Une vraie campagne électorale présidentielle française, ça se mérite ! (Partie 3)
Dans la deuxième partie de cet article, j'ai exposé mon point de vue s'agissant des responsabilités incombant à certains hommes politiques, ceux qu'on appelle les candidats émergents, lesquels par leur discours non seulement républicain mais résolument favorable à une sortie de la France de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN, ont le devoir de s'entendre en vue de parvenir à la signature de ce que j'ai appelé à dessein un programme commun de gouvernement. Il s'agirait d'une alliance politique entre les formations qu'ils représentent, afin non seulement d'offrir au pays en 2017 la campagne électorale présidentielle qu'il mérite — hors de l'éternel ennui qui prévaut depuis déjà deux ou trois éditions — mais de surcroît de permettre aux Français de disposer pour la première fois depuis bien longtemps d'un vrai choix politique : avec d'un côté ce qui est déjà connu : l'éternelle rengaine des partis (FL, LR et PS) et de l'autre une proposition alternative, mise sous le boisseau de manière constante par les médias dominants, et que les citoyens français méritent de connaître.
Certes ce projet n'obtiendrait pas cette fois-ci l'adhésion d'une majorité d'entre eux, mais il aurait déjà le mérite et la possibilité d'être présenté, et pour cela il n'y a qu'une condition, une condition sine qua non : l'Union. L'union de cinq petits partis, certes différents, mais qui ont en commun dans leur programme pour relever la France ce qu'on appelle la triple sortie : (UE, Euro et OTAN).
Quoi de mieux pour tenter de réconcilier quelque peu les Français avec la politique qu'un vrai projet novateur et républicain ? Ce serait alors l'avènement d'un mouvement salutaire destiné à permettre un sursaut pour la France.
Mais j'ai également émis des réserves s'agissant des egos et autres ambitions personnelles de tel ou tel dirigeant politique. Je vais y revenir.
Abordons maintenant le dernier volet de ce triptyque, à savoir le rôle des citoyens dans cette affaire. Et il est loin d'être négligeable.
Des cinq formations politiques que voici, l'Union Populaire Républicaine (UPR) Solidarité et Progrès (S&P), le Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF), le Parti de l'émancipation du peuple (PEP, et le Parti ouvrier indépendant (POI), il faudrait pouvoir obtenir qu'elles signent un accord en vue de la présentation d'un candidat commun pour l'élection présidentielle de 2017.
Le feront-elles ? Je ne sais pas. Y ont-elles déjà pensé ? Je n'en sais pas davantage.
Pourtant il me semble qu'il serait opportun que cela fût fait et d'abord qu'au moins l'une d'elle prît l'initiative de lancer ce processus. Surtout si aucun des deux protagonistes aux prétentions présidentielles affichées (François Asselineau et Jacques Cheminade) ne l'eût fait auparavant. Je verrais bien une lettre, au besoin rendue publique, proposant une rencontre pour en discuter.
L'intérêt de rendre publique cette lettre serait triple :
— les militants et sympathisants du parti demandeur en seraient informés, mais également ceux des autres partis concernés. Autrement dit, ce qu'on appelle la base devrait être associé à ce genre d'événement.
— Ensuite, ces derniers pourraient éventuellement faire pression sur leur hiérarchie pour l'inciter à aller dans le sens de la négociation. On sait ce qu'il faut penser des hommes qui se sentent parfois promis à un destin exceptionnel, tant et si bien qu'ils finissent par être déconnectés des réalités et ils finissent leur parcours là où ils l'avaient commencé dans un tout petit coin du décor de l'Histoire de France. Tout le monde n'est pas de Gaulle.
— Enfin, si d'aventure aucune réponse n'était apportée à cette main tendue, et ce en dépit des demandes formulées par la base, alors les responsabilités apparaîtraient au grand jour. Non seulement la formation politique ayant lancé cet appel pourrait se prévaloir comme désirant vraiment l'union ; soyons clairs : elle aurait fait preuve d'un sens politique aigu et de son attachement à l'intérêt supérieur du pays — ainsi que celles qui auraient répondu favorablement à son appel — mais précisément les formations ayant adressé une fin de non recevoir à cet appel se verraient, elles, montrées du doigt. Et ce ne serait que justice.
