Commentaire de Dominique Larchey-Wendling
sur Le hurlement des 300
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Apologie du néoconservatisme et du militarisme. Formation de « Spetnaz » pour les enfants, exégèse de valeurs uniquement martiales, vision manichéene du monde et de l’enemi. Oui certainement.
Le livre qui à mon sens défini le mieux le néoconservatisme : « The New American Militarism, How Americans are Seduced by War » de Andrew J. Bacevich. Ca ce n’est pas une apologie, c’est un historique passionnant sur l’origine de ce mouvement à chercher du côté de « defense intelectuals » de la guerre froide.
Bien-sûr que ce film pue des valeurs nauséabondes des néocons. Des valeurs qui me rappellent les heures sombres de l’Europe et qui sonneront le glas du lien transatlantique, pour peu que les européens se souviennent.