Commentaire de Aurelien Veron
sur La crise de l'immobilier américain, ou l'éternel recommencement


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Aurelien Veron 15 août 2007 11:05

Personne ne sait où s’arrêtera la croissance. En revanche, nous savons que cette croissance se compose de plus en plus des activités suivantes :
- la santé, ce qui explique que l’espérance de vie recule dans nos contrées capitalistes
- la culture et, plus largement, les loisirs
- l’enseignement tout au long de la vie
- l’environnement, afin de consommer moins d’énergie à prestation identique et de produire des énergies moins polluantes par exemple.

Je ne suis pas choqué, contrairement à ce que vous semblez dire, que l’activité humaine progresse d’année en année, ce qui se traduit par un taux de croissance positif. Je ne suis pas non plus choqué par le fait que des pays émergents se rapprochent progressivement des valeurs libérales (liberté d’échange, de croyance et d’expression, propriété privée, règne du droit) et voient leur qualité de vie se rapprocher en conséquence du nôtre. Bref, les bienfaits de la mondialisation capitaliste ne sont pas pour me déplaire.

Mais peut-être regrettez-vous l’âge du silex, lorsque l’espérance de vie tournait autour de 30 ans et que la mortalité infantile atteignait des taux effrayants ? C’est un point de vue que vous défendez bien, implicitement.


Voir ce commentaire dans son contexte