisagez le scénario cauchemar avec des hypothèses très pessimistes. Vous êtes le seul à réagir sur le thème de l’article dont l’intérêt serait d’anticiper une nouvelle vague et de débattre sur la gestion de la crise sanitaire. Le confinement et le couvre-feu de dépendent pas de l’épidémie mais de décisions politiques dans lesquelles nous citoyens, devons nous impliquer. Nous devons refuser l’état d’urgence et les privations de liberté. 


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 mai 2021 11:24

      @Bernard Dugué
       
       les réactions sur ce sujet ont été largement développées par des tas de gens sur des tas d’articles que vous n’avez probablement pas lus.
       .


  • ETTORE ETTORE 21 mai 2021 23:51

    Baron de Risitas

    Croyez moi octobre ça va repartir confinement, masque et couvre-feu


    Oui, mais ça, on s’en doute quand même un peu, à moins d’avoir une confiance aveugle en ce groupe de vendus.....Ou très très peu de neurones actives.

    Le but du jeu, en ce moment, est :

    1/ D’appâter les plus jeunes, avec les autorisations de voyage et de loubba, pour les waxxiner.....Un pass par ci, un pass par là.

    2 mouvements, et je t’embrouille avec un cocktail de réserve.

    2/ Faire chier « les défavorisés » qui n’ont pas été piccousés, mais bon, l’heure est au lâcher de testicules aux terrasses, au sacrifices des porte feuilles ouverts comme des huitres laissées trop longtemps au placard, le mot d’ordre est :

    CON sommation ! ou  sommation à la CON ? De dépenser, sans penser aux lendemains qui vont déchanter, car c’est bien de cela qu’il s’agit !

    Ceux qui ne comprennent pas, qu’ils ont, dorénavant , une laisse à ressort autour du cou, finirons étranglés de rage, au risque, plus que probable, de hâter leur prochain traitement contre la rage, par le bon Pasteur Elyséen !

    Quand ce gouvernement vous « donne » quelque chose, c’est qu’il a déjà hypothéqué, ce que vous lui devez.

    Sachez le !


  • LeMerou 22 mai 2021 08:31

    @ L’Auteur

    « les épidémiologistes ont le choix entre un scénario favorable et un autre défavorable. Les alarmistes et les médias (la Pravda du Covid ?) choisissent le second »

    Entièrement d’accord, c’est quand même assez incroyable le traitement de cette affaire, comme si une grande partie du monde dit « civilisé » devant la morosité, était désireux de vivre un mal énorme, une grande épidémie, comme au moyen âge. Notre siècle est mal de maux ?

    Parce que 4 millions de morts environ dû (normalement) au C19 pour presque 8 milliards d’individus sur la planète, le pourcentage de mortalité est tout simplement ridicule eu égard aux grandes épidémies du passé.

    La folie des chiffres assenés, plus ils sont grands, plus ils font peur surtout quand ont fait abstraction de la proportionnalité.

    26 millions de contaminés en Inde, pour 1,4 milliard d’individus....Cela en fait moins que chez nous...Alors quand aux décès dû au C19 chez eux (sous réserve d’un comptage fiable), je n’en parle même pas.


    Il est indéniable que le C19, élimine une certaine catégorie de la population, toujours la même (si l’on étudie correctement les choses), les vieux, les faibles et ceux qui de toute façon sont affaiblis par un problème de santé du peut être au mode vie.


    La vrai question est pourquoi joue t-on à se faire peur, l’étude de la surmortalité due au C19 est inutile sauf pour tenter de justifier la folie ambiante par des chiffres, qui ramenés aux nombres d’habitants sont ridicules.




  • LeMerou 22 mai 2021 08:35

    On entends déja le fameux « Conseil scientifique » spécialiste en prévision maritime parler de la quatrième vague, L’automnale, avant le reflux hivernal, se transformant en cinquième vague printanière, la vague indienne pour l’instant, mais elle peut changer d’origine aussi.

