En aviation on a inventé les gouvernes actives commandées électroniquement dès les années 1960 sur des prototypes de Mirage III, de Jaquar et sur le Concorde.

Et sur les Formules 1 de 2008, n’en est on pas encore loin ?

N’ont elles pas encore des surfaces fixes réglables même pas par le pilote, mais par un mécanicien à l’arret, comme les premiers plan fixes à calages d’incidence réglables et compensateurs des avions des années 1930 ?

Etonnant non ?

Comment les ingénieurs automobiles n’ont pas encore inventé des surfaces mobiles pilotées par ordinateurs, adaptant leurs inclinaisons, l’aérodynamique de la voiture à la vitesse, l’altitude, la température et l’hygrométrie afin d’avoir des cx optimisés, donc des consommations très diminuées, sans compter des conforts sonores et d’efforts considérablement améliorés pour les passagers ?

Et pourtant ces mêmes ingénieurs vantent les essais en soufflerie de leurs engins. Tant d’études pour en rester à des aérodynamiques d’un autre âge.