Commentaire de Le bateleur
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Dans l’article le midi est comparé au "cylindre de l’orgue de barbarie"
Ce sont ces deux niveaux qui font la numérisation totale.
Coder le jeu (la note, la vélocité, ..., les écarts)
Coder le son lui même
(on se heurte très vite au fait qu’un son aïgu et un son grave ont des approximations fonctionnelles très différentes ... et difficilement intégrable sans élagage - voir le logiciel "Vienna" qui permet de gérer les soundfont - banques de son - )
Dans l’expérience donnée la tentative concerne les deux
Alors que dans le domaine musical, jusqu’à ce jour, on part de l’analogique à savoir de l’interprétation par un humain (d’où une moindre perte de sens)
Le but de la technologie sur tous les fronts, est le synthétique, et notamment dans le domaine de la vie, et tout particulièrement de l’art (cela fait trente ans que (pour) l’ordinateur (on) prétend à la création littéraire (les poèmes informatiques qu’évoquait en 1980, la revue TEM -Texte En Main - )
Il suffit de lire Olliviers Dyens ("La condition Inhumaine" propagande pour la fusion de l’homme dans la technologie, à feuilleter ... plus qu’à acheter) pour voir ce spectacle des "a-peu-près synthétisés" devant lesquels le plublic est invité à s’émerveiller ... et Dyens (et tant d’autres) s’émerveillent.