jeudi 13 mars - par Jean-Luc ROBERT

Une femme Détrans regrette sa transition et dénonce les dérives médicales

Dans une société où la question de l’identité de genre et des transitions médicales est de plus en plus présente, les témoignages de personnes ayant vécu ces expériences sont précieux. Parmi eux, celui d’une femme qui regrette d’avoir entamé une transition physique et médicale est particulièrement poignant.

Ce récit, partagé sur la chaîne YouTube #Femelliste de #Dora_Moutot, met en lumière les conséquences dramatiques d’une décision irréversible et interroge sur les responsabilités des médecins et des institutions qui accompagnent ces parcours.

Persuadée que la solution à son mal-être psychologique passait par une transformation physique, elle a entamé un processus de transition. Elle a subi des opérations chirurgicales lourdes et irréversibles, comme une mastectomie (ablation des seins) et une hystérectomie (ablation de l’utérus), dans l’espoir de trouver enfin la paix intérieure. Pourtant, loin de la soulager, ces interventions n’ont fait qu’aggraver son sentiment de détresse. Elle réalise aujourd’hui qu’elle s’est illusionnée, croyant que changer son corps résoudrait ses problèmes psychologiques.

Ce témoignage met en lumière un aspect souvent occulté du débat sur la transition : le regret. Loin d’être un phénomène marginal, le regret de transition est une réalité pour certaines personnes, qui se retrouvent confrontées à des modifications corporelles irréversibles et à un sentiment d’aliénation encore plus profond. Cette femme dénonce avec force les médecins et les institutions qui l’ont accompagnée dans ce processus, estimant qu’ils n’ont pas suffisamment pris en compte sa détresse psychologique ni évalué les risques d’une telle décision. Elle critique une approche médicale qu’elle juge trop rapide et insuffisamment encadrée, où la demande de transition est parfois acceptée sans questionnement approfondi.

Son récit est d’autant plus courageux qu’il s’inscrit dans un contexte où la parole des personnes regrettant leur transition est souvent marginalisée, voire stigmatisée. En partageant son histoire, elle espère alerter d’autres personnes qui pourraient être tentées de suivre le même chemin, et les inciter à réfléchir aux conséquences à long terme de leurs choix. Elle appelle également à une meilleure prise en charge psychologique des personnes en questionnement sur leur identité de genre, insistant sur la nécessité d’un accompagnement approfondi et personnalisé, plutôt que de se précipiter vers des solutions médicales irréversibles. 

https://www.jeanlucrobert.fr



6 réactions


  • Astrolabe Astrolabe 13 mars 18:41

    Mince alors, pas de vidéo cette fois-ci, donc c’est moins marrant aujourd’hui smiley


  • ZenZoe ZenZoe 14 mars 10:49

    Les gens font ce qu’ils veulent de leur corps et de leur esprit. S’ils veulent les améliorer ou au contraire les bousiller et qu’ils regrettent après, ça les regarde.

    Mais pas avec mes impôts, c’est le seul truce qui me fait bondir !


  • yvesduc 14 mars 14:59

    Les médicaments sont plus capitalistiques que les psychothérapies, ceci expliquant sans doute l’engouement pour les traitements médicamenteux. C’est plus facile de couper des organes à la chaîne que de résoudre un mal-être dans une société où les repères disparaissent.


  • VDob 14 mars 19:24

    Il y a quelque chose de profondément immature de croire qu’on peut résoudre un mal être psychologique avec un bistouri. Comme disait mon oncle Jean-Guy : « c’est pas parce que tu te fais greffer une teub que tu deviens un bonhomme ». 


  • jjwaDal jjwaDal 14 mars 19:25

    Pour l’essentiel ce délire vient des USA où « Big Pharma » est quasiment un Etat dans l’Etat et cherche par tous les moyens à trouver des pathologies pour lesquelles il trouvera des solutions profitables pour ses actionnaires.
    Que par imitation et connerie les vassaux européens suivent avec du délai n’a rien de surprenant. Ce qui l’est plus, mais l’ignorance est une béatitude comme toujours, est la cécité absolue du corps scientifique et des responsables politiques sur le fait que des animaux « flous de genre », ne sachant pas s’ils sont mâles ou femelles, homosexuels ou hermaphrodites ont été observés dans la nature et pas dans des occasions isolées mais sous forme répandue localement et touchant des espèces animales assez éloignées.
    Pour les animaux des chercheurs ont pu établir un lien avec la présence d’imposteurs endocriniens issus de la pollution mais bien sûr transposer à l’humain ne serait pas raisonnable puisque nous « choisissons » d’être homosexuels ou hétérosexuels sans aucune influence endogène ou exogène…
    La bonne blague.
    je soutiens qu’il arrive à notre espèce ce qui est documenté chez les animaux depuis les années 1950 et qu’il y a parmi nous des individus qui ne « savent pas où ils habitent » suite à une pollution de leur cerveau au stade fœtal. Cela ne règle aucun problème mais cela pourrait appeler une politique volontariste de protection des femmes enceintes en particulier contre tout agent susceptible d’influencer l’orientation sexuelle de leur futur enfant.
    Ceci étant beaucoup des candidats au changement de sexe sont éligibles à la psychothérapie car leur cerveau n’a pas été pollué au stade fœtal mais bien après par une propagande imbécile faisant croire qu’on peut changer de sexe comme de chemise.
    Il se trouver que non.


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