J'insiste sur ce dernier point. Comme je l'ai dit dans la deuxième partie, compte tenu des circonstances présentes et de la volonté de l'oligarchie de maintenir sous l'éteignoir les candidats émergents, celui qui se croira plus fort que les autres se prendra une sacrée raclée au soir du premier tour de 2017, en supposant qu'il ait pu auparavant recueillir les 500 parrainages, ce qui est loin d'être acquis. Fût-il, ce candidat, à la tête d'un parti dont le nombre d'adhérents est inscrit sur un compteur tenu au jour le jour.
Et pour être bien clair, je leur donne un nom à ces messieurs à l'ego peut-être surdimensionné : François Asselineau et Jacques Cheminade : ce dernier ayant quand même un peu de bouteille par rapport au premier, puisqu'il a déjà derrière lui deux campagnes présidentielles françaises (1995 et 2012) : aucun des deux ne parviendra à ses fins hors d'une alliance. Je rappelle que dans mon esprit « arriver à ses fins » ne veut pas dire être élu président de la République en mai 2017 — ne rêvons pas — mais figurer parmi les candidats ayant atteint, voire dépassé, les 5% au soir du premier tour (seuil à partir duquel l'intéressé entre dans la cour des grands).
- Édit de Villers-Cotterêts (1539)
- François Premier ordonne que désormais les actes officiels seront rédigés « en langue maternelle française et non autrement ».
Je prends ici à témoin les militants et sympathisants de ces deux partis : l'UPR et S&P, et leur dit ceci : si vous souhaitez que votre candidat obtienne au grand maximum de 1 à 3% des voix au premier tour ou bien ne parvienne même pas à obtenir les 500 parrainages, alors laissez-le agir à sa guise. Laissez-le faire la grosse bêtise, celle à laquelle il pense peut-être tous les matins en se rasant devant la glace, et ainsi se ramasser la dérouillée qu'ils méritera, et qui pour moi est déjà écrite. Car quand bien même l'un ou l'autre, voire les deux, réussirai(en)t à passer l'obstacle des parrainages, le score au soir du premier tour les renverra (au mode indicatif, SVP !) l'un et l'autre à leur chères études. Et pour cinq ans. Et ce sera bien fait. Pour l'un comme pour l'autre.
Mais cinq ans, c'est long. En outre, ce serait cinq ans de prolongation sous l'éteignoir médiatique. Et surtout cinq ans de perdus pour la France. Toutes mes félicitations, messieurs !
Pourquoi suis-je en train de prendre à témoin les militants et sympathisants de chacun des deux partis ?
Parce que s'ils ont, eux aussi, un peu de flair politique, un peu de bons sens — ce dont je les crois capables — alors ils comprendront que ce que j'avance ici a du crédit et que hors l'union aucun des deux champions n'a la moindre chance. Aussi, pourquoi les militants des partis concernés ne feraient-ils pas pression sur leur état-major respectif ?
Que représente François Asselineau sans les dix mille adhérents qu'il prétend avoir ? Réponse : rien. Le roi est nu.
Même question pour Jacques Cheminade, et réponse identique pour lui aussi.
À moins que les militants de l'UPR aient envie de suer sang et eau, et de faire une campagne tous azimuts pour satisfaire les velléités du président-fondateur, et à moins que leurs homologues de S&P soient dans les mêmes dispositions d'esprit vis-vis de leur champion déjà deux fois malheureux à cette élection, l'alternative est simple : ou bien l'union ou bien la débâcle.
Mais peut-être qu'il faudra en passer par là. Peut-être qu'une belle dérouillée électorale est nécessaire pour que certains ouvrent les yeux. Peut-être que c'est un passage obligé et qu'il faudra les perdre, ces cinq années ?
