samedi 18 juin 2016 - par Thucydide

Un mensonge d’État qui nous prend pour des idiots : l’hôpital Necker « dévasté » par des sauvageons…

Lu sur Arrêt sur infos

Lorsqu'ils sont investis ne serait-ce que d'une bribe de pouvoir, des "petits chefs" médiocres n'ont d'autre possibilités que masquer leur incompétence par une nuisance radicale.

Pour l'avoir brillamment démontré une fois de plus, le 14 juin 2016 doit être marqué d'une pierre blanche.

Heureusement, tout le monde n'est pas dupe

 

Par archyves.net le 16 juin 2016
 
 

En ce lendemain de manif monstre, vers midi et demi, il suffisait d’emprunter le parcours de la veille pour apercevoir les centaines de tags qui ornaient encore les murs (à part ceux du Val de Grâce ripolinés de blanc sur le boulevard du Port-Royal). Parmi les vitrines brisées, d’après un rapide calcul mental, 95% des devantures ciblées portaient l’enseigne d’une banque/agence immobilière /compagnie d’assurance/sucette publicitaire Decaux. Indubitablement, sur le boulevard Montparnasse, cinq ou six magasins de déco intérieur, d’optique ou de fringues, dépourvus de caractère symbolique flagrant, ont fait le frais d’un excès de zèle injustifié, d’ailleurs sans graffiti « explicatif » autour. Mais comment s’en offusquer au regard du gazage quasi permanent du cortège de tête qui, avec cagoule ou foulard citronné à mi-visage, comptait dès le départ plus de dix mille personnes rêvant non pas d’un baroud d’honneur ou d’un simple happening émeutier, mais d’un cortège offensif exprimant toutes les composantes du corps social d’aujourd’hui : United Colères of Précaires.

france police-manif-loitravail_necker_14juin2016

Arrivé devant l’Hôpital Necker, le champ de ruine ne saute pas aux yeux, c’est le moins que l’on puisse dire. Une seule vitre a volé en éclat, déjà remplacée par une feuille de contreplaqué. Une petite dizaine d’impacts au marteau, surlignés de scotch armé orange, sont aussi visibles sur les double-vitrages avoisinants. Un ou deux tags en plus… et voilà tout. Même pas une faute lourde de non-sens, juste une faute de goût sans dégâts collatéraux ni vilains bobos pour personne.

C’était donc ça — une erreur bénigne de balistique mal raisonnée — qui nous a valu depuis hier soir la fable d’une « attaque » puis de la prétendue « dévastation » de l’Hôpital des Enfants Malades où, parmi tant d’autres gamins en souffrance, l’ex-otage en bas-âge d’un fanatique tentait de retrouver ses esprits. Aucun rapport a priori, mais puisqu’il est désormais question de criminaliser les « casseurs » en les amalgamant à la figure de l’ennemi intérieur djihadiste, rien n’est trop énorme pour accréditer ce bobard faisandé.

Trêve de storytelling, un flash-back s’impose si l’on veut distinguer la part réelle des responsabilités. Hier, vers 16h30, alors que les forces de l’ordre avaient réussi puis échoué puis recommencé à couper/nasser la tête de manif, c’est à ce carrefour stratégique de la rue de Sèvre et du boulevard Montparnasse (métro Duroc) que la Préfecture avait décidé de placer un très gros bataillon de CRS aux abords dudit hosto et en vis-à-vis un canon à eau. De fait, à l’arrivée du cortège massif, occupant chaussée et trottoirs, la police a chargé, choisissant de fixer l’affrontement pendant plus d’une demi heure aux immédiats parages de ce lieu de soin.

Et maintenant, cessons de travestir une réalité qui pourtant crève les yeux (comme un FlashBall justement). C’est à la Police d’assumer toute l’indignité de sa géo-stratégie irresponsable : noyer de gaz lacrymogène la rue jouxtant un Hôpital (avec les risques d’enfumage des ventilations de l’établissement), y faire assaut de grenades de désencerclement (ayant en cet endroit précis atteint plusieurs manifestants couchés au sol, ce qui avait déjà eu lieu au croisement précédent, propageant la rumeur infondée semble-t-il d’un ou deux morts et enrageant d’autant tout un chacun parmi les manifestants), avant de mettre en branle le fameux canon à eau, posté là en embuscade selon un scénario mûrement réfléchi. Ainsi serait-il préférable de ne pas inverser les rôles et plus que temps de demander des comptes au ministre de l’Intérieur pour le choix délibéré d’un telle tactique, si irrespectueuse d’un havre de paix que doit être un centre hospitalier. Le reste (un malheureux carreau cassé) n’est qu’enfantillages, montés en épingle pour effarer les téléspectateurs dans leurs chaumières et rassurer les Panama-Bankers et autres châtelains du pouvoir socialiste.

Bien sûr, il y aurait d’autres épisodes à évoquer à propos de la journée d’hier, mais quelques extraits d’aphorismes urbains y pourvoiront.

