Commentaire de fabien
sur Mille heures pour Henry
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Georges : je ne crois pas qu’on est moins libre qu’à cette époque ; par contre on est plus nombreux, et, disposant moins d’espace, les horizons se rétrécissent, les pensées aussi. C’est drole, parce que Miller fut aussi une des joies de mon adolescence, 30 ans plus tard !
poetiste : De nada