Ce serait cinq ans de plus à attendre avant que de pouvoir peut-être apparaître au grand jour et affronter l'oligarchie sur son terrain : les médias. Cinq ans de plus au cours desquels les Français assisteraient mois après mois à l'inexorable destruction de la France, celle que nos grands-pères ont construite après la guerre et nous ont léguée, celle que le CNR conçut pour rétablir la grandeur de la France.
Et qu'on ne se méprenne pas ; autant j'ai beaucoup de respect et même de l'admiration pour les militants de base, autant je suis plus circonspect s'agissant des ambitieux et autres personnages qui auraient tendance à se croire investis d'une sorte de mission.
Une mission qui pourrait aussi finir en fiasco, voire en cauchemar.
Pourquoi ?
Parce que quand on se ramasse une raclée électorale, et qu'on a demandé à tout une armée de sans-grades de faire des efforts des années durant, et de donner de l'argent pour finalement ne faire que de la figuration lors du rendez-vous majeur de la vie politique française, il arrive qu'il y ait des voix qui s'élèvent et qu'on ait alors à rendre des comptes...
Faudra-t-il en passer par ce qu'on appelle du rififi au sein de certains appareils politiques ? Le tout observé bien sûr avec quelque amusement par l'oligarchie et les médias à sa botte ? Est-ce vraiment cela que les militants et sympathisants veulent, et surtout le méritent-ils ? Évidemment non.
Et moi-même, je ne le souhaite pas, d'où cet appel à la raison que je lance aujourd'hui.
Mais comme je l'ai déjà dit, peut-être que mêmes les militants et sympathisants de ces deux partis ont besoin de ce revers électoral (= être très loin et en-dessous de 5% des voix) pour que, eux aussi, ils comprennent ?
Je ne sais pas. Les prochaines semaines donneront un élément de réponse.
Pourquoi les prochaines semaines ? Eh bien, parce qu'il n'y a pas une minute à perdre pour les militants. L'élection, c'est dans quinze mois. Une alliance et les négociations préalables pour aboutir, cela pourrait exiger un peu de temps, sans doute plusieurs semaines, voire quelques mois. Aussi, il faut s'y mettre sans attendre. Afin d'espérer un accord avant l'été.
Imaginez un peu : pendant que les médias bassineront les Français avec les primaires du parti LR — aux dernières nouvelles ce serait pour le printemps avec Juppé qui tient la corde — un accord passé sous silence par nos champions et leurs alliés serait signé : un accord basé sur un Nouveau CNR. Incroyable, non ?
Et c'est là que l'oligarchie pourrait commencer à se poser quelques questions... Parce que n'en doutons pas, cette affaire de Nouveau CNR signée en France serait surveillée de très près. On imagine déjà les Juncker et compagnie se dire entre eux : « Houla, la France ce sera un autre morceau que la Grèce... Il y a danger. Ah, ces Français... »
Oui mais voilà, mes compatriotes sont-ils assez malins pour le comprendre ? Et la répnse à cette question est dans les mains des militants ? Eux seuls ont le vrai pouvoir d'influencer les appareils. Eux seuls peuvent, mais seulement s'ils le veulent, exiger d'aller dans cette voie-là.
Oui, mesdames et messieurs les militants des deux partis concernés, cela ne dépend que de vous. Faites donc remonter tout ça par vos cellules et fédérations. Et jusqu'à Paris, SVP ! Et sans tarder.
J'espère donc que dans les prochaines semaines, disons d'ici fin mars 2016, il sera porté à la connaissance du grand public que tel parti invite les autres à une rencontre au sommet. Je le répète, celui qui osera faire ça aura tout à gagner dans cette affaire. Cela échouerait ? Il l'aura fait. Cela aboutira ? Il en aura été à le maître d'œuvre.
Autrement dit : "Pile, je gagne. Face, je gagne également, et la France aussi ".
Et malheur aux abonnés absents !
Le lecteur éprouvera peut-être, et je le fais à dessein, que je me montre quelque peu impertinent vis-à-vis de certains. J'ai mon idée, et puis moi aussi j'ai un peu de bouteille en tant que citoyen. Et surtout ce qu'on appelle de l'intuition.
