jeudi 8 mai 2008 - par ÇaDérange

Un Grand Bravo à François Fillon pour son anglais

Ce n’est pas pour son action politique que chacun est à même de juger directement que j’adresse ce Grand Bravo à notre Premier Ministre François Fillon mais pour un élément de son action que vous pouvez juger futile mais qui me parait, moi, très important. Je veux parler du fait qu’il ait fait un discours en anglais lors de son récent voyage à Washington.

Si vous me lisez régulièrement, vous savez que je suis un adepte du principe de réalité et que je préfère, autant que faire se peut, me conformer à la réalité de notre monde d’aujourd’hui, qui est qu’il parle anglais, plutôt que de pratiquer des incantations permanentes à la résurgence du français. On aime ou on aime pas, je vous laisse juge de votre opinion sur le sujet.

Vous savez ou ne savez pas,- nos médias sont peu diserts sur le sujet -, que nos hommes politiques parlent peu ou mal l’anglais. La faute au fait que leur profession d’origine, fonction publique, avocats ou autre est très centrée sur la France hexagonale et que leur profession suivante, élus, représentants du peuple, ou homme politique ne necessite pas la connaissance de l’anglais. Par ailleurs, en auraient ils besoin qu’ils préfèreraient bénéficier du confort de l’interprétariat que leur offre la République.

Tout ceci fait qu’ils ne percoivent le monde extérieur qu’en des occasions infiniment moins fréquentes que le monde franco français et qu’il le font par l’intermédiaire du filtre de l’interprète dont on sait qu’il ne transcrit pas nécessairement toutes les finesses du sujet qu’il traduit. De la même manière quand il s’agit d’exprimer ses opinions ou ses suggestions, on est forcément infiniment moins compréhensible et donc moins convaincant dans sa langue natale traduite que si l’on est capable de conduire la conversation dans la langue anglaise.

Une anecdote à ce sujet. J’ai été à une époque Président d’un Comité Européen et à ce titre je devais faire le discours d’ouverture d’une des sessions. Je souhaitais, non pas faire un discours convenu sans grand intéret, mais passer un message fort à l’intention des constructeurs allemands présent dans la salle. J’ai choisi, après réflexion, de le faire en Français, langue officielle de la conférence soumise à traduction simultanée, plutôt qu’en anglais. J’ai eu la surprise de m’apercevoir que dans la salle, les participants ne firent même pas l’effort de mettre les écouteurs. Je me suis aperçu ce jour là que j’avais sacrifié la communication du "message" que je souhaitais passer à mon amour propre de français, le contenu au contenant.

Tout ceci pour dire que j’ai apprécié l’effort fait par François Fillon de s’addresser à son auditoire américain dans sa langue et que j’ai trouvé qu’il semblait la maitriser assez bien, même si effectivement son accent reste très français. Je suis sur que ses interlocuteurs lui ont su gré d’avoir fait cet effort pour eux.

A l’époque où les ingénieurs et dirigeants français sont devenus des pratiquants habituels de la langue anglaise, il ne serait pas normal que notre corps politique continue à apparaitre comme retardataire dans ce domaine par rapport à ses homologues européens et mondiaux.

Si l’on veut influer sur le cours du monde, il faut en parler la langue...



17 réactions


  • Sébastien Sébastien 8 mai 2008 11:56

    Je me rappellerai toujours ce garcon de cafe qui demande a ses clients s’ils veulent "one ou deux" coca-cola. C’etait grandiose.

    L’enseignement de l’anglais devrait commencer le plus tot possible et etre beaucoup plus pratique. J’avais vu un reportage sur des cours d’economie au lycee, si ma memoire est bonne, donnes en anglais. J’avais trouve l’idee geniale.

    Et puis si on sous-titrait les films au lieu de les doubler, meme a la tele, ca serait aussi tres bien.


