Commentaire de E-fred
sur Répression du mouvement lycéen : l'arbitraire policier en question
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Bonjour Masuyer.
Pareil chez moi. La mauvaise voie, surtout ne pas aller en apprentissage, les classes CPPN !!! Qu’elle honte pour les famille !!!!
Je copie-colle ce qui est aussi mon parcours : "Je suis resté à l’école jusqu’au bac (un bac littéraire) à 19 ans, alors que mon intention première était une orientation professionnelle à 16 ans. Elève peu travailleur mais aux résultats corrects, mes enseignants ont tout fait pour m’en empêcher (et y sont parvenus). Parce que malgré tous les discours qui sont tenus aux parents des élèves en difficulté, l’orientation vers l’enseignement professionnel est bien une sorte de "sanction" de l’incapacité à s’adapter au moule enseignement général." J’ai ensuite arrêté le lycée en 1987 pour m’occuper de cas sociaux et d’handicapés dans un lieu de vie du centre-Alsace...
Pour les grêves à Sélestat, je crois que nous avions la primeur et le bon goût de nous êtres unis avec le lycée professionnel. Sur nos brassards, j’avais fait inscrire "SK", pour "Schwilgué-Koeberlé".
Encore un autre lien vers le sujet de l’article "Invoquant un article de
la Convention européenne des Droits de l’Homme (droit à un procès
équitable), Jean Noël déposa un recours devant cette juridiction.
Le 18 mai 2004, après avoir franchi divers filtres, cette affaire a
trouvé son épilogue. La cour européenne vient de lui allouer 5 000 EUR
pour préjudice moral et 9797,95 EUR pour frais et dépens."