Commentaire de SANDRO
sur Le crabe aux pinces d'or
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Oui, vous avez raison, il y a quelque chose qui tire vers l’indicible, derrière les fenètres de Gustave Roussy et de tant d’autres endroits similaires. Difficile d’en parler, sans doute plus facile d’écrire, méme si, comme disait Edmond Jabès , "seul un noyé saurait parler du fleuve".
Pour avoir pas mal fréquenté les morgues, je sais qu’il faut aimer la vie. Mais ce faisant, comme le compteur tourne mais qu’il n’y a pas de jauge, on ne sait pas combien il reste d’essence.
Alors on l’aime trop, la vie, ou on l’aime mal. Et ainsi, on va plus vite à la morgue. C’est un cercle....