Commentaire de Antoine Diederick
sur OTAN : Attention Danger !
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La, je vais rejoindre Cambronne, Judel vous êtes à côté de la plaque.
On croirait entendre un empanaché désuet sous ses rubans déclarant à Napoléon la veille d’Austerlitz que celui ne pouvait pas attaquer qu’il avait en face de lui la fine fleur des plus illustres familles éduquées d’europe et policées et courtoises. Napoléon était en redingote grise bien efficacement campé sur sa détermination....si vous voyez ce que je veux dire....
Bon, je retourne à mes chères études et chez Morphée.