Commentaire de
sur Djibouti : une faune menacée par les braconniers
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Rien ne téchappe Thucydide, je reconnais là ton panache voltairien
bravo, pour les francolins on ne va pas commencer à mélanger les pigeons et les perdrix. Je m’amuse, ça évite de pleurer, ce qui d’ailleurs ne sert à rien tout comme d’en rire.