Commentaire de Sarfati Jean
sur Joël-Peter Witkin, L'angélique et l'obscène, d'Hervé Castanet
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Je me permets de prendre les choses autrement>
il faut oser se confronter au fait d’expérience du « bord du trou ». Par exemple, de ne pas le supporter amène à devenir alcoolique.
Que des artistes s’y essaient, ou qu’on reprenne le terme du Dr Lacan de « littoral », qui est corrélé à mon avis à la « litturaterre » ou terre de la lettre, pourquoi serait-ce forcément du pipeau ?
La pente débilarde du genre « si tu fais mouiller ta copine tu penses bien », ça sert à quoi aux vrais êtres zumains ? A plastronner face au trou on peut tenir des années ... pourquoi pas !
N’empèche que le travail de l’artiste reste ...saisissant.