15 juin 2016

Post-scriptum : Quant à savoir qui a vraiment cassé l’Hôpital publique en Île-de-France, à coup sûr, ce sont nos états-d’urgentistes du PS à force de coupes budgétaires et de logiques comptables, pas les jeunes énervés qui se battent à armes très inégales avec les Robot-cops du chien de garde en chef Manuel Valls.

Source : http://www.archyves.net/html/Blog/?p=7017

A ce sujet, lire l’article d’un lecteur du site Lundi Matin ci-dessous.


SUR L’INSTRUMENTALISATION DES VITRES DE L’HÔPITAL NECKER – TÉMOIGNAGE D’UN PARENT

« Lorsqu’ils mettent sur le même plan « émotionnel » des plaques de verres cassées et ces centaines de milliers de familles éprouvées, MM. Valls et Cazeneuve, n’ont-ils pas honte ? »

Un lecteur de Lundi matin nous a fait parvenir ce témoignage à vif.

Hier, il y avait des centaines de milliers de manifestants dans les rues de Paris. En tête, des milliers de personnes, cagoulées ou non, syndiquées ou pas, se sont retrouvées pour tenir la dragée haute à un dispositif policier hors norme.

Je comprends facilement ce qu’il peut y avoir de désespérant là-dedans pour le gouvernement. Alors que l’on pouvait imaginer qu’au fil des semaines et des mois, la rue se fatigue et la violence soit de plus en plus isolée, c’est tout le contraire qui se passe : la peur de la police ne dissuade pas.

Hier, les manifestants ont commis de nombreuses dégradations. Pour celles que j’ai pu constater, elles étaient toutes « ciblées » : banques, assurances et publicités. Je ne suis pas sûr que cela nécessite beaucoup de débat. Il n’est pas certain que le monde de la finance tremble à chaque fois qu’un distributeur de billet est vandalisé mais que la jeunesse y voie un symbole, je le comprends parfaitement. Qu’une assurance doive appeler son assureur et demander le coût de la franchise, je dois avouer que lorsque j’y ai pensé, ça m’a fait rigoler. Ces gens engrangent des milliards en ponctionnant la solidarité. Quant aux publicités détruites, c’est — malgré la méthode—, la meilleure chose qui puisse leur arriver.

Au milieu de tout cela, quelques vitres de l’hôpital Necker ont été brisées. Bien que les vitres en question n’aient pas d’autre rôle que celui d’isolant thermique : j’en conviens grandement, ce n’est pas très malin.

Certes, briser les vitres d’un hôpital, même par mégarde, c’est idiot ; mais sauter sur l’occasion pour instrumentaliser la détresse des enfants malades et de leurs parents pour décrédibiliser un mouvement social, c’est indécent et inacceptable. Et c’est pourtant la stratégie de communication mise en œuvre depuis hier, par MM. Cazeneuve et Valls. Allègrement reprise par la droite et relayée sur un plateau doré par tous les médias.

Je le dis d’autant plus volontiers que l’hôpital Necker, j’y ai passé beaucoup de temps et que la détresse et l’angoisse des parents d’enfants très malades, je vois particulièrement bien ce que c’est. Instrumentaliser cette souffrance à des fins aussi bassement politiciennes est abject.

Cette indécence est d’autant plus choquante lorsque l’on connaît la situation de l’hôpital public aujourd’hui. MM. Valls et Cazeneuve, « révoltés » du fond du cœur par cinq vitres brisées, le sont-ils autant par les conditions de travail effarantes des personnels hospitaliers ? Lorsqu’un généticien clinique doit travailler 70h par semaine car la direction de son hôpital n’a pas les moyens d’employer un nouveau docteur ni même une secrétaire, quelles en sont les conséquences sur tous ces gentils petits enfants malades au chevet desquels nos ministres accourent depuis hier ? Quand les aides-soignantes et les infirmières sont épuisées, usées jusqu’à la moëlle et rémunérées au minimum, qu’en est-il de la qualité des soins et de l’attention nécessaires à ceux qui passent des mois voire des années dans des couloirs d’hôpitaux ?

Lorsqu’ils mettent sur le même plan « émotionnel » des plaques de verres cassées et ces centaines de milliers de familles éprouvées, MM. Valls et Cazeneuve, n’ont-ils pas honte ? Et tous ces journalistes qui ont titré sur cet horrible assaut contre l’hôpital des « enfants malades », prennent-ils la mesure du sens de leurs mots ?

La palme de l’infamie revient évidemment à M. Cazeneuve qui a tout de même réussi à ajouter à l’équation le fils des deux policiers tués avant-hier.

Des centaines de milliers de personnes défient le gouvernement dans la rue. Une ou deux cassent le double vitrage d’un hôpital. Une ordure tue deux policiers à l’arme blanche. Leur fils de trois ans est en soin à Necker. M. Cazeneuve établit un rapport émotionnel, affectif et psychique entre ces deux séries de faits : la lutte contre la Loi Travail et son gouvernement, le choc produit par la brutalité de ce double meurtre et la situation dramatique de cet enfant. Si les jeunes émeutiers qui ont cassé les vitres de Necker ont été idiots, MM. Valls et Cazeneuve, eux, sont obscènes.

