Commentaire de fabrice duplaquet
sur Aspartam : où sont les excès ?
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Ce qui est étonnant dans les affaires de suspicion de l’effet cancérigène d’une molécule c’est la difficulté de le prouver statistiquement. Les études contradictoires sont légions, selon la méthodologie, la population spécifique étudiée ; le nombre d’individus étudiés, la méthode statistique utilisée, l’origine du financement du chercheur, l’aspect multifactoriel et synergétique des substances entre-elles, ...
C’est pour cela que je plaide depuis des années pour organiser des recherches systématiques sur ces molécules grand publique comme l’asparatam, les anti-oxydants, les oméga 3 et 6, la laine de roche, la fibre de verre, etc...