Pour avoir travaillé dans une société fabricant des CD et DVD, je pense qu’il s’agit plus d’une erreur au cours de la fabrication (mauvais étiquetage en sortie des lignes de fabrication car plusieurs machines tournent sur des titres différents ou erreur de livraison dans le service de sérigraphie) que de l’oeuvre d’un réseau de pédophiles. A moins qu’il ne s’agisse de l’oeuvre d’un très très mauvais plaisantin

Dans ce type de sociétés, le DVD est fabriqué puis emballé et enfin envoyé dans une autre société pour l’encartage.

Les vrais coupables sont quand même les responsables du journal. En effet, ils reçoivent une dizaine de DVD d’essai (donc fabriqués avant la grosse production) et ne contrôllent certainement pas les produits distribuables. Ils devraient en réalité faire un prélèvement sur le produit fini pour vérifier qu’aucune erreur n’a été commise et bien vérifier si le batch est identique (car une poduction peut être stoppée pour en lancer une autre plus urgente).

Les erreurs sont plus nombreuse qu’on ne le pense. J’ai ai vu des millions partir au recyclage à cause d’une erreur d’étiquetage, d’une erreur de sérigraphie ou, pire encore, d’une erreur de master.