Plutôt que de courir les plateaux télés pour dire des conneries pareilles, retirez la loi travail, financez correctement les hôpitaux et épargnez aux enfants et à leurs parents votre ignoble instrumentalisation. Merci d’avance.

Un parent d’enfant très malade de l’hôpital Necker.

Source : https://lundi.am/Sur-l-instrumentalisation-des-vitres-de-l-hopital-Necker-Un-parent


De l’hôpital Necker dans l’offensive spectaculaire marchande

Aujourd’hui, le storytelling policier orchestré par Valls a de nouveau parfaitement fonctionné. Personne, ou presque, ne parle plus du million de manifestants dans les rues de la capitale hier 14 juin. Une mobilisation historique. Personne ne parle non plus de la résistance collective aux offensives policières, des dockers forçant les barrages, des syndicalistes nassés alors qu’il rejoignaient leurs cars, des dizaines de blessés.

Partout, en « une » des journaux, en boucle sur les écrans, dans la bouche des politiciens : les vitres étoilées d’un hôpital. Jusqu’à l’écœurement. Une fois ce contre-feu allumé, le tourbillon médiatique noie déjà cette journée de lutte gigantesque dans l’insignifiance du flux d’informations.

Mais que s’est-il réellement passé ? Quelques mises au point.

1- D’abord, l’hôpital Necker n’a pas été « attaqué », mais certaines de ses vitrines étoilées par deux individus, au beau milieu d’un affrontement confus.

2- La préfecture de Paris avait déployé son dispositif pour que l’affrontement éclate précisément au niveau de l’hôpital. En prenant en étau le cortège de tête, en empêchant la manifestation d’avancer, et surtout en lançant une série de charges violentes devant le bâtiment. C’est donc au niveau de l’hôpital Necker qu’un point de fixation a été artificiellement créé, et qu’à peu près tout ce qui se trouvait à proximité des lignes policières a été abîmé. Y compris un car de touriste. Et certaines vitrines.

3- Il était très difficile pour les non-parisiens – autrement dit, une très grande partie du cortège – de deviner depuis le défilé arrivant de la Place d’Italie qu’il s’agissait d’un hôpital. Visuellement, seule une longue baie vitrée grise longeant le boulevard s’offrait à la vue des manifestants – ce qui n’est pas le cas dans le sens inverse de la marche. Nul doute que les quelques égarés pavloviens venus casser du verre – une petite librairie juste à côté à subi le même sort que l’hôpital – n’ont même pas compris ce à quoi ils touchaient.

4- Quelques centaines de mètres plus haut, Boulevard de Port-Royal, alors que la manifestation venait de s’élancer et que la police semblait décidée d’entrée de jeu à faire monter la tension, des grenades lacrymogènes sont tombées dans la cour d’un hôpital, noyant la cours sous les gaz. Pénalisant à l’évidence bien plus patients et personnels que quelques étoiles sur du verre, préjudice essentiellement esthétique.

5- Des dizaines de grenades de désencerclement ont été envoyées sur les manifestants juste devant l’hôpital, provoquant de gigantesques détonations, explosant les tympans, faisant bondir les cœurs, lacérant les chairs. La rue a été inondée d’un puissant gaz lacrymogène s’insinuant partout pendant des heures. Si les enfants soignés dans cet hôpital ont été incommodés, c’est probablement plus par l’usage massif de l’arsenal policier que par des coups, aussi idiots soient-ils, sur la baie vitrée du bâtiment.

6- Derrière cet acte isolé, une opération médiatique et politique obscène. Celles et ceux qui cassent méthodiquement l’hôpital public depuis 30 ans sont les gouvernements successifs. La situation est devenue intenable pour les personnels hospitaliers depuis des années. Des milliers de postes sont supprimés, des milliards économisés sur les dépenses de santé. Les personnels soignants sont par ailleurs régulièrement mobilisés contre la marchandisation de leurs services, et leurs revendications sont ignorées. En ce sens, les gesticulations de la ministre de la santé sont particulièrement ignobles. De même que le parallèle entre manifestation et terrorisme, répété par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Ou que l’instrumentalisation d’enfants gravement malades pour parvenir à imposer une loi largement rejetée.

La vérité, c’est que le gouvernement ne sait plus quoi faire pour étrangler cette lutte. Il a tout essayé : la violence, les procès expéditifs, les procédures d’exceptions, la propagande médiatique, la transformation de banales actions de blocages en « association de malfaiteurs », l’usure … Malgré tout cela, ce sont encore des centaines de milliers de personnes qui résistent dans les rues. Le pouvoir en est donc rendu à faire croire que les manifestants attaquent des hôpitaux. Ne les laissons pas faire.

16 juin 2016 | Nantes Révoltée

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37 réactions


  • tf1Groupie 18 juin 2016 14:46

    Foutage de gueule !

