Commentaire de olivier cabanel
sur Et devant nous il y a un mur
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Di Girolamo,
j’apprécie le contenu de votre commentaire,
ayant eu l’honneur et le plaisir de rencontrer à plusieurs reprises jean marie Pelt, qui me considère comme un ami,
(j’en suis flatté ;
j’espère le mériter)
je voudrais aussi apporter sa vision d’une autre société.
il dit, à mon avis fort justement, que nous avons oublié depuis plus de deux siècles un mot, gravé au fronton de notre république,
le mot "fraternité".
il dit que nous avons essayé tous les systèmes, et que chacun est un échec constaté,
que le seul que nous n’ayons jamais tenté, c’est celui de la solidarité, de la fraternité, une république du coeur.
cet amour là qui guiderait nos pas, nous permettrait d’être en accord avec nos conscience, avec des valeurs de partage est le passage obligé des générations futures,
et bizarrement, je ne pense pas que nous soyons si éloigné du sujet de l’article.