Commentaire de Josep Garp
sur Quand ma grand-mère avait raison
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Je vais répondre à la place de l’auteur, nos réponses seront surement différentes mais la question m’amuse. Ces deux questions m’amusent (et y répondre développe mon esprit).
Qui sont les faibles ?
- De la façon dont j’ai compris l’article, je dirais les gens qui vivent de subvention ET s’en complaisent. Du chatelin au chomeur (attention, j’ai bien mis un ET)
Bref être pauvre n’est pas une faiblesse, c’est ne pas avoir de moyen.
Qui sont les forts ?
- Ceux qui accepteraient d’être éduqués, de se former. Qui sont ouverts au monde, apte au changement. Ils peuvent être riche comme pauvre.
Si on recommençait tout à zéro :
- les plus forts gagneraient, mais pas ceux entendus dans ma réponse. Suivrait ensuite après une certaine période d’instabilité les leaders d’hommes. Et enfin leurs enfants, et nous retomberions dans le système actuel... Car ne l’oublions, nous sommes tous parti de zéro, a long time ago !
La solution, elle n’existe bien évidemment pas :) Désolé mesdames et messieurs, le monde est fait d’incertitude et d’injustice, on ne peut que limiter les dégats.