Alors les citoyens, que devraient-ils faire concrètement ?
D'une part, je l'ai dit, il faut que les militants des partis concernés fassent pression sur leurs état-majors respectifs. Mais parallèlement commencer la campagne électorale. Comment ?
En organisant ce que j'appelle des réunions amicales.
Explication :
Nous savons tous, surtout les dames, que selon une mode lancée il y a quatre ou cinq décennies par une firme états-unienne bien connue qui fabrique des boîtes en plastique, une firme dont le nom commence par la lettre T, il est de coutume de vendre ses articles à domicile. Ces dames se retrouvent chez une amie qui les a invitées, et une représentante de la maison T... vient faire son discours afin d'allécher le chaland. Tout cela se déroulant dans une ambiance sympathique autour d'une tasse de thé et des petits gâteaux que l'hôtesse aura préparés avec soin pour l'occasion.
Appelons donc ces réunions, des réunions amicales. Eh bien, je propose que les militants et sympathisants des partis concerné, l'UPR et S&P, mais aussi les autres, se mobilisent à cette fin.
Il y a quatre raisons pour ce faire :
— contrer l'état d'urgence. Surtout dans les six mois précédant l'élection, où il est probable que la tenue de réunions politiques sera sinon interdite, du moins très difficile à organiser. C'est donc un pied de nez que fait le peuple au pouvoir.
— faire passer le message : entretenir par ce qu'on appelle le bouche à oreille la nécessité de la triple sortie (UE, Euro et OTAN).
— il n'y a encore jamais eu d'exemple de parti politique ayant figuré honorablement à une élection en étant présent uniquement sur l'Internet. C'est donc une manière originale de faire campagne.
— Enfin, cela permettra (mode indicatif, SVP !) une prise de conscience au sein du peuple que décidément rien ne va plus de nos jours dans ce pays, et ceux ou celles qui auront eu le courage (franchement, c'est à la portée de n'importe qui, ce que je propose de faire) auront valeur d'exemple. Cela permettra, de proche en proche, une prise de conscience politique du peuple et ainsi de diminuer les bataillons de gens qui s'apprêtent à s'abstenir en 2017 (eh oui, parce que les conditions sont d'ores et déjà réunies pour que l'abstention soit en hausse par rapport aux autres élections présidentielles).
Agir ainsi, cela porte un nom : cela s'appelle faire preuve d'intelligence, de capacité d'adaptation à une situation donnée. L'état d'urgence est maintenu, et neutralise la volonté de réunions publiques ? Qu'à cela ne tienne, les réunions, nous les ferons à la maison.
Nous avons tous des amis. Et il nous arrive de les inviter à la maison. Le principe consiste donc à les inviter, un après-midi, ou mieux un soir, pour passer un moment agréable, avec repas à la clé. Mais en y associant la présence, elle aussi amicale, d'un intervenant qui fera un court exposé politique suivi d'un débat, et ce en vue de la prochaine élection présidentielle.
Et qu'on ne me dise pas que cela n'est pas possible ou que cela ne marchera pas, car cette technique je l'ai expérimentée personnellement et elle donne toute satisfaction.
Ça marche. Et même très bien. La campagne électorale des européennes en 2014 me l'a prouvé. Et j'ai fait trois réunions amicales, lesquelles précédaient la réunion publique dans la même ville...
Avantage : on fait passer un message. Sauf si vous avez quelque fondé de pouvoir d'une entreprise du CAC 40, ou un administrateur de Goldman Sachs parmi vos relations, il est probable que chacun de vos amis devrait en sortir ravi. Ou du moins avoir appris quelque chose susceptible de nourrir sa réflexion.
Condition élémentaire qui va de soi, mais encore faut-il la préciser : tout cela doit se passer dans la meilleure ambiance et chacun doit pouvoir dire ce qu'il souhaite sans être l'objet d'invectives ou d'attaques personnelles. Sinon, fiasco assuré. Cela dépend donc avant tout de l'hôte et aussi du présentateur.
