A vouloir trop defendre les animaux, elle est arrivée à mepriser les hommes.

Elle a eu la bonne idée de montrer le haut de cuisse et d’ouvrir le decolleté avant les autres, à une epoque où tout le monde attandait ça. Ce qui l’a propulsé au rang d’icone pour les idolatres, de muse pour les opportunistes, d’ideal feminin pour ados timide. Elle aura surtout été un faire valoir ! On peut essayer de chercher une trace de talent dans la cinquantaine de films tournés en vingt ans, depuis « la fille sans voile » en passant par « babette » jusqu’à la « ravissante Idote » ça tourne un peu en rond. Les afficionados brandiront « le Mepris » : enfin un film !

Elle s’en va ? Elle ne manquera pas à grand monde !