    Donc les CRS ne doivent pas passer devant un hopital ?
    Alors devenez ministre de l’intérieur vous saurez certainement donnez les bonnes consignes.

    En attendant réfléchissez avant d’utiliser des grands slogans comme « mensonge d’etat ».


    • CN46400 CN46400 18 juin 2016 14:56

      @tf1Groupie

       Et ouais zéro vitre brisée à l’hosto Necker, mais un énorme buzz médiatique, les merdias du gvt méritent une prime....


    • Laulau Laulau 18 juin 2016 15:02

      @tf1Groupie
      Quand le premier ministre ment c’est un mensonge de qui ?
      Actuellement nous vivons avec un mensonge d’état permanent, et dans tous les domaines :
      On ment lorsqu’on condamne l’état islamique tout en décorant ses commanditaires.
      On ment lorsqu’on critique l’absence de démocratie en Russie tout en se vendant au Qatar.
      On ment lorsqu’on accuse la CGT tout en manipulant des groupes violents, masqués et infiltrés par la police.
      On ment en prétendant que le chômage recule, alors qu’on ne fait qu’augmenter les radiations de chômeurs des liste de demandeurs d’emploi.

      Il faut, effectivement être une groupie de TF1 pour ne pas s’en apercevoir, ou bien faire semblant.


    • Montdragon Montdragon 18 juin 2016 15:10

      @tf1Groupie
      Il faut savoir reconnaitre ses erreurs, j’ai été choqué par l’info, mais après réinformation sur une multitude de sites.....je me dis que vous venez troller ce site sans aller voir ailleurs sauf Pernault.


    • Clemoutch 18 juin 2016 18:27

      @tf1Groupie
      « Donc les CRS ne doivent pas passer devant un hopital ? »
      mauvaise foi l’auteur ne la écrit null part.

      « Alors devenez ministre de l’intérieur vous saurez certainement donnez les bonnes consignes. »
      j’ai pas trouvé d’argument pour dire que c’etait de la mauvaise foi

      « En attendant réfléchissez avant d’utiliser des grands slogans comme « mensonge d’etat ». »
      l’auteur tient des propos reflechies et argumentés donc : mauvaise foi.

      Conclusion :

      Magic troll !!!


    • Le421... Refuznik !! Le421 18 juin 2016 19:15

      @tf1Groupie
      Comme disait Einstein...
      Il existe deux choses infinies. L’univers et la bêtise humaine. Quoiqu’en l’état de mes connaissances, je n’ai aucune certitude pour ce qui est de l’univers.

      Vous en êtes une parfaite démonstration.

      Allez, un petit coup de Pernaut pour vous remonter le moral !!


  • legrind legrind 18 juin 2016 18:34

    j’ai vu une video tournée à l’intérieur de l’hosto, des CRS ( qui ne sont donc pas des êtres humains ni « le peuple » pour la CGT et la gauche radicale ..) protégeaient l’hôpital - et se protégeaient - pendant qu’une nuée de projectiles s’abattaient durant des minutes sur le bâtiment, donc il ne fallait pas se scandaliser de ça, c’était de ’instrumentalisation«  »un mensonge d’état" sic ?


    • Clemoutch 18 juin 2016 19:59


      @legrind
      Où avez vous vu que des CRS protegeaient l’Hopital ? je n’ai trouvé aucune vidéo dans ce sens. j’ajouterai meme qu’il n’en existe pas du fait qu’il y ai aujourd’hui seulement deux individus qui ont attaqué volotairement l’hopital et que ses 2 personnes n’ont pas subit de represaille.

      Avez vous vu (sur les vidéos) comment à plusieurs reprise les CRS ont avancés (vers les "casseurs) et reculé vers l’hopital pour se mettre a l’abris à COTER de l’hopital ?
      https://www.youtube.com/watch?v=uZsp7i—Df0

      Avez vous vu combien de temps il s’est passé quand ses memes CRS avaient l’ordre de contenir dans une nasse les manifestants et que d’autre se sont mis à tirer des lacrymogènes dans la foule ?

      je vous invite à visionner @20min
      regarder bien au fond la nasse et les ordres de tirer régulièrement...
      http://www.dailymotion.com/video/x4gobzw_manifestation-du-14-juin-a-paris-contre-la-loi-travail_news


    • legrind legrind 19 juin 2016 09:11

      @Clemoutch

      Clemoutch 18 juin 19:59


      @legrind
      Où avez vous vu que des CRS protegeaient l’Hopital 

      _________

      à la télé, un film tourné de l’intérieur, les projectiles s’abattaient à jet continu , il fallait aux moins une dizaine de personnes pour atteindre un tel résultat, dans cet hôpital était soigné l’enfant du couple de fonctionnaires de police massacrés par un islamiste,pendant que dans la manif, on gueulait des des slogans anti flics,la cgt a choisi son camp.


