Commentaire de Philippe Vassé
sur Effondrement du système Aeschlimann à Asnières : danger en Sarkoland ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Philippe Vassé Philippe Vassé 28 mars 2008 18:33

CASA9A,

De rectificatif en rectificatif, il ne vous restera plus rien à écrire d’intéressant, sinon à répéter les dires de la voix de son maître.

Comme vous me donnez l’occasion de vous répondre avec la douce sérénité que donne la conscience du citoyen honnête, j’en profite pour compléter le point de droit que vous tirez de Lionel L qui est à la réflexion sensée ce que le désert est à l’eau.

Vous vous réfugiez derrière l’hypothèse, comme le précité, que Manuel Aeschlimann n’aurait pas violé la loi en faisant envoyer 25.000 courriers, de plus en toute connaissance de cause.

Mais, si justement et deux fois même : aux termes justement des textes du CGCT qui régisent les changements de majorité municipale, Manuel Aeschlimann ne pouvait que "gérer les affaires courantes et urgentes de la Ville". Soit donc, quelqu’un l’a induit en erreur en lui cachant ce texte, soit il a voulu forcer le destin contre lui.

En plus, s’il voulait publier ce Rapport aux frais de la mairie en toute légalité, selon l’article cité par votre ami Lionel L et comme le rappelait Manuel Aeschlimann AVANT sa chute, il devait requérir ce droit du Conseil Municipal après étude et discussion de ce Rapport. Ce qui n’a pas été le cas.

Et de 2 infractions. Deux !!!

La troisème, celle que votre maître n’a pas vue de suite, c’est que le Rapport qu’il a expédié souligne de lui-même que Manuel Aeschlimann avait laissé ou fait commettre un faux rajout attribué à la CRC dans ses documents de campagne électorale.

Soyons juste avec vous et votre nouvel ami, Lionel : si vous croyez ce que vous dit ou disait Manuel Aeschlimann, il est sûr que vos informations seront à vérifier et à passer au crible de la critique citoyenne.

Résultat : Manuel Aeschlimann est visé par une demande légitime de remboursement de 40.000 euros dépensés "hors la loi" d’un Rapport qu’il ne pouvait faire publier, comme maire, par la mairie sans réunion préalable du Conseil Municipal.

Et il a prouvé ainsi de plus qu’il avait commis un faux attribué aux magistrats de la CRC auparavant.

Mais, comme Lionel L, vous allez dire que les textes sont vagues ou imprécis, ce qui n’est pas ici le cas.

A défendre l’indéfendable, on se retrouve ridiculisé et seul. Mais, cela, c’est votre droit le plus strict.

Bien citoyennement vôtre,

 

 

 

 


Voir ce commentaire dans son contexte