Commentaire de JL
sur L'arnaque monétaire internationale ou la face cachée de la mondialisation
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Sur l’affirmation de Verhille : " "Oui, les banques soumises à l’état au point où elles le sont et l’état, c’est pareil.""
Après la lecture des liens de Zen et Sisyphe, ce propos doit être réécrit de la façon que voici :
Les banques et les banquiers sont deux personnalités distinctes : aux banquiers les bénéfices, aux banques, autrement dit à l’Etat, les pertes. Et ce ne sont pas les banques qui sont soumises à l’Etat, mais l’Etat qui est soumis aux banquiers.
Cela tient sans doute à ce que l’Etat et les banques sont des institutions, alors que les banquiers et les dirigeants politiques sont potes.