  • Krokodilo Krokodilo 8 mai 2008 15:04

    L’anglais est loin d’avoir gagné dans la guerre d’influence que se livrent les principales langues, il suffit de voir la montée en puissance du chinois, la multiplication des Instituts Confucius partout dans le monde, y compris le monde anglophone et francophone (France, bientôt au Maroc). Sans en avoir la preuve, je crois l’anglais sur le déclin ou du moins à son apogée, raison pour laquelle il est si important pour lui de se voir introniser langue de l’UE. Or, l’UE est bâtie sur l’égalité des peuples et des langues, même si officiellement il y a deux ou trois langues de travail, et si en réalité tous les documents européens sont en anglais. Seulement, comme c’est contraire à l’esprit européen, cela ne peut être reconnu officiellement... Reconnaître comme lingua franca de l’UE la langue de13% de ses citoyens, ce serait fragiliser une construction déjà très bancale.

    Par ailleurs, tout votre article est basé sur l’axiome que le monde entier parle anglais et le reconnaît comme langue internationale, ce qui est faux. Allez faire un tour en Amérique du sud, ou en Asie en sortant des hôtels et des réunions de "businessmen".

    Comme on disait probablement il y a quelques siècles, l’esclavage est une réalité, il faut l’accepter ! De nos jours, le travail des enfants est une réalité dans de nombreux pays, faut-il l’accepter ?

     

    Puisque vous parlez des congrès, à cause de l’hégémonie de l’anglais, dans les congrès scientifiques, les locuteurs natifs parlent plus souvent et plus longuement que les autres orateurs. Ce n’est qu’une des nombreuses injustices engendrées par cette situation.

     

    L’anglais a fait reculer le français dans l’UE, et François Fillon vient de contribuer encore à son déclin en reconnaissant ainsi la suprématie de l’anglais devant les télévisions. En d’autres temps, cela aurait mérité une démission... Qu’il honore ses hôtes en privé, par courtoisie et politesse, en anglais, en chinois ou en russe, pourquoi pas, mais un discours officiel représente son pays et ses intérêts.


  • Hermes esperantulo 8 mai 2008 16:17

    oui il semble que dans notre monde globalisé à l’heure de la mondialisation que l’anglais soit un vecteur incourtounable pour la communcation internationale. Mais de nombreuses questions se posent.

    Il est tout à fait logique et concevable qu’un ministre ou personne politique fasse son discourt dans la langue du pays donc dans le cas des US l’anglais, mais il est tout à fait possible de se faire traduire pour éviter certains malendendus possibles.

    Maintenant les francais sont ils à la traine au sujet de l’anglais, nos voisins politiques allemand, italien, polonais, russe, espagnols, ect parlent’ils tous qu’en anglais dans le monde, quelle est cette proportion mais aussi qu’elle est la proportion de personnes se fesant traduire ?

    Cette manie à tout va pour l’anglais quel est sont but réel, faire de l’américanisme donc vouloir ressembler aux US, être son valet, rapetisser l’influence de son propre pays ou vouloir le faire grandir ? Donc est ce surtout un travail d’image de grandeur ou un travail en profondeur pour la grandeur ?.

     Cet exercice du tout à l’anglais est aussi dangereux pour l’Europe qui repose en théorie sur l’égalité de chaque cytoyen, car il conduit inéviatable dans les fait à une inégalité linguistique, donc à la modification même d’un fondement et pilier de l’europe. Cette modification va t’elle profonde va t’elle produire le déclin de l’Europe ou au contraire la grandir plus ?

    Pour ma part je pense qu’en europe le tout anglais produirait l’éffondrement de l’Europe car les langues et pays sont intimement liés, et l’angalis malgré son apparente solution pour la communication européenne est plus un désaventage car ele produit deux clans une elite bilingue minoritaire car pour bien parler anaglis avec toutes les nuances d’un chef d’état il faut bien mieux maitriser l’angalis qu’un niveau bac. Qui plus ait cette manie du tout angalis sans mise en place de contre pouvoir de protection etatique risque et cela se produit déjà actuellement un certains nombres de pertes économiques en Europe


  • Internaute Internaute 8 mai 2008 17:22

    Le fond de l’article est intéressant mais vous êtes cynique en ramenant la dimension de la visite de Fillon au syndicat du pouvoir juif mondial à une simple question d’anglais.

    La vraie question à ce poser est comment est-il possible qu’un Premier Ministre qui se rend en visite d’Etat aux USA s’arrête au WJC. Cela signifie simplement que ce sont à ses yeux les gens les plus imoprtants des USA à rencontrer pour traiter les problèmes de la France, de l’Europe et du Monde.

