Commentaire de Bois-Guisbert
sur Les fruits sont à tous et la terre n'est à personne
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Surtout, n’oubliez pas que les fruits sont à tous et que la terre n’est à personne.
Etant donné que même en France, pays de l’égalitarisme rabique, ce genre d’hurluberlus est groupusculairement minoritaire, on ne lui opposera rien d’autre qu’un haussement d’épaules, accompagné d’un sourire. De commisération !
Rousseau, ce plouc, a donc écrit : "« Le premier qui, ayant enclos du terrain, s’avisa de dire : "Ceci est à moi" et trouva des gens assez simples pour le croire fut le vrai fondateur de la société civile."
Le propos doit être complété comme suit : "« Le premier qui, ayant enclos du terrain, s’avisa de dire : "Ceci est à moi" et trouva des gens assez simples pour le croire, ou pas assez balaises pour ne pas le croire, fut le vrai fondateur de la société civile."