Commentaire de JL
sur L'image impossible du président
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
De ce point de vue, il m’a semblé que votre article passait à coté de ce point essentiel.
Philippakos, vous écrivez : ""Cet article part d’un constat, celui de la dégradation ultra rapide et intense de l’image présidentielle et, à la limite, peu importe de quel bord est le Président.""
Je vous l’accorde, mais c’est parce que selon moi, la dégradation de l’image présidentielle est dans la logique de la politique menée par Nicolas Sarkozy, cf. "ce dont Sarkozy est le nom", et qu’avec Ségolène Royal cela n’aurait pas été différent, bien que plus insidieux (façon Nunuche ou façon Bling bling).
A ce sujet, je crois pouvoir dire, si Ségolène Royal avait été élue, et si j’ai bien compris la pensée d’Alain Badiou, que celui-ci aurait pu en changeant peu de chose à son essai intituler celui-là : "Ce dont Ségolène Royal est le nom".
Je vous invite à faire une recherche sur cet ouvrage pour en savoir un peu plus en peu de temps : http://www.google.fr/search?hl=fr&q=alain+badiou&meta=