Commentaire de Le péripate
sur Feu vert de l'Elysée pour les licenciements et l'emploi précaire
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Zalka, ça, c’est le coup de celui qui fait le sourd. Discuter avec vous, c’est comme discuter avec le professeur Tournesol, en moins drôle.
Alors, voilà, écrit en gras, et en français simplifié : la charité étatique fabrique les pauvres et les met dans la rue, à la charge de la charité privée.