Commentaire de Emile Red
sur My secretary is rich


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Emile Red Emile Red 26 mai 2008 09:38

J’aime vous voir en colère cher Rocla, vous savez donc répondre quand on vous agresse.

Je ne comprends pas bien ce que vous voulez dire sur votre pote, allusion je crois au fait qu’il soit moinsé ?

Je ne vois pas pourquoi vous me posez la question, d’une part je n’ai pas moinsé ce post et d’autre part je ne suis ni dieu ni maître pour influer les votes par imposition des mains.

Quant à votre couardise, je tiens à vous signaler que c’est vous qui affirmez :

"faut pas aller à l’ école , on devient bête , faut faire un apprentissage et savoir se servir de ses deux mains , trop réfléchir flingue le cerveau"

Pour mon compte refuser d’utiliser son cerveau est la pire des couardises, maintenant à vous d’en faire l’analyse, ce sont vos propos pas les miens. De plus votre affirmation mettant en opposition le manuel à l’intellectuel représente un état d’esprit passablement limite, vous nous annoncez tout de go que réfléchir n’a aucun avantage alors que manipuler (au sens propre) est la panacée, mais, savez vous que les débiles profonds, souvent, se débrouillent manuellement très bien en CAT, à vous lire on pourrait penser qu’ils sont donc capables de diriger une entreprise, et qu’un sale gosse qui aurait un cerveau trop performant en serait incapable. Vous faites de l’eugénisme à l’envers, façon TF1/Coca-cola.

Vous êtes de ceux qui pense que le héro moderne est celui qui entreprend, la réussite étant secondaire mais bienvenue et louable, désolé de vous décevoir mais il y a dans le monde patronal des crétins incapables et dans le monde ouvrier des gens ultra compétents, le besoin d’entreprendre n’est qu’une question de caractère ou de personnalité mais certainement pas d’aptitude.

Maintenant si vous voulez ma biographie professionnelle, sans m’étendre, sachez que je suis parti du lycée sans le bac, que je suis malgré tout devenu professeur agrégé, que j’ai laissé tombé l’EN pour créer mon entreprise qui est devenue une SCOP depuis quelques années dont je suis le président, nous sommes aujourd’hui 17 associés et heureux de l’être. Nous gardons le plus grand respect des conditions de travail et sommes aux 35 heures réelles, chacun d’entre nous a un salaire plus que décent sans atteindre des sommes abusives. En deux mots je suis assez fier de mon cursus sans en faire un plat ni l’étaler partout et je sais pertinemment que je ne me suis pas fait seul mais grace aux compétences des gens avec qui je travaille avec plaisir et déférence.

Satisfait ?


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