Ensuite, chacun peut à son tour refaire la même chose avec son propre réseau. Et ainsi de suite.
Matériel nécessaire : aucun. il suffit d'avoir les idées claires et de savoir quelque peu les exprimer.
« Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement
et les mots pour le dire arrivent aisément. »
(Boileau)
Personnellement, j'utilisais mon ordinateur portable, sur lequel j'avais créé un diaporama, et un cable destiné à relier l'ordinateur à l'écran plat de la maison (prise hdmi). Je préconise l'achat d'un cable de cinq mètres de long.
Créer des circuits :
Il pourrait aussi être envisagé, selon les besoins, de créer des circuits au moins départementaux voire régionaux afin de pouvoir mettre tel présentateur en relation avec telle personne désireuse de faire une réunion amicale chez elle. Ce dernier point étant à étudier quant à son intérêt et à sa faisabilité. Pour toute question, me contacter à l'adresse internet de cet article que j'ai rappelée plus bas pour chacune de ses deux premières parties.
Je formule le vœux que des bonnes volontés et des compétences apparaîtront ici ou là, partout en France.
Parce qu'il faut également bien se mettre en tête que les échanges sur l'internet, c'est bien joli, mais ce n'est pas comme cela qu'on fait une campagne électorale. Rien ne remplacera le contact direct. Il suffit de voir comment font les grands partis. Ils ne font pas leur propagande que sur l'Internet, eux. Loin s'en faut. J'ai du reste beaucoup de mal à faire comprendre cela, même à certains de mes amis. Nos échanges sur Agora Vox existent, certes, mais cela ne remplacera jamais une bonne réunion physique. D'une part, parce que la fraction des gens fréquentant les sites politiques sur l'Internet est très faible, si on l'a rapporte à la population, d'autre part rien ne peut remplacer l'échange direct. On ne fait pas une campagne électorale en restant à taper sur son clavier d'ordinateur. C'est pratique, c'est confortable, mais c'est zéro sur le plan de la diffusion d'un message aux masses, surtout quand ledit message est boycotté par les médias.
- François Asselineau + Jacques Cheminade
- Sont-ils capable de s’entendre, pour le plus grand bien de la France ?
Conclusion :
Une campagne électorale présidentielle, ça se mérite ! Évidemment, et rien ne se fera en restant tranquillement assis sur son canapé ou en clavardant sur son ordinateur.
Si les lecteurs de cet article, d'une part, si les sympathisants et militants des partis concernés par cette alliance d'autre part, le veulent — à commencer par ceux de l'UPR et ceux de S&P — ils ont une belle carte à jouer. Une carte maîtresse. Et cette carte sera, n'en doutons pas, une dame de cœur pour la France. Mais personne d'autre ne la jouera à notre place.
Ce que je propose de faire est à la portée de chacun. C'est raisonnable et sera efficace.
Résumons :
1)pour les militants, faire remonter maintenant l'information, voire faire pression, pour que les états-majors prennent contact entre eux afin d'ouvrir une négociation inter-partis (UPR, S&P, PEP, PRCF, et POI) en vue d'une alliance électorale.
2) ensuite, ou en même temps, commencer à organiser des réunions amicales chez soi.
En conclusion, ce qui est proposé ici, cela s'appelle agir pour son pays, cela s'appelle aussi prendre au sérieux son rôle de citoyen, cela s'appelle enfin prendre son avenir en main. Parce qu'une vraie campagne électorale présidentielle française en 2017 — nous avons tenté de le démontrer — ça se mérite !
Pour ce qui me concerne, le lecteur aura sans doute déjà une idée de ce que je compte faire ces prochains mois.
Bien cordialement à tous.
Thierry Saladin
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Les deux premières parties de cet article :
Une vraie campagne électorale présidentielle française, ça se mérite ! (Partie 1)
Une vraie campagne électorale présidentielle française, ça se mérite ! (Partie 2)