Commentaire de Pondi
sur Première enquête participative : les vaccinations


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Pondi 29 août 2007 05:29

Bonjour

Laborit a raison... Avant d’être pour ou contre, il faudrait savoir de quoi sont faits les différentes vaccins et comment ils agissent, sachant que leur charge microbienne est toujours supérieure à celle présente dans une maladie infectieuse « naturelle »...

Entre outre, les mieux informés sur ce sujet sont, plus que les médecins, les biologistes, les spécialistes en virologie et en immunologie. Il faut prendre le temps de llire leurs nombreuses investigations (indépendantes ou non)

Extrait du livre : la face cachée des vaccins... Histoire d’un mythe (en espagnol et français)- présenté sous forme d’un dialogue entre un adolescent et un personnage imaginaire. Ce livre (450 pages de texte, 300 de notes) présente de nombreux références médicales vérifiées qui portent sur l’étude des vaccins et leurs possibles effets adverses ainsi que sur leur réelle utilité.

" On peut diviser les vaccins principalement en deux groupes, ceux qui contiennent des bactéries et ceux qui contiennent des virus. Ensuite, l’on distinguera les vaccins qui contiennent des microbes vivants ou atténués des vaccins qui contiennent des microbes inactivés ou morts. Ce dernier groupe se subdivise à son tour en vaccins qui contiennent des bactéries ou des virus, ou encore des antigènes purifiés.

Les vaccins inactivés, dits également tués, contiennent des virus ou des bactéries dont le pouvoir infectieux ou pathogène a été inactivé par radiations, chaleur ou substances chimiques et autres techniques

Le procédé le plus fréquemment utilisé pour atténuer la virulence d’un microbe qui va entrer dans la composition d’un vaccin dit atténué, consistait, autrefois à “passer“ le microorganisme des centaines de fois sur des animaux ou divers milieux de culture, avant de le déclarer “atténué“... Aujourd’hui, on utilise, pour ce faire, les cultures de nos fameuses cellules animales ou humaines, cancérisées artificiellement ou non, pour atteindre l’immortalité... La lignée cellulaire la plus fréquemment utilisée, en vaccinologie, est la lignée Vero, obtenue à partir de reins de singe vert.

- « Et on peut prendre n’importe quelles cellules animales pour atténuer la virulence des microbes ? », ajouta l’adolescent.

- « Non... Le type de cellules animales utilisées dépend du type du virus. Par exemple, le virus de la rougeole passera sur une culture de cellules d’embryons de poulets ; celui de la polio, sur une culture de cellules rénales de singe : celui de la rubéole, sur une culture de cellules de canard ou de lapin ; celui de la fièvre jaune sur une culture de cellules de rongeur ou d’embryons de poulets, etc... »

En outre, las vaccins ne donnent pas tous la même réponse immunitaire - ni en qualité ni dans le temps - et n’agissent pas tous au même niveau. D’oú "l’invention des vaccins de rappel....

Ensuite dans les vaccins, s’ajoutent d’autres substances :

"Comme n’importe quel autre produit alimentaire de longue durée, on doit ajouter d’autres ingrédients, soit pour les stabiliser, soit pour les conserver, et, soit dit en passant, ce sont les vaccins inactivés qui contiennent le plus de substances chimiques. Ces substances additives ont pour objet ou de renforcer la réponse immunitaire du vacciné (adjuvants) ou de stabiliser, voire d’arrêter les réactions chimiques au sein du vaccin lui-même, ainsi que la putréfaction éventuelle (décomposition et multiplication) des microbes vivants ou atténués qui entrent dans la préparation vaccinale. Ces substances s’appellent alors des préservatifs ou fixateurs de tissus. Ensuite, interviennent les stabilisants et les solvants.Tu te rappelles ? Je t’ai expliqué que l’inactivation des microbes s’obtenait par l’intermédiaire de substances chimiques. Mais je ne t’ai pas dit lesquelles.. Nous y venons..., - continua Deep Blue. - Ainsi que nous mettrons une larme de formol, de phénol ou d’acétone dans nos vaccins inactivés ou encore du méthotrexate31bis, aux nombreux effets secondaires... »

Ces substances présentent toutes un certain degré de toxicité topique qui s’exprimera en effets postvaccinaux a court terme suivant les caractéristiques du milieu interne de chacun (inné et acquis), le terrain allergique étant le plus favorable à ce type de réaction.

Attention : l’allergie étant comprise comme un manque d’adaptation à... de la simple fièvre à l’encéphalopathie..., en passant par un abcès au lieu d’injection.

Les effets postvaccinaux à long terme se doivent à la charge microbienne, les vaccins atténués viraux possédant un pouvoir mutagène. De nombreuses études médicales existent à ce sujet et le propre et controversé Gallo (« découvreur du virus » du Sida) en a reconnu publiquement les méfaits.

Exemples de Notes - entre ce que l’on sait et ce que l’on ne sait pas, ce qui est dit et ce qui est tu...

- in Laboratory Practice-USA, janvier de 1970, Dr. Leonard Hayflick, Institut de Anatomie et Biologie Wistar (Philadelphie). Professeur à l’époque de microbiologie à l’Université de Stanford, il écrivit dans la revue américaine Science (19/05/1972), pp.813-814 : « Les vaccins contre les différentes maladies virale chez l’homme sont généralement produits à partir de cultures de cellules de singe et d’embryons de poulet, les deux étant fort probablement contaminés... Plusieurs personnes sont mortes après avoir manipulé ces singes ou les cultures cellulaires. La plupart des reins de singe (entre 25 et 80%), traités pour la fabrication des vaccins, devrait être rejetée du fait d’une importante contamination, provoqué par l’un ou plus des 20 virus actuellement connus. Plusieurs centaines de milliers de personnes aux EE.UU. furent vaccinées contre la polio. Les vaccins contenaient le SV40 qui a la propriété de convertir in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses. Les vaccins, en principe immunisants contre la polio ou autres maladies, pourraient avoir transmis aux vaccinés un potentiel cancérigène, qui va se manifester à l’échelle mondiale. »

- Nature, 20/08/1987, p. 660 - La même constatation s‘étend à un vaccin expérimental contre la lèpre, obtenu à partir de cellules de tatous qui, en outre, contiendrait « des protéines étrangères, de l’ADN et des rétrovirus inconnus qui pourraient produire à long terme des effets graves et indéterminés... »* - Fabriqué à partir de Mycobacterium leprae tués, associés au BCG, ce vaccin a pour but de provoquer effectivement un retard dans l’évolution de la maladie. Selon certains médecins qui l’expérimentent depuis 1984, au Venezuela notamment, ce mélange réveillerait ainsi les mécanismes immunologiques endormis... bien qu’au cours des années, la polémique n’ait cessé de croître autour de ce vaccin, essayé sur quelques 200 000 volontaires, en Asie, Afrique et Amérique du Sud.

- ”La découverte de virus atypiques en relation avec les virus vaccinaux, obtenus à partir de cultures sur tissus de singes et qui infectent ensuite les êtres humains, pourrait constituer la découverte la plus importante de cette décennie. Le pathologiste et immunologiste, W. John Martin, a découvert un virus atypique qui a infecté enfants et adultes. Ils présentèrent des troubles neurologiques, mentaux et autoimmunes. On diagnostiqua, entre autres : syndrome de fatigue chronique, fibromalgie, Alzheimer, Parkinson, encéphalopathie sans raison, états végétatifs chroniques.” - Dr. Thomas Stone in Simian Virus 40 DNA Found In US Children , J Infect Disease September 1999 ; 180:884-887 .

Amicalement


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