    • Clemoutch 19 juin 2016 14:02

       @legrind

      Je n’arrive pas a retrouver la vidéo dont vous parlez mais je vois bien de quelle vidéo il sagit.
      @7 minute dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Iyl8YYb_kXI&nbsp ;&nbsp ;&nbsp ;&nbsp ;&nbsp ; Vous verez l’autre angle de la scène dont on parle. Vous constaterez que les gens s’en prennent aux gendarmes et aux CRS qui sont derrière et devant le bus . Et non pas à l’hopital.
      Enfin jouer sur l’émotif et l’amalgame pour donner du crédit à votre commentaire ne va pas vous aider.


  • Le421... Refuznik !! Le421 18 juin 2016 19:26

    Ce qui reste assez embarrassant pour ma part, c’est de voir un syndicat continuer à défendre des acquis dont plein de gens se fichent...
    Bien que l’opinion publique voit bien que les travailleurs sont en train de se faire baiser par tous les trous, il n’y a pas de mobilisation massive.
    Il est forcé de constater l’influence prédominante des médias aux ordres qui serinent à longueur de journée la rengaine de l’inutilité du combat ou de l’assimilation syndicat - terroristes.
    Un scandale terrible passe inaperçu. La possible suppression du droit de grève. Gonflé comme il est, l’espingouin de service est capable de nous le faire passer. Mais bref !! Priorité à ce terrible assassinat de deux policiers. Il ne manque que la scène de l’enterrement, les pleurs de la famille passés en boucle sur BFNTV et tout le toutim !!
    Comme si quelqu’un pouvait douter, même le plus gauchiste des gauchistes, de la nécessité de ne pas mettre la vie de quelqu’un en péril. Clodo du pont de l’Alma ou Président de l’Oréal. Encore que la probabilité joue en faveur du dernier, allez-donc savoir pourquoi.
    L’enfumage de l’actualité et de l’opinion continue.
    Je me demande si les abrutis, majoritaires dans ce pays, se rappelleront qui a défendu les conditions de travail des ouvriers... En votant FN ??

    Mmmmmb’éciles !!


  • LOKERINO LOKERINO 18 juin 2016 20:32

    abject

    abject cette tentative de se dédouaner , vous les casseurs la cgt , vous avez UNE FOIS de PLUS largement depasser les bornes
    Et vous osez la désinformation sur les évenements touchants l’hôpital ? et en plus vous êtes des lâches  !! assumez vos conneries au moins !!!

    hausshttp://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/loi-travail-hopital-necker-vandalise-les-temoignages-chocs-des-patients-et-medecins
    http://www.slate.fr/story/119575/hopital-necker-symbole-maux-france


    • Pere Plexe Pere Plexe 18 juin 2016 20:44

      @LOKERINO
      Il y a des sources qu’il ne vaut mieux pas donner si on cherche à etre un poil crédible...

      Slate et non-stop-zapping : vous mettez la barre !

    • LOKERINO LOKERINO 18 juin 2016 22:32

      @Pere Plexe
      les interviews des médecins et famille de patients sont passés sur un peu près tout les supports, dont France télévision
      Bolloré n’en ai pas (encore ) actionnaire

      Egalement sur des télés étrangères. 

      Sinon, savez vous que l’humanité est (en parti) financé par TF1 ?


    • Clemoutch 19 juin 2016 14:21

      @LOKERINO

      Les bornes ont été franchi bien en ammont de cette journée de manifestation et ce n’est pas par des gens masqués ni des portes drapeaux.

      Internet nous permet aujourd’hui d’avoir des preuves et des sources d’informations multiples, avant de crier aux laches , de faire des amalgames grotesque (CGT casseur etc...) et de rapporter betement les discours orientés des « grands » media , il serait plus interessant de creer votre propre opinion en raisonant sur des faits.

      Quand on sait par exemple que seulement quelques vitres (10) de l’hopital on été « étoilée » par un seul individu et visiblement isolé et que vous scandez l’assaut barbare d’un hopital par une horde de casseur (valeur de la démocratie) la desinformation est totale, oui !


  • eaglestar (---.---.223.56) 18 juin 2016 20:51

    bonjour,

    Comme toujours et de plus en plus avec les journalistes et les gouvernements qui succèdent, la désinformation et la manipulation vont croissantes.

    Pour cette affaire de caillassage de l’hopital necker, repassons nous les images du journal de France2 pour comprendre la manipulation.

    On voit un film de l’intérieur du bâtiment, avec les CRS contre les vitres et entre la rue et eux un mur d’environ 3 à 5 m avec les cailloux arrivant sur eux par dessus le mur.

    Que faisaient les CRS derrière ce mur, invisibles de la rue. Invisible en partie, vous allez voir pourquoi.

    Le gouvernement a donné comme ordre aux forces de l’ordre depuis le début des conflits en France, NE JAMAIS INTERVENIR POUR RETABLIR L’ORDRE, piégeons les casseurs, par exemple, postez vous là, inutiles derrière ce mur (à l’hopital) et laissez à peine vous apercevoir des casseurs, leur réaction est prévisible. On fera de cette affaire une instrumentalisation de ceux qui nous dérangent (cgt, grévistes, résistants, complotistes,...) et à force on arrivera à faire passer une loi liberticide.