    Sur le plan du protocole le WJC n’a pas plus d’importance que le syndicat des camionneurs. Alors, pourquoi Fillon y va de ses courbettes ? Quelle est notre indépendance vis à vis de ce pouvoir omniprésent ? Cela me rappelle la visite de Nicolas Sarkozy en ce même lieu juste au début de sa campagne. En simple candidat et en simple ministre de l’intérieur il avait été reçu ensuite (notez le ensuite) par le président des Etats-Unis. Pourquoi nous raconte-on que Fillon ne peut pas être reçu à la Maison-Blanche car il n’y a pas de poste équivalent au premier ministre aux USA ? Cette visite est une humiliation pour tous les français qui se respectent, sans distinction de sexe, de race ni de religion.

    C’est cela qui importe dans la visite de Fillon et pas son anglais ni la couleur de ses chaussettes.

     

     


  • luteola luteola 8 mai 2008 17:27

    Je ne suis pas d’accord. Pour etre subtil, il faut s’exprimer dans sa langue, ou alors maitriser très finement la langue étrangère. Je travaille en anglais depuis déjà un paquet de temps, je pense savoir de quoi je parle. Si fillon ne maitrise pas l’anglais, alors qu’il se fasse traduire, au moins pour la cohérence du discours qui sera surement mieux reçu s’il est traduit que s’il est baragouiné...

    Mais de toute façon le problème n’est pas là. La réalité est que l’anglais est la langue véhiculaire de ce monde, la langue du commerce, du tourisme. On a perdu cette bataille, ok. Mais je persiste à croire que quand des dirigeants se parlent, surtout en public et lorsqu’ils représentent leur pays, la conversation doit se faire dans la langue de son pays,, traduite. L’anglais n’est pas la langue officielle du monde. Pourquoi les dirigeants devraient-ils parler dans une langue étrangère aux seuls anglosaxons ? Pourquoi ce cadeaux à eux seulement ? D’une la réciprocité n’est jamais là, et deux Fillon ira-il parler chinois à Pekin ? Surement pas... Croire que les anglosaxons vont mieux nous traiter parce que Fillon parle anglais c’est mal les connaitre. Chirac parlait anglais à CNN, ca ne l’a pas empeché d’etre brocardé par la suite. La france parle assez mal anglais, pourtant notre pays accueille des touristes par millions...

    Bref, quand sarko ou fillon parlent en notre nom à l’étranger, je m’attend à ce qu’ils parlent français. En tout cas dans les discours publiques. C’est une question de principe.


  • eugène wermelinger eugène wermelinger 8 mai 2008 18:27

    Et puis, tant qu’on y est, puisqu’il faut accrocher les wagons au train qui court vers la déroute : Go ! Supprimons aussi l’euro qui empêche le dollars d’être en tête partout dans le monde et comble d’impertinence de nous faire encore payer un peu moins cher ce cher pétrole. Le prix de la carpette anglaise sera pour nous, il n’empêche qu’une carpette reste un essuie-pieds. Tel est notre destin. Grandeur et décadence.

    Niaoh (bonjour pour les chinois).


  • mat 8 mai 2008 21:30

    Les remarques de Krokodilo et luteola me semblent pleines de bon sens.

     

    Que Fillon montre en privé sa maitrise de la langue de l’hote, pourquoi pas (qu’il le fasse aussi avec nos plus proches voisins allemand, espagnols ou italien soit dit en passant). S’acharner à parler tout anglais est ridicule. Contrairement à ce qu’écrit l’auteur, s’exprimer dans une autre langue avec toute les subtilités possibles nécessite une maitrise de l’anglais qui ne s’obtient sans doute qu’après bien des années dans un pays anglophone. J’utilise l’anglais pour le boulot et plus ça va, plus je le ressens !

    L’anglais est une des langues les plus difficile du monde à bien parler et bien maitriser ! Il vaut donc mieux une bonne traduction !

    De plus, le postulat de base imposant l’anglais comme lingua franca est bien plus fragile que le lobby anglo saxon voudrait nous le faire croire. Le mythe de la modernité des Etats-Unis est tenace et n’y est pas pour rien...

