J’ai relu, je ne vois pas de deuxième degré. Et il faut faire très attention avec ceux qui se justifient en disant qu’il fallait les comprendre au deuxième degré, parce ce que c’est le moyen qu’ils prennent pour exprimer sans risque des idées que la morale réprouve. Si on ne réagit pas, l’idée passe. Si l’idée ne passe pas la censure et que nous réagissons, ils nous disent vous êtes idiot, c’était pour rigoler. Je n’accepte pas ce comportement parce qu’il me laisse dans le doute et dans le doute je ne sais plus quoi penser.

Le deuxième degré, je sais aussi m’en servir non pas pour tromper les autres sur mon opinion mais pour ridiculiser mes adversaires en exagérant leur pensée.