    La boucle est bouclée, le gouvernement Valls Touraine, cazeneuve et consors qui sont venus sur les lieux avaient presque le sourire au coin des lèvres, du moins ils arrivaient là en toute puissance des bons qui viennent livrer la bonne parole.

    Créez la problématique et venez en sauveur, vous verrez si vous ne serrez pas suivi et écoutez comme on écoute ceux qui sont gentils et censés savoir...

    Voila les faits et les manœuvres plus que viles de notre gouvernement aujourd’hui. Ils ont bien suivi les conseils de leurs communicants en matière de manipulation de masse, bien appris les leçons des maîtres du monde.

    Bravo messieurs les politiques, pendant que vous nous spoliez et baissez le pantalon devant les plus riches (lobbies, multinationales,…), vous jouez les héros pour les brebis, mais nous ne sommes pas tous dupes et la vérité éclatera tôt ou tard, alors il serait grand temps que vous ayez une conscience autre que celle de votre EGO.

    eaglestar, 


    • Christian Labrune Christian Labrune 18 juin 2016 22:13

      Le gouvernement a donné comme ordre aux forces de l’ordre depuis le début des conflits en France, NE JAMAIS INTERVENIR POUR RETABLIR L’ORDRE, piégeons les casseurs, par exemple, postez vous là, inutiles derrière ce mur (à l’hopital) et laissez à peine vous apercevoir des casseurs, leur réaction est prévisible. On fera de cette affaire une instrumentalisation de ceux qui nous dérangent (cgt, grévistes, résistants, complotistes,...) et à force on arrivera à faire passer une loi liberticide.

      @eaglestar

      Beau délire !
      L’événement ne saurait démentir que les casseurs sont tout à fait violents et constamment disposés à casser, mais votre système de défense les accable encore un peu plus en faisant apparaître qu’ils seraient en chaque circonstance prompts à tomber dans tous les pièges qui leur sont tendus.
      Non seulement ils sont violents, mais en plus, dites vous implicitement, ils sont cons.
      C’est ce qu’il fallait démontrer et vous avez très bien su le faire. A la demande du ministère, peut-être ?


  • CN46400 CN46400 19 juin 2016 08:17

    Un qui à fait une affaire, c’est le vitrier qui a réparé les vitres de l’hosto Necker : il a enlevé le scotch orange (collé par qui la veille ?...) en 5 minutes, rédigé une facture en 15 minutes et hop, merci la CGT !


  • Taverne Taverne 19 juin 2016 10:13

    Un petit impact qui fait un grand impact.

    On constate ici une totale disproportion entre les deux évènements : l’évènement matériel mineur (vitre brisée) et l’évènement médiatique. Parce que la dimension morale a pris le dessus sur toute forme de raison.

    Pour ce qui est de la morale, je m’en tiendrai à peu de mots : il y a trois comportements obscènes dans cette affaire :

    - le gouvernement qui piège l’opinion et, avec l’aide des médias qui sélectionnent certaines images et certaines informations, parvient enfin à piéger la CGT (celle-ci, trop maligne, avait déjoué tous les pièges jusqu’ici).

    - les personnalités médiatiques qui ont trouvé là une bonne occasion de s’indigner à bon compte pour se faire valoir. Il est toujours tentant de montrer qu’on est un « belle personne » avec une grande conscience. Et comment ne pas céder au politiquement correct ?

    - le casseur à qui l’on explique qu’il s’agit d’un hôpital et qui n’exprime pas de remords. Il est vrai que dans le feu de l’action d’une manifestation, tout le monde devient un peu con.

    Toujours est-il que le pouvoir se discrédite en instrumentalisant un fait divers. Car qui doit se montrer le plus responsable : le casseur pris dans le feu de l’action ou le gouvernement qui a tout le temps de réfléchir, de peser ses mots et qui est responsable de tout un pays ?

    Moralité : un petit impact (sur une vitre) peut entraîner un immense impact médiatique pour peu qu’on y mette un peu de mauvaise volonté et de machiavélisme.

    En toutes choses, ce sont les différentes dimensions qui sont à considérer.


    • CN46400 CN46400 19 juin 2016 14:28

      @Taverne

      Vous avez raison sauf qu’il n’y a pas eu de vitres brisées à l’hopital Necker....


  • LOKERINO LOKERINO 19 juin 2016 13:20

    Taverne nous dit : « ’évènement matériel mineur (vitre brisée) »"

    15 baies vitrées cassées d’un hôpital pour enfants en activité = incident mineur ?

    manifestation violentes , bruits ,lacrymogènes, projectiles de toute sorte guérillas urbaines au pied d’un hôpital en activité , avec des malades et des médecins en salle d’opération = incident mineur ?

    Non Taverne , ce q ui s’est passé aux abords immédiats de l’hopital Necker n’est pas un incident mineur mais un très malheureux précédent .

