Patience, patience. Il me semble que, fatalement, il faudra reposer tôt ou tard les équations de la production d’énergie dans d’autres termes que ceux qui sont pratiqués aujourd’hui : en partant des consommations spécifiques et des réalités locales. Il est certain en revanche qu’une telle approche n’est pas faite pour arranger ceux qui ne savent ou ne veulent penser que dans les termes globalisés des marchés « à l’ancienne » ou l’on veut ramener toute consommation énergétique à du TEP ou du kwh quand l’éclairage public, le chauffage des maisons, l’équipement électro-ménager, la consommation d’eau chaude, etc., pourraient relever d’une myriade de source énergétique.

Cette réflexion a déjà été amorcée en Suisse depuis presque 10 ans... et en Chine, on est bien obligé de se poser la question dans ces termes aujourd’hui... « Selon que vous serez puissants ou misérables... » disent les Français.

Bien à vous

J. Smoking