    Enfin, Il ya confusion entre maitrise totale de l’anglais et de toute ses subtilités avec le globish , anglais appauvri, simplifié à dessein, qui permet de baragouiner dans certains pays étranger (one pina colada please !).

    Les allemands sont notre premier partenaire économique : à mon avis, rien ne remplace un excellent niveau d’allemand dans ce cas. Hé bien il me semble qu’en alsace, l’enseignement de l’allemand recule. Le néerlandais aussi en Flandres. Je crois que les exmples sont multipliables : ce fanatisme au tout anglo saxon, ça devient vraiment n’importequoi...

     


  • Atlantis 8 mai 2008 21:39

    Qu’il se gène pas de rester là bas pour perfectionner la langue !


  • Rousquille Rousquille 9 mai 2008 03:20

    Cet article mérite le prix du paillasson anglomaniaque.

    La question n’est pas d’etre "franchouillard", mais de voir les implications politiques de l’emploi d’une langue au détriment d’une autre. Parler anglais aujourd’hui, c’est se ranger automatiquement dans la movance du tout-économique. Pour l’anglais, qui est quand meme une langue superbe (mais moins que l’allemand à mon sens), c’est bien sur tragique, et il existe des anglophones lucides pour le dire, qui vont jusqu’à affirmer que leur langue a été tuée par le sabir des "manageurs" et publicitaires.

    Que Fillon se soit exprimé en anglais pourrait etre interprété simplement comme une marque de politesse à l’égard de son auditoire. Il n’y aurait donc là pas de quoi s’affoler. Le problème, c’est que son geste s’inscrit dans une longue suite d’abaissements sur le plan de la politique linguistique de la France. de ce point de vue-là, il est malvenu.

    Je souscris aussi aux propos d’Internaute à propos du WJC. Un premier ministre français n’a pas à donner une telle importance à un organisme qui ne représente qu’une minorité. Qu’il aille faire des discours à Berkeley ou à Harlem, oui.


    • Rousquille Rousquille 9 mai 2008 03:22

      A l’avenir écrivez vos articles en anglais, Cadérange. Soyez donc totalement dans le vent...


    • Rousquille Rousquille 9 mai 2008 03:30

      Quand j’entends la manière dont l’angalis est massacré par tous les étrangers qui le parlent, je me dis que finalement, c’est une bonne chose que le français reste la propriété des locuteurs de souche.

      Le français est la langue de la pensée ; l’anglais est devenu la langue du calcul. Ici on réfléchit ; là on compte. Dans un monde dominé entièrement par les chiffres, par le mesurable et par la superstition scientiste, il était fatal que le français, qui en plus a bien du mal à créer des mots nouveaux, se soit retrouvé relégué. L’erreur serait de vouloir plier notre belle langue aux impératifs du monde moderne. Quand bien meme il ne resterait qu’une poignée de francophones dans le monde, cela serait préférable à l’asservissement à la pensée-fric.

      Reste que le français jouit encore de pas mal de prestige à l’étranger. En Chine, c’est la troisième langue la plus étudiée, après le japonais et l’anglais. Ne sombrons donc pas dans le pessimisme noir.

      Et tachons d’écrire des articles qui ne soient pas truffés de mots anglais mal venus...


    • Rousquille Rousquille 9 mai 2008 03:38

      L’anecdote que raconte l’auteur est révélatrice. On est confronté dans certaines instances internationales à ce qu’il faut bien appeler la haine de la diversité et surtout la haine du français.

      Il ne faut pas se bercer d’illusions : l’antagonisme entre l’esprit latin et l’esprit germanique va très profond. Comme l’antagonisme entre le catholicisme et le protestantisme. Et ce n’est pas des discours bredouillés en anglais qui y changeront quoi que ce soit.

      Puisque c’est d’un combat qu’il s’agit, puisque l’anglais s’impose par la force plus qu’il ne cherche à séduire, eh bien, luttons jusqu’au bout meme si c’est sans espoir. C’est l’esprit de Cambronne.

      Cadérange, vous etes un lache lèche-c.l, c’est tout...