    La vague Australienne ?....... Pourquoi pas, le variant Kangourou...


  • Aristide Aristide 22 mai 2021 08:59

    S’il y a une certitude dans toute cette affaire, c’est l’incertitude. Certains ici ne cessaient de dénigrer mes messages en parlant d’incertitude péremptoire. Je la revendiquais et plus que jamais je continue.

    Je constate assez simplement et sans aucune satisfaction qu’un an et demi passé, ce niveau incertitude ne cesse d’augmenter en même temps que la connaissance de ce virus augmente. Et pas seulement sur la dynamique de l’épidémie, sur ses traitements où rien de neuf depuis des mois, sur les séquelles où tous les jours amènent leur lot de craintes, sur l’efficacité des mesures de prevention qui est interrogée et mise en cause, sur le seuil de cette attendue et espérée immunité collective qui est discutée et même remise en cause, sur les vaccins et leur future protection, ...

    Après, il ne manque personne sur les forums pour continuer à asséner des vérités indépassables ...


    • nono le simplet 22 mai 2021 09:29

      @Aristide
      tous les pays qui ont vacciné avec du Pfizer ou du Moderna ont vu la mortalité chuter de manière spectaculaire ... ces vaccins commencent à être disponibles en quantité massive ... ces vaccins gardent leur efficacité contre tous les variants ... leur durée d’efficacité est encore inconnue mais d’au moins 8 mois ... leur fabrication est très rapide et une nouvelle vaccination pourrait être faite dans des délais très brefs ...
      reste d’hypothétiques effets secondaires dus aux vaccins ARNm dans les années qui viennent ... peu vraisemblables, la technologie n’étant pas récente ...
      elle est où l’incertitude ?
      et pour ce qui est des pays en reprise épidémique comme l’Inde ou la plupart des pays d’Amérique du Sud ils ont vacciné avec d’autres vaccins que les ARNm ... on connait leur manque d’efficacité face aux variants ... et/ou ont très peu vacciné comme le Japon ...


  • Clocel Clocel 22 mai 2021 10:07

    Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé.

    Excellent, comme toujours...


  • ETTORE ETTORE 22 mai 2021 13:44
    nono le simplet 22 mai 09:29

    @Aristide
    tous les pays qui ont vacciné avec du Pfizer ou du Moderna ont vu la mortalité chuter de manière spectaculaire ... ces vaccins commencent à être disponibles en quantité massive ... ces vaccins gardent leur efficacité contre tous les variants .


    Eh bien, bonne nouvelle pour vous nono le simplet.

    L’Allemagne vient de déclarer l’Angleterre ( qui comme vous le savez, a vacciné exemplairement une très grande partie de sa population, à faire pâlir de honte, les bouffeurs de grenouilles que nous somme) pays de virus mutagène dangereux.

    Les Anglois, (pourtant waxxinés, plus que nous, et tout aussi bien en produits identiques) se voient soumis à quarantaine à l’entrée du pays des Teutons !

    Alors, que ces mêmes Teutons, vont libérer de toute contrainte, waxxinale et de tests, la frontière entre l’Alsace et leurs régions frontalières.

    Alors nono ? Peut on être hyper waxx, et se faire traiter de probable faiseur de mutant ?

    Les Allemands, sont ils plus psychorigides que les Francaouillis ?

    Est ce juste une vengeance, remontant à la fin de la guerre ?

    Ou verrons nous, ce genre d’affirmation, prendre de plus en plus, l’autoroute, d’une réalité qui vas se confirmer innexorablement, et qui vas faire de ces candid ats la waxx, la pire calamité mutagène, pour le reste du monde, quitte à les perfuser tous les 6 mois, afin d’éviter que ces bombes à retardement virales, n’implosent hors du programme d’expérience initial ?

    Vous voulez que je vous passe Mam Merckel ?


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