    A part la vrai fausse lettre de témoignage complaisante qui circule et qui est jamais signé anonymement par un soit disant parent d’enfant malade et qui ne peut sur la fin s’empêcher de dériver sur du militantisme ( perdant tout crédibilité ainsi )toute les personnes présentent dans l’hôpital qui ont pu témoigner , soignant ou famille ont ete très choqué que cela puisse arriver dans le sanctuaire que devrait etre un hôpital et ses abords immédiats.

    - indécente la récupération politique

    - indécents les manifestants et le syndicat ayant lancé le mot d’ordre de manifester de ne faire aucun mea culpa

    -indécence des syndicats rouges dont les casseurs sont en parti issus sur ce coup la ou sur d’autre


  • LOKERINO LOKERINO 19 juin 2016 22:28

    @CN46400

    Vous faites dans le foutage de gueule ou c’est un concours de mauvaise fois ?

    Bien évidement que comme les pare-brises auto, les vitres sont composées de plusieurs couches séparées de fines pellicules. Justement pour qu elles résistent un peu et ne s’effondrent pas en grands morceaux extrêmement dangereux.

    Mais elles sont belles et bien brisées , en plusieurs morceaux. et le gros scotch provisoire n’est pas là pour réparer mais pour contenir la casse en attendant le changement ,

    Voici avant le scotch :

    https://twitter.com/Pierre3D/status/742718829487378432/photo/1?ref_src=twsrc%5Etfw

    Fissurées... ! C’est peut être le soleil et/ou l’usure qui a fait ca ! Non ?


    • Christian Labrune Christian Labrune 19 juin 2016 23:00

      @LOKERINO
      ne vous fatiguez donc pas : ces cons, comme des gamins de la communale pris en faute sous un préau, ne sont même pas foutus d’assumer leurs actes. C’est pas moi qui ai fait ça, M’sieur !


    • CN46400 CN46400 20 juin 2016 08:38

      @LOKERINO

      Et même avec une masse, toujours pas de vitre « brisée » à l’hosto Necker. Pas plus que de réponses à la question, désormais fondamentale : Pourquoi la police qui était stationnée devant ces vitres n’est pas intervenue contre ceux, munis de masses, c’est vous qui le dites, qui essayaient de les briser ......
       Des policiers, anonymes, ils ne veulent pas compromettre leur avancement, répondent : « on n’a pas reçu d’ordres » d’autres : « on nous a dit de laisser faire... » A votre bon choix....

       Enfin on entends aussi, surtout dans les merdias officiels : MMr Valls, Cazeneuve et Hollande sont bien trop honnêtes pour spéculer sur des maneuvres d’aussi bas étage pour faire passer leur loi du travail......


    • Clemoutch 20 juin 2016 09:53

      @Christian Labrune
      @LOKERINO
      Vous n’avez pour l’instant montré aucun fait qui viendrai appuyer la thèse que l’hopital a été « Ravagé » , ou que « l’hopital est sous la menace des émeutiers » ou tout autre titre racoleur de notre bien chere (cher) presse a publiés etc etc...
      Vous avez montrer 10 vitres fissurées dont on connait l’origine, (la vidéo est disponible meme sur lemonde.fr). Dans cette vidéo " Une SEUL PERSONNE" est à l’origine de bris de glace.
      Avez-vous vu cette vidéo ?

      Et si vous poussez un peu « l’enquete » vous constaterez que ce mec a très très bien organisé son action. Ca ne prouve rien mais ca montre la complexité de qui c’est passé ce jour la : https://www.youtube.com/watch?v=NjZSxB_aDNY
      On se rend compte aussi que les « Terrosristes ecervelés fanatique », sont en faite des « commandos » organisés qui ont des cibles très symbolique et réflechie.
      Les bases du débat sont donc totalement différentes.

      Je veux bien endocer le role d’un gamin (incapable d’assumer quoi d’ailleur ???) mais monsieur le professeur , je ne comprend pas pourquoi vous faite appel à l’émotif et mettez en avant des scènes partielles pour faire passer des faits aux accusations très grave ?

      C’est indégnable, Il y a eu scene de guerilla urbaine aux aborts de l’hopital !!
      mais pour l’expliquer ou pour chercher les causes de cet événement, essayer de faire votre propre analyse : En regardant les vidéos qui ont precédées le moment chaud...
      @ 24min https://www.youtube.com/watch?v=NjZSxB_aDNY
      Où l’on constate une réelle provocation de l’armée sur les manifestants. (un fait très grave)

      Si je peu me permettre,
      quelques conseilles :

      Nous sommes dans le cas typique de l’utilisation d’un choc pour manipuler l’opinion.
      1) Eviter d’en referer à l’émotif
      Bien sûr que les gens on été choqués ! et je les comprends la scènes a été impressionnante. mais ca ne prouve rien ! Pire se servir de l’émotion renvoie au mieux l’impression d’un manque de sang froid au pire une volonté de manipulation par l’émotif. (récuperation politique ...)