  • Sébastien Sébastien 9 mai 2008 08:10

    Les commentaires anti-anglais sont delirants. Ne parlez pas anglais mes amis, il n’y a aucun probleme. Si vous restez toute votre vie en france sans jamais sortir, en effet vous ne pouvez parler que le francais.

    Mais si vous voulez travailler avec l’etranger ou simplement voyager, il vaudrait peut-etre mieux vous y mettre.

    Et puis tous ces commentaires contre les americains ou les anglais c’est ridicule. Je suis sur que certains ont des Nike au pieds en ecoutant du rap, regardent la NBA ou les series-americaines en buvant du coca. Alors quoi ? La ca vous derange plus trop, hein ?

    Et quant au commentateur qui se demande pourquoi le chinois ne serait pas la langue officielle a la place de l’anglasi, je me marre. Vu le niveau d’anglais en France, je n’imagine meme pas les francais apprendre a lire ou ecrire le chinois. Generalement quand on voyage et que les panneau sont en anglais, ca aide de savoir lire... D’ailleurs meme les chinois traduisent en anglais.

    Allez, bonne journee les mecs et oubliez pas le pate et le ricard a 11 heures...


    • luteola luteola 9 mai 2008 09:12

      t’as pas compris grand chose visiblement... on peut consommer anglo-saxon tout en refusant que nos dirigeants s’exprime en anglais à l’étranger. Je vois pas trop le problème. C’est anti-anglais de vouloir que notre langue soit representée par nos dirigeants ?? Je crains que tu ne confondes Entreprises et Nation... Perso j’aime bien l’anglais, je le parle pas trop mal, je deteste les séries doublées, je consomme mondialisé comme tout le monde, ca m’empeche pas d’etre enervé en voyant Fillon jouer l’anglophone avec des officiels étrangers. Il n’a pas à faire ça. Entre dirigeants, on ne s’abaisse pas. L’anglais n’est pas la langue officielle de ces réunions.


    • Hermes esperantulo 9 mai 2008 09:12

      Sébastien, on ne parle pas de faire de l’anti anglais. Je suis d’accord avec vous que l’anglais est bien peututile quand on reste en france , d’ans d’autres pays les natifs de ses pays doivent apprendre l’angalis pour comprendre la notice écrite qu’en anglais alors que cette langue n’est pas leur langue native, ca c’est une des dérive possible du tout anglais non réfléchi, comme il c’est passer dans certaines entreprises de commerce dans des réunions qu’avec des frnacis ou tout le monde parlait anglais. Si on sort de son pays par contre le sabir angalis autrement nomé globish basic inglish ou peti blanc est bien pratique dans les zones touristiques ou dans les petites relations d’entreprises, mais pour faire un contract ou parler de politique ou d’économie, le niveau doit être bien plus performant que pour le quidam quelconque.

      Et donc si on ne maitrise pas suffisament bien l’outils comme notre cher premier ministre rien que par l’accent ( risque de confusion possible), on risque de mal de faire comprendre. Comme réfferencepour les probleme de parlote angalise vous pouvez lire le défi des langue de C Piron, son auteur a travailler dans de grandes instance internationales et à bien vu tous les problèmes que produit l’anglais


  • ernst 9 mai 2008 21:34

    Ah ouais, ÇaDéconne, parlons en de son anglais !... Même un lycéen fan de Madonna, même à la Starac, on le parle mieux que ça !... en lecture !...Honteux !...Il avait le temps de répéter dans l’avion, que diable !...également le choix de fermer sa gueule.

    En plus pour dire des fadaises, des platitudes, des niaiseries !...

    Sans compter, ÇaDéconne, que tu ne te prends pas pour le cologaritme d’une queue de cerise !... Moi, Moi, Moi, JeJe...pov’con !...(l’expression étant auparavent émise par un Chef d’État, elle devrait être admise comme compliment chez les sarkophiles comme toi !...). T’es tellement imbu que tu dois même être franmac !...


  • Christoff_M Christoff_M 10 mai 2008 02:24

     il y a un cliché rassurant la dessus, dans beaucoup de pays à l’est, en Russie, en Chine, en Turquie, l’Allemand est plus parlé surtout dans les domaines techniques, mais dans notre pays on ne laisse la place qu’aux commentaires des gens des services ou du marketing....


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