Commentaire de Henri François
sur Les révoltes de la faim, conséquences naturelles de la mondialisation
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Il eut été normal d’ajoindre au mot de "mondialisation" la formule du "capitalisme sauvage". C’estv de cette formume que la planète court, aveugle, à sa perte. Quant à penser comme je viens de le lire dans le commentaire précédent, que l’intrusion en Afrique de tous les "investissements étrangers" au premier rang desquels figureraient la Chine (et les autres, tout aussi puissants existent pourtant) sauveraient ce continent de la pauvreté est pour le mons absurde, à mon avis. Le capitalisme et sa richesse,nourrie la plupart du temps de la souffrance et la manipulation des peuples, demeurent depuis la nuit des temps, uniquement une source intarissable et unique ...de profits individuels ou de groupes d’individus que l’on va chercer ailleurs (en Afrique notamment) lorsque chez soi cette source est en passe de se tarir.