      J’ai une amie qui est choqué de voire du sang, meme quand c’est pour une égratignure , ca ne fait pas de la blessure quelque chose de grave...

      2) Ne faite pas d’amalgames grostesque.
      (15 vitres abimé <=> hopital sacagé) etc etc...

      Enfin

      3) Eviter de tourner le débat en satire vous faite le jeu des extrêmes.


    • LOKERINO LOKERINO 20 juin 2016 14:54

      http://www.ouest-france.fr/sante/michel-cymes-en-decoud-avec-les-casseurs-de-lhopital-necker-4303160

      pas a a vous @Clemoutch, mais aux commentateurs précédents

      en dehors des vitres brisées , il y a les coup des projectiles -qui n’aboutissent pas tous à une casse . Regardez le trottoirs jonché de morceaux de bitumes et vous comprendrez peut etre qu’il n’ya pas eu que les coup de masse du gugus. Sans parler du bruit et des gaz lacrimo

      il y a eu aussi coté gouvernement une grosse tentative de récupération sur cet événement c’est indéniable et à dénoncer 

      Mais l’’hôpital a bien été une cible des casseurs c’est indéniables et votre action farouche a le nier ou le minimiser ne vous grandit pas


    • Christian Labrune Christian Labrune 22 juin 2016 00:53

      1) Eviter d’en referer à l’émotif

      @Clemoutch
      Très rigolo, le conseil de ne pas « se référer à l’émotif ». Et pourquoi pas ? Parce que « l’émotif », probablement, ce serait primaire, et pas très rationnel ?
      Or, c’est l’exigence rationnelle, précisément, qui rend odieuses ces violences sur la voie publique. Vouloir casser la gueule à son semblable, fût-il un céhéresse (*), je ne vois vraiment pas en quoi cela pourrait procéder de la rationalité philosophique. C’est l’expression de la connerie dans ce qu’elle peut avoir de plus révulsant.
      Ce qui se sera passé ces derniers temps dans Paris est précisément de l’ordre de l’EMOTION, et aura fait voir des comportements exactement comparables, à ceux des supporters avinés des équipes de foot un peu partout, et particulièrement à Marseille. 
      Il suffit de connaître quelque peu la littérature classique, d’avoir lu les Mémoires du Cardinal de Retz par exemple, pour savoir qu’on appelait au XVIIe siècle EMOTIONS populaires ces sortes de débordements de ce que Voltaire appellera « la canaille ». L’émotion est donc chez les émeutiers. Aux témoins suffisent le mépris et le dégoût..

      (*) J’emprunte cette orthographe fantaisiste à Raymond Queneau.
      .
       


  • Christian Labrune Christian Labrune 19 juin 2016 23:13

    " Le reste (un malheureux carreau cassé) n’est qu’enfantillages, montés en épingle pour effarer les téléspectateurs dans leurs chaumières et rassurer les Panama-Bankers et autres châtelains du pouvoir socialiste.« 

    J’aimerais bien savoir ce que pourraient penser de ces sortes d’appréciations les deux policiers dans leur voiture, du côté du canal Saint-Martin, dont on avait brisé les vitre avant de jeter à l’intérieur quelque chose pour y mettre le feu, dans l’espoir d’avoir bientôt du »poulet rôti« .
    Tout le monde a pu voir le film, qui n’était certainement pas le résultat d’un tournage hollywoodien. Il semble que l’inspiration vienne à cette racaille des agissement ordinaires des jihadistes de l’état coranique. A leur imitation ( »convergence des luttes", comme disaient les crétins somnambules de la place de la République) ils finiront bien par égorger leurs sembles. Le fascisme, c’est ça, et ce n’est rien d’autre.


    • Xenozoid 19 juin 2016 23:17

      @Christian Labrune  ils finiront bien par égorger leurs sembles. Le fascisme, c’est ça, et ce n’est rien d’autre.
      tu parle de toi ?


      quelle inversion,tu es l’exemple même de ce qui ne tourne pas rond, mais vas pomper t’es bon qu’a ça...
      labrune....hahaha

  • nours77 nours77 20 juin 2016 16:11

    http://imagesociale.fr/3324

    C est du flamby... de la manipulation grossière, mais surtout bien inutile depuis que beaucoup de personnes ont un téléphone ou sont équipés d une caméra... Les vidéos circulent et donc quand on voit le casseur, les policiers en civils juste a coté (en blanc et gris) et le faux photographe au brassard équiper d un talki de police, on ne peut qu être dubitatif sur les casseurs de l hôpital de Necker...
    Ce gouvernement dont la capacité a mentir n est plus a prouver vient de nous en sortir une tellement grosse juste après en plus...
    200 000 euros pour 15 baies vitrées de 1x4 mètre, un coup de acétone sur les tags et refaire le tapis de route sur quelques mètres... 200000 euro... je rêve... Bande de guignoles...

    http://www.lejdd.fr/Societe/Apres-les-degradations-de-casseurs-l-hopital-Necker-a-besoin-de-200-000-euros-791827


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