Commentaire de Henri François
sur La pénurie d'organes : grande cause nationale ?


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Henri François 16 décembre 2008 16:59

Se soigner certes (le cancer surtout) avec la volonté ferme de s’en sortir plutôt que subir traitements de toutes sortes, mais pas changer de "pièces".
Dans mon entourage proche j’ai eu un transplanté du coeur qui après trois années de calvaire (examens approfondis et surveillance minutieuse, régime strict etc...) s’en est allé.
En outre voyez-vous je crois au destin, ignare que je suis.
Enfin ce qui me gêne profondément est de constater qu’ici et là on désire lutter contre la mort y compris et surtout accidentelle et que pour se faire on ne nous parle que ...d’elle.
Il faudrait qu’une fois pour toutes l’homme comprenne que sur cette foutue terre il n’y a que deux vérités : la naissance et la mort qui sont selon moi, programmées sitôt poussé le premier de nos vagissements.
Amicalement.


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