Commentaire de Halman
sur Le phénomène « nolife », la pathologie de demain ?
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Moi j’en étais arrivé à un tel point que non seulement la nuit je révais de Doom, de Duke Nukem et surtout de Half Life, mais le pire c’est que même la journée, souvent je m’arrétais dans la rue et je me disais « oh la vache mais cet endroit on dirait Half Life dans telle partie du jeu ! »
Mais ces jeux ont aussi eu la conséquence positive de me rapprocher de mes neveux, qui y jouaient aussi en réseau.