Commentaire de jack mandon
sur Auguste Rodin (1840-1917) et Camille Claudel (1864-1943) : Pygmalion et Galatée ou l'Amour des dieux


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jack mandon jack mandon 2 mai 2008 09:41

 

Beaucoup de puissance dans ce texte viril, merci Armelle.

Les réalités historiques et humaines ne masquent pas pour autant les déferlements romantiques pulsionnels et passionnels qui engloutissent les deux sculpteurs initiés.

Masses, volumes, formes et profils tourmentés, enlacés et jaillissants soudain, les saillis et profondeurs hurlantes nous transportent dans l’antre de Vulcain.

Au milieu du granit, du marbre, des pierres dures et coupantes, des coulées incandescentes et fumantes, nos deux héros façonnés à jamais dans leur histoire mythique et réelle, céleste et charnelle... l’ultime coulée d’Odin.

Amants-artistes attachants, broyés, anéantis dans la fournaise Dantesque emportés dans l’ultime irruption des portes de l’enfer.

Jack


 


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