Commentaire de Eloi
sur Petit cours d'économie politique en temps de crise
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Oui je suis à priori d’accord avec vous.
Je souhaitai simplement faire remarquer que cette capacité d’observation rendait la chose plus difficile. Cela ne veut pas dire que la modélisation de l’histoire était impossible. Comme nous sommes tous enfoncés dans nos traditions et les modes, nous sommes probablement plus ou moins prévisibles. En tout cas en masse, comme les atomes d’ailleurs...
Par contre la possibilité d’apparition d’un Napoléon, d’un Alexandre, d’un Léonard de Vinci, d’un Newton, d’un Gödel, d’un Einstein ou d’un Fermi (et malheureusement d’un Hitler) est à priori imprévisible, non ? Et ces gens apportent de vastes changements
On retrouve d’ailleurs ces thématiques dans le cycle de Fondation, d’Asimov, avec la psychohistoire de Seldon. Et de l’apparition imprévisible du Mulet.
Cela dit, cette "psychohistoire" est-elle souhaitable ? Vaste question !
La comparaison Rome avant la décadence/Occident ne risquerait-elle pas d’être plus déprimante que non pertinente ?