Commentaire de Bulgroz
sur « Il faut qu'il reste » : une réponse au livre de Sébastien Lapaque
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Quand Carla parle de lui :
http://www.leparisien.fr/home/info/politique/articles/QUAND-CARLA-SE-CONFIE_298544646
Cela (le coup de foudre, ndlr) a été immédiat, confirme Carla Bruni, citée dans Le Parisien de mercredi. Je ne m’attendais pas à quelqu’un de si drôle, de si vivant. Son physique, son charme, son intelligence m’ont séduite. Il a cinq ou six cerveaux, remarquablement irrigués. Je n’ai pas connu de crétins auparavant, ce n’était pas mon genre. Mais lui, ça va très, très vite ».
Six mois plus tard, son admiration reste intacte : « C’est inimaginable ce qu’il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe (1), il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique. »
(1) On l’aura compris, pas le Sisyphe d’ Agoravox bien sur.