Commentaire de candidat 007
sur Rigidité ou souplesse de la constitution : le malaise français
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Pour information complémentaire et la clarté du débat, voici la déclaration du Président du Conseil Consitutionnel, Jean louis Debré, le 03 Octobre 2007 (dépêche AFP)
03 octobre 2007 - PARIS (AFP) - Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel, a souhaité mercredi sur Europe 1 que la réforme des institutions « ne remette pas en cause la souplesse » de la constitution de la Ve République.
Selon lui, « on doit réformer » les institutions « sans casser l’autorité de l’Etat ».
La constitution de la Ve République « a démontré deux qualités essentielles », selon lui, d’abord « sa souplesse ». Ainsi, la Constitution a permis « une lecture présidentielle » lorsqu’il y avait une « concordance entre la majorité présidentielle et parlementaire » et « une lecture parlementaire lorsqu’il n’y avait pas cette concordance ».
Par ailleurs, « la Constitution de la Ve République s’est adaptée en permanence » et « n’a jamais cessé de se réformer », selon